Sujet de dissertation sur le divertissement

Bonjour j’aurais besoin d’aide concernant un sujet de dissertation sur le divertissement en philosophie : Quel est le sujet du divertissement ?

Merci d’avance pour vos réponses.

il y a 9 minutes, GodTiKzSD- a dit :

Bonjour j’aurais besoin d’aide concernant un sujet de dissertation sur le divertissement en philosophie : Quel est le sujet du divertissement ?

Merci d’avance pour vos réponses.

Ici on a un grand philosophe qui va pouvoir t’aider… SOS d’un pauvre humain en détresse :@Crom- est demandé ! 

il y a 27 minutes, GodTiKzSD- a dit :

Bonjour j’aurais besoin d’aide concernant un sujet de dissertation sur le divertissement en philosophie : Quel est le sujet du divertissement ?

Merci d’avance pour vos réponses.

coucou

je pense que ta prof pense surtout a Blaise pascal ... donc je te donne le lien de sa réflexion ... sinon il y a une autre réflexion qui vas étonner ta prof ... c'est l'utilité de l'inutile ...  je te donne aussi une vidéo ... enfin utilise chat gpt ... tu pose une question et tu auras de super réflexion ... je te donne aussi le lien ... c'est gratuit ... juste vérifie les source de chat gpt ... des fois il délire sur cela

https://la-philosophie.com/pascal-le-divertissement

https://chatgpt.com

il y a 2 minutes, vampy2023 a dit :

coucou

 

je pense que ta prof pense surtout a Blaise pascal ... donc je te donne le lien de sa réflexion ... sinon il y a une autre réflexion qui vas étonner ta prof ... c'est l'utilité de l'inutile ...  je te donne aussi une vidéo ... enfin utilise chat gpt ... tu pose une question et tu auras de super réflexion ... je te donne aussi le lien ... c'est gratuit ... juste vérifie les source de chat gpt ... des fois il délire sur cela

https://la-philosophie.com/pascal-le-divertissement

 

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Super, merci beaucoup pour tes réponses

 Voici l'étymologie de divertir: du latin divertere. Se détourner, se séparer de, être différent...

Reste à savoir de quelle réalité préoccupante tu vas te divertere  en allant au spectacle, en effectuant des jeux, en écoutant des blagues ou des plaisanteries...

Ne pas rester prisonnier d'une idée fixe.

"La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude" (Aldous Huxley)

il y a une heure, Passiflore a dit :

 

"La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s'évader. Un système d'esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l'amour de leur servitude" (Aldous Huxley)

C'est une magnifique citation qui contient le même mécanisme que le sujet de cette dissertation

Bien souvent, on peut résumer le sujet d'un livre, d'une oeuvre ou d'un auteur par.... de quoi traite le livre, l'oeuvre ou l'auteur

Et se révèle alors une thématique, un point commun, une logique unique. Le sujet est un point précis duquel l'AUTEUR va traiter et il y accorde une intention

Quel est le sujet du divertissement ?

Est-ce un auteur ? le divertissement déploie t'il en lui une intention ? une logique de traitement ?

Je pense que nombreux seront les étudiants à égrener les type de divertissement car de quoi traite le divertissement si ce n'est... de livres, de cinéma, de parcs d'attraction, de temps libre etc etc

Et se faisant.... on rate.. LE sujet

Car LE sujet du divertissement.... c'est nous... dans ce rapport que nous avons de nous déployer dans le ludique, dans l'évasion, dans le jeu.

Le sujet du divertissement... c'est l'homme évidemment et la thèse est évidemment que le divertissement est un besoin vital

Mais derrière ce premier tour de cache-cache se cache une seconde couche

Car le sujet est aussi ce qui est assujetti, le souverain et ses sujets, l'assujetissement de l'homme, l'assujetissement de l'homme au divertissement

On y retrouve... les paresseux, les névrosés de leurs dépendance aux jeux vidéos, les gens qui s'illusionnent de leur plaisir à surfer devant le plaisir de leur divertissement à se contenter de s'entendre dire comme ils sont beaux comme ils sont intelligents et c'est ainsi que la terre devient plate, plate de tout

Et c'est donc l'antithèse qui voit le divertissement comme le maître à son esclave, le pinocchio de son centre d'attraction qui oublie sa conscience

En synthèse, il n'est nul sujet qui ne soit le sujet s'il est acteur

L'acteur construit, crèe, invente, l'acteur est maître de ses choix et de sa vie

Le divertissement, n'a donc comme autre sujet que d'être... le sujet de l'Homme et non de définir le... sujet du divertissement

Il y a 6 heures, GodTiKzSD- a dit :

Bonjour j’aurais besoin d’aide concernant un sujet de dissertation sur le divertissement en philosophie : Quel est le sujet du divertissement ?

Merci d’avance pour vos réponses.

La question est mal posée; à mon avis ça serait plutôt : quel est l'objet du divertissement?

Mais comme la philosophie me gonfle, je laisse à d'autres le soin de répondre.

Il y a 5 heures, zenalpha a dit :

C'est une magnifique citation qui contient le même mécanisme que le sujet de cette dissertation

Bien souvent, on peut résumer le sujet d'un livre, d'une oeuvre ou d'un auteur par.... de quoi traite le livre, l'oeuvre ou l'auteur

Et se révèle alors une thématique, un point commun, une logique unique. Le sujet est un point précis duquel l'AUTEUR va traiter et il y accorde une intention

Quel est le sujet du divertissement ?

Est-ce un auteur ? le divertissement déploie t'il en lui une intention ? une logique de traitement ?

Je pense que nombreux seront les étudiants à égrener les type de divertissement car de quoi traite le divertissement si ce n'est... de livres, de cinéma, de parcs d'attraction, de temps libre etc etc

Et se faisant.... on rate.. LE sujet

Car LE sujet du divertissement.... c'est nous... dans ce rapport que nous avons de nous déployer dans le ludique, dans l'évasion, dans le jeu.

Le sujet du divertissement... c'est l'homme évidemment et la thèse est évidemment que le divertissement est un besoin vital

Mais derrière ce premier tour de cache-cache se cache une seconde couche

Car le sujet est aussi ce qui est assujetti, le souverain et ses sujets, l'assujetissement de l'homme, l'assujetissement de l'homme au divertissement

On y retrouve... les paresseux, les névrosés de leurs dépendance aux jeux vidéos, les gens qui s'illusionnent de leur plaisir à surfer devant le plaisir de leur divertissement à se contenter de s'entendre dire comme ils sont beaux comme ils sont intelligents et c'est ainsi que la terre devient plate, plate de tout

Et c'est donc l'antithèse qui voit le divertissement comme le maître à son esclave, le pinocchio de son centre d'attraction qui oublie sa conscience

En synthèse, il n'est nul sujet qui ne soit le sujet s'il est acteur

L'acteur construit, crèe, invente, l'acteur est maître de ses choix et de sa vie

Le divertissement, n'a donc comme autre sujet que d'être... le sujet de l'Homme et non de définir le... sujet du divertissement

Merci beaucoup pour ces précieuses informations, je vais donc prendre le soin de faire un plan cohérent et constructif. 

il y a une heure, Gouderien a dit :

La question est mal posée; à mon avis ça serait plutôt : quel est l'objet du divertissement?

Mais comme la philosophie me gonfle, je laisse à d'autres le soin de répondre.

C'est manifestement volontaire, et c'est ce qui fait que la question est originale. Cela dit, je ne l'aime pas du tout, car je trouve que cela fait "jeu de mots". Le sujet du divertissement, cela peut vouloir dire au moins deux choses : soit de quoi est-il question lorsque l'on se divertit (comme quand on dit : c'est à quel sujet?) soit qui est celui (le sujet conscient) qui se divertit quand il se divertit? 

La première de ces deux lectures invite à réciter son cours, en particulier la partie, si elle existe, qui parle de Blaise Pascal. La seconde invite aussi d'ailleurs à parler de Pascal, mais nous conduit à des subtilités abstruses pas forcément très rigoureuses. Bref, ce n'est pas ma tasse de thé! Dommage, car le thème est intéressant, et d'ailleurs zenalfa a montré qu'on pouvait en faire quelque chose, en particulier en introduisant un troisième sens ici inattendu, mais dont il montre la pertinence, celui d'assujetti. 

il y a une heure, Carnéade a dit :

C'est manifestement volontaire, et c'est ce qui fait que la question est originale. Cela dit, je ne l'aime pas du tout, car je trouve que cela fait "jeu de mots". Le sujet du divertissement, cela peut vouloir dire au moins deux choses : soit de quoi est-il question lorsque l'on se divertit (comme quand on dit : c'est à quel sujet?) soit qui est celui (le sujet conscient) qui se divertit quand il se divertit? 

La première de ces deux lectures invite à réciter son cours, en particulier la partie, si elle existe, qui parle de Blaise Pascal. La seconde invite aussi d'ailleurs à parler de Pascal, mais nous conduit à des subtilités abstruses pas forcément très rigoureuses. Bref, ce n'est pas ma tasse de thé! Dommage, car le thème est intéressant, et d'ailleurs zenalfa a montré qu'on pouvait en faire quelque chose, en particulier en introduisant un troisième sens ici inattendu, mais dont il montre la pertinence, celui d'assujetti. 

Totalement en phase avec toi

Mais la mode est à la théorie de l'ambiguïté ...

Comme ce sujet en effet

Parfois c'est pour masquer sa détresse ou son désemparement, parfois c'est pour révéler...chez l'autre son propre engagement 

Et finalement finalement... ma vision de quinquagénaire...

Bien sûr les sujets classique sont rassurants

Mais ils révèlent finalement un classicisme dont le but est de marquer la rigueur de la structure et la qualité des références 

C'est très bien

Sur ce sujet, il faudra également des références 

Mais si on considère la petite vérité, à savoir que la philosophie n'est ni la recherche de la grande vérité ni la recherche d'un catalogue de références mais une capacité à générer du sens

Alors

Aucune copie exceptionnelle ne ressort sans risque ni originalité, aucun chef d'œuvre n'accouche sans une rupture et à notre niveau rien ne vaut dans notre vie qui ne soit que la reprise de truismes et d'opinions d'évidence 

Et donc, la philosophie à ce besoin de non conformisme une fois qu'on pense que le regard de l'autre via le seul attendu académique est un piège de la pensée car une soumission à ce qu'il convient de penser

Ce que ne comprendra...aucun professeur ... ou de philosophie peut-être 

Qu'est-ce que l'originalité ? Vous avez quatre heure 

il y a 1 minute, anoésiotomie a dit :

Qu'est-ce que l'originalité ? Vous avez quatre heure 

C'est notre origine alitée

Le sujet du divertissement est le sujet philosophique aliéné, mais sous une forme d'aliénation particulière, celle justement du divertissement. Le divertissement est une activité qui paraît inoffensive, familière, inoffensive parce que familière. Il n'y a pas de mal à se divertir, n'est-ce pas ? C'est tellement commun dans nos sociétés... Mais du point de vue de la philosophie, il y a un mal pour le sujet philosophique à ne pas approfondir la connaissance qu'il a de lui-même, en tant que noumène comme en tant que phénomène (Kant), il y a un mal à s'oublier dans une activité autre que la pure philosophie qui, seule, est à même d'élever le sujet vers une meilleure connaissance de soi et du monde.

Attendez, je me ressers un verre... Voili-voilà, hop-là !

Arrêtons-nous un instant sur le terme aliénation : il signifie à la base "s'éloigner dans". Ainsi les aliénés étaient à l'origine les fous, ceux dont la conscience s'éloignaient ailleurs, dans la folie. Plus tard, le terme aliénation a signifié pour Hegel le fait pour une conscience de se rendre étrangère à elle-même, souvent sans s'en apercevoir. Ainsi la conscience du sujet philosophique sous l'influence du divertissement est aliénée dans ce dernier, aliénée dans un objet qui le dépossède de cette envie de se connaître, qui le dépossède de l'exercice de sa liberté via la pratique philosophique. 

Bon... Je dois l'avouer, ce post est écrit sous influence d'un trop plein d'alcool : tout y est donc déformé, comme mes synapses sous l'influence de l'éthanol. 

Il est en effet aisé d'y rétorquer : si le divertissement est un objet étranger à la conscience du sujet philosophique, la philosophie en tant que pratique est tout autant un objet & un but pouvant être considérés comme étrangers au sujet pensant, tant le fait de penser de manière philosophique n'est en aucun cas une pratique naturelle. Ainsi, le divertissement comme la philosophie peuvent être vus comme des objets étrangers au sujet primaire, et celui-ci est tout autant dans l'aliénation quand il se divertit que quand il philosophe.

Hips !

il y a 17 minutes, Tequila Moor a dit :

Le sujet du divertissement est le sujet philosophique aliéné, mais sous une forme d'aliénation particulière, celle justement du divertissement. Le divertissement est une activité qui paraît inoffensive, familière, inoffensive parce que familière. Il n'y a pas de mal à se divertir, n'est-ce pas ? C'est tellement commun dans nos sociétés... Mais du point de vue de la philosophie, il y a un mal pour le sujet philosophique à ne pas approfondir la connaissance qu'il a de lui-même, en tant que noumène comme en tant que phénomène (Kant), il y a un mal à s'oublier dans une activité autre que la pure philosophie qui, seule, est à même d'élever le sujet vers une meilleure connaissance de soi et du monde.

Attendez, je me ressers un verre... Voili-voilà, hop-là !

Arrêtons-nous un instant sur le terme aliénation : il signifie à la base "s'éloigner dans". Ainsi les aliénés étaient à l'origine les fous, ceux dont la conscience s'éloignaient ailleurs, dans la folie. Plus tard, le terme aliénation a signifié pour Hegel le fait pour une conscience de se rendre étrangère à elle-même, souvent sans s'en apercevoir. Ainsi la conscience du sujet philosophique sous l'influence du divertissement est aliénée dans ce dernier, aliénée dans un objet qui le dépossède de cette envie de se connaître, qui le dépossède de l'exercice de sa liberté via la pratique philosophique. 

Bon... Je dois l'avouer, ce post est écrit sous influence d'un trop plein d'alcool : tout y est donc déformé, comme mes synapses sous l'influence de l'éthanol. 

Il est en effet aisé d'y rétorquer : si le divertissement est un objet étranger à la conscience du sujet philosophique, la philosophie en tant que pratique est tout autant un objet & un but pouvant être considérés comme étrangers au sujet pensant, tant le fait de penser de manière philosophique n'est en aucun cas une pratique naturelle. Ainsi, le divertissement comme la philosophie peuvent être vus comme des objets étrangers au sujet primaire, et celui-ci est tout autant dans l'aliénation quand il se divertit que quand il philosophe.

Hips !

Divertissant!

Il y a 21 heures, Elisa* a dit :

Ici on a un grand philosophe qui va pouvoir t’aider… SOS d’un pauvre humain en détresse :@Crom- est demandé ! 

Bonjour

OUI , mais nous avons Monsieur Talon qui à des connaissances élevées sur la Philosophie.

Bonne journée

il y a 21 minutes, le merle a dit :

Bonjour

OUI , mais nous avons Monsieur Talon qui à des connaissances élevées sur la Philosophie.

Bonne journée

Oui et d’autres mais je plaisantais…