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kinobunika joy

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Membre, Posté(e)
kinobunika joy Membre 4 505 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

 Bonjour

c/c CAPITAL du 29 novembre 2023..

Avant de me répondre qu'il n'aurait pas dû fumer, il semble que des non fumeurs peuvent être atteints de ce cancer...

Belle après midi à tous.

C’est un cri du cœur en forme d’appel à l’aide. Il est poussé par un septuagénaire, Jean-Pierre, habitant à Favières, en Meurthe-et-Moselle. Atteint d’un cancer du poumon à l’âge de 52 ans, il prend un traitement depuis dix ans pour lutter contre toute rechute, raconte Le Républicain lorrain. Son médicament, c’est l’Iressa 250 mg du laboratoire AstraZeneca. Problème, au mois de février dernier, lorsqu’il se présente à sa pharmacie pour le récupérer, c’est la douche froide : il est remboursé, mais plus qu’à 60%. Au tarif du générique. Un montant colossal, car la boîte est vendue 1 390 euros, ce qui représente donc 635 euros à payer de sa poche.

Pour lui, «impossible» de prendre les médicaments génériques, dont les molécules ne lui conviennent pas. «Je ne tenais plus debout, j’étais vraiment malade», explique-t-il au micro de BFMTV. Idem pour le médicament d’un autre laboratoire. Alors, le septuagénaire décide de prendre le taureau par les cornes en contactant son député, puis le laboratoire AstraZeneca et la Sécurité sociale, qui lui répond de manière laconique. «Ils m’ont dit que je n’avais pas d’autre choix que de payer ou contacter le laboratoire pour voir s’ils pouvaient me faire un prix», indique-t-il.

 
À LIRE AUSSIMédicaments, consultations… pourquoi vous risquez de payer plus cher en 2024

«Je ne lui coûterai plus rien»

Échaudé par cette réponse, Jean-Pierre a donc décidé d’arrêter de se soigner depuis deux mois. «Terminé, je ne me soignerai plus. La Sécu veut faire des économies, elle en fera puisque je ne lui coûterai plus rien», fustige-t-il. Et d’ajouter, abattu : «Je me suis battu contre une maladie, et aujourd’hui il faut que je me batte pour avoir un médicament pour me soigner.» Le retraité a également tenté un dernier recours : une lettre au ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.

Il commence son courrier par ces mots : «Depuis deux mois, je ne prends plus de traitement.» Pour l’instant, il n’a pas reçu de réponse, alors que le Code de la santé publique est clair dans ce genre de cas : si un patient ne peut pas prendre un médicament générique, ou présente une contre-indication à celui-ci, alors il doit pouvoir avoir accès au médicament original. Pas applicable dans ce cas, a répondu la Sécurité sociale à BFMTV. Seule une intervention du ministre ou du laboratoire pourrait désormais débloquer son dossier.

 
 
 
 
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Membre, 62ans Posté(e)
MadeleinedeProut Membre 5 502 messages
Maitre des forums‚ 62ans‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, kinobunika joy a dit :

 Bonjour

c/c CAPITAL du 29 novembre 2023..

Avant de me répondre qu'il n'aurait pas dû fumer, il semble que des non fumeurs peuvent être atteints de ce cancer...

Belle après midi à tous.

C’est un cri du cœur en forme d’appel à l’aide. Il est poussé par un septuagénaire, Jean-Pierre, habitant à Favières, en Meurthe-et-Moselle. Atteint d’un cancer du poumon à l’âge de 52 ans, il prend un traitement depuis dix ans pour lutter contre toute rechute, raconte Le Républicain lorrain. Son médicament, c’est l’Iressa 250 mg du laboratoire AstraZeneca. Problème, au mois de février dernier, lorsqu’il se présente à sa pharmacie pour le récupérer, c’est la douche froide : il est remboursé, mais plus qu’à 60%. Au tarif du générique. Un montant colossal, car la boîte est vendue 1 390 euros, ce qui représente donc 635 euros à payer de sa poche.

Pour lui, «impossible» de prendre les médicaments génériques, dont les molécules ne lui conviennent pas. «Je ne tenais plus debout, j’étais vraiment malade», explique-t-il au micro de BFMTV. Idem pour le médicament d’un autre laboratoire. Alors, le septuagénaire décide de prendre le taureau par les cornes en contactant son député, puis le laboratoire AstraZeneca et la Sécurité sociale, qui lui répond de manière laconique. «Ils m’ont dit que je n’avais pas d’autre choix que de payer ou contacter le laboratoire pour voir s’ils pouvaient me faire un prix», indique-t-il.

 
À LIRE AUSSIMédicaments, consultations… pourquoi vous risquez de payer plus cher en 2024

«Je ne lui coûterai plus rien»

Échaudé par cette réponse, Jean-Pierre a donc décidé d’arrêter de se soigner depuis deux mois. «Terminé, je ne me soignerai plus. La Sécu veut faire des économies, elle en fera puisque je ne lui coûterai plus rien», fustige-t-il. Et d’ajouter, abattu : «Je me suis battu contre une maladie, et aujourd’hui il faut que je me batte pour avoir un médicament pour me soigner.» Le retraité a également tenté un dernier recours : une lettre au ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.

Il commence son courrier par ces mots : «Depuis deux mois, je ne prends plus de traitement.» Pour l’instant, il n’a pas reçu de réponse, alors que le Code de la santé publique est clair dans ce genre de cas : si un patient ne peut pas prendre un médicament générique, ou présente une contre-indication à celui-ci, alors il doit pouvoir avoir accès au médicament original. Pas applicable dans ce cas, a répondu la Sécurité sociale à BFMTV. Seule une intervention du ministre ou du laboratoire pourrait désormais débloquer son dossier.

 
 
 
 

Son médecin, son pharmacien ne peuvent pas le soutenir??????

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Membre, 69ans Posté(e)
Phylou Membre 12 752 messages
Maitre des forums‚ 69ans‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, kinobunika joy a dit :

 Bonjour

c/c CAPITAL du 29 novembre 2023..

Avant de me répondre qu'il n'aurait pas dû fumer, il semble que des non fumeurs peuvent être atteints de ce cancer...

Belle après midi à tous.

C’est un cri du cœur en forme d’appel à l’aide. Il est poussé par un septuagénaire, Jean-Pierre, habitant à Favières, en Meurthe-et-Moselle. Atteint d’un cancer du poumon à l’âge de 52 ans, il prend un traitement depuis dix ans pour lutter contre toute rechute, raconte Le Républicain lorrain. Son médicament, c’est l’Iressa 250 mg du laboratoire AstraZeneca. Problème, au mois de février dernier, lorsqu’il se présente à sa pharmacie pour le récupérer, c’est la douche froide : il est remboursé, mais plus qu’à 60%. Au tarif du générique. Un montant colossal, car la boîte est vendue 1 390 euros, ce qui représente donc 635 euros à payer de sa poche.

Pour lui, «impossible» de prendre les médicaments génériques, dont les molécules ne lui conviennent pas. «Je ne tenais plus debout, j’étais vraiment malade», explique-t-il au micro de BFMTV. Idem pour le médicament d’un autre laboratoire. Alors, le septuagénaire décide de prendre le taureau par les cornes en contactant son député, puis le laboratoire AstraZeneca et la Sécurité sociale, qui lui répond de manière laconique. «Ils m’ont dit que je n’avais pas d’autre choix que de payer ou contacter le laboratoire pour voir s’ils pouvaient me faire un prix», indique-t-il.

 
À LIRE AUSSIMédicaments, consultations… pourquoi vous risquez de payer plus cher en 2024

«Je ne lui coûterai plus rien»

Échaudé par cette réponse, Jean-Pierre a donc décidé d’arrêter de se soigner depuis deux mois. «Terminé, je ne me soignerai plus. La Sécu veut faire des économies, elle en fera puisque je ne lui coûterai plus rien», fustige-t-il. Et d’ajouter, abattu : «Je me suis battu contre une maladie, et aujourd’hui il faut que je me batte pour avoir un médicament pour me soigner.» Le retraité a également tenté un dernier recours : une lettre au ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.

Il commence son courrier par ces mots : «Depuis deux mois, je ne prends plus de traitement.» Pour l’instant, il n’a pas reçu de réponse, alors que le Code de la santé publique est clair dans ce genre de cas : si un patient ne peut pas prendre un médicament générique, ou présente une contre-indication à celui-ci, alors il doit pouvoir avoir accès au médicament original. Pas applicable dans ce cas, a répondu la Sécurité sociale à BFMTV. Seule une intervention du ministre ou du laboratoire pourrait désormais débloquer son dossier.

 
 
 
 

Et il n'a pas de mutuelle pour prendre en charge la différence ?

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
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Quelqu'un peut m'expliquer pourquoi un médicament générique a les mêmes molécules que l'original (sinon c'est pas la peine de faire un générique ) mais qu'en fait ce n'est pas la même chose ? 

Il suffit de faire un procès au labo : monsieur, votre générique est un faux ! 

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Membre, Posté(e)
Pierrot89 Membre 9 162 messages
Maitre des forums‚
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il y a une heure, kinobunika joy a dit :

 Bonjour

c/c CAPITAL du 29 novembre 2023..

Avant de me répondre qu'il n'aurait pas dû fumer, il semble que des non fumeurs peuvent être atteints de ce cancer...

Belle après midi à tous.

C’est un cri du cœur en forme d’appel à l’aide. Il est poussé par un septuagénaire, Jean-Pierre, habitant à Favières, en Meurthe-et-Moselle. Atteint d’un cancer du poumon à l’âge de 52 ans, il prend un traitement depuis dix ans pour lutter contre toute rechute, raconte Le Républicain lorrain. Son médicament, c’est l’Iressa 250 mg du laboratoire AstraZeneca. Problème, au mois de février dernier, lorsqu’il se présente à sa pharmacie pour le récupérer, c’est la douche froide : il est remboursé, mais plus qu’à 60%. Au tarif du générique. Un montant colossal, car la boîte est vendue 1 390 euros, ce qui représente donc 635 euros à payer de sa poche.

Pour lui, «impossible» de prendre les médicaments génériques, dont les molécules ne lui conviennent pas. «Je ne tenais plus debout, j’étais vraiment malade», explique-t-il au micro de BFMTV. Idem pour le médicament d’un autre laboratoire. Alors, le septuagénaire décide de prendre le taureau par les cornes en contactant son député, puis le laboratoire AstraZeneca et la Sécurité sociale, qui lui répond de manière laconique. «Ils m’ont dit que je n’avais pas d’autre choix que de payer ou contacter le laboratoire pour voir s’ils pouvaient me faire un prix», indique-t-il.

 
À LIRE AUSSIMédicaments, consultations… pourquoi vous risquez de payer plus cher en 2024

«Je ne lui coûterai plus rien»

Échaudé par cette réponse, Jean-Pierre a donc décidé d’arrêter de se soigner depuis deux mois. «Terminé, je ne me soignerai plus. La Sécu veut faire des économies, elle en fera puisque je ne lui coûterai plus rien», fustige-t-il. Et d’ajouter, abattu : «Je me suis battu contre une maladie, et aujourd’hui il faut que je me batte pour avoir un médicament pour me soigner.» Le retraité a également tenté un dernier recours : une lettre au ministre de la Santé, Aurélien Rousseau.

Il commence son courrier par ces mots : «Depuis deux mois, je ne prends plus de traitement.» Pour l’instant, il n’a pas reçu de réponse, alors que le Code de la santé publique est clair dans ce genre de cas : si un patient ne peut pas prendre un médicament générique, ou présente une contre-indication à celui-ci, alors il doit pouvoir avoir accès au médicament original. Pas applicable dans ce cas, a répondu la Sécurité sociale à BFMTV. Seule une intervention du ministre ou du laboratoire pourrait désormais débloquer son dossier.

 
 
 
 

Bonjour,

Je ne comprends pas que des patients puissent refuser un générique dont la molécule est identique au médicament initial.

Seul le médecin soignant pourrait signer une dérogation avec un argumentaire valable.

il y a une heure, Crabe_fantome a dit :

Quelqu'un peut m'expliquer pourquoi un médicament générique a les mêmes molécules que l'original (sinon c'est pas la peine de faire un générique ) mais qu'en fait ce n'est pas la même chose ? 

Il suffit de faire un procès au labo : monsieur, votre générique est un faux ! 

Un médicament générique a la même molécule qu'un médicament de base.

Simplement il est "tombé" dans le domaine public (au bout d'une quinzaine d'année environ)  et peut être fabriqué par le laboratoire initial ou un autre laboratoire.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
il y a 6 minutes, Pierrot89 a dit :

Un médicament générique a la même molécule qu'un médicament de base.

Simplement il est "tombé" dans le domaine public (au bout d'une quinzaine d'année environ)  et peut être fabriqué par le laboratoire initial ou un autre laboratoire

Du coup c'est possible que le gars fasse une sorte de placebo inversé ? Genre il prend la même chose mais comme c'est pas la même boîte il croit qu'il n'y a plus rien à voir avec son médicament?

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Membre, 106ans Posté(e)
LAKLAS Membre 14 801 messages
Maitre des forums‚ 106ans‚
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il y a 8 minutes, Pierrot89 a dit :

un générique dont la molécule est identique au médicament initial.

Apparemment ce n'est pas le cas puisque avec le générique il a des effets secondaires insupportables qu'il n'avait pas avec l'original  tout le problème est là !!

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Membre, Posté(e)
Pierrot89 Membre 9 162 messages
Maitre des forums‚
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il y a 4 minutes, Crabe_fantome a dit :

Du coup c'est possible que le gars fasse une sorte de placebo inversé ? Genre il prend la même chose mais comme c'est pas la même boîte il croit qu'il n'y a plus rien à voir avec son médicament?

Je ne sais pas, peut être effet placebo inverse : le patient croit que c'est différent et pense que le générique est moins efficace ?

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Membre, 81ans Posté(e)
lafeeclochette Membre 6 372 messages
Maitre des forums‚ 81ans‚
Posté(e)
il y a une heure, kinobunika joy a dit :

Avant de me répondre qu'il n'aurait pas dû fumer, il semble que des non fumeurs peuvent être atteints de ce cancer..

C'est très juste et j'en parle en connaissance de cause. Ca n'empêche que si tu as été entouré de fumeurs durant quelques années tu risques autant qu'un fumeur.

J'avais lu que ce monsieur prenait ce traitement depuis 10 ans et ça fonctionnait "apparemment" très bien, il semblerait qu'on lui ait proposé un "générique" et il prétend ne pas les supporter. Ce que je ne comprends pas, c'est qu'une ALD (c'est son cas) est prise en charge à 100% et cela pendant 5 ans, renouvelables, peu importe le traitement, à moins que ça n'est changé depuis. 

Très compliqué tout ça.

 

 

 

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Membre, 106ans Posté(e)
LAKLAS Membre 14 801 messages
Maitre des forums‚ 106ans‚
Posté(e)
il y a 27 minutes, lafeeclochette a dit :

à moins que ça n'est changé depuis. 

Beaucoup de choses ont changé sous le règne Macron sans que bfmtv n'en parle.... notamment en matière de santé. Ce sera à chacun de faire sa petite découverte !  :wink:

Modifié par LAKLAS
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Membre, Posté(e)
kinobunika joy Membre 4 505 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, MadeleinedeProut a dit :

Son médecin, son pharmacien ne peuvent pas le soutenir??????

MadeleinedeProut bonjour,

peut être qu'après cet article de Capital le feront-ils....

Belle fin d'après midi à vous.

Il y a 1 heure, Phylou a dit :

Et il n'a pas de mutuelle pour prendre en charge la différence ?

Phylou bonjour,

il semble abandonné de ce coté là également.

Belle fin d'après midi à vous.

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Membre, 69ans Posté(e)
Phylou Membre 12 752 messages
Maitre des forums‚ 69ans‚
Posté(e)
il y a 11 minutes, kinobunika joy a dit :

il semble abandonné de ce coté là également

?

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Membre, Posté(e)
kinobunika joy Membre 4 505 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Crabe_fantome a dit :

Quelqu'un peut m'expliquer pourquoi un médicament générique a les mêmes molécules que l'original (sinon c'est pas la peine de faire un générique ) mais qu'en fait ce n'est pas la même chose ? 

Il suffit de faire un procès au labo : monsieur, votre générique est un faux ! 

Crabe fantome bonjour,

je crois savoir que parfois les effets secondaires peuvent provenir des excipients.

Une amie malade de la thyroïde qui prend le "nouveau" Levothyrox le supporte mal et a des effets secondaires comme des dizaines de patients 

en ont  or on lui a expliqué que ces effets secondaires n'étaient qu'une vue de l'esprit et que la levothyroxine contenu dans ce médicament

n'a pas changé, mais:

un excipient a changé le lactose a été remplacé par du Mannitol et..le Mannitol est "incompatibe" avec la levothyroxine qui compose le 

levothyroxe.

Certes la seconde formule n'est pas un médicament générique mais c'est pour vous donner un exemple qui prouve que chez certains

patients le fait de changer un excipient peut être préjudiciable quoi qu'on en dise.

Belle fin d'après midi à vous.

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Membre, 106ans Posté(e)
LAKLAS Membre 14 801 messages
Maitre des forums‚ 106ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Phylou a dit :

Et il n'a pas de mutuelle pour prendre en charge la différence ?

Les mutuelles sont des assurances , leur objectif c'est de gagner de l'argent et si tu leur coûte trop cher elles te dégagent. Une mutuelle santé c'est de l'arnaque...Tu cotises beaucoup plus que ce qu'ils te remboursent  !! Ceux qui n'y font pas attention ne s'en rendent pas compte bien sûr mais ceux qui font leurs comptes et qui font le ratio entre versements chaque mois et remboursements sont de plus en plus nombreux à se passer de mutuelle et préfèrent mettre leur argent sur un compte bancaire rémunéré pour payer leurs restes à charge eux même !!

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Membre, 101ans Posté(e)
lolo72 Membre 4 024 messages
Maitre des forums‚ 101ans‚
Posté(e)
il y a une heure, LAKLAS a dit :

Beaucoup de choses ont changé sous le règne Macron sans que bfmtv n'en parle.... notamment en matière de santé. Ce sera à chacun de faire sa petite découverte !  :wink:

oh que oui si vous saviez c'est hallucinant :aie:

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Membre, 68ans Posté(e)
pic et repic Membre 17 404 messages
Maitre des forums‚ 68ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, kinobunika joy a dit :

C’est un cri du cœur en forme d’appel à l’aide.

bonjour,

il y quelques choses que je ne comprends pas dans ce "fait divers" :

dans un générique, la molécule active est la même ( celle-ci est tombée dans le domaine public et peut donc être fabriquée par un autre laboratoire que celui qui l'a mise au point ) donc , à part les excipients, cela ne change pas , ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas un problème avec les nouveaux excipients dans le générique car rien n'oblige le nouveau laboratoire à faire une "copie conforme" du princeps .

ensuite , pourquoi le médecin ne précise-t-il pas sur son ordonnance la "formule" : non substituable ( NS ) ? étant plus que sans doute à 100 % pour sa maladie, il devrait de ce fait être rembourser en totalité pour sa prescription et ceci directement par la SS

si le médicament est tombé dans le domaine public, c'est qu'il est "assez ancien" ...il y a peut être une autre formulation qui serait peut être plus efficace ou adaptée à son cas .....

voilà quelques réflexions à propos de ce cas particulier .

bonne journée.

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Membre, 39ans Posté(e)
Juliette-56 Membre 2 403 messages
Forumeur vétéran‚ 39ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Phylou a dit :

Et il n'a pas de mutuelle pour prendre en charge la différence ?

je me suis demandé exactement la même chose. 

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Membre, 69ans Posté(e)
Phylou Membre 12 752 messages
Maitre des forums‚ 69ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, LAKLAS a dit :

Apparemment ce n'est pas le cas puisque avec le générique il a des effets secondaires insupportables qu'il n'avait pas avec l'original  tout le problème est là !!

C'est ce qu'il dit.

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Membre, 55ans Posté(e)
guernica Membre 22 528 messages
Maitre des forums‚ 55ans‚
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Il y a 2 heures, Pierrot89 a dit :

Bonjour,

Je ne comprends pas que des patients puissent refuser un générique dont la molécule est identique au médicament initial.

Seul le médecin soignant pourrait signer une dérogation avec un argumentaire valable.

Un médicament générique a la même molécule qu'un médicament de base.

Simplement il est "tombé" dans le domaine public (au bout d'une quinzaine d'année environ)  et peut être fabriqué par le laboratoire initial ou un autre laboratoire.

pas forcément, j'ai un ami médecin qui m'a expliqué que le principe qui agit pouvait être par exemple de 80%, par rapport au non générique qui est de 100%.... Et j'ai moi même l'exemple d'un médicament que je prends où je ne supporte pas le générique, par contre pour des médicaments non pointus, il n'y a pas grande différence

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