Aller au contenu

Jedino

Membre
  • Compteur de contenus

    48 051
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Mais, tu parlais de quels sujets, en fait? xD

  2. Jedino

    LE post Metal

    http://www.youtube.com/watch?v=rOtVJ_R4s3A&feature=share
  3. Et c'est tout. Remarque, pas besoin de plus : il ne neige même pas.
  4. Jedino

    Qu'écoutez-vous en ce moment ?

    http://www.youtube.com/watch?v=djJqSNGvTEM&feature=share
  5. Jedino

    Mode/beauté - Mag 31

    Quoi?! Comment ça, "méfie toi de Dieu Jed"? Non mais
  6. Jedino

    Acrostiches

    Pour mon amie Ou mon amour ; Éternité, oubli et détour : Irons-nous ensemble En cette terre de paradis?
  7. Jedino

    J'emmerde.

    Ma foi, t'as l'air très en forme.. :D Mais oui, arrête ton abonnement! :smile2:
  8. Jedino

    Le libre arbitre

    Si tout est déterminé, notre pensée, notre raison, ou ce que tu veux, n'a aucune raison de ne pas l'être aussi. Donc, notre choix n'en est pas un, puisqu'il est déterminé également selon notre intérêt, notre besoin, etc... Autrement dit, lorsqu'on dit faire un choix entre deux situations, ce n'en est pas un, puisque tu choisiras nécessairement celle qui sembles t'arranger. Certes, tu exclues l'une plutôt que l'autre. Si ce n'est que tu choisiras nécessairement la première par rapport à la seconde, parce qu'elle t'arrange. Et, faire un choix sans une totale objectivité, ce n'en est pas un, pour moi. Mais, c'est pas tout à fait pertinent et évident, nous sommes d'accords. Avoir conscience du champ des possibles ne changent pas le déterminisme de nos choix. Nous ne voulons jamais que selon des conditions/besoins propres guidant notre dite volonté. Bref, quand tu veux ça ou autre chose, ce n'est pas complet, puisqu'il faudrait dire que tu veux ça parce que ça m'apporterait ça ou que ça m'éviterait ça, voir que ça apporterait quelque chose à lui ou à elle. Donc, tu as beau savoir que tu as mille choix à faire, tu en feras un, et qu'un, parce que celui-là est le plus logique de tous. Si tu étais un être dénué de logique, prenant des chemins qui n'ont rien de pertinent, je commencerais à croire en notre capacité à choisir. Mais c'est fort du café, oui :D
  9. Le soir, ouverture à l'obscurité du monde et des coeurs, m'offre quelques raisons que j'ignore. Le feu du désespoir brûle les dernières joies. Tout est cendre. Tout se vide. Il n'y a d'existence que pour les âmes égarées, celles-là même cherchant vainement la lumière d'un espoir. Ce serait tellement mieux de raconter des choses positives, des choses qui me tiennent à coeur et dont j'apprécierais partager l'histoire. Mais comment faire si je ne peux qu'avoir honte de moi-même? Comment parvenir à écrire cela? Si je m'y suis essayé, une ou deux fois, ce n'est pas sans un effort énorme, sans prendre trop de temps qu'il n'en faudrait. Et puis, cette horrible impression d'écrire du vide, du raté, du mauvais, d'en recevoir un écho tellement faux. Comment changer ma plainte inutile en un texte beau? Ce discours est futile, puéril, et j'en passe. Au fond, il nous est difficile de décider de comment nous allons écrire, et de quoi nous allons raconter. Ou peut-être que si. Je n'en sais rien. Et cela importe peu. Du coup, il y a ce sentiment de répétition, de dire ce qu'on a déjà dit mille fois. Les mots changent. Les idées, plus rarement. Parlons sérieusement : je ne suis pas vous, vous n'êtes pas moi. Vous n'êtes pas non plus lui ou elle. Pourtant, cet homme, cette femme, cet enfant, toutes ces personnes que vous croisez, apercevez, connaissez, ignorez, imaginez, sont à la fois une part de vous-mêmes, et une part de ce que vous auriez pu être, ou ne jamais être. Il y a une part de vérité en ce que sont les autres. Nous avons beau réfléchir, philosopher, creuser livres et maximes, rien ne remplace le secret que porte chacun de nous. Mais trop nombreux sont ceux qui croient qu'explorer l'autre, c'est le blesser : il y a tant à faire sans déchirer l'âme de celui qui donne. Le principe consiste non pas à simplement prendre ou donner, mais surtout à échanger. Nous avons plus à apprendre d'un inconnu qu'on ne le pense. Aussi repoussant soit-il. "Je" veut ce qu'il n'est pas. Il veut rendre lui ce qui ne lui appartient pas. S'il pouvait aspirer un corps, il le ferait. Il s'échappe, s'enfuit, se retrouve. Et si nous n'étions jamais un esprit? Si celui-ci, ce "Je" que nous semblons être, n'était jamais le même le lendemain? Se pourrait-il que nous ne soyons jamais ce que nous paraissons être : un et équilibré? Pourrions-nous être, malgré nos souvenirs, nos ressentis toujours similaires, un autre, c'est-à-dire, tout le monde? Une sorte de puzzle construit à partir de chaque pièce rencontrée. Un ami, un amour, un étranger. Je ne suis donc pas moi. Je ne suis pas non plus un français. Je suis ce que j'ai vécu, ce que j'ai connu, ce que j'ai ressenti, perçu ou déchu. Je suis l'amour de l'un, la haine de l'autre. L'espoir, l'indifférence, le sourire, les cheveux blonds, la chaleur, le tissu. Un amas infini de petites choses formant un tout que je sens comme un. Cependant, je ne suis pas rien, car je ne suis pas vide. Personne ne l'est. Le plus insensible des hommes n'a d'insensible que le nom. Jamais il ne peut être sans un ressenti, sans une once de ces perceptions qui font notre essence. Et pourtant, je ne suis pas "moi". Je ne suis pas cet esprit, cette entité étrange et complexe que je ne sais décrire que par la raison, puisque la raison n'est, elle, que la connaissance et la jonction de tout ce que je suis. Voilà pourquoi un homme n'est homme que parmi les hommes. Comment pourrait-il le devenir s'il ne recevait pas ce qui fait de lui ce qu'il sera? Cessons-là ces bêtises. Je ne suis pas. Je ne serai pas. Les mots ne sont bons qu'à nous tromper. Jouez avec, et vous comprendrez. Vous comprendrez pourquoi la fausseté se trouve partout, tout le temps, inlassablement. Elle nous envahit, nous pourrit. Nous votons pour ça, nous réfléchissons sur ça. Les autres font ce que nous sommes. Mais nous ne sommes pas les autres. Pas exactement. Donc, nous pouvons refuser cela. Nous pouvons retourner l'apprentissage, l'utiliser contre lui-même. Et ceci, c'est notre liberté. Il n'y a d'homme libre qu'au sein de la rébellion. Mais une société de rébellion est-elle libre pour autant? Tenez-vous en à ce que vous voyez, car je ne saurais vous aider. Moi, je suis aveugle, aveugle d'avoir trop mal regardé.
  10. Signature : Schopenhaueur + Baudelaire.

    Rien que là, les gens comprennent tout! Un misogyne misanthrope + un drogué mélancolique, ça fait une sacré sauce aux épinards! C'est pas avec ça qu'on pécho d'la meuf, crois-en mon expérience de génie incompris!

  11. Plus je lis des mots compliqués, plus je me sens bête. M'enfin! C'est vrai! Si ce n'est qu'il manque quelque chose au présent que le passé a englouti. Comme un ventre dans lequel ne ressort que trop rarement ce qu'on y met! Et, sans doute. J'y songerai, au prochain mariage, alors!
  12. Meuh naaan!

    "Jeune et con", sur Virgin radio.

    Et oui, pauvre de moi :/

  13. Jedino

    Le libre arbitre

    Ce n'est pas faux, mais choisir cela plutôt qu'autre chose n'est-ce pas une chose déterminée, voir déterminable, aussi?
  14. Jedino

    Le libre arbitre

    Tout étant déterminé du début à la fin, le libre arbitre de l'homme n'a aucun sens, puisqu'il ne prend pas de décision de lui-même, mais en fonction des causalités qui le déterminent et l'entourent. Cela ne réfute donc pas l'idée de Dieu, mais du libre arbitre.
  15. Jedino

    Le libre arbitre

    Ma foi, je n'y crois pas. Sur ce coup-là, je suis complètement spinoziste. Voilà
×