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"La meute" un livre sur Jean-Luc Mélenchon

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Membre, Fils de pute, 41ans Posté(e)
truebypass Membre 2 626 messages
41ans‚ Fils de pute,
Posté(e)

495805296_1105679361602552_5518225510118 
 

«Il impressionne tout le monde autour de lui, ils sont tous bluffés», «il y a dans la chimie exceptionnelle de son être quelque chose qui paralyse». Ce sont les mots tenus par l’éditorialiste Anna Cabana le 17 janvier 2020, sur BFM TV, à propos d’Emmanuel Macron. Comme possédés, fanatisés, les admirateurs du président se comportaient comme les adeptes d’un gourou. Enquête sur une secte qui prend en otage un pays entier depuis 8 ans.

Dès son enfance, le petit Emmanuel était obsédé à l’idée de séduire et de dominer : de ses cours de théâtre à son ascension fulgurante dans le monde de la finance, jusqu’aux plus hautes marches du pouvoir. Comment ne pas s’inquiéter d’un homme qui a choisi ses propres initiales pour former le nom de son propre parti politique – En Marche, Emmanuel Macron ?

De nombreux signes avant-coureurs auraient dû alerter les spécialistes de l’embrigadement sectaire. Une armée de courtisans totalement dociles avaient organisé, dès 2016, une campagne digne de régimes soviétiques. Alors que Macron, illustre inconnu, s’apprêtait à lancer sa candidature, le JT France 2 parlait d’un «électron libre», «transgressif, fracassant». La chaîne de service public prenait même des accents religieux à son égard : «Depuis sa présence aux fêtes de Jeanne d’Arc à Orléans […] il se sentait comme appelé de façon quasi mystique à servir la France autrement. Ce soir il se met en position de répondre à ce désir.» Macron répondait généreusement à l’envie insoutenable du bon peuple de le voir au pouvoir.

Cette unanimité allait du Figaro à Médiapart. En 2017, Edwy Plenel déclarait : «Parfois j’ai l’impression que je les convaincs mieux [les électeurs, de voter Macron] que certains de ses soutiens». Avant le premier tour, Médiapart écrivait : Macron a «compris qu’un ancien monde était en train de sombrer dans les ruines pavées d’impuissance et d’inexistence de la présidence Hollande». Dès le 2 novembre 2016, Macron avait accordé un long entretien à Médiapart pour lancer sa candidature. L’Obs disait qu’il incarnait «à la fois un projet, un élan, un espoir de renouvellement et une volonté de rassemblement». L’intégralité du spectre médiatique s’était mis à son service comme un seul homme, de la presse people montrant son corps musclé sur photoshop aux journaux «sérieux». Un phénomène d’hypnose collective, comme dans un régime totalitaire : tout était fait pour lui offrir le pouvoir.

Le jour même de son investiture, Macron défilait sur un véhicule militaire, entouré de soldats, sur les Champs Élysées, comme s’il était le général d’une armée. Quelques semaines plus tard, il enfilait une combinaison d’aviateur de l’armée, comme s’il allait piloter un avion de chasse. Des mises en scène qui auraient dû inquiéter, préfigurant la guerre qu’allait mener cet illuminé à son propre peuple. Très vite, dès son arrivée au pouvoir, Macron organisait de grandes fêtes à Versailles, reconstituant des cérémonies d’Ancien Régime. Il avait d’ailleurs déclaré «il nous manque un Roi». Des propos qui auraient dû en inquiéter plus d’un.

C’est assez logiquement qu’Emmanuel a organisé un véritable culte de la personnalité et liquidé tous les contre-pouvoirs. Les médias officiels organisaient presque quotidiennement des éloges monarchiques à son propos. En janvier 2024, Anna Cabana, toujours elle, déclarait sur BFM que le macronisme est «un objet tempéramental, une hardiesse, un goût de la transgression» mais aussi «une envie de prendre tout le monde par devant, par derrière, c’est ce qu’il fait Emmanuel Macron». En avril 2025, les médias avaient atteint un tel degré de fétichisme qu’ils ont même fait leurs gros titres sur «l’odeur du président», qui utiliserait un «parfum floral, frais et sportif, devenu désormais le signe du pouvoir élyséen, choisi par le président pour affirmer son style et imprimer sa marque». La Cour entretient un rapport quasi-charnel avec le corps du président.

Des éloges d’un côté, une répression totale de l’autre. Des dizaines de personnes ont été arrêtées pour des banderoles comportant le slogan «Macronavirus» pendant le confinement. Il y a eu des interpellations à domicile pour des messages hostiles sur les réseaux sociaux. Des journalistes convoquées par l’anti-terrorisme. Il avait rétabli le crime de lèse-majesté. Mais cela n’est rien en comparaison des milliers de blessés et de mutilés par le régime, dont le seul tort était d’être descendus dans la rue pour contester son pouvoir. Jamais aucun président n’avait poussé aussi loin la violence d’État en temps de paix.

Emmanuel a toujours raison, et il connaît tout. Pendant la crise du Covid, ses proches expliquaient très sérieusement : «Le président est devenu épidémiologiste» car il lit des rapports, et prend lui-même les grandes décisions sur la santé des français. À cette occasion, il déclarait, les yeux exorbités : «Je crois que notre génération doit savoir que la Bête de l’évènement est là, elle arrive». Ses adeptes, endoctrinés, ne voyaient toujours pas le danger.

Le 9 mai 2022, Emmanuel est réélu après avoir à nouveau confisqué l’élection. Devant les caméras, lors d’une cérémonie à l’Élysée, il caresse le visage de ses vassaux, leur donne des petites tapes sur la tête. Marisol Touraine, venue du Parti Socialiste, ministre de la Santé sous Hollande, lui murmure, le visage empourpré et l’œil brillant : «Maintenant que tu as les mains libres, tu peux faire… tout ce que tu veux». Une scène sectaire.

Le macronisme organise régulièrement des purges, il violente ses cercles les plus proches. En 2024, Emmanuel dissout l’Assemblée Nationale sans prévenir personne, même pas son Premier Ministre Gabriel Attal qui se retrouve mis à la porte, comme beaucoup d’autres avant lui. Macron sélectionne personnellement les candidats de son parti qui pourront se présenter.

Parmi les purgés, Gilles Le Gendre, l’un de ses plus proches soutiens. Ancien patron du groupe de députés macronistes, il n’est pas réinvesti pour la 2ème circonscription de Paris, alors qu’il s’était déjà déclaré candidat. Une humiliation brutale, pour lui faire payer son refus de voter une loi sur l’immigration. Aucun écart à la ligne, même minime, n’est tolérée. Instable, agressif, autoritaire : peu à peu, Emmanuel a fait le vide autour de lui. En avril 2025, son propre bras droit, l’homme présent depuis le début de son ascension au pouvoir, Alexis Kohler, quitte son poste de conseiller de l’Élysée. Macron est seul.

Ses accès de violence ne sont pas destinés qu’à ses proches. À échéances régulières, comme un manager tyrannique, il injurie aussi toute la population française : «Ceux qui ne sont rien», «fainéants», «réfractaires»… Il parle de «rabzouzes» pour parler des français d’origine maghrébine, ou déclare à Mayotte, devant les habitants qui venaient de subir un terrible ouragan et de nombreux morts : «Si ce n’était pas la France, vous seriez 10.000 fois plus dans la merde !»

Jusqu’où ira cette emprise et cette violence ? Ces dernières semaines, isolé et plus impopulaire que jamais, Emmanuel a décidé qu’il voulait la guerre. Il parle de «réarmement», débloque des sommes astronomiques pour l’armée et appelle la jeunesse à «l’esprit de sacrifice».

Le système Macron est bien une secte, avec ses adeptes, ses gourous, son culte de la personnalité et ses purges. Une secte qui contrôle 70 millions de personnes et pourrait bien nous mener au désastre absolu. C’est-à-dire à la guerre dont le gourou a toujours rêvé.

«La Meute» : l'enquête que vous ne verrez pas à la télé (contre-attaque.net) 

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Membre, Posté(e)
versys Membre 18 189 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le 09/05/2025 à 21:01, Pheldwyn a dit :

Donc, comme je te l'ai dit précédemment, les idées de LFI peuvent survivre si LFI arrive à changer d'orientation stratégique.

Les idées de LFI s'adapteront aux fluctuations de l'attente d'un électorat potentiel au fur et à mesure que l'on se rapprochera de l'échéance 2027.

Idem pour celles de l'Extrême Droite.

Les idées s'adapteront et se travestiront, mais les fondamentaux resteront les mêmes.

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 195 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
il y a une heure, versys a dit :

Les idées de LFI s'adapteront aux fluctuations de l'attente d'un électorat potentiel au fur et à mesure que l'on se rapprochera de l'échéance 2027.

Les idées de LFI sont l'illustration d'un programme qui reste cohérent depuis plus de 10 ans.

Ce que tu décris s'applique à la plasticité politique du RN.

Je ne vois pas trop les changements majeurs dans la ligne programmatique de LFI.

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 195 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
Il y a 1 heure, truebypass a dit :

495805296_1105679361602552_5518225510118 
 

«Il impressionne tout le monde autour de lui, ils sont tous bluffés», «il y a dans la chimie exceptionnelle de son être quelque chose qui paralyse». Ce sont les mots tenus par l’éditorialiste Anna Cabana le 17 janvier 2020, sur BFM TV, à propos d’Emmanuel Macron. Comme possédés, fanatisés, les admirateurs du président se comportaient comme les adeptes d’un gourou. Enquête sur une secte qui prend en otage un pays entier depuis 8 ans.

Dès son enfance, le petit Emmanuel était obsédé à l’idée de séduire et de dominer : de ses cours de théâtre à son ascension fulgurante dans le monde de la finance, jusqu’aux plus hautes marches du pouvoir. Comment ne pas s’inquiéter d’un homme qui a choisi ses propres initiales pour former le nom de son propre parti politique – En Marche, Emmanuel Macron ?

De nombreux signes avant-coureurs auraient dû alerter les spécialistes de l’embrigadement sectaire. Une armée de courtisans totalement dociles avaient organisé, dès 2016, une campagne digne de régimes soviétiques. Alors que Macron, illustre inconnu, s’apprêtait à lancer sa candidature, le JT France 2 parlait d’un «électron libre», «transgressif, fracassant». La chaîne de service public prenait même des accents religieux à son égard : «Depuis sa présence aux fêtes de Jeanne d’Arc à Orléans […] il se sentait comme appelé de façon quasi mystique à servir la France autrement. Ce soir il se met en position de répondre à ce désir.» Macron répondait généreusement à l’envie insoutenable du bon peuple de le voir au pouvoir.

Cette unanimité allait du Figaro à Médiapart. En 2017, Edwy Plenel déclarait : «Parfois j’ai l’impression que je les convaincs mieux [les électeurs, de voter Macron] que certains de ses soutiens». Avant le premier tour, Médiapart écrivait : Macron a «compris qu’un ancien monde était en train de sombrer dans les ruines pavées d’impuissance et d’inexistence de la présidence Hollande». Dès le 2 novembre 2016, Macron avait accordé un long entretien à Médiapart pour lancer sa candidature. L’Obs disait qu’il incarnait «à la fois un projet, un élan, un espoir de renouvellement et une volonté de rassemblement». L’intégralité du spectre médiatique s’était mis à son service comme un seul homme, de la presse people montrant son corps musclé sur photoshop aux journaux «sérieux». Un phénomène d’hypnose collective, comme dans un régime totalitaire : tout était fait pour lui offrir le pouvoir.

Le jour même de son investiture, Macron défilait sur un véhicule militaire, entouré de soldats, sur les Champs Élysées, comme s’il était le général d’une armée. Quelques semaines plus tard, il enfilait une combinaison d’aviateur de l’armée, comme s’il allait piloter un avion de chasse. Des mises en scène qui auraient dû inquiéter, préfigurant la guerre qu’allait mener cet illuminé à son propre peuple. Très vite, dès son arrivée au pouvoir, Macron organisait de grandes fêtes à Versailles, reconstituant des cérémonies d’Ancien Régime. Il avait d’ailleurs déclaré «il nous manque un Roi». Des propos qui auraient dû en inquiéter plus d’un.

C’est assez logiquement qu’Emmanuel a organisé un véritable culte de la personnalité et liquidé tous les contre-pouvoirs. Les médias officiels organisaient presque quotidiennement des éloges monarchiques à son propos. En janvier 2024, Anna Cabana, toujours elle, déclarait sur BFM que le macronisme est «un objet tempéramental, une hardiesse, un goût de la transgression» mais aussi «une envie de prendre tout le monde par devant, par derrière, c’est ce qu’il fait Emmanuel Macron». En avril 2025, les médias avaient atteint un tel degré de fétichisme qu’ils ont même fait leurs gros titres sur «l’odeur du président», qui utiliserait un «parfum floral, frais et sportif, devenu désormais le signe du pouvoir élyséen, choisi par le président pour affirmer son style et imprimer sa marque». La Cour entretient un rapport quasi-charnel avec le corps du président.

Des éloges d’un côté, une répression totale de l’autre. Des dizaines de personnes ont été arrêtées pour des banderoles comportant le slogan «Macronavirus» pendant le confinement. Il y a eu des interpellations à domicile pour des messages hostiles sur les réseaux sociaux. Des journalistes convoquées par l’anti-terrorisme. Il avait rétabli le crime de lèse-majesté. Mais cela n’est rien en comparaison des milliers de blessés et de mutilés par le régime, dont le seul tort était d’être descendus dans la rue pour contester son pouvoir. Jamais aucun président n’avait poussé aussi loin la violence d’État en temps de paix.

Emmanuel a toujours raison, et il connaît tout. Pendant la crise du Covid, ses proches expliquaient très sérieusement : «Le président est devenu épidémiologiste» car il lit des rapports, et prend lui-même les grandes décisions sur la santé des français. À cette occasion, il déclarait, les yeux exorbités : «Je crois que notre génération doit savoir que la Bête de l’évènement est là, elle arrive». Ses adeptes, endoctrinés, ne voyaient toujours pas le danger.

Le 9 mai 2022, Emmanuel est réélu après avoir à nouveau confisqué l’élection. Devant les caméras, lors d’une cérémonie à l’Élysée, il caresse le visage de ses vassaux, leur donne des petites tapes sur la tête. Marisol Touraine, venue du Parti Socialiste, ministre de la Santé sous Hollande, lui murmure, le visage empourpré et l’œil brillant : «Maintenant que tu as les mains libres, tu peux faire… tout ce que tu veux». Une scène sectaire.

Le macronisme organise régulièrement des purges, il violente ses cercles les plus proches. En 2024, Emmanuel dissout l’Assemblée Nationale sans prévenir personne, même pas son Premier Ministre Gabriel Attal qui se retrouve mis à la porte, comme beaucoup d’autres avant lui. Macron sélectionne personnellement les candidats de son parti qui pourront se présenter.

Parmi les purgés, Gilles Le Gendre, l’un de ses plus proches soutiens. Ancien patron du groupe de députés macronistes, il n’est pas réinvesti pour la 2ème circonscription de Paris, alors qu’il s’était déjà déclaré candidat. Une humiliation brutale, pour lui faire payer son refus de voter une loi sur l’immigration. Aucun écart à la ligne, même minime, n’est tolérée. Instable, agressif, autoritaire : peu à peu, Emmanuel a fait le vide autour de lui. En avril 2025, son propre bras droit, l’homme présent depuis le début de son ascension au pouvoir, Alexis Kohler, quitte son poste de conseiller de l’Élysée. Macron est seul.

Ses accès de violence ne sont pas destinés qu’à ses proches. À échéances régulières, comme un manager tyrannique, il injurie aussi toute la population française : «Ceux qui ne sont rien», «fainéants», «réfractaires»… Il parle de «rabzouzes» pour parler des français d’origine maghrébine, ou déclare à Mayotte, devant les habitants qui venaient de subir un terrible ouragan et de nombreux morts : «Si ce n’était pas la France, vous seriez 10.000 fois plus dans la merde !»

Jusqu’où ira cette emprise et cette violence ? Ces dernières semaines, isolé et plus impopulaire que jamais, Emmanuel a décidé qu’il voulait la guerre. Il parle de «réarmement», débloque des sommes astronomiques pour l’armée et appelle la jeunesse à «l’esprit de sacrifice».

Le système Macron est bien une secte, avec ses adeptes, ses gourous, son culte de la personnalité et ses purges. Une secte qui contrôle 70 millions de personnes et pourrait bien nous mener au désastre absolu. C’est-à-dire à la guerre dont le gourou a toujours rêvé.

«La Meute» : l'enquête que vous ne verrez pas à la télé (contre-attaque.net) 

Effectivement, Macron n'est guère mieux que Mélenchon. Mais ça ne dédouane pas Mélenchon .

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 10 796 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Pheldwyn a dit :

Effectivement, Macron n'est guère mieux que Mélenchon. Mais ça ne dédouane pas Mélenchon .

N'est guère mieux ? C'est vraiment hallucinant.

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 195 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
il y a 59 minutes, jimmy45 a dit :

N'est guère mieux ? C'est vraiment hallucinant.

Dans son comportement et sa main mise sur son mouvement.

Je ne parlais bien évidemment pas des idées ou des mesures.

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 10 796 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)
Il y a 21 heures, Pheldwyn a dit :

Dans son comportement et sa main mise sur son mouvement.

Je ne parlais bien évidemment pas des idées ou des mesures.

Sa main mise sur le mouvement ? Tu veux dire que pour être notre candidat il use de méthodes non loyales ??? Ou peut-être penses tu qu'il arrive à nous faire penser des choses contraires à ce que nous défendrions autrement sans son influence ?

Modifié par jimmy45
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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 195 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
il y a 47 minutes, jimmy45 a dit :

Sa main mise sur le mouvement ? Tu veux dire que pour être notre candidat il use de méthodes non loyales ??? Ou peut-être penses tu qu'il arrive à nous faire penser des choses contraires à ce que nous défendrions autrement sans son influence ?

Bah que son clan décide de qui est investi ou pas, qui brigue tel poste ou pas. Comme Macron avait décidé lui même la liste des candidats Renaissance (alors qu'il était président :mef2:).

Et effectivement, peut-être que certaines postures de comm' n'auraient pas émergé à LFI sans l'influence de Mélenchon et de ses proches;
 

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 10 796 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)
il y a 6 minutes, Pheldwyn a dit :

Bah que son clan décide de qui est investi ou pas, qui brigue tel poste ou pas. Comme Macron avait décidé lui même la liste des candidats Renaissance (alors qu'il était président :mef2:).

Et effectivement, peut-être que certaines postures de comm' n'auraient pas émergé à LFI sans l'influence de Mélenchon et de ses proches;
 

Imaginons qu'il y a eu un vote, tu crois que les gens auraient choisit Corbières et Garrido pour les représenter après toutes les merdes qu'ils avaient dit sur Mélenchon et sur LFI dans les médias ? après avoir fait des meetings avec le PS sans représenter LFI ?
 

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 195 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
à l’instant, jimmy45 a dit :

Imaginons qu'il y a eu un vote, tu crois que les gens auraient choisit Corbières et Garrido pour les représenter après toutes les merdes qu'ils avaient dit sur Mélenchon et sur LFI dans les médias ? après avoir fait des meetings avec le PS sans représenter LFI ?

Pourquoi ce devrait-être Garrido/Corbières ou le clan Mélenchon.
C'est étrange cette dichotomie.

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Membre, 54ans Posté(e)
Valance Membre 212 messages
Forumeur forcené ‚ 54ans‚
Posté(e)
il y a 56 minutes, jimmy45 a dit :

Sa main mise sur le mouvement ? Tu veux dire que pour être notre candidat il use de méthodes non loyales ???

Je suis en train de lire le bouquin. Les témoignages sont édifiants. Ça interroge sur le comportement de monsieur Mélenchon, mais surtout sur ceux qui le suivent envers et contre tout. On voit un monstre d'égoïsme prêt à tout sacrifier pas tant pour le pouvoir que pour la fonction de président, uniquement pour entrer dans l'histoire. On voit la médiocrité de gens qui s'agrègent à lui parce qu'il est leur seule chance d'occuper une place de choix en politique. 

il y a 56 minutes, jimmy45 a dit :

Ou peut-être penses tu qu'il arrive à nous faire penser des choses contraires à ce que nous défendrions autrement sans son influence ?

Il arrive à vous empêcher de penser, ce qui est pire. Tout esprit critique a disparu. Selon le Hamas, on dénombre 52 000 morts depuis le début du conflit. Doit-on, peut-on  se fier à une organisation terroriste protagoniste du conflit? C'est déjà problématique. Quand on affirme que 52 000 personnes sur 2,1 millions constituent un génocide, alors qu'Israël aurait tiré sur Gaza l'équivalent de deux bombes nucléaires, c'est problématique. Critiquer la politique du gouvernement israélien en la qualifiant de sioniste, c'est problématique. Ne jamais critiquer  le Hamas, organisation terroriste, ne jamais demander la libération des otages israéliens qui permettraient la réelle négociation d'un cessez-le-feu, c'est problématique. Accuser Israël de pratiquer une politique d'apartheid dans un territoire qu'ils n'occupe plus depuis 2005, c'est problématique. Faire d'Israël le seul méchant de l'histoire, alors qu'il se défend sur plusieurs front contre des états qui veulent sa destruction,c'est problématique. Pas pour vous, et c'est ça qui ici est le plus problématique.

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 10 796 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, Pheldwyn a dit :

Pourquoi ce devrait-être Garrido/Corbières ou le clan Mélenchon.
C'est étrange cette dichotomie.

Ben en l'occurrence je ne vois pas où j'ai pu dire ça, tu dis qu'il a une main mise sur les investitures. Donc je ne parle que des investitures. Je te demande s'il y avait eu un vote pour ces investitures, est-ce que les militants de LFI auraient validé les investitures de Corbieres et Garrido sachant ce qu'ils ont fait ?

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 195 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
il y a 4 minutes, jimmy45 a dit :

Ben en l'occurrence je ne vois pas où j'ai pu dire ça, tu dis qu'il a une main mise sur les investitures. Donc je ne parle que des investitures. Je te demande s'il y avait eu un vote pour ces investitures, est-ce que les militants de LFI auraient validé les investitures de Corbieres et Garrido sachant ce qu'ils ont fait ?

Ah pardon, je croyais que tu parlais plus en général de la main mise sur le parti.

Ce qu'ils ont fait ?
Pas grand chose au final : et surtout, pourquoi l'ont-ils fait ? A cause de la main mise du clan Mélenchon et l'impossibilité de discuter.
 

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 10 796 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)
à l’instant, Pheldwyn a dit :

Ah pardon, je croyais que tu parlais plus en général de la main mise sur le parti.

Ce qu'ils ont fait ?
Pas grand chose au final : et surtout, pourquoi l'ont-ils fait ? A cause de la main mise du clan Mélenchon et l'impossibilité de discuter.
 

Tu leurs dénies du coup toute vision ou idée politique, tout ce qu'ils font c'est en raison de Mélenchon ? Tu penses qu'ils ne défendent pas l'idée d'une alliance de gauche incluant le PS ?
 

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 195 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
il y a 3 minutes, jimmy45 a dit :

Tu leurs dénies du coup toute vision ou idée politique, tout ce qu'ils font c'est en raison de Mélenchon ? Tu penses qu'ils ne défendent pas l'idée d'une alliance de gauche incluant le PS ?

Lol : ça s'appelle la NUPES ou le NFP :rofl::rolle:

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 10 796 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Pheldwyn a dit :

Lol : ça s'appelle la NUPES ou le NFP :rofl::rolle:

Le PS A quitté la NUPES et le NFP. Il y avait de bonnes raisons de croire qu'ils manoeuvraient pour essayer de reprendre le dessus électoralement sur LFI. Et finalement c'est bien ce qu'ils voulaient faire. Tout cela on l'a vu venir de très loin. Garrido et Corbières le savaient très bien. Donc réponds moi est-ce que tu penses qu'ils agissent en fonction de Mélenchon ou en fonction de leurs idées ?

Modifié par jimmy45
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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 195 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
il y a 3 minutes, jimmy45 a dit :

Le PS A quitté la NUPES et le NFP. Il y avait de bonnes raisons de croire qu'ils manoeuvraient pour essayer de reprendre le dessus électoralement sur LFI. Et finalement c'est bien ce qu'ils voulaient faire. Tout cela on l'a vu venir de très loin. Garrido et Corbières le savaient très bien. Donc réponds moi est-ce que tu penses qu'ils agissent en fonction de Mélenchon ou en fonction de leurs idées ?

LOL :rolle:
Ils se sont fait lourdés alors que le NFP se mettait en place, et donc que le PS rejoignait celui-ci.

Tu te rappelles, chaque parti était censé représenter les candidats sortants.
LFI a profité de l'union pour purger des gens qui oeuvraient pour ... l'union :rolle::rofl:

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 10 796 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)
à l’instant, Pheldwyn a dit :

LOL :rolle:
Ils se sont fait lourdés alors que le NFP se mettait en place, et donc que le PS rejoignait celui-ci.

Tu te rappelles, chaque parti était censé représenter les candidats sortants.
LFI a profité de l'union pour purger des gens qui oeuvraient pour ... l'union :rolle::rofl:

Je te demande de sortir de tes idées toutes faites et de réfléchir. Est-ce que les idées de Corbieres et Garrido représentent beaucoup de gens à LFI ?

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 195 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
à l’instant, jimmy45 a dit :

Je te demande de sortir de tes idées toutes faites et de réfléchir. Est-ce que les idées de Corbieres et Garrido représentent beaucoup de gens à LFI ?

Beaucoup d'électeurs de gauche, ça, je le pense.
Des militants ? 
Les moins obtus, sans aucun doute.
 

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Membre, 46ans Posté(e)
jimmy45 Membre 10 796 messages
Maitre des forums‚ 46ans‚
Posté(e)
il y a 14 minutes, Pheldwyn a dit :

Beaucoup d'électeurs de gauche, ça, je le pense.
Des militants ? 
Les moins obtus, sans aucun doute.
 

Lol, donc ce n'est plus la main mise de Mélenchon c'est que les militants de LFI sont des cons obtus ?
Bon tu n'es pas raisonnable.
Tout ça pour démontrer que tu inventes une "main mise" là où il n'y a qu'un rapport de force politique.
Ces personnes ont fait des choix politiques et défendent des idées qui sont en rupture avec ce que défendent une immense majorité des militants LFI. Même si je l'espère ils continuent de défendre des idées en commun. Ils ont perdu tout soutien à l'intérieur de LFI par de multiples interventions médiatiques très problématiques, comme le fait d'aboyer avec la droite l'extrême droite le PS etc ... à partir du 7 octobre.
Je comprends pourquoi tu les aimes bien parce que tu fais pareil.
Mais vis à vis des militants de LFI cela a été catastrophique.
Ces gens à partir du moment où ils se sont mis en rupture sur des points idéologiques et stratégiques fondamentaux pour le groupe insoumis se sont retrouvés sans aucun soutien politique à l'intérieur de LFI.
Si les militants avaient voté pour l'investiture, JAMAIS ils ne les auraient choisit pour les représenter.
Hors il me semble que tu l'oublies un peu vite, les investitures ce n'est pas un dû, c'est de la représentation.
Après comme tu le dis ils ont réussit à se faire élire par les électeurs tant mieux pour eux, mais ils ne pouvaient plus représenter LFI.
Donc tu inventes une main mise qui n'existe pas. Leur rupture ce n'est pas le fait du prince. C'est eux-même qui ont choisit de rompre.
Par contre là où effectivement notre organisation interne ne leur donnait aucune chance, c'est qu'ils n'avaient aucune possibilité de défendre leur point de vue et d'espérer prendre la place de Mélenchon.
Si nous avions eu une organisation plus démocratique ils n'auraient évidemment jamais réussit à le faire, ils se seraient fait jeté de la même manière.
Mais cons comme ils sont, cela a dû les frustrer effectivement de ne pas pouvoir défendre leur opinion.
Et ça c'est ce que je dénonce auprès de mes camarades insoumis, c'est que la démocratie aurait fait le job et il n'y aurait pas eu de polémiques.
Maintenant à l'évidence, ton dénigrement et ton invention d'une main mise ne sont en réalité qu'un soutien politique dont Mélenchon bénéficie, non de manière usurpée, mais parce qu'il l'a gagnée, parce qu'il l'a mérité, parce que les gens qui le soutiennent partagent les mêmes idées.
C'est ça qui est dégueulasse dans ton dénigrement.

Alors les militants ne les auraient pas investit, il est logique que le comité électoral ne les ait pas investit. Il n'y avait aucunement besoin d'une main mise de Mélenchon.

Et c'est encore plus dégueulasse d'essayer de faire croire qu'il y a la moindre similitude avec la macronie.
Putain pas besoin d'ennemis avec des amis comme toi.

Modifié par jimmy45
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