Le point de non retour

C'est quoi pour vous? 

Là d'où aucune marche arrière n'est possible? 

Là où tout est dit? 

Là où toute communication est fermée? 

Là où le retour est interdit?

( serais ce là où on tue l'espoir et la continuité...)

Pour moi, c'est une limite que je sais franchie, c'est très intérieur. Comme je le dit , c'est mort. 

une trahison que ce soit amoureux ou amical

C'est le temps. Il avance inexorablement et ne recule pas. Et ne s'arrête jamais : il s'arrête combien de temps ?

il y a une heure, Lowy a dit :

C'est quoi pour vous? 

Là d'où aucune marche arrière n'est possible? 

Là où tout est dit? 

Là où toute communication est fermée? 

Là où le retour est interdit?

( serais ce là où on tue l'espoir et la continuité...)

La simple réalité des choses de la vie, rien ne peut être retourner et c'est la grande erreur de Nietzsche...

Il y a 2 heures, Lowy a dit :

C'est quoi pour vous? 

Là d'où aucune marche arrière n'est possible? 

Là où tout est dit? 

Là où toute communication est fermée? 

Là où le retour est interdit?

( serais ce là où on tue l'espoir et la continuité...)

C'est le jour de notre naissance.

Existe il un bonheur plus élevé que celui de ne pas être né ?...

il y a une heure, Wave1 a dit :

C'est le jour de notre naissance.

Existe il un bonheur plus élevé que celui de ne pas être né ?...

Ressentir sa non naissance, c'est exister , non? 

Il y a 2 heures, Don Juan a dit :

La simple réalité des choses de la vie, rien ne peut être retourner et c'est la grande erreur de Nietzsche...

Et si on inversait? 

Si le sens des choses se trouvait dans notre capacité à les changer...

Il y a 3 heures, Talon 1 a dit :

C'est le temps. Il avance inexorablement et ne recule pas. Et ne s'arrête jamais : il s'arrête combien de temps ?

Le temps est traitre.

Devons nous , nous y plier?

Les traitres ne sont pas de bons compagnons.

Il y a 2 heures, Lowy a dit :

Ressentir sa non naissance, c'est exister , non? 

Et si on inversait? 

Si le sens des choses se trouvait dans notre capacité à les changer

Alors là tu m'intéresses au plus haut point,  mais je ne vois pas le rapport avec un retour quelconque, changer le monde est probablement une des possibilités dont potentiellement le surhumain disposera, mais absolument pas en comptant sur un retour.

il y a 4 minutes, Don Juan a dit :

Alors là tu m'intéresses au plus haut point,  mais je ne vois pas le rapport avec un retour quelconque, changer le monde est probablement une des possibilités dont potentiellement le surhumain disposera, mais absolument pas en comptant sur un retour.

Point de non retour: dépassement d'une ligne dont on ne peut revenir en arrière.

Vie: Mouvement, changement 

il y a 2 minutes, Lowy a dit :

Point de non retour: dépassement d'une ligne dont on ne peut revenir en arrière.

Vie: Mouvement, changement 

 

En effet oui, merci.

il y a 7 minutes, Don Juan a dit :

En effet oui, merci.

Mais comme la vie est changement , mouvement , ces lignes ne déterminent pas une vie.

( je ne sais pas si je me fais comprendre...)

Il y a 8 heures, Lowy a dit :

C'est quoi pour vous? 

Là d'où aucune marche arrière n'est possible? 

Là où tout est dit? 

Là où toute communication est fermée? 

Là où le retour est interdit?

( serais ce là où on tue l'espoir et la continuité...)

La mort, tout le reste est réversible.

Il y a 19 heures, Lowy a dit :

C'est quoi pour vous? 

Là d'où aucune marche arrière n'est possible? 

Là où tout est dit? 

Là où toute communication est fermée? 

Là où le retour est interdit?

( serais ce là où on tue l'espoir et la continuité...)

Il me semble que le point de non retour existe pour un être qui est soumis à un plus grand être, et qui n'est plus capable de se réhabiliter selon la loi imposée par le grand être (manque de connaissance, inertie). Il y a une divergence d'un niveau bas de l'être par rapport à un plus haut niveau, et donc une conséquence implacable qui vient du plus grand niveau d'être plus durable et puissant du point de vue de l'être plus bas.

Par exemple, sauter du haut d'un immeuble est un point de non retour pour l'intégrité de son incarnation physique. L'adulte connaît la loi de la gravité, de l'accélération, du choc et le danger, mais l'enfant qui manque de connaissance, qui est détaché de la protection adulte, se jette dans le vide. Point de non retour.  L'enfant dont l'identité se stratifie vers sa famille, communauté, l'univers, brise par le bas niveau de son identité une loi de son identité plus haute (l'univers). Quoi que soit la volonté de l'enfant, les lois globales de Dieu s'imposent à lui et le feront tomber.

Pour leur intégrité, les communautés mettent en place des points de non retour conventionels, qui sont basés sur des points de non retours imposés par Dieu. (Si un homme tire une balle dans le cerveau d'un autre, l'autre se désincarne. Si un homme est impulsif et porte des coups sur le travail de l'autre, l'utilité de l'autre et son temps est détruit.). Il y a une forme d'heuristique, de recherche, de quels sont les points de non retours adéquats dans lequel des réponses s'imposent.

Avec nos sociétés rapaces, avides d'idéologies qui implémentent des systèmes, haineuses de l'empirisme, les points de non retours sont parfois virtuels et arbitraires. Il faut élire non pas les gouvernement qui s'aiment eux-même, mais ceux qui aiment le peuple. Si les communautés humaines aiment leur propre peuple, responsabilisent leur propre peuple, partagent le pouvoir avec leur peuple, la "règle d'or"  entre communauté s'applique jusqu'aux l'individus. Sinon, il y a stratification de la race humaine, la règle d'or s'applique entre princes ou systèmes, et tant pis pour les individus ou l'espèce humaine. La règle d'or prend une forme relative et variable, ce qui selon moi n'est pas compatible avec les lois globales distribuées par Dieu, qui témoignent d'un univers optimisé globalement.

Ce n'est pas parce que la sélection naturelle crée des branches dans la création, que les hommes doivent se séparer. Dieu qui a supporté toute la création n'a pas créé de branches dans les lois physiques. Une espèce qui est l'image de Dieu ne s'optimise pas localement, mais globalement tout comme lui, non ? Si l'universalité est l'objectif, les points de non retours prennent peut être la forme des divergences systématiques contre des l'"impératifs catégoriques Kantiens" bien définis, contre les 10 commandements, et autres lois qui font des hommes concrètement des fins réceptives au divin, c'est à dire les place au côté du niveau ultime de direction de l'univers et de la puissance. ( Note: Les divergences et frontières dans l'espèce peuvent être rationnelles, dérivées de principes éthiques pratiques maximisant la règle d'or, comme éviter des "Tours de babel" ).

Un système qui accapare la technologie pour imposer des scissions biologiques, sociales ou environmentales dans l'espèce,  me semble un point de non retour pour la destinée humaine. C'est-à-dire que, si une idéologie antithétique à la volonté de l'univers (disons, qu'elle briserait significativement la règle d'or, en plaçant le méritant sous le contrôle de l'idéologue toxique), est suffisament implémentée pour s'imposer technologiquement à tout les membres de l'espèce humaine, alors ce serait un point de non retour pour l'espèce.

Il y a 2 heures, AdrienMaths a dit :

Il me semble que le point de non retour existe pour un être qui est soumis à un plus grand être, et qui n'est plus capable de se réhabiliter selon la loi imposée par le grand être (manque de connaissance, inertie). Il y a une divergence d'un niveau bas de l'être par rapport à un plus haut niveau, et donc une conséquence implacable qui vient du plus grand niveau d'être plus durable et puissant du point de vue de l'être plus bas.

Par exemple, sauter du haut d'un immeuble est un point de non retour pour l'intégrité de son incarnation physique. L'adulte connaît la loi de la gravité, de l'accélération, du choc et le danger, mais l'enfant qui manque de connaissance, qui est détaché de la protection adulte, se jette dans le vide. Point de non retour.  L'enfant dont l'identité se stratifie vers sa famille, communauté, l'univers, brise par le bas niveau de son identité une loi de son identité plus haute (l'univers). Quoi que soit la volonté de l'enfant, les lois globales de Dieu s'imposent à lui et le feront tomber.

Pour leur intégrité, les communautés mettent en place des points de non retour conventionels, qui sont basés sur des points de non retours imposés par Dieu. (Si un homme tire une balle dans le cerveau d'un autre, l'autre se désincarne. Si un homme est impulsif et porte des coups sur le travail de l'autre, l'utilité de l'autre et son temps est détruit.). Il y a une forme d'heuristique, de recherche, de quels sont les points de non retours adéquats dans lequel des réponses s'imposent.

Avec nos sociétés rapaces, avides d'idéologies qui implémentent des systèmes, haineuses de l'empirisme, les points de non retours sont parfois virtuels et arbitraires. Il faut élire non pas les gouvernement qui s'aiment eux-même, mais ceux qui aiment le peuple. Si les communautés humaines aiment leur propre peuple, responsabilisent leur propre peuple, partagent le pouvoir avec leur peuple, la "règle d'or"  entre communauté s'applique jusqu'aux l'individus. Sinon, il y a stratification de la race humaine, la règle d'or s'applique entre princes ou systèmes, et tant pis pour les individus ou l'espèce humaine. La règle d'or prend une forme relative et variable, ce qui selon moi n'est pas compatible avec les lois globales distribuées par Dieu, qui témoignent d'un univers optimisé globalement.

Ce n'est pas parce que la sélection naturelle crée des branches dans la création, que les hommes doivent se séparer. Dieu qui a supporté toute la création n'a pas créé de branches dans les lois physiques. Une espèce qui est l'image de Dieu ne s'optimise pas localement, mais globalement tout comme lui, non ? Si l'universalité est l'objectif, les points de non retours prennent peut être la forme des divergences systématiques contre des l'"impératifs catégoriques Kantiens" bien définis, contre les 10 commandements, et autres lois qui font des hommes concrètement des fins réceptives au divin, c'est à dire les place au côté du niveau ultime de direction de l'univers et de la puissance. ( Note: Les divergences et frontières dans l'espèce peuvent être rationnelles, dérivées de principes éthiques pratiques maximisant la règle d'or, comme éviter des "Tours de babel" ).

Un système qui accapare la technologie pour imposer des scissions biologiques, sociales ou environmentales dans l'espèce,  me semble un point de non retour pour la destinée humaine. C'est-à-dire que, si une idéologie antithétique à la volonté de l'univers (disons, qu'elle briserait significativement la règle d'or, en plaçant le méritant sous le contrôle de l'idéologue toxique), est suffisament implémentée pour s'imposer technologiquement à tout les membres de l'espèce humaine, alors ce serait un point de non retour pour l'espèce.

Si Dieu c'est la gravité, alors, je crois en Dieu !

Si c'est autre chose, (Comme par exemple celui qui décide de  qui est méritant et qui ne l'est pas) alors, c'est Lui qui est toxique.

(Je rappelle que croire en Dieu et au Dollar c'est la même chose 

Le point de non retour, c'est quand on achète son aller-retour à la SNCF.

Si le train part bien sûr.

Ps - je viens de me tromper de train 

Bien fait pour moi 

À mon avis 

Le point de non-retour est quand la capacité de personne finit à vivre dans son pay
Où elle vit totalement 

Quand elle est très détestée dans sa société
 
Quand elle a vécu une vie très difficile 

Dans ce temps, il faut aller et fermer toutes les communications. 

Et le retour est interdit bien sûr. 

Vers où elle rend ?

Elle n'a pas été considérée une personne désirable du tout.  

Elle n'a pas été considérée comme une personne normale du tout. 

Le retour est interdit ! Vraiment !

L'espoir et la continuité commencent de ce point ! À mon avis 

Et il y a ce qui tue l'espoir et la continuité par le suicide.

Il n'est pas bon à tuer l'espoir et la continuité bien sûr.

Le 26/04/2024 à 11:27, Lowy a dit :

C'est quoi pour vous? 

Là d'où aucune marche arrière n'est possible? 

C'est cela, comme par exemple lorsque l'on s'est mis de son plein gré dans une certaine situation et que l'on est "obligé" d'aller jusqu'au bout, conscient (ou pas) que l'on est en train de commettre une erreur, l'erreur la plus grave de sa vie.

Autre situation:

lorsque l'on a pris un rendez-vous à l'hôpital et que le jour J arrive, on est dans sa chambre d'hôpital et l'intervention prévue est imminente.

Pas de retour en arrière possible, il FAUT y aller.

Autre cas de non-retour, mortel celui-ci:

on est dans un avion (ou tout autre moyen de transport) et celui-ci va se crasher. Impossible de revenir en arrière et de ne pas y monter, dans ce maudit avion.

Le 26/04/2024 à 11:27, Lowy a dit :

C'est quoi pour vous? 

Là où tout est dit? 

Là où toute communication est fermée? 

Lorsque sous l'emprise de la colère, on profère des mots assassins étant autant de coups de couteau en plein coeur de la personne la subissant ou l'ayant provoquée.

Une fois que l'on a recouvré son calme il est impossible de ravaler ses paroles, de les effacer, le mal est fait.