Souffrir du "qu'en dira-t-on".

J'ai toujours été bloqué et apeuré par le "quand "dira-t-on. 

Je m'explique :

J'ai beaucoup d'occasion d'aller parler à des filles dans les salles de sport, à la voisine qui a beaucoup d'ami(e)s, à ma collègue de travail et aux filles que je peux rencontrer dans les lieux de détentes habituelles comme cafés, restos ou autres. 

Mais la seule chose qui me terrifie c'est le fait qu'elle aille raconter que je lui ai fait une proposition , je me dit que ça pourrait gravement mettre ma réputation en péril surtout vis à vis des autres filles au cas où ça ne fonctionnerait pas. 

Même le fait de lui dévoiler mes sentiments me bloque à l'idée qu'elle aille le raconter à son entourage. 

Surtout sachant très bien qu'elle va le repéter.

Le fait de me prendre un vent en public je vous raconte même pas. 

Et vous ? 

Avez-vous peur du "qu'en dira-t-on"? 

Avoue… tu as 12 ans en fait ! 

Il y a 1 heure, vizizio a dit :

J'ai toujours été bloqué et apeuré par le "quand "dira-t-on. 

Je m'explique :

J'ai beaucoup d'occasion d'aller parler à des filles dans les salles de sport, à la voisine qui a beaucoup d'ami(e)s, à ma collègue de travail et aux filles que je peux rencontrer dans les lieux de détentes habituelles comme cafés, restos ou autres. 

Mais la seule chose qui me terrifie c'est le fait qu'elle aille raconter que je lui ai fait une proposition , je me dit que ça pourrait gravement mettre ma réputation en péril surtout vis à vis des autres filles au cas où ça ne fonctionnerait pas. 

Même le fait de lui dévoiler mes sentiments me bloque à l'idée qu'elle aille le raconter à son entourage. 

Surtout sachant très bien qu'elle va le repéter.

Le fait de me prendre un vent en public je vous raconte même pas. 

Et vous ? 

Avez-vous peur du "qu'en dira-t-on"? 

 

Il n'y a pas à craindre le "quand dira-t-on" pour ce genre de démarche.

Tu parles du risque de "prendre un vent" en public. Il me semble qu'il doit y avoir une attitude à adopter pour éviter de le prendre ce vent en public.

Il y a 1 heure, Elisa* a dit :

Avoue… tu as 12 ans en fait ! 

Sans doute nettement moins....

Il y a 1 heure, vizizio a dit :

(...) Et vous ? Avez-vous peur du "qu'en dira-t-on"? 

Pas du tout et d'ailleurs, jamais je n'y pense.

Je me méfie moi aussi beaucoup du "qu'en-dira-t-on", et j'y suis relativement attentive. Mon expérience m'a prouvé que les racontars et préjugés, quand ils sont outranciers, pouvaient avoir de graves conséquences, y compris donc lorsqu'ils reposent sur des mensonges, des calomnies, ou des exagérations. Cela peut parfois avoir des répercussions au sein du couple, des relations amicales, de la famille ou dans le cadre du travail... Et ces on-dit peuvent aussi quelquefois provenir d'ex ou de personnes éconduites par exemple... En revanche je ne drague pas, je ne fréquente que des hommes qui viennent d'eux-mêmes vers moi, donc de ce côté-là je n'ai pas de problème.

Il y a 5 heures, vizizio a dit :

J'ai toujours été bloqué et apeuré par le "quand "dira-t-on. 

Je m'explique :

J'ai beaucoup d'occasion d'aller parler à des filles dans les salles de sport, à la voisine qui a beaucoup d'ami(e)s, à ma collègue de travail et aux filles que je peux rencontrer dans les lieux de détentes habituelles comme cafés, restos ou autres. 

Mais la seule chose qui me terrifie c'est le fait qu'elle aille raconter que je lui ai fait une proposition , je me dit que ça pourrait gravement mettre ma réputation en péril surtout vis à vis des autres filles au cas où ça ne fonctionnerait pas. 

Même le fait de lui dévoiler mes sentiments me bloque à l'idée qu'elle aille le raconter à son entourage. 

Surtout sachant très bien qu'elle va le repéter.

Le fait de me prendre un vent en public je vous raconte même pas. 

Et vous ? 

Avez-vous peur du "qu'en dira-t-on"? 

 

Pourquoi voudrais-tu contrôler ce que les gens pensent et disent de toi, allant même jusqu'à les empêcher de parler, en leur disant rien de toi, pour qu’ils ne racontent rien sur toi... Ne serais-tu pas un de ces dictateurs en puissance...

Il y a 10 heures, sirielle a dit :

quand ils sont outranciers, pouvaient avoir de graves conséquences, y compris donc lorsqu'ils reposent sur des mensonges, des calomnies, ou des exagérations.

J'ai fait les frais de calmonies (pas dans un contexte amoureux) et j'en ai souffert mais je n'ai pas rétorqué. J'ai seulement blacklisté la médisante qui, quelques années plus tard, a voulu revenir vers moi, mais j'ai de la mémoire... et de la rancune !

s'il y a une chose qui m'indiffère totalement c'est le qu'en dira-t-on, je vis ma vie sans m'occuper de ce que peuvent dire les autres, pas plus que je ne parle de leurs vies 

Il y a 17 heures, Elisa* a dit :

Avoue… tu as 12 ans en fait ! 

À bon ? Depuis quand les enfants ont peur du "qu'en dira-t-on" lol

Il y a 17 heures, MadeleinedeProut a dit :

Il n'y a pas à craindre le "quand dira-t-on" pour ce genre de démarche.

Tu parles du risque de "prendre un vent" en public. Il me semble qu'il doit y avoir une attitude à adopter pour éviter de le prendre ce vent en public.

Le problème c'est que parfois tu as cette bonne attitude qui l'a séduit mais se montre pas intéressée, ce qui peut faire croire aux gens aux alentour qu'elle te rejette. 

Il y a 11 heures, G6K972 a dit :

Pourquoi voudrais-tu contrôler ce que les gens pensent et disent de toi, allant même jusqu'à les empêcher de parler, en leur disant rien de toi, pour qu’ils ne racontent rien sur toi... Ne serais-tu pas un de ces dictateurs en puissance...

Celle-là j'y ai jamais pensé.

Dictateur en puissance avec moi-même peut-être, c'est pas bête, quoi qu'il en soit je suis peut-être dur avec moi-même. 

il y a 4 minutes, vizizio a dit :

À bon ? Depuis quand les enfants ont peur du "qu'en dira-t-on" lol

Pardon mais tes questionnements,  ici ou même sur tes autres topics, m’apparaissent tellement naïfs, puérils que je finis par avoir des doutes sur ta maturité. 

Il y a 1 heure, Anna Purna a dit :

J'ai fait les frais de calmonies (pas dans un contexte amoureux) et j'en ai souffert mais je n'ai pas rétorqué. J'ai seulement blacklisté la médisante qui, quelques années plus tard, a voulu revenir vers moi, mais j'ai de la mémoire... et de la rancune !

Revenir pour quoi faire ? Qu'elle fasse sa vie et te laisse tranquille c'est mieux ainsi. 

il y a 1 minute, Elisa* a dit :

Pardon mais tes questionnements,  ici ou même sur tes autres topics, m’apparaissent tellement naïfs, puérils que je finis par avoir des doutes sur ta maturité. 

Mon âme d'enfant sans doute ^^

Il y a 3 heures, vizizio a dit :

À bon ? Depuis quand les enfants ont peur du "qu'en dira-t-on" lol

Le problème c'est que parfois tu as cette bonne attitude qui l'a séduit mais se montre pas intéressée, ce qui peut faire croire aux gens aux alentour qu'elle te rejette. 

Là on est dans un autre registre. Ce n'est plus se préoccuper du "qu'en dira-t-on" mais être obsédé par le regard que les gens peuvent porter sur toi.

Il faut faire un travail sur soi. Se dire que les gens ont bien d'autres préoccupations qu'avoir leur regard rivé sur tes faits et gestes.

Il y a 5 heures, vizizio a dit :

Celle-là j'y ai jamais pensé.

Dictateur en puissance avec moi-même peut-être, c'est pas bête, quoi qu'il en soit je suis peut-être dur avec moi-même. 

Disons que nôtre égo ne s’efface pas sans opposer une certaine résistance... C'est nôtre capacité à lâcher prise qui détermine cette dureté envers nous-mêmes. 

Le 06/07/2025 à 16:25, vizizio a dit :

J'ai toujours été bloqué et apeuré par le "quand "dira-t-on. 

Je m'explique :

J'ai beaucoup d'occasion d'aller parler à des filles dans les salles de sport, à la voisine qui a beaucoup d'ami(e)s, à ma collègue de travail et aux filles que je peux rencontrer dans les lieux de détentes habituelles comme cafés, restos ou autres. 

Mais la seule chose qui me terrifie c'est le fait qu'elle aille raconter que je lui ai fait une proposition , je me dit que ça pourrait gravement mettre ma réputation en péril surtout vis à vis des autres filles au cas où ça ne fonctionnerait pas. 

Même le fait de lui dévoiler mes sentiments me bloque à l'idée qu'elle aille le raconter à son entourage. 

Surtout sachant très bien qu'elle va le repéter.

Le fait de me prendre un vent en public je vous raconte même pas. 

Et vous ? 

Avez-vous peur du "qu'en dira-t-on"? 

 

Tu dois consulter un psy, mais je pourrais gratuitement t'aider un peu. Alors imagine que tu sois en face de moi et écoute bien.

1. Tu crois qu’ils parlent de toi ?
   Peut-être… mais au pire, ça veut dire que tu es intéressant. Tu veux vraiment être le mec dont personne ne parle ? Même les plantes ont besoin d’un peu d’attention pour pousser.

2. Tu as peur de faire des avances ?
   Imagine que tu es un serveur. Tu proposes un plat. Elle dit "non merci". Est-ce que tu pleures en cuisine ? Non. Tu proposes à la table suivante.

3. Tu penses qu’on va se moquer ?
   Franchement, entre toi qui ose, et ceux qui se moquent sans jamais rien tenter, le vrai courage, c’est de ton côté. Les moqueurs sont souvent des champions... du canapé.

4. "Et si elle me rejette ?"
   Le rejet, ce n’est pas la fin du monde. C’est comme une piqûre : ça pique un peu, mais après, tu deviens plus fort, plus résistant, et parfois même immunisé contre les casses-pieds.

5. Et puis rappelle-toi :
   Tu n’es pas un livre ouvert que tout le monde lit. Tu es un roman mystérieux, et parfois, il faut oser donner une page pour que quelqu’un s’y intéresse