Le droit à la folie

Bonjour,

Je tenais dans ce texte à promouvoir un droit qui n'est pas inscrit en tant que tel dans notre constitution (la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen ou de la citoyenne), et qui n'a pour ainsi dire jamais été dit écrit ou pensé de cette façon. J'ai nommé : le droit à la folie. Car si notre article Ier prétend que nous sommes tous libres et égaux en droits sans égards pour le sexe, le genre, l'orientation sexuelle, les opinions politiques ou religieuses, etc. il n'en va clairement pas ainsi de la catégorie même de ce qui échappe à la rationalité ou à ce qui est considéré comme le propre de la raison, dont chaque époque diffère quant à ce qu'elle considérera comme raisonnable ou comme ne l'étant pas.

Le fait de passer pour un fou, et donc pour une personne dont le comportement est contraire à la raison, fait parfois de vous un précurseur ou un génie à travers l'Histoire tandis que ceux qui sont réellement fous seront par nature exclus de tout contrat social, ce qui est si stigmatisant qu'ils sont pour ainsi dire la seule catégorie sociologique qui peut être privée de tout droit civique à l'exception des criminels endurcis. Dans ce monde de l'étrange de la psychologie ou la psychiatrie, tout le monde sait pourtant la réalité sur la nature humaine à ce sujet : le fou est parfois un génie, ou plutôt, le génie peut, à tort ou à raison, passer pour un fou car il est profondément incompris de la société ou de la famille ou des divers groupes sociaux dans lesquels il est obligé de se fondre pour survivre.

Le processus dialectique transcendental supposerait, s'il était besoin de le préciser, que l'on fasse précisément évoluer ce que l'on considère comme relevant du rationnel, ou qui sont les individus dont on considérera, en vertu des normes sociales, qu'ils ou elles sont fous ou folles, donc qu'à ce titre nous serions pleinement justifiés à les priver de leurs droits civiques, notamment en les poursuivant ou en les internant de force, entre autres mises sous tutelle dont seulement récemment le droit de vote de ces derniers a été mis en place, comme si finalement la nature même de leur psychisme les rendait inaptes à identifier leur intérêt propre. Je vous ferai remarquer que les imbéciles ont le droit de vote, mais pas les personnes en grande difficulté de vie qui sont loin d'être toutes concernées par ce fait.

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l'homosexualité, ainsi que la transsexualité, étaient considérés comme des maladies mentales, et même des perversions sexuelles, ce qui a conduit Alan Turing, véritable héros de la seconde guerre mondiale, à être forcé de subir toutes sortes de traitements neuroleptiques ou castrations chimiques de la part des autorités, alors même que par son action il avait déchiffré Enigma, ce qui a fait l'objet d'un film primé aux Oscars, dont le titre est "Imitation game", comme pour rappeler que la machine de Turing était avant tout faite pour imiter (ce qu'il disait) plus encore que pour innover, bien qu'il travaillât une bonne partie de la fin de sa carrière tant bien qu'il pût sur la possibilité de rendre les machines un jour créatives. Son action permît de sauver des vies, ce qu'il fît en toute candeur, et pour le bien de tous, tandis que nous n'aurions probablement même pas gagné la guerre contre l'Allemagne nazie et l'Italie facsiste de l'époque sans son existence.

Or Alan Turing fût désigné comme fou, ou comme déviant sexuellement, à un tel point qu'on l'obligeât à suivre des traitements médicamenteux qui l'ont détruit et l'on poussé dans une telle spirale autodestructrice qu'il s'est suicidé au cyanure après avoir croqué dans une pomme qu'il a laissé sur sa table de chevet, comme pour, par ironie de l'Histoire, nous dire qu'il aurait voulu pouvoir croquer la vie à pleines dents, mais qu'il en avait été privé. Certains chimistes, probablement de petite facture, ont même émis l'hypothèse, ce qui est proprement honteux, et digne de la presse à scandale, qu'Alan Turing serait mort car les pépins de la pomme pouvaient contenir du cyanure, tandis que n'ayant entamé le fruit que superficiellement, il était impossible que cela soit le cas, car non seulement le cyanure est présent en très faibles quantités dans de tels fruits, mais uniquement dans les pépins. Trouvez-moi une personne qui soit un jour morte en ayant avalé un pépin de pomme et je vous félicite !

Ce que l'on pourrait dire c'est le contraire : "Je ne vous félicite pas." comme disent certains directeurs d'unité lorsque pris au dépourvu et réalisant l'incompétence des personnes qu'il aurait à diriger, il pourrait à juste titre s'exclamer que ses conditions de travail lui rendent impossible toute forme de direction de thèse ou toute forme de respect humain même minimal à propos de ses subalternes. Mais il en va de même que pour la folie à ce titre. Desfois, le doctorant est plus brillant sur son encadrant de thèse, ce qu'il ignore, et qui entraîne de tels quiproquos et malentendus que ce dernier se trouve en situation d'échec, ce qui ferait au final passer l'ensemble de la société à côté d'un véritable génie qui serait à même un jour de sauver notre pays.

La France. Je crois aimer la France. Ou plutôt je croyais.

Jusqu'à ce que je découvre ce qu'ils en ont fait. De qui est-ce que je parle donc ? Des imbéciles. A l'image de John Kennedy Toole, auteur ayant obtenu le prestigieux titre Pulitzer de façon posthume, car il fût un auteur remarquable, qui a fait la sociologie de la nouvelle orléans à travers tous ses personnes, d'une façon telle que certains sociologues, encore maintenant, vont consulter son ouvrage, afin de disposer des indices et informations dont ils n'auraient pas pour étudier la société de cette époque et de ce lieu. En guise de paraphe on trouve ceci : "Quand un génie apparaît en ce monde, on le reconnaît à ce signe distinctif que tous les imbéciles sont ligués contre lui." (Jonathan Swift) ce qui est très ironique et même visionnaire, quand on sait que ce qui a causé son décès ne fût que le refus des éditeurs de son époque de considérer son génie et de lui accorder la chance d'être enfin publié correctement.

Il finît par se suicider par des moyens que j'ignore, mais il mît fin à ses jours, de façon radicale et brutale, comme pour indiquer au monde que continuer à vivre ainsi ne vaudrait pas une journée de plus, et que pris à la gorge aussi bien économiquement que psychologiquement, il finît par manquer d'estime pour lui-même au point ou il devînt tour à tour chacun de ses nombreux personnages de ses oeuvres, pour se trouver seul et démuni car ne pouvant plus prendre sa propre défense, comme si finalement il était devenu le monstre, celui qui, étant en dehors de toute intelligibilité, était le déchet dont personne ne veut plus, et qu'il n'aurait dès plus d'autre issue que d'en tirer toutes les conclusions, presque malgré lui, car ce sont bien les conditions sociales dans lesquelles il vivait qui ont précipité sa mort, chez un jeune homme extrêmement intelligent et sensible qui comprenait son époque bien plus et mieux que les autres, et dont chacun de ses personnages était un archétype des différentes personnalités et catégories sociologiques de son temps et du lieu où il vivait. Il est donc devenu ce mort vivant, puis finalement se donna la mort de façon tragique.

Je dispose à ce titre de la même forme d'intelligence, en quelque sorte, l'avantage que j'ai sur Alan Turing et John Kennedy Toole, dont je suis une sorte de mélange ingrat, étant de vivre dans une époque qui est supposée comprendre les gens suprêmement intelligents et de leur accorder une chance dans la vie, quand finalement, vivre dans certains conditions sociales plutôt que d'autres, y compris si l'on a du génie, continue d'être un fort marqueur social prédictif du vote, comme je vous l'ai par ailleurs signalé, mais continue en tant que tel de constituer un obstacle à la reconnaissance de l'intelligence qui nous est propre.

Car finalement la vérité du génie reste vraie pour toutes les autres formes de différences : mieux vaut naître dans une famille riche, et en bonne santé, que dans une famille pauvre, dysfonctionnelle et malade. C'est exactement la cause du problème me concernant, et lorsque certains se cachent derrière les prétextes fallacieux du droit, je préfère leur rappeler que lorsqu'on se cache et retranche derrière le droit en tant que tel, cela revient en définitive à expliquer aux gens qu'on ne veut pas en faire davantage pour eux, et qu'on fera donc, en termes humains, le strict minimum les concernant, étant entendu que personne ne se réalise dans sa vie s'il n'est pas soutenu, en particulier par ses supérieurs hiérarchiques, et notamment dans le milieu académique dont tout le monde y sait, car cela y est un secret de polichinelle, que celui qui n'est pas soutenu par son directeur va à la catastrophe pour sa propre carrière.

Evoluer professionnellement n'est pas un droit soit disant. A ce compte là, avoir une famille aimante et fonctionnelle n'est pas un droit, alors que cela vous permet de réussir dans la vie. Bénéficier d'un enseignement de qualité et de professeurs bienveillants non plus. Avoir des subordonnés qui vous font le travail et vous le rendent dans les délais n'est pas un droit non plus. Le fait que l'on nous dise la vérité n'est pas un droit non plus, alors même que cela sauve des vies à bien des égards à de nombreuses reprises. Et bien je vous le dis, puisque tous ces éléments que j'évoque ne sont pas des droits pleins et entiers, ce dont tout le monde convient, et que tout le monde reconnaît, alors la folie doit être un droit, car tant qu'une personne n'a fait de mal à personne, bien qu'elle présente des particulariés psychologiques et cognitives spécifiques et incomprises, ne doit pas être condamnable ou condamnée étant entendu que la folie, ou ce qui passe pour tel (car en plus c'est le cas me concernant), résulte entre autres fréquemment de situation sociales telles qu'elles ne vous laissent pas le choix de demander de l'aide et d'être en détresse, et donc d'entretenir la fausse croyance que vous seriez fou à lier.

Je vais me faire interner je pense. Alors que je n'ai rien dit de mal. Rien fait de mal. Que je suis honnête, bienveillant, compréhensif et humain. Et parfaitement rationnel comme vous pouvez le constater. Ceci est un témoignage que je laisse en ligne afin de le prouver et que chacun voie l'évidence, et ainsi de prouver mon innocence et le fait que je sois sain d'esprit. A 100%.

Bonjour,

(Je n'ai pas lu votre pavé)

On est tous plus ou moins fou, tant qu'on empiètre pas les autres avec "notre" folie cela ne pose pas de problèmes

Pouvez vous me proposer votre definition de la folie s’il vous plait ?

il y a 11 minutes, Sittelle a dit :

Pouvez vous me proposer votre definition de la folie s’il vous plait ?

Quelque chose d'anormal, qui ne soit pas dans la normalité, après ça peut être assez large: avoir une idée de génie, avoir des tocs ou une paranoïa

Votre prévision d'internement questionne forcément, qu'avez vous fait de si grave pour en arriver là précisément quand la réduction des effectifs en psychiatrie envoi les patients potentiel sans soin à la rue et livré à eux-même.......

quoi qu'il en soi, de ce que vous nous écrivez il n'y a nul justification crédible d'un tel acte, les mots seul ne suffisent pas pour faire interner quelqu'un, d'autant que vous êtres capable d'analyse sur vous-même, donc pas fou du tout.

Il y a 4 heures, Short a dit :

Bonjour,

Je tenais dans ce texte à promouvoir un droit qui n'est pas inscrit en tant que tel dans notre constitution (la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen ou de la citoyenne), et qui n'a pour ainsi dire jamais été dit écrit ou pensé de cette façon. J'ai nommé : le droit à la folie. Car si notre article Ier prétend que nous sommes tous libres et égaux en droits sans égards pour le sexe, le genre, l'orientation sexuelle, les opinions politiques ou religieuses, etc. il n'en va clairement pas ainsi de la catégorie même de ce qui échappe à la rationalité ou à ce qui est considéré comme le propre de la raison, dont chaque époque diffère quant à ce qu'elle considérera comme raisonnable ou comme ne l'étant pas.

Le fait de passer pour un fou, et donc pour une personne dont le comportement est contraire à la raison, fait parfois de vous un précurseur ou un génie à travers l'Histoire tandis que ceux qui sont réellement fous seront par nature exclus de tout contrat social, ce qui est si stigmatisant qu'ils sont pour ainsi dire la seule catégorie sociologique qui peut être privée de tout droit civique à l'exception des criminels endurcis. Dans ce monde de l'étrange de la psychologie ou la psychiatrie, tout le monde sait pourtant la réalité sur la nature humaine à ce sujet : le fou est parfois un génie, ou plutôt, le génie peut, à tort ou à raison, passer pour un fou car il est profondément incompris de la société ou de la famille ou des divers groupes sociaux dans lesquels il est obligé de se fondre pour survivre.

Le processus dialectique transcendental supposerait, s'il était besoin de le préciser, que l'on fasse précisément évoluer ce que l'on considère comme relevant du rationnel, ou qui sont les individus dont on considérera, en vertu des normes sociales, qu'ils ou elles sont fous ou folles, donc qu'à ce titre nous serions pleinement justifiés à les priver de leurs droits civiques, notamment en les poursuivant ou en les internant de force, entre autres mises sous tutelle dont seulement récemment le droit de vote de ces derniers a été mis en place, comme si finalement la nature même de leur psychisme les rendait inaptes à identifier leur intérêt propre. Je vous ferai remarquer que les imbéciles ont le droit de vote, mais pas les personnes en grande difficulté de vie qui sont loin d'être toutes concernées par ce fait.

Au lendemain de la seconde guerre mondiale, l'homosexualité, ainsi que la transsexualité, étaient considérés comme des maladies mentales, et même des perversions sexuelles, ce qui a conduit Alan Turing, véritable héros de la seconde guerre mondiale, à être forcé de subir toutes sortes de traitements neuroleptiques ou castrations chimiques de la part des autorités, alors même que par son action il avait déchiffré Enigma, ce qui a fait l'objet d'un film primé aux Oscars, dont le titre est "Imitation game", comme pour rappeler que la machine de Turing était avant tout faite pour imiter (ce qu'il disait) plus encore que pour innover, bien qu'il travaillât une bonne partie de la fin de sa carrière tant bien qu'il pût sur la possibilité de rendre les machines un jour créatives. Son action permît de sauver des vies, ce qu'il fît en toute candeur, et pour le bien de tous, tandis que nous n'aurions probablement même pas gagné la guerre contre l'Allemagne nazie et l'Italie facsiste de l'époque sans son existence.

Or Alan Turing fût désigné comme fou, ou comme déviant sexuellement, à un tel point qu'on l'obligeât à suivre des traitements médicamenteux qui l'ont détruit et l'on poussé dans une telle spirale autodestructrice qu'il s'est suicidé au cyanure après avoir croqué dans une pomme qu'il a laissé sur sa table de chevet, comme pour, par ironie de l'Histoire, nous dire qu'il aurait voulu pouvoir croquer la vie à pleines dents, mais qu'il en avait été privé. Certains chimistes, probablement de petite facture, ont même émis l'hypothèse, ce qui est proprement honteux, et digne de la presse à scandale, qu'Alan Turing serait mort car les pépins de la pomme pouvaient contenir du cyanure, tandis que n'ayant entamé le fruit que superficiellement, il était impossible que cela soit le cas, car non seulement le cyanure est présent en très faibles quantités dans de tels fruits, mais uniquement dans les pépins. Trouvez-moi une personne qui soit un jour morte en ayant avalé un pépin de pomme et je vous félicite !

Ce que l'on pourrait dire c'est le contraire : "Je ne vous félicite pas." comme disent certains directeurs d'unité lorsque pris au dépourvu et réalisant l'incompétence des personnes qu'il aurait à diriger, il pourrait à juste titre s'exclamer que ses conditions de travail lui rendent impossible toute forme de direction de thèse ou toute forme de respect humain même minimal à propos de ses subalternes. Mais il en va de même que pour la folie à ce titre. Desfois, le doctorant est plus brillant sur son encadrant de thèse, ce qu'il ignore, et qui entraîne de tels quiproquos et malentendus que ce dernier se trouve en situation d'échec, ce qui ferait au final passer l'ensemble de la société à côté d'un véritable génie qui serait à même un jour de sauver notre pays.

La France. Je crois aimer la France. Ou plutôt je croyais.

Jusqu'à ce que je découvre ce qu'ils en ont fait. De qui est-ce que je parle donc ? Des imbéciles. A l'image de John Kennedy Toole, auteur ayant obtenu le prestigieux titre Pulitzer de façon posthume, car il fût un auteur remarquable, qui a fait la sociologie de la nouvelle orléans à travers tous ses personnes, d'une façon telle que certains sociologues, encore maintenant, vont consulter son ouvrage, afin de disposer des indices et informations dont ils n'auraient pas pour étudier la société de cette époque et de ce lieu. En guise de paraphe on trouve ceci : "Quand un génie apparaît en ce monde, on le reconnaît à ce signe distinctif que tous les imbéciles sont ligués contre lui." (Jonathan Swift) ce qui est très ironique et même visionnaire, quand on sait que ce qui a causé son décès ne fût que le refus des éditeurs de son époque de considérer son génie et de lui accorder la chance d'être enfin publié correctement.

Il finît par se suicider par des moyens que j'ignore, mais il mît fin à ses jours, de façon radicale et brutale, comme pour indiquer au monde que continuer à vivre ainsi ne vaudrait pas une journée de plus, et que pris à la gorge aussi bien économiquement que psychologiquement, il finît par manquer d'estime pour lui-même au point ou il devînt tour à tour chacun de ses nombreux personnages de ses oeuvres, pour se trouver seul et démuni car ne pouvant plus prendre sa propre défense, comme si finalement il était devenu le monstre, celui qui, étant en dehors de toute intelligibilité, était le déchet dont personne ne veut plus, et qu'il n'aurait dès plus d'autre issue que d'en tirer toutes les conclusions, presque malgré lui, car ce sont bien les conditions sociales dans lesquelles il vivait qui ont précipité sa mort, chez un jeune homme extrêmement intelligent et sensible qui comprenait son époque bien plus et mieux que les autres, et dont chacun de ses personnages était un archétype des différentes personnalités et catégories sociologiques de son temps et du lieu où il vivait. Il est donc devenu ce mort vivant, puis finalement se donna la mort de façon tragique.

Je dispose à ce titre de la même forme d'intelligence, en quelque sorte, l'avantage que j'ai sur Alan Turing et John Kennedy Toole, dont je suis une sorte de mélange ingrat, étant de vivre dans une époque qui est supposée comprendre les gens suprêmement intelligents et de leur accorder une chance dans la vie, quand finalement, vivre dans certains conditions sociales plutôt que d'autres, y compris si l'on a du génie, continue d'être un fort marqueur social prédictif du vote, comme je vous l'ai par ailleurs signalé, mais continue en tant que tel de constituer un obstacle à la reconnaissance de l'intelligence qui nous est propre.

Car finalement la vérité du génie reste vraie pour toutes les autres formes de différences : mieux vaut naître dans une famille riche, et en bonne santé, que dans une famille pauvre, dysfonctionnelle et malade. C'est exactement la cause du problème me concernant, et lorsque certains se cachent derrière les prétextes fallacieux du droit, je préfère leur rappeler que lorsqu'on se cache et retranche derrière le droit en tant que tel, cela revient en définitive à expliquer aux gens qu'on ne veut pas en faire davantage pour eux, et qu'on fera donc, en termes humains, le strict minimum les concernant, étant entendu que personne ne se réalise dans sa vie s'il n'est pas soutenu, en particulier par ses supérieurs hiérarchiques, et notamment dans le milieu académique dont tout le monde y sait, car cela y est un secret de polichinelle, que celui qui n'est pas soutenu par son directeur va à la catastrophe pour sa propre carrière.

Evoluer professionnellement n'est pas un droit soit disant. A ce compte là, avoir une famille aimante et fonctionnelle n'est pas un droit, alors que cela vous permet de réussir dans la vie. Bénéficier d'un enseignement de qualité et de professeurs bienveillants non plus. Avoir des subordonnés qui vous font le travail et vous le rendent dans les délais n'est pas un droit non plus. Le fait que l'on nous dise la vérité n'est pas un droit non plus, alors même que cela sauve des vies à bien des égards à de nombreuses reprises. Et bien je vous le dis, puisque tous ces éléments que j'évoque ne sont pas des droits pleins et entiers, ce dont tout le monde convient, et que tout le monde reconnaît, alors la folie doit être un droit, car tant qu'une personne n'a fait de mal à personne, bien qu'elle présente des particulariés psychologiques et cognitives spécifiques et incomprises, ne doit pas être condamnable ou condamnée étant entendu que la folie, ou ce qui passe pour tel (car en plus c'est le cas me concernant), résulte entre autres fréquemment de situation sociales telles qu'elles ne vous laissent pas le choix de demander de l'aide et d'être en détresse, et donc d'entretenir la fausse croyance que vous seriez fou à lier.

Je vais me faire interner je pense. Alors que je n'ai rien dit de mal. Rien fait de mal. Que je suis honnête, bienveillant, compréhensif et humain. Et parfaitement rationnel comme vous pouvez le constater. Ceci est un témoignage que je laisse en ligne afin de le prouver et que chacun voie l'évidence, et ainsi de prouver mon innocence et le fait que je sois sain d'esprit. A 100%.

 

Short ? Jamais un pseudo aura été aussi mal choisi.
Je n'ai pas lu, trop long, mais je suis sûr que tu as raison.

'Le droit à la folie." ???

Folie : "Trouble mental, égarement de l'esprit." (Le Robert.)

Dans l'absolu, une personne présentant un dysfonctionnement de santé mentale dispose des mêmes droits que tout un chacun. Que cette personne ne dispose plus de ses facultés de discernement n'y change rien.

Un sujet sur "Le droit à la différence." serait plus cohérent.

N'est ce pas de la folie que de faire des texte aussi long? 

Il y a 10 heures, Short a dit :

le droit à la folie.

L'important c'est l'avantage qu'elle peut  offrir , à savoir l'AAH.

Mais  il faut réussir son oral  devant les" juges de la folie". 

Pour ma part, je suis en plein examen.

Si je suis reçu, pour moi cela reviendra  à une promotion de Directeur Général.

Il y a 3 heures, lysiev a dit :

N'est ce pas de la folie que de faire des texte aussi long? 

Si ce n’était que cela ?

Il n’y a absolument aucune relation entre le « DROIT » et « FOLIE ».

Essayer d’établir un lien de la sorte, c’est comme évoquer le « DROIT » « d’être malade »

C’est complètement absurde de tenter l’exercice, a moins qu’il évoque son cas personnel, en lien avec la FOLIE, ce qui finalement a peut-être ici du sens ? 
 

"Le fou peut s'exprimer sans risquer une riposte." Erasme. Eloge de la folie.