https://www.femelliste.com/

LE MANIFESTE. 

Nous sommes en colère. Nous ne supportons plus l’hypocrisie ambiante. Nous traversons une époque absurde où la réponse à la question “Qu’est-ce qu’être une femme ?” ne semble plus évidente pour tout le monde. Selon certains médias, universitaires, militants, personnalités politiques et institutions, être une femme serait désormais un ressenti et non une réalité biologique.

Ainsi, en France, depuis 2016, la loi dispose que tout homme qui démontre qu’il se genre au féminin, peut devenir une femme sur ses papiers, et vice versa. Dans certains cercles, un étrange malaise s’installe dès qu’on ose affirmer que les femmes trans sont des mâles, alors qu'être un mâle est précisément le prérequis nécessaire pour être qualifié comme tel.

1/  UNE FEMELLISTE, C’EST UNE FEMME ANCRÉE DANS LA RÉALITÉ BIOLOGIQUE DE SON CORPS. 

2/ C’EST UNE FEMME QUI PENSE QU’ÊTRE UNE FEMME N’EST PAS UN RESSENTI.

https://www.lepoint.fr/societe/femelliste-la-nouvelle-chapelle-feministe-controversee-13-01-2023-2504729_23.php#11

« Femelliste », la nouvelle chapelle féministe controversée

Les militantes Dora Moutot et Marguerite Stern ont lancé une plateforme en ligne pour défendre les « réalités biologiques » et lutter contre le transactivisme.

https://www.margueritestern.com/femelliste

https://www.marianne.net/agora/entretiens-et-debats/dora-moutot-et-marguerite-stern-etre-une-femme-cest-avoir-un-systeme-reproductif-different-des-hommes
Dora Moutot & Marguerite Stern : Nous nous inscrivons dans le courant du féminisme critique du genre. Ce mouvement féministe existe à l’international. Nous utilisons le terme « femelliste » pour rappeler que les femmes sont des femelles, et qu’être une femme n’est pas un ressenti mais une réalité biologique.

C est sa définition, son idéologie, pas la réalité de tout le monde.

Encore un nouveau terme, courant duquel je n’avais pas connaissance… 

il y a 12 minutes, Pirene a dit :

https://www.femelliste.com/

LE MANIFESTE. 

Nous sommes en colère. Nous ne supportons plus l’hypocrisie ambiante. Nous traversons une époque absurde où la réponse à la question “Qu’est-ce qu’être une femme ?” ne semble plus évidente pour tout le monde. Selon certains médias, universitaires, militants, personnalités politiques et institutions, être une femme serait désormais un ressenti et non une réalité biologique.

Ainsi, en France, depuis 2016, la loi dispose que tout homme qui démontre qu’il se genre au féminin, peut devenir une femme sur ses papiers, et vice versa. Dans certains cercles, un étrange malaise s’installe dès qu’on ose affirmer que les femmes trans sont des mâles, alors qu'être un mâle est précisément le prérequis nécessaire pour être qualifié comme tel.

 

1/  UNE FEMELLISTE, C’EST UNE FEMME ANCRÉE DANS LA RÉALITÉ BIOLOGIQUE DE SON CORPS. 

2/ C’EST UNE FEMME QUI PENSE QU’ÊTRE UNE FEMME N’EST PAS UN RESSENTI.

https://www.lepoint.fr/societe/femelliste-la-nouvelle-chapelle-feministe-controversee-13-01-2023-2504729_23.php#11

« Femelliste », la nouvelle chapelle féministe controversée

Les militantes Dora Moutot et Marguerite Stern ont lancé une plateforme en ligne pour défendre les « réalités biologiques » et lutter contre le transactivisme.

https://www.margueritestern.com/femelliste

 

FEMELLISTE :
La création d’une plateforme critique du transgenrisme avec Dora Moutot.

https://www.marianne.net/agora/entretiens-et-debats/dora-moutot-et-marguerite-stern-etre-une-femme-cest-avoir-un-systeme-reproductif-different-des-hommes
Dora Moutot & Marguerite Stern : Nous nous inscrivons dans le courant du féminisme critique du genre. Ce mouvement féministe existe à l’international. Nous utilisons le terme « femelliste » pour rappeler que les femmes sont des femelles, et qu’être une femme n’est pas un ressenti mais une réalité biologique.

 

Excellent! Ça nous change des délires du lobby transgenre.

il y a 4 minutes, Elisa* a dit :

Encore un nouveau terme, courant duquel je n’avais pas connaissance… 

du coup j'ai été voir, c'est une sorte de blog, d'une nana qui explique avoir été harcelé par des personnes transgenres et ça sent un peu la "vengeance". Donc bon, elle a son avis, son combat (j'ai lu en diagonal, mais pour elle, une femme c'est un corps femelle hétérosexuelle et rien d'autre) donc..... je vais pas m'attarder sur son blog. 

Bon d'accord, dorénavant, je ne dirais plus " mes femmes " mais mes femelles !

Pas inintéressant à lire. Bon y a deux ou trois conneries au niveau médico-biologique mais il y a aussi quelques pistes de réflexion, c'est vrai.

il y a 15 minutes, Pirene a dit :

UNE FEMELLISTE

Il faut bien reconnaitre que chez les escargots c’est beaucoup plus simple.

Ils sont tous  (les escargots) à la fois mâle et femelle, que l’on nomme hermaphrodite !

Que certains hommes se prennent pour des femmes ou certaines femmes se considèrent comme des hommes, c’est un handicap pour les personnes qui veulent s'identifier à la famille des escargots !

Mais cela représente une toute petite minorité des populations humaines qui utilisent cette anormalité pour se victimiser à outrance.

Laissons pisser le mérinos sur ce sujet, surtout ne pas se faire de nœud au cerveau, c'est préférable !  

il y a 32 minutes, Enchantant a dit :

Il faut bien reconnaitre que chez les escargots c’est beaucoup plus simple.

Ils sont tous  (les escargots) à la fois mâle et femelle, que l’on nomme hermaphrodite !

Que certains hommes se prennent pour des femmes ou certaines femmes se considèrent comme des hommes, c’est un handicap pour les personnes qui veulent s'identifier à la famille des escargots !

Mais cela représente une toute petite minorité des populations humaines qui utilisent cette anormalité pour se victimiser à outrance.

Laissons pisser le mérinos sur ce sujet, surtout ne pas se faire de nœud au cerveau, c'est préférable !  

Une fois j’ai failli gifler quelqu’un qui reprenait cet argumentaire, il était allé chercher du côté des animaux pour expliquer les humains Pour certains trucs ok, mais dans ce cas là où il est surtout et d’abord question de psy c’est hors de question.

il y a 57 minutes, Pirene a dit :

être une femme n’est pas un ressenti mais une réalité biologique.

Je suis blond est une réalité biologique, je me sens peut être brun, mais je suis blond, c'est dans mes cheveux et ça se voit, c'est dans mon adn. Je peux me raser le crane, je peux me teindre les cheveux en brun, mais ça ne fera jamais de moi un brun, ça fera de moi un blond qui se teint les cheveux.

C'est un point de vue 100% réel mais la réalité biologique peut être insuffisante pour ceux qui tiennent absolument à définir ce qu'est un homme ou une femme selon d'autres point de vue. A commencer par le groupe ou autrui avec une réalité sociologique: comment je sais que je suis un homme s'il n'y a que des hommes autour de moi? J'ai besoin d'une femme, j'ai besoin d'une différence, pour comprendre qui je suis. Je suis petit parce qu'il y a des grands, je suis intelligent parce qu'il y a des cons, je suis blond parce qu'il y a des bruns etc. 

Et donc sociologiquement une femme qui ne se sent pas femme, tout le monde s'en bat le steak. C'est pas mon amie, c'est pas ma cousine, c'est une étrangère qui aimerait m'obliger à la voir comme autre chose que ce que je vois. Mais quand je vois une femme qui veut devenir un homme, je ne vois pas un homme, je vois une femme qui veut devenir un homme. C'est une réalité sociologique. 

Reste la réalité psychologique, mais comme je le disais tout le monde s'en fout. Est ce que ça intéresse quelqu'un que je me sente homme ou femme ou avec qui j'ai envie de coucher? Non j'ai pas l'impression. Pourquoi d'ailleurs j'aurais envie de donner mon genre et mes attirances en spectacle? En quoi je me trouve plus intéressant que les autres? 

La semaine dernière on discutait de la représentation des homo hommes dans les années 80, et force est de constater que les homos étaient acceptés parce qu'ils étaient issus du showbiz, parce que le bon homo c'est Michou ou la Cage aux folles. L'image est aujourd'hui insupportable au moins pour les amis homos autour de moi qui n'ont pas envie de se mettre une plume dans le cul pour se faire accepter. Ils se font accepter pour ce qu'il sont, pas des hommes qui aiment la bite, des gens. Tout simplement des gens. Ils bossent à Air France, dans des hôpitaux, dans des supermarchés, ils regardent des séries télé, ils vont au resto, ils prennent le métro ou partent en vacances en Bretagne. Ce sont des gens. 

il y a 35 minutes, Pirene a dit :

Une fois j’ai failli gifler quelqu’un qui reprenait cet argumentaire, il était allé chercher du côté des animaux pour expliquer les humains

Ah oui, quand même ! Mais franchement, de qui se moque-t-on ????  

il y a 42 minutes, Pirene a dit :

Une fois j’ai failli gifler quelqu’un qui reprenait cet argumentaire,

J'étais loin d'imaginer toute cette la violence potentielle contenue chez notre amie Pirene ?

Je ferais gaffe la prochaine fois ! 

il y a 9 minutes, Crabe_fantome a dit :

Je suis blond est une réalité biologique, je me sens peut être brun, mais je suis blond, c'est dans mes cheveux et ça se voit, c'est dans mon adn. Je peux me raser le crane, je peux me teindre les cheveux en brun, mais ça ne fera jamais de moi un brun, ça fera de moi un blond qui se teint les cheveux.

C'est un point de vue 100% réel mais la réalité biologique peut être insuffisante pour ceux qui tiennent absolument à définir ce qu'est un homme ou une femme selon d'autres point de vue. A commencer par le groupe ou autrui avec une réalité sociologique: comment je sais que je suis un homme s'il n'y a que des hommes autour de moi? J'ai besoin d'une femme, j'ai besoin d'une différence, pour comprendre qui je suis. Je suis petit parce qu'il y a des grands, je suis intelligent parce qu'il y a des cons, je suis blond parce qu'il y a des bruns etc. 

Et donc sociologiquement une femme qui ne se sent pas femme, tout le monde s'en bat le steak. C'est pas mon amie, c'est pas ma cousine, c'est une étrangère qui aimerait m'obliger à la voir comme autre chose que ce que je vois. Mais quand je vois une femme qui veut devenir un homme, je ne vois pas un homme, je vois une femme qui veut devenir un homme. C'est une réalité sociologique. 

Reste la réalité psychologique, mais comme je le disais tout le monde s'en fout. Est ce que ça intéresse quelqu'un que je me sente homme ou femme ou avec qui j'ai envie de coucher? Non j'ai pas l'impression. Pourquoi d'ailleurs j'aurais envie de donner mon genre et mes attirances en spectacle? En quoi je me trouve plus intéressant que les autres? 

La semaine dernière on discutait de la représentation des homo hommes dans les années 80, et force est de constater que les homos étaient acceptés parce qu'ils étaient issus du showbiz, parce que le bon homo c'est Michou ou la Cage aux folles. L'image est aujourd'hui insupportable au moins pour les amis homos autour de moi qui n'ont pas envie de se mettre une plume dans le cul pour se faire accepter. Ils se font accepter pour ce qu'il sont, pas des hommes qui aiment la bite, des gens. Tout simplement des gens. Ils bossent à Air France, dans des hôpitaux, dans des supermarchés, ils regardent des séries télé, ils vont au resto, ils prennent le métro ou partent en vacances en Bretagne. Ce sont des gens. 

Et c’est étrange de se définir autant par ces côtés là. Des luttes sociales pendant tant de temps, des émancipations , dans le simple but de ces définir par sa sexualité….dommage. 

il y a 3 minutes, L'amère vieille a dit :

Ah oui, quand même ! Mais franchement, de qui se moque-t-on ????  

Oui quand même et ça aurait été largement mérité parce que c’est une tentative à peine déguisée de prendre les gens pour des cons. Parce ces gens qui argumentent comme ça ne comprennent plus leurs propres arguments quand on leur dit que les oiseaux ou les loutres ne se marient pas .

il y a 4 minutes, Enchantant a dit :

J'étais loin d'imaginer toute cette la violence potentielle contenue chez notre amie Pirene ?

Je ferais gaffe la prochaine fois ! 

Non la violence vient de la personne qui me dit une chose pareille, j’ai été à l’école comme tout le monde et je pense savoir ce que je peux entendre et ce qui est un manque de respect total, en plus devant des gens ça ne passe pas. 

il y a 4 minutes, Pirene a dit :

je pense savoir ce que je peux entendre et ce qui est un manque de respect total

Vous vous trompez maitresse, je ne voulais absolument faire de peine à quiconque !

Les femelles sont les vivants qui portent les petits de leur espèce en leur sein, les mâles sont les vivants qui participent à l'élaboration de la descendance avec la complicité des femelles, mais eux n'ont pas la capacité d'être enceint !

Voila ce qui distingue fondamentalement le mâle de la femelle, le reste c'est de la littérature l

Je ne manque de respect à personne en écrivant cela, c'est la réalité biologique !

il y a 19 minutes, Enchantant a dit :

notre amie Pirene ?

Tu pourrais corriger au singulier ? merci !

à l’instant, L'amère vieille a dit :

Tu pourrais corriger au singulier ? merci !

Non, car je considère les participants du forum comme des amis (ies) virtuelles, indépendamment de savoir si je partage leurs idées ou pas ! 

à l’instant, Enchantant a dit :

Vous vous trompez maitresse, je ne voulais absolument faire de peine à quiconque !

Les femelles sont les vivants qui portent les petits de leur espèce en leur sein, les mâles sont les vivants qui participent à l'élaboration de la descendance avec la complicité des femelles, mais eux n'ont pas la capacité d'être enceint !

Voila ce qui distingue fondamentalement le mâle de la femelle, le reste c'est de la littérature l

Je ne manque de respect à personne en écrivant cela, c'est la réalité biologique !

Pas de soucis c’était pour illustrer le propos d’une personne que j’ai croisé, ce n’était pas pour vous pas de soucis. J’ai trouvé la position de ces deux femmes bien parce que raisonnable et naturellement compréhensible puisqu’elles lient le corps avec l’esprit d’une personne et qu’en dehors de cette façon de faire il faut en dire que ce serait dénué de sens pour un autre, ce qui le fait penser que finalement les gens qui vivent cet état de transidentité doivent surtout vivre un enfer avec elles mêmes. Et qu’elles ont besoin d’aide. 

il y a 2 minutes, Enchantant a dit :

Non, car je considère les participants du forum comme des amis (ies) virtuelles, indépendamment de savoir si je partage leurs idées ou pas ! 

Belle philosophie !  mais il y a une différence entre ne pas partager les mêmes idées, c'est bien le but d'un forum d'en discuter et se foutre gratuitement de la g...des autres ! 

il y a 40 minutes, Pirene a dit :

Et c’est étrange de se définir autant par ces côtés là. Des luttes sociales pendant tant de temps, des émancipations , dans le simple but de ces définir par sa sexualité….dommage. 

Alors c'est pas tout le monde non plus. En plus je reste persuadé que le narcissisme des réseaux sociaux a une bonne part de responsabilité quand à l'impression qu'on est si important que notre genre ou notre sexualité va forcément intéresser des gens. Ajoutes à ça un faux effet de subvention "non je n'ai pas peur de le dire!!!" et t'as un phénomène ultra creux et totalement inintéressant. 

George Sand, Sarah Bernard ou Marlène Dietrich, chacune a bouleversé les codes féminins pour embrasser des codes masculins mais en apportant leur art. Le discours du genre est sous-jacents et jamais encombrant, elles affirmaient leur personnalité sans emmerder les autres avec leur sexualité ou leurs doutes sur leur genre.

il y a 3 minutes, Crabe_fantome a dit :

Alors c'est pas tout le monde non plus. En plus je reste persuadé que le narcissisme des réseaux sociaux a une bonne part de responsabilité quand à l'impression qu'on est si important que notre genre ou notre sexualité va forcément intéresser des gens. Ajoutes à ça un faux effet de subvention "non je n'ai pas peur de le dire!!!" et t'as un phénomène ultra creux et totalement inintéressant. 

George Sand, Sarah Bernard ou Marlène Dietrich, chacune a bouleversé les codes féminins pour embrasser des codes masculins mais en apportant leur art. Le discours du genre est sous-jacents et jamais encombrant, elles affirmaient leur personnalité sans emmerder les autres avec leur sexualité ou leurs doutes sur leur genre.

 

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