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Le besoin de contrôle lié à l'insécurité dans l'enfance.

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JacKK

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Membre, 55ans Posté(e)
chekhina Membre 516 messages
Forumeur alchimiste ‚ 55ans‚
Posté(e)

Je reviens sur mon passé pour conduire mon action.

Celui qui choie dans le marécage ne trouvera jamais l'explication.

Celui qui s'efforce de rester dans le flux violent de l'action, celle qui mène en avant, celui qui reste tenace à ouvrir de nouvelles voies, celui là se sert de son passé et de ses traumas pour aiguiser la hache grâce à laquelle il abat l'obstacle.

La vie sur terre apparait dans le fracas. Elle s'éteint dans la douceur des oasis.

Chacun, chacune ici spécule sur la cause du désir de contrôle sans s'apercevoir qu'il, elle reste arquebouté.e dans son discours sur le désir de contrôle !

 

 

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Membre, Posté(e)
JacKK Membre 1 462 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, chekhina a dit :

Je reviens sur mon passé pour conduire mon action.

Celui qui choie dans le marécage ne trouvera jamais l'explication.

Celui qui s'efforce de rester dans le flux violent de l'action, celle qui mène en avant, celui qui reste tenace à ouvrir de nouvelles voies, celui là se sert de son passé et de ses traumas pour aiguiser la hache grâce à laquelle il abat l'obstacle.

La vie sur terre apparait dans le fracas. Elle s'éteint dans la douceur des oasis.

Chacun, chacune ici spécule sur la cause du désir de contrôle sans s'apercevoir qu'il, elle reste arquebouté.e dans son discours sur le désir de contrôle !

 

 

Ouais.... des nausées ? 

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Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 603 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)
il y a 34 minutes, chekhina a dit :

Je reviens sur mon passé pour conduire mon action.

Celui qui choie dans le marécage ne trouvera jamais l'explication.

Celui qui s'efforce de rester dans le flux violent de l'action, celle qui mène en avant, celui qui reste tenace à ouvrir de nouvelles voies, celui là se sert de son passé et de ses traumas pour aiguiser la hache grâce à laquelle il abat l'obstacle.

La vie sur terre apparait dans le fracas. Elle s'éteint dans la douceur des oasis.

Chacun, chacune ici spécule sur la cause du désir de contrôle sans s'apercevoir qu'il, elle reste arquebouté.e dans son discours sur le désir de contrôle !

 

 

Si je comprends ce que vous écrivez, ce serait des choix.

On choisit de retourner dans le passé

On choisit de choir

On choisit de rester dans sa merde (je fais un raccourci)

Et par contre on ne choisit pas d'être dans le contrôle

Pourquoi le dernier ne serait pas un choix alors que tous les autres oui.

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Membre, 48ans Posté(e)
Elisa* Membre 11 393 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 19 minutes, Axo lotl a dit :

Pourquoi le dernier ne serait pas un choix alors que tous les autres oui.

Pasque c’est Chekhina qui le dit… Gnagnagna ! :dev:

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Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 603 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)
il y a 58 minutes, Elisa* a dit :

Pasque c’est Chekhina qui le dit… Gnagnagna ! :dev:

Remarquez nous sommes tous convaincus de détenir la vérité. ... Sur nous peut être. Sur les autres rarement.

En lien avec le thème je sors d'une discussion sur les mots " je t'aime" prononcés par les parents.

Est ce que finalement l'absence de ces mots n'est pas la pire insécurité qui soit ? Quel impact l'absence de ces simples mots a sur la construction d'un enfant ?

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Membre, 55ans Posté(e)
chekhina Membre 516 messages
Forumeur alchimiste ‚ 55ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Axo lotl a dit :

Si je comprends ce que vous écrivez, ce serait des choix.

On choisit de retourner dans le passé

On choisit de choir

On choisit de rester dans sa merde (je fais un raccourci)

Et par contre on ne choisit pas d'être dans le contrôle

Pourquoi le dernier ne serait pas un choix alors que tous les autres oui.

Je vois que vous ne comprenez rien. 

Adieu.

Il y a 5 heures, JacKK a dit :

Ouais.... des nausées ? 

La vulgarité en prime, j'aurais tout récolter ici.

 

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 565 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, Axo lotl a dit :

Si je comprends ce que vous écrivez, ce serait des choix.

On choisit de retourner dans le passé

On choisit de choir

On choisit de rester dans sa merde (je fais un raccourci)

Et par contre on ne choisit pas d'être dans le contrôle

Pourquoi le dernier ne serait pas un choix alors que tous les autres oui.

Je crois au contraire qu'il parle de "non choix" c'est à dire le fait de rester bloquer sur une seule vision de notre passé. Sauf erreur de ma part je comprends qu'il y aurait une liberté à envisager d'autres scénarii que ceux établis par notre mémoire. Je crois que le piège est de "choisir" de uniquement se victimiser sans prendre en considération plusieurs autres possibilités. "Ma mère m'a oublié sur une air d'autoroute" devient par mon prisme "ma mère m'a abandonné, elle ne voulait plus de moi, parce que je suis un mauvais fils"... si je reste sur ce scénario, si je "choisis" de rester sur ce scénario alors je renforce ma peur de l'abandon, du rejet etc. Mais il existe plein d'autres scénario possible: "Ma mère m'a oublié sur une air d'autoroute", parce que je dormais quand elle s'est arrêté prendre de l'essence, puis elle est partie payer, puis j'ai eu envie d'aller aux WC et quand je suis sorti elle avait repris la route. 

Bien entendu ce n'est pas valable pour les vrais traumas avérés pour lesquels je n'ai pas de réponse, pour lesquels il n'y a sans doute pas de réponse, pour lesquels en tout cas je n'ai jamais réussi à apporter une solution. Mais déjà ça peut répondre à pas mal de gens qui ont plus fabriqué un trauma par leur imaginaire, par leur prisme, que subit un vrai trauma. 

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Membre, 48ans Posté(e)
Elisa* Membre 11 393 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Axo lotl a dit :

Est ce que finalement l'absence de ces mots n'est pas la pire insécurité qui soit ? Quel impact l'absence de ces simples mots a sur la construction d'un enfant ?

Je « m’esclaffais » sur la première phrase de ton post et n’avais pas vu encore la suite.

A mon sens, clairement oui… non seulement un sentiment fort d’insécurité mais en plus c’est terriblement destructeur !

Ac ce questionnement ravageur « mais pourquoi ? », « qu’est-ce que j’ai fait de mal ? », un sentiment d’infériorité peut se développer ac tout ce que cela engendre comme points négatifs sur soi et dans la relation aux autres. 

Modifié par Elisa*
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Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 603 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)
il y a 20 minutes, Crabe_fantome a dit :

Je crois au contraire qu'il parle de "non choix" c'est à dire le fait de rester bloquer sur une seule vision de notre passé. Sauf erreur de ma part je comprends qu'il y aurait une liberté à envisager d'autres scénarii que ceux établis par notre mémoire. Je crois que le piège est de "choisir" de uniquement se victimiser sans prendre en considération plusieurs autres possibilités. "Ma mère m'a oublié sur une air d'autoroute" devient par mon prisme "ma mère m'a abandonné, elle ne voulait plus de moi, parce que je suis un mauvais fils"... si je reste sur ce scénario, si je "choisis" de rester sur ce scénario alors je renforce ma peur de l'abandon, du rejet etc. Mais il existe plein d'autres scénario possible: "Ma mère m'a oublié sur une air d'autoroute", parce que je dormais quand elle s'est arrêté prendre de l'essence, puis elle est partie payer, puis j'ai eu envie d'aller aux WC et quand je suis sorti elle avait repris la route. 

Bien entendu ce n'est pas valable pour les vrais traumas avérés pour lesquels je n'ai pas de réponse, pour lesquels il n'y a sans doute pas de réponse, pour lesquels en tout cas je n'ai jamais réussi à apporter une solution. Mais déjà ça peut répondre à pas mal de gens qui ont plus fabriqué un trauma par leur imaginaire, par leur prisme, que subit un vrai trauma. 

Certes, sur un fait, quand c'est toute ton enfance ? Et puis c'est bien de rationaliser son passé d'enfants avec son intelligence d'adulte, mais quand tu es un enfant de 6 ans et que papa te fait passer la nuit dehors dans la niche du chien pendant un mois de novembre. On peut a l'âge adulte se dire, bon je vais faire ma victime, papa voulait dans doute me préparer à survivre à la troisième guerre mondiale, trop sympa papa. En attendant quand tu as 6 ans tu vois juste que toute pelés dehors et que tu as la trouille.

Quand ta mère te dit toute ton enfance, t'es une merde, on peut arrêter de s'en plaindre en se disant pauvre maman, c'est pas sa faute, elle veut me donner le sens du challenge.

Faut arrêter les conneries à un moment, les gens font ce qu ils peuvent, certains s'en sortent, d'autres pas.

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Membre, Posté(e)
JacKK Membre 1 462 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Axo lotl a dit :

Faut arrêter les conneries à un moment, 

Si seulement.

Mais puisque certains viennent dire avec toute leur prétention habituelle : Ah ben pour une fois j'ai pas la solution....

Ce foutage de gueule, sérieux. 

il y a une heure, chekhina a dit :

Adieu.

Adieu donc. 

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 229 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Axo lotl a dit :

Remarquez nous sommes tous convaincus de détenir la vérité. ... Sur nous peut être. Sur les autres rarement.

En lien avec le thème je sors d'une discussion sur les mots " je t'aime" prononcés par les parents.

Est ce que finalement l'absence de ces mots n'est pas la pire insécurité qui soit ? Quel impact l'absence de ces simples mots a sur la construction d'un enfant ?

Aucun...ce ne sont pas les mots qui comptent, ce sont les actes...

N'importe qui peut dire je t'aime..ça mange pas de pain...

il y a 32 minutes, Crabe_fantome a dit :

Je crois au contraire qu'il parle de "non choix" c'est à dire le fait de rester bloquer sur une seule vision de notre passé. Sauf erreur de ma part je comprends qu'il y aurait une liberté à envisager d'autres scénarii que ceux établis par notre mémoire. Je crois que le piège est de "choisir" de uniquement se victimiser sans prendre en considération plusieurs autres possibilités. "Ma mère m'a oublié sur une air d'autoroute" devient par mon prisme "ma mère m'a abandonné, elle ne voulait plus de moi, parce que je suis un mauvais fils"... si je reste sur ce scénario, si je "choisis" de rester sur ce scénario alors je renforce ma peur de l'abandon, du rejet etc. Mais il existe plein d'autres scénario possible: "Ma mère m'a oublié sur une air d'autoroute", parce que je dormais quand elle s'est arrêté prendre de l'essence, puis elle est partie payer, puis j'ai eu envie d'aller aux WC et quand je suis sorti elle avait repris la route. 

Bien entendu ce n'est pas valable pour les vrais traumas avérés pour lesquels je n'ai pas de réponse, pour lesquels il n'y a sans doute pas de réponse, pour lesquels en tout cas je n'ai jamais réussi à apporter une solution. Mais déjà ça peut répondre à pas mal de gens qui ont plus fabriqué un trauma par leur imaginaire, par leur prisme, que subit un vrai trauma. 

Chuuuuut...

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Membre, Posté(e)
JacKK Membre 1 462 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
à l’instant, Morfou a dit :

Aucun...ce ne sont pas les mots qui comptent, ce sont les actes.

Entièrement d'accord avec ça. Des parents matraitants ont aussi des moments où ils disent je t'aime, achète des cadeaux etc... parfois même d'autres parents tentent d'être ce parent parfait entre deux crises de.... maltraitance. Les mots ne suffisent pas. Les actes ont nettement plus de valeur. 

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 229 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, Elisa* a dit :

Je « m’esclaffais » sur la première phrase de ton post et n’avais pas vu encore la suite.

A mon sens, clairement oui… non seulement un sentiment fort d’insécurité mais en plus c’est terriblement destructeur !

Ac ce questionnement ravageur « mais pourquoi ? », « qu’est-ce que j’ai fait de mal ? », un sentiment d’infériorité peut se développer ac tout ce que cela engendre comme points négatifs sur soi et dans la relation aux autres. 

:mur:

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 889 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Le postulat de départ ce sont des mises en insécurité et des maltraitances réelles. Ne faites pas dévier le sujet. Merci. 

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Membre, 49ans Posté(e)
Axo lotl Membre 10 603 messages
Maitre des forums‚ 49ans‚
Posté(e)
il y a 32 minutes, JacKK a dit :

Entièrement d'accord avec ça. Des parents matraitants ont aussi des moments où ils disent je t'aime, achète des cadeaux etc... parfois même d'autres parents tentent d'être ce parent parfait entre deux crises de.... maltraitance. Les mots ne suffisent pas. Les actes ont nettement plus de valeur. 

Donc un enfant qui grandit sans entendre une seule fois je t'aime n'en souffre pas.

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Membre, 54ans Posté(e)
Danoketian Membre 14 146 messages
Maitre des forums‚ 54ans‚
Posté(e)
il y a 23 minutes, Axo lotl a dit :

 

Donc un enfant qui grandit sans entendre une seule fois je t'aime n'en souffre pas.

Oui j'en fais parti et j'en ai pas souffert. 

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Membre, 73ans Posté(e)
Morfou Membre 57 229 messages
Maitre des forums‚ 73ans‚
Posté(e)
il y a 25 minutes, January a dit :

Le postulat de départ ce sont des mises en insécurité et des maltraitances réelles. Ne fais pas dévier le sujet. Merci. 

Je ne voudrais pas polémiquer, mais un enfant que l'on met à la maternelle peut se sentir en insécurité sinon abandonné...il peut pleurer toute l'année quand maman our papa l'y laisse...est-ce pour autant de la maltraitance?

Par contre, un enfant abandonné à la naissance ressent ce rejet de la mère...il souffrira longtemps d'insécurité...ces bébés sont suivis par une psy...mais le comportement est là...on ne peut l'ignorer...je sais de quoi je parle...de mon dernier petit-fils adopté à 3mois  et né sur une aire d'auto route dans une ambulance...4ans et demi aujourd'hui...beaucoup moins dans l'insécurité...mais pas tant que ça en fait! de mon point de vue!

il y a 23 minutes, Axo lotl a dit :

 

Donc un enfant qui grandit sans entendre une seule fois je t'aime n'en souffre pas.

Mon second fils s'est suicidé...il avait 3 jeunes enfants qu'il adorait...il leur disait je t'aime 10 fois/jour...pourtant il les a abandonné...

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 889 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Je crois qu'il faut cesser de répondre à la provocation stupide. Même si pour le coup je comprends bien les réactions... 

KEEP CALM.png

  

L'insécurité dans l'enfance ça donne principalement le TAG, verrous, angoisses, paniques, insomnies, H24, pour ne citer que ça. Non,  ça n'est pas confortable non, vu le nombre de personnes qui décident d'en finir...

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Membre, Posté(e)
JacKK Membre 1 462 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 37 minutes, Axo lotl a dit :

Donc un enfant qui grandit sans entendre une seule fois je t'aime n'en souffre pas.

Si seuls les mots manquent, oui. Mais difficile d'être affirmatif. Peut être qu'un gamin en souffrira. Y a pas de règle. 

Modifié par JacKK
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Membre, Posté(e)
JacKK Membre 1 462 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 28 minutes, Morfou a dit :

de mon point de vue!

On a tous un point de vue c'est comme les....

Mais un point de vue c'est pas une règle. Un gamin comme le dit axo qui n'entendra jamais les mots qu'il espère, en souffrira peut être pendant des années. Après toit ni toi ni moi pouvons affirmer que ce serait un menteur ou un type qui trouve que c'est plus confortable comme ça. 

La douleur c'est subjectif. Personne ne réagit ou ne ressent les choses de la même manière. 

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