Bonjour à tous.

Aujourd'hui, à part la finale du top 14, Bordeaux-Begles contre le Stade Toulousain, a lieu le Conseil National des Républicains.

Et Monsieur Retailleau fait le show !

il y a 42 minutes, pentecote6703 a dit :

Bonjour à tous.

Aujourd'hui, à part la finale du top 14, Bordeaux-Begles contre le Stade Toulousain, a lieu le Conseil National des Républicains.

Et Monsieur Retailleau fait le show !

Ils s’organisent déjà pour 2027. Ça ne s’arrêtera donc jamais...

Ses adversaires hurlent  taiaut , taiaut , taiaut 

Retailleau répondit l'écho................       (Vendéen comme moi , ce brave homme)

Il y a 4 heures, G2LLOQ a dit :

Ses adversaires hurlent  taiaut , taiaut , taiaut 

Retailleau répondit l'écho................       (Vendéen comme moi , ce brave homme)

respect.

Parti qui n'a de républicain que le nom. Il renie tout l'idéal que ce terme représente.

Il y a 9 heures, Totof44 a dit :

Parti qui n'a de républicain que le nom. Il renie tout l'idéal que ce terme représente.

Rousseau, Robespierre, Mélenchon "La République c'est moi!"

Il y a 11 heures, Totof44 a dit :

Parti qui n'a de républicain que le nom. Il renie tout l'idéal que ce terme représente.

La République a toujours eu une connotation étrange à droite. Déjà sous le 1er Empire, l'hymne national scandait la République. Pour les bonapartistes épris de dictature, le concept de République n'a probablement pas la même signification.

Il y a 13 heures, Totof44 a dit :

Parti qui n'a de républicain que le nom. Il renie tout l'idéal que ce terme représente.

Quel idéal ? La République ce n'est pas la France.

il y a 28 minutes, Pensée philo a dit :

Quel idéal ? La République ce n'est pas la France.

Pour les descendants de la chouannerie.

Il y a 23 heures, G6K972 a dit :

Ils s’organisent déjà pour 2027. Ça ne s’arrêtera donc jamais...

Je ne vois rien à redire à ce que des politiciens de droite ou de gauche réfléchissent à leur avenir. je pense que Mélanchon y réfléchit tous les jours lui aussi

il y a 44 minutes, Répy a dit :

Je ne vois rien à redire à ce que des politiciens de droite ou de gauche réfléchissent à leur avenir. je pense que Mélanchon y réfléchit tous les jours lui aussi

C’est juste que je m’étais surpris à rêver que 2022 seraient les dernières élections.  Que nous passerions peut-être à une nouvelle façon de promouvoir nos leaders... Le fameux changement n’est pas maintenant en faite... Désolé je me réveille à peine...

La République est un système politique inventé par les Romains et non par cet assassin de Français qu'était Robespierre. Car cet assassin a instrumentalisé la République afin d'envoyer des Français à la guillotine par Charettes entières....!

En effet, la révolution n'est ni plus, ni moins que l'autre nom de la guerre civile. La révolution Française, c'était quand des Français faisaient la guerre à d'autres Francais.

Aussi la République de ces révolutionnaires n'a jamais été et ne sera jamais la mienne, car la république des assassins..., non merci.

Tout à fait d'accord La convention montagnarde était un régime de sauvages. Pour trouver aussi odieux il faut remonter aux rois maudits. Quand Philippe le bel a massacré les templiers.

Ceci dit j'ai des choses à reprocher aux LR ,refuser la proportionnelle par exemple. Ils sont quand même conforme à ma conception de la république

Bruno Retailleau s’entoure d’une direction élargie à la tête des Républicains et renouvelle les instances du parti

Bruno Retailleau s’est entouré de 13 vice-présidents à la direction des Républicains (LR), ainsi que d’un bureau politique et d’une commission d’investiture renouvelés, annoncés samedi 28 juin lors du conseil national du mouvement.

Le ministre de l’intérieur avait dans un premier temps annoncé un organigramme de direction resserré essentiellement composé de proches, avec notamment l’eurodéputé François-Xavier Bellamy comme vice-président délégué, Othman Nasrou comme secrétaire général et la ministre de l’agriculture, Annie Genevard, à la tête de la commission d’investiture. La liste des 13 vice-présidents dévoilée lors du conseil national réuni à la Mutualité, à Paris, comprend des soutiens de M. Wauquiez, dont les élus franciliens Geoffroy Didier, Florence Portelli et le ministre Yannick Neuder.

Le maire de Cannes et président de l’Association des maires de France (AMF), David Lisnard, qui a créé son propre parti, Nouvelle Energie, associé à LR, est également nommé vice-président. Font aussi partie de la liste l’eurodéputée Céline Imart, les députés Antoine Vermorel-Marques et François-Xavier Ceccoli, les sénatrices Laurence Garnier et Jacqueline Eustache-Brinio, l’ancien trésorier Daniel Fasquelle, l’élue marseillaise Catherine Pila et les anciens députés Julien Aubert et Guillaume Larrivé.

M. Retailleau s’est également entouré de quatre conseillers spéciaux : la députée Michèle Tabarot, l’ancien eurodéputé Arnaud Danjean, l’ancien président du syndicat patronal CGPME François Asselin et le président du gouvernement de la Nouvelle-Calédonie, Alcide Ponga. Sur le fond, un groupe « projet » comprend par ailleurs M. Bellamy, Jean-François Copé, le député Philippe Juvin et les sénateurs Christine Lavarde et Jean-François Husson.

https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/06/28/bruno-retailleau-s-entoure-d-une-direction-elargie-a-la-tete-des-republicains-et-renouvelle-les-instances-du-parti_6616303_823448.html

https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/06/28/organigramme-elargi-mais-discours-muscle-bruno-retatailleau-veut-mettre-lr-en-ordre-de-marche_6616310_823448.html

Bruno Retailleau veut mettre LR en ordre de marche

Pour la première fois depuis deux ans, Les Républicains étaient réunis lors d’un conseil national, samedi. L’occasion pour son nouveau président d’annoncer une direction toujours pléthorique et de prononcer un discours très politique autour du concept de « la France des honnêtes gens ».

La France des honnêtes gens : Retaille au a soutenu Fillon jusqu'au bout !

Jonas Haddad (LR)

Pur produit d'un melting-pot

Le « bourgeois de gauche », voilà l'adversaire pour ce jeune homme de 37 ans né, au gré des hasards de la vie, à Los Angeles (Californie), avant de grandir à Bagnolet (Seine-Saint-Denis) avec sa mère fleuriste, dans la classe moyenne.

Pur produit d'un melting-pot, avec un grand-père d'origine tunisienne et une grand-mère d'extraction italienne née à Vire en Normandie, il en plaisante : « From L. A. to 9-3 ! »

C'est durant ses études qu'il prend des responsabilités à droite. « J'ai chopé le virus de la politique comme président des jeunes UMP à La Sorbonne, face aux bourgeois d'extrême gauche qui voulaient bloquer les facs. Nous, on avait besoin de bosser », raconte-t-il autour d'un verre de Perrier dans un bar climatisé.

« Je suis un bébé Morin, je lui dois beaucoup »

« Je prenais le métro tous les matins pour faire Bagnolet-La Sorbonne et je voyais des mecs de gauche qui m'expliquaient la vie et qui étaient venus, eux, à pied. » L'ancien Premier ministre Gabriel Attal, élevé dans les beaux quartiers de Paris ? Son antimodèle.

La méritocratie, ça lui parle. C'est le discours du candidat Nicolas Sarkozy à la jeunesse, en 2007, qui l'a fait « tomber amoureux » de la politique, dont il a longtemps pensé qu'elle était « un truc de vieux croûtons ». Elle n'a pas toujours été tendre avec lui, pourtant.

À trois reprises, il a tenté de se faire élire aux législatives dans son fief de Seine-Maritime, en 2017, 2022 et 2024, sans percer. Proche du président de la région Hervé Morin, il s'épanouit depuis comme vice-président de la région, trois jours à Paris, le reste à Rouen. « Je suis un bébé Morin, je lui dois beaucoup. Il est cash, ce n'est pas un bourgeois coincé », loue-t-il.

LFI et les dépenses publiques

Jonas Haddad se targue, du reste, de ne pas faire profession de politique et exerce, en parallèle, son métier d'avocat en droit des affaires, spécialisé dans les entreprises en difficulté, au barreau de Rouen.

Admirateur assumé du président argentin Javier Milei, il plaide pour « des mesures drastiques de réduction de la taille de l'État ». Et a fait partie des promoteurs sur les réseaux sociaux du gimmick « c'est Nicolas qui paie », qui dénonce la gabegie publique. « On est devenu complètement timbrés sur les dépenses publiques ! »Comme le nouveau patron de LR Bruno Retailleau, dont il ne partage pas toutes les options, il considère que LFI est devenu le grand danger qui guette la République, plus à ses yeux que le RN, qu'il refuse d'ostraciser. « Ça n'a jamais marché, développe-t-il. Dans un pays anti-élites, plus on tape dessus, plus on renforce le parti anti-élites. »....https://www.lepoint.fr/politique/jonas-haddad-lr-lfi-est-devenu-le-parti-des-racailles-12-07-2025-2594210_20.php