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Jedino

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Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Jamais, en effet ! J'en tiendrai compte.

  2. Ah non, j'ai même pas relu (comme toujours, en fait). Pas la seule erreur, mais j'étais un tantinet remonté, ça doit être de là, le défaut d'attention.

    Je l'ai capté juste là, en relisant le sujet x)

  3. Quand tu dis faire une moyenne de 20 ans de 1994 à 1993, ça la fout moyen ! XD

  4. Je surestime pas : mais si tu fais une moyenne de 1994 à 1993, toi, j'admire ! Hahaha !

  5. Jedino

    Ca me fait bondir

    Me cite pas comme ça, ça me gêne ! Vu le nombre d'erreurs que j'ai glissé là-dedans, en mélangeant des mots et des dates
  6. Du coup j'ai relu mon paragraphe avec les calculs, et j'ai constaté qu'entre les lapsus de mots et de chiffres... C'est terrifiant.

  7. Jedino

    Jeu entre amis

    Je te l'ai pourtant dit ! Je ne fais que du fait, du réel, du concret !
  8. Jedino

    Jeu entre amis

    L'histoire de la roulette russe, je l'avais déjà faite ! Désolé !
  9. Jedino

    Jeu entre amis

    C'est déjà ça :D
  10. Si je vire tout ce qui est charge et loyer, j'ai quelque chose comme 150 euros pour me nourrir et faire les activités que je souhaite faire chaque mois. C'est vrai de tout les imprévus qui peuvent coûter également. Autrement dit, au lieu de m'acheter un bouquin, je file un billet. C'est un choix, en effet. Après, dans la mesure où je ne fume pas et ne bois rien, mon budget n'est pas tellement contraint. Il suffit d'être un tantinet raisonnable.
  11. Entre 5 et 10. Et si je n'ai pas de quoi sur moi, mis à part des pièces, je donne au minimum 3. Parce que l'idée, c'est pas de me rassurer, mais d'aider la personne.
  12. Jedino

    Ca me fait bondir

    La liste des avancées technologiques liée au spatial est loin d'être brève, pourtant. Le satellite est largement utilisé, et ce n'est pas donné en terme de coût. L'ordinateur a largement été amélioré en raison d'un besoin de calculer des trajectoires incroyablement complexes. C'est vrai avant, c'est vrai aujourd'hui. Et l'ordinateur, ce n'est pas qu'un outil de loisir. Tu as également l'airbag, la couverture anti-feu, les freins (notamment pour les TGV), etc. Alors oui, toutes ces choses sont finalement accessoires dans l'absolu. Rien n'est tout à fait nécessaire. Internet pas plus que le reste. Mais à ce compte-là, toute la recherche fondamentale pourrait être virée, ce qui implique un morceau certain de la physique. Et à ce titre-là, tu n'as plus grand chose au bout qu'il te reste. L'idée n'est pas de réduire la recherche pour le social, car tu dégrades indirectement le mieux-être futur (parce qu'il me semble que le défi, c'est de parvenir à donner à chacun ce dont il a besoin au minimum, ce qui à l'heure actuelle ne se fait clairement pas, et ne se ferait pas mieux si nous virions les coûtés de la recherche). L'idée, c'est de financer suffisamment les deux.
  13. - Tu comptes jouer bientôt, mec ? - Putain ouai, on t'attend ! - Deux secondes ! Je réfléchis. - Depuis quand tu sais réfléchir, toi ? C'est la vodka qui te rend lucide ? - Connard ! Bref, voilà une sympathique soirée entre amis. A quoi bon vous la conter ? Vous le connaissez. - T'es sérieux, là ? Tu joues ça ? - Bah ouai. - Tu te moques de nous ? - J'en ai l'air ? - Laisse-le donc jouer ce qu'il veut, merde ! S'il est con il est con, cherche donc pas. - Va te faire ! Que voulez-vous, l'amitié s'accompagne de la vulgarité. Et la vulgarité, elle, d'une certaine sincérité. - Bon, ça me fait chier. Je vais aller m'en griller une. - T'en as marre de perdre ? - Alors ça ! Bouge pas, mon gros. Je reviens t'entuber après. - J'en meurs d'impatience. Et il sort s'en griller une, donc. Cela lui laisse le temps d'apprécier le calme en cette soirée d'automne. Un peu plus tard, un type débarque et lui demande de loin : - T'en aurais pas une pour moi, dis-moi ? Il sort le paquet de sa poche, en prend une et la lui tend. - Et du feu ? - Putain d'assisté, ma parole. Il vient s'accouder à côté de lui. - T'es heureux ? - J'te d'mande pardon ? - T'as très bien pigé. Est-ce que t'es heureux ? - Qu'est-ce que ça peut bien te foutre ? - Simple question ! Déstresse. Ils se taisent à nouveau. - Bon ben, bonne soirée. Merci pour la clope. - Ouai. Il rentre, gonflé par cet abruti. - T'as déjà fini ? - Me fais pas chier, toi aussi. Et distribue, je compte bien te déculotter. - Monsieur devient sérieux ! Ils jouent. Et ils jouent. Et pour un temps certain. - Alors, est-ce que vous êtes heureux ? - Qu'est-ce que tu fous là, toi ? Je t'ai pas dit de dégager tout à l'heure ? D'arrêter de me faire chier ? - Non, tu ne l'as pas dit. Il sort un pistolet, le pointe sur la tablée. - On va calmer nos ardeurs, pour commencer. Bien, très bien. Maintenant, j'attends une réponse. Ou faut-il que je me répète ? - T'es cinglé, mon pauvre. Va te coucher, ça nous évitera des emmerdes, à nous et à toi. Il flingue le premier. - Où en étions-nous, déjà ? - Ouai, je l'étais. Jusqu'à ce qu'un fou furieux débarque nous faire chier, moi et mes potes. Il flingue le deuxième. - Y en aura-t-il un pour répondre correctement ? Ce n'est pourtant pas bien compliqué, il me semble. - J'dirais comme ça que ça va. Que j'suis ni malheureux ni heureux, quoi. Que bon, de toute façon, on s'en tape pas mal vu que le but n'est pas d'être heureux, mais de s'accepter soi-même et de vivre au mieux selon ses convictions et envies. Il flingue le troisième. - Décidément, ce n'est pas glorieux. J'ai connu plus performant. Bon, le dernier, il en pense quoi ? - Oui, je le suis. - Bah voilà ! Enfin un qui comprend quelque chose quand on lui cause. Et il s'en va, satisfait.
  14. Jedino

    Ca me fait bondir

    Le PIB français en 1994 était de 1150 milliards (de francs) environ. Je prends un recul de 20 ans par rapport à cette année. Celui de 2013 est environ de 2050 milliards (d'euros). On remarque donc qu'il a doublé, et donc que la valeur de 1,4 milliards n'est évidemment pas la même en proportion selon l'année. Mais ce n'est pas là moins point. J'ai fait le calcul, quand tu additionnes les PIB de 1994 à 1993, tu obtiens environ 32500 milliards. Quand tu prends 1% de ce total, ce qui n'est pas énorme, tu obtiens logiquement 325 milliards. Notre chiffre de 1,4 milliards paraît bien dérisoire à côté. En fait, il correspond à 0,5% environ de ces 325 milliards. Autrement dit, le total du coût de ce projet par rapport au total du PIB français représente 0,5% de 1% du total, soit absolument rien du tout (0,005%, si je ne suis pas trompé). Si tu prends la participation française, soit 20%, tu divises encore ce résultat par 5. Autant dire que si tu veux faire des économies avec ça, tu es assez mal barré. Certes, ce n'est pas "rien" vu que ça a un coût. Mais ce coût ne te permettra pas de faire tellement de choses à côté, comme aider des gens dans le besoin, ce en quoi nous sommes d'accord. En fait, sur le long terme, tu dégrades même virtuellement la vie de ces personnes, dans la mesure où comme le dit loopy, la recherche fondamentale a beau parfois délirer, elle fait avancer (malgré elle). Sans cette recherche-là, nous n'en serions absolument pas où nous en sommes aujourd'hui. Alors oui, l'intérêt d'aller sur un caillou qui tournicote dans le ciel, loin, très loin, et ça pour un instant en plus très bref, ça peut sembler aberrant. Oui, la somme que ça a coûté peut sembler colossale. Mais à la première affirmation, je répondrais que c'est par l'aberration que le cohérent finit par naître. Nous sommes à discuter ensemble, en ce jour, grâce à des idées aberrantes, et permises par des gens qui sont payés pour imaginer des choses qui finiront peut-être par ne jamais servir. Oui, cela coûte beaucoup pour des résultats non assurés. Mais ce coût n'est en général par sur du court terme, mais sur du long terme, comme le prouve ce projet réussi-ci, ce qui en limite à mes yeux le "poids". Pour la deuxième affirmation, je dirais que c'est typiquement l'erreur faite de raisonner à notre échelle (oh non, voilà une somme énorme) alors qu'en réalité 1,4 milliards représente à peine plus de 0,5% de notre PIB annuel actuel (ce qui n'est franchement pas énorme), et 0,1% si on prend ce que ça a coûté réellement à la France. Bref, vous bondissez pour de mauvaises raisons.
  15. Jedino

    Et je l'avais rencontré

    Le problème, c'est qu'en voulant voir ce que tu veux voir, tu ne vois pas ce que tu as pourtant vu :D
  16. Jedino

    Et je l'avais rencontré

    Michael : Là, ça devient carrément bizarre.
  17. Jedino

    Au Bout (du) Quai

    Ah mais moi ça ne me dérange pas, c'est marrant à voir quand tu es là, à côté, bien en avance ! Le genre de moment où tu te dis que finalement t'as raison de venir avant qu'après :smile2:
  18. Jedino

    Morphée-ine

    Tu vois, je suis en train de me dire qu'actuellement, je ne saurais plus écrire un poème, et encore moins un poème qui sonne aussi bien que celui-là.
  19. Jedino

    Le réveil

    Y croire, c'est déjà un bon début.
  20. Jedino

    Au Bout (du) Quai

    (J'ai jamais vu autant de gens courir après des trains qu'à Paris) Ce qui est intéressant, c'était que j'étais au quai hier. Tu ne serais pas en train de suivre mes pas, dis-moi ?
  21. Jedino

    Et je l'avais rencontré

    konvicted : tu me vois meilleur que je ne suis, c'est beau !
  22. Quel artiste ce jeune homme !

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