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« Le vrai lieu est un rapport au monde »

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Axo lotl

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Membre, Posté(e)
Axo lotl Membre 19 195 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Avec Être à sa place, la philosophe interroge les tensions entre ancrages et ailleurs, racines et voyages, conquêtes de soi et exils. L’auteure invite à refonder nos rapports aux espaces et aux autres.

En quoi les personnes sont-elles définies par leurs lieux de naissance et de vie, leur place dans la société ? Loin des identités fixées, les notions de place et de déplacement peuvent être repensées en politique de façon dynamique, affirme la philosophe Claire Marin dans son dernier essai (1). Si notre vrai lieu est un rapport à construire au monde et aux autres, elle rappelle que, pour le trouver, il faut partir d’une place reconnue solidairement, comme les douloureuses ­expériences des SDF ou des exilés le soulignent.

C’est en effet la question de l’identité qui se joue dans ce concept de place, une identité pensée dans la relation au monde extérieur, aux autres. Elle passe par la reconnaissance d’une place légitime dans les espaces familiaux, professionnels, mais aussi politiques, avec des questions d’engagement et de responsabilité collective. 

La place est un équilibre entre un ancrage et une envie d’ailleurs, d’altérité.

https://www.humanite.fr/en-debat/philosophie/claire-marin-le-vrai-lieu-est-un-rapport-au-monde-747307

 

Et vous, où en êtes vous de votre place dans cette vie, ce monde ? 

 

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Membre, 156ans Posté(e)
Don Juan Membre 3 066 messages
Mentor‚ 156ans‚
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il y a 29 minutes, Axo lotl a dit :

Avec Être à sa place, la philosophe interroge les tensions entre ancrages et ailleurs, racines et voyages, conquêtes de soi et exils. L’auteure invite à refonder nos rapports aux espaces et aux autres.

En quoi les personnes sont-elles définies par leurs lieux de naissance et de vie, leur place dans la société ? Loin des identités fixées, les notions de place et de déplacement peuvent être repensées en politique de façon dynamique, affirme la philosophe Claire Marin dans son dernier essai (1). Si notre vrai lieu est un rapport à construire au monde et aux autres, elle rappelle que, pour le trouver, il faut partir d’une place reconnue solidairement, comme les douloureuses ­expériences des SDF ou des exilés le soulignent.

C’est en effet la question de l’identité qui se joue dans ce concept de place, une identité pensée dans la relation au monde extérieur, aux autres. Elle passe par la reconnaissance d’une place légitime dans les espaces familiaux, professionnels, mais aussi politiques, avec des questions d’engagement et de responsabilité collective. 

La place est un équilibre entre un ancrage et une envie d’ailleurs, d’altérité.

https://www.humanite.fr/en-debat/philosophie/claire-marin-le-vrai-lieu-est-un-rapport-au-monde-747307

 

Et vous, où en êtes vous de votre place dans cette vie, ce monde ? 

 

Comment entendre cette formule : "Avec Être à sa place" ?

Notre place est-elle l'endroit où nous serions le plus utile ?

Ou, l'endroit  où l'on se sent bien ?

Cette place qui aurait toute la justification d'être occupée par nous, sur quoi reposera t-elle sa justification.

S'agit il d'un sentiment, le nôtre, le leur ?

S'agit-il d'un jugement, le nôtre, le leur ?

S'agit-il d'un droit, d'une position de loi, d'un héritage, d'un mérite ? Etc ?

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Membre, Posté(e)
Axo lotl Membre 19 195 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Don Juan a dit :

Comment entendre cette formule : "Avec Être à sa place" ?

Notre place est-elle l'endroit où nous serions le plus utile ?

Ou, l'endroit  où l'on se sent bien ?

Cette place qui aurait toute la justification d'être occupée par nous, sur quoi reposera t-elle sa justification.

S'agit il d'un sentiment, le nôtre, le leur ?

S'agit-il d'un jugement, le nôtre, le leur ?

S'agit-il d'un droit, d'une position de loi, d'un héritage, d'un mérite ? Etc ?

peut être que cette place est la réponse à toutes ces questions et plus encore, car elle évolue sans aucun doute au fil de notre vie et des évènements que nous traversons.

finalement, notre place est-elle véritablement un choix ?

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Membre, 156ans Posté(e)
Don Juan Membre 3 066 messages
Mentor‚ 156ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Axo lotl a dit :

peut être que cette place est la réponse à toutes ces questions et plus encore, car elle évolue sans aucun doute au fil de notre vie et des évènements que nous traversons.

finalement, notre place est-elle véritablement un choix ?

Js suis déterministe jusqu'au bout des ongles, ça doit répondre à ta question, non ?

 

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Membre, Posté(e)
Axo lotl Membre 19 195 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Don Juan a dit :

Sinon, y aurait-il de faux lieux ?  Ou des lieux qui nous exempteraient d'un rapport au monde ?

si on prend la question de l'immigration aux etats unis qui viennent d'être chassées, on peut penser qu'au final le pays qui les accueillait ne leur avait pas octroyer une place définitive. la question de la place se pose aussi pour les apatrides, où est leur place ?

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Membre, 156ans Posté(e)
Don Juan Membre 3 066 messages
Mentor‚ 156ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Axo lotl a dit :

si on prend la question de l'immigration aux etats unis qui viennent d'être chassées, on peut penser qu'au final le pays qui les accueillait ne leur avait pas octroyer une place définitive. la question de la place se pose aussi pour les apatrides, où est leur place ?

Sur ce plan là je te suis, j'ai encore imaginé que tu évoquais d'autres plans.... La place dans le monde, mais quel monde, le monde social ? Alors je me suis égaré la question ne me  présente plus de portes ouvertes.

 

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Membre, Posté(e)
Axo lotl Membre 19 195 messages
Maitre des forums‚
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il y a 6 minutes, Don Juan a dit :

Sur ce plan là je te suis, j'ai encore imaginé que tu évoquais d'autres plans.... La place dans le monde, mais quel monde, le monde social ? Alors je me suis égaré la question ne me  présente plus de portes ouvertes.

 

je crois aussi que cela peut être la place dans notre histoire familiale, culturelle aussi, si vous préférez.

Modifié par Axo lotl
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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 24 059 messages
79ans‚ Talon 1,
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La place est celle que nous occupons avec l'accord des autres. Ce sont les autres qui font notre identité. Et appartenir à un groupe est notre souci principal.

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Membre, Posté(e)
Axo lotl Membre 19 195 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 8 minutes, Talon 1 a dit :

La place est celle que nous occupons avec l'accord des autres. Ce sont les autres qui font notre identité. Et appartenir à un groupe est notre souci principal.

on ne pourrait pas s'émanciper des autres ? ne pas quitter une famille dysfonctionnelle ? de pas quitter un quartier de merde ? ne pas devenir ce que nos parents ont pu définir pour nous ? Mais pour autant il y a des exemples de gens se sont émancipés, les femmes par exemple. Elles ont finis par quitter la place dictée par le patriarcat. Les noirs américains se sont émancipés de l'esclavage et dans la lutte ont acquis petit à petit leur droit et continuent de le faire ? idem pour les homosexuels... 

 

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Membre, 54ans Posté(e)
Easle Membre 4 127 messages
Maitre des forums‚ 54ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Axo lotl a dit :

Avec Être à sa place, la philosophe interroge les tensions entre ancrages et ailleurs, racines et voyages, conquêtes de soi et exils. L’auteure invite à refonder nos rapports aux espaces et aux autres.

En quoi les personnes sont-elles définies par leurs lieux de naissance et de vie, leur place dans la société ? Loin des identités fixées, les notions de place et de déplacement peuvent être repensées en politique de façon dynamique, affirme la philosophe Claire Marin dans son dernier essai (1). Si notre vrai lieu est un rapport à construire au monde et aux autres, elle rappelle que, pour le trouver, il faut partir d’une place reconnue solidairement, comme les douloureuses ­expériences des SDF ou des exilés le soulignent.

C’est en effet la question de l’identité qui se joue dans ce concept de place, une identité pensée dans la relation au monde extérieur, aux autres. Elle passe par la reconnaissance d’une place légitime dans les espaces familiaux, professionnels, mais aussi politiques, avec des questions d’engagement et de responsabilité collective. 

La place est un équilibre entre un ancrage et une envie d’ailleurs, d’altérité.

https://www.humanite.fr/en-debat/philosophie/claire-marin-le-vrai-lieu-est-un-rapport-au-monde-747307

 

Et vous, où en êtes vous de votre place dans cette vie, ce monde ? 

 

 

Il y a une idéalisation contemporaine de la figure sainte du migrant, qu'il faut rendre telle, y compris contre la raison, donc philosophiquement.

Homo sapiens n'est donc plus un corps (reprise du christianisme platonicien) mais une entité dé-localisée, sans attaches autres que mouvantes, errants aux quatre vents du changement permanent, de l'insécurité des sentiments, du travail, des amitiés etc. MAIS, car le fond réel des êtres humains concrets veut s'enrichir, acheter un logement, épargner, localiser ses enfants, avoir des LIEUX bien réels, il faut les déplacer du matériel au spirituel/psychique par une solidarité idéelle, sous couvert matériel du revenu et de l'état pourvouyeur, symbolisée par des mot chargés de mythes (travail, éducation, engagement, militance, etc.), dans lesquels il est possible de mettre tout le contenu positif désiré, en en oubliant tranquillement tous les aspects matériels encombrants, indigestes, incohérents, compromettant, etc.

 

Alors où en être dans quoi ? Dans cette caricature où il faudrait succomber à l'obligation de se situer ?  Dans cette nouvelle religion qui ressemble comme deux gouttes d'eau à du développement personnel repeint sous des fards et artifices philosophiques ?

 

Il n'y a de place que matérielle avant tout. Puis de mimétisme, d'enrolement, de consentement à une privation de liberté pour suivre des engagements dont on ne sort pas comme ça, qu'il soit militant ou professionnel. Où la contrainte est première même si non avouée, et où les intérêts sont aussi matériels, qu'émotionnels, intellectuels, etc.

Cynique ? non, tout serait si simple si la liberté primait vraiment, si le réel était dit, assumé. Mais...... homo sapiens !

 

 

 

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Membre, Posté(e)
Axo lotl Membre 19 195 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 22 minutes, Jim69 a dit :

Je suis là où je suis, et ça me va très bien.

je trouve que c'est un bon début effectivement. 

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Membre, Posté(e)
lumic Membre 10 275 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Axo lotl a dit :

Avec Être à sa place, la philosophe interroge les tensions entre ancrages et ailleurs, racines et voyages, conquêtes de soi et exils. L’auteure invite à refonder nos rapports aux espaces et aux autres.

En quoi les personnes sont-elles définies par leurs lieux de naissance et de vie, leur place dans la société ? Loin des identités fixées, les notions de place et de déplacement peuvent être repensées en politique de façon dynamique, affirme la philosophe Claire Marin dans son dernier essai (1). Si notre vrai lieu est un rapport à construire au monde et aux autres, elle rappelle que, pour le trouver, il faut partir d’une place reconnue solidairement, comme les douloureuses ­expériences des SDF ou des exilés le soulignent.

C’est en effet la question de l’identité qui se joue dans ce concept de place, une identité pensée dans la relation au monde extérieur, aux autres. Elle passe par la reconnaissance d’une place légitime dans les espaces familiaux, professionnels, mais aussi politiques, avec des questions d’engagement et de responsabilité collective. 

La place est un équilibre entre un ancrage et une envie d’ailleurs, d’altérité.

https://www.humanite.fr/en-debat/philosophie/claire-marin-le-vrai-lieu-est-un-rapport-au-monde-747307

 

Et vous, où en êtes vous de votre place dans cette vie, ce monde ? 

 

C ' est en effet notre lieu de naissance qui nous définit en grosse partie et traçe notre destin tant bien que mal ...

On ne peut pas y échapper mais tout reste possible , cela dépendra de chacun ...

On dit que un tel aurait pu faire tel métier , exemple : Mon oncle agriculteur aujourd ' hui décédé  aurait pu devenir enseignant car il était l ' un des meilleurs dans sa génération mais voilà il est resté dans son village auprès de ses parents comme ci c ' etait une évidence ...

A mon avis , la vie n ' attend pas , faut oser , tout bousculer et c ' est de là  que naissent les héros et que la vie sourit aux audacieux mais c ' est de la théorie puisque on peut aussi apprécier ce que nous sommes , être à sa place , heureux de sa condition ...

Je pense que c ' est mon cas tandis que mon questionnement est surtout utile à moi  même dans ce vaste univers .Savoir qui je suis en somme ,  tout  en tentant de me rassurer sur ma destinée si il y ' en avait une ...

 

 

 

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Membre, Neo Derthal, Posté(e)
Lowy Membre 2 447 messages
Maitre des forums‚ Neo Derthal,
Posté(e)
Il y a 5 heures, Talon 1 a dit :

La place est celle que nous occupons avec l'accord des autres. Ce sont les autres qui font notre identité. Et appartenir à un groupe est notre souci principal.

Croyez vous ? Existons nous par rapport à l'appartenance à un groupe ? pour moi c'est non.

La seule appartenance est celle de l'humanité , à laquelle on ne peut se soustraire.

il y a une heure, lumic a dit :

exemple : Mon oncle agriculteur aujourd ' hui décédé  aurait pu devenir enseignant car il était l ' un des meilleurs dans sa génération mais voilà il est resté dans son village auprès de ses parents comme ci c ' etait une évidence ...

Ce qui vous semble être ''comme une évidence'' est peut être le résultat d'une mûre réflexion, un choix de vie que votre oncle n'échangerais pour rien...

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Membre, Neo Derthal, Posté(e)
Lowy Membre 2 447 messages
Maitre des forums‚ Neo Derthal,
Posté(e)

Une identité pensée dans la relation au monde extérieur, aux autres. Elle passe par la reconnaissance d’une place légitime dans les espaces familiaux, professionnels, mais aussi politiques, avec des questions d’engagement et de responsabilité collective. 

Une identité peut être meurtrière.

Dans ma vision des choses, elle ne passe par rien , elle se construit par divers influences, elle se détermine par nos valeurs , elle cumule des événements et des ressentis ; nous pouvons ne pas avoir de ''légitimité'' dans nos divers espaces de société et pourtant une identité affirmée ( acquise / choisie en droit et envers...)

''Etre à sa place'' est une bien grande expression, lourde de notre vécu ( celui qu'on a vécu par les autres et celui que l'on tente de construire, ...)

On peut rester étranger toute sa vie : dans son monde de naissance, dans son monde d'évolution extérieur avec un sentiment d'intrus, au vu de la non adhérence aux concepts usuels de la société , cela ne signifie pas pour autant que l'on ne soit pas à sa place mais que c'est ainsi qu'est le monde qui n'est pas un puzzle où forcément on s'imbrique...

( ce qui me dérange c'est l'expression ''chercher sa place'', son ''groupe'' qui n'existent peut être pas...Construire une vie ce n'est pas faire partie de...)

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Membre, Posté(e)
lumic Membre 10 275 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Lowy a dit :

Croyez vous ? Existons nous par rapport à l'appartenance à un groupe ? pour moi c'est non.

La seule appartenance est celle de l'humanité , à laquelle on ne peut se soustraire.

Ce qui vous semble être ''comme une évidence'' est peut être le résultat d'une mûre réflexion, un choix de vie que votre oncle n'échangerais pour rien...

Je ne le pense pas car j ' ai connu un autre agriculteur très doué en dessin mais né dans une famille pauvre ou fallait plusieurs mains pour satisfaire aux travaux de la ferme alors qu ' il aurait pu être illustrateur , artiste etc ...

Perso , j ' aurais aimé faire un tas de choses mais voilà dans mon propre contexte familial je me suis retrouvé dans le même état d ' esprit que mon oncle .A mon avis celui ci s ' est contenté de sa situation sans vouloir voir plus loin mais pourquoi pas ...

Un choix de vie n ' en est pas forcément un mais ce n ' est pas obligatoirement  une raison pour se plaindre ...

En fait potentiellement se pose une " infinité de choix " , alors qu ' est ce qui pourrait rendre plus heureux est une question parfois inutile alors que l ' on peut très bien se satisfaire de son existence ...

Je possède un terrain sans valeur , j ' aime y être  mais je n ' aurais pas détesté rouler en voiture de luxe ou de me construire un super télescope dans une villa de rêve ...

Vous dites que l ' on ne peut pas se soustraire à l ' humanité ? C ' est certainement vrai mais apprendre à s ' y détacher peut être source de joie et de bonheur histoire d ' échapper à un certain conditionnement sur les esprits ...

La force peut être ailleurs , dans la nature du fait même de nos racines qui s ' y rattachent alors que l ' on ne causait pas trop humanité en ce temps là ...

Modifié par lumic
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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 675 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
Il y a 18 heures, Axo lotl a dit :

Avec Être à sa place, la philosophe interroge les tensions entre ancrages et ailleurs, racines et voyages, conquêtes de soi et exils. L’auteure invite à refonder nos rapports aux espaces et aux autres.

En quoi les personnes sont-elles définies par leurs lieux de naissance et de vie, leur place dans la société ? Loin des identités fixées, les notions de place et de déplacement peuvent être repensées en politique de façon dynamique, affirme la philosophe Claire Marin dans son dernier essai (1). Si notre vrai lieu est un rapport à construire au monde et aux autres, elle rappelle que, pour le trouver, il faut partir d’une place reconnue solidairement, comme les douloureuses ­expériences des SDF ou des exilés le soulignent.

C’est en effet la question de l’identité qui se joue dans ce concept de place, une identité pensée dans la relation au monde extérieur, aux autres. Elle passe par la reconnaissance d’une place légitime dans les espaces familiaux, professionnels, mais aussi politiques, avec des questions d’engagement et de responsabilité collective. 

La place est un équilibre entre un ancrage et une envie d’ailleurs, d’altérité.

https://www.humanite.fr/en-debat/philosophie/claire-marin-le-vrai-lieu-est-un-rapport-au-monde-747307

 

Et vous, où en êtes vous de votre place dans cette vie, ce monde ? 

 

La question que je me pose

Si une seule personne n'est pas à sa place , toutes les autres ne sont elles pas décalées ? 

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Membre, 156ans Posté(e)
Don Juan Membre 3 066 messages
Mentor‚ 156ans‚
Posté(e)
Il y a 15 heures, Talon 1 a dit :

La place est celle que nous occupons avec l'accord des autres. Ce sont les autres qui font notre identité. Et appartenir à un groupe est notre souci principal.

🥴🤮🤢autant de faussetés en aussi peu de lignes...

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