"C'était la vie ou la mort" : une bonne sœur quitte son couvent à 64 ans

Bonjour,

On connaît mal le quotidien des religieux et des religieuses, sinon à travers des documentaires et de rares témoignages. Or, il existe dans ces communautés, à l’instar d’autres milieux professionnels, des situations difficiles : d’après une enquête du Vatican en 2020, près de 650 000 sœurs dans le monde seraient victimes de burn-out.

L’histoire de Catherine Draveil est à cet égard exemplaire. Elle a vécu 38 ans dans une abbaye bénédictine, mais à 64 ans après des années d’emprise de la part de la supérieure, elle quitte son couvent et décide de vivre intensément. Elle s’est mariée à 70 ans et vient de sauter en parachute ! Elle publie Métamorphose.

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Car la vie est un bien perdu , si tu ne l'a vécu , comme tu l'aurais voulu  !!                                   Eminescu    poète Roumain 

il y a 11 minutes, Doïna a dit :

après des années d’emprise de

AAAAhhhh , il me semblait bien ....

Après le gyné violeur , le kiné trop masseur .... voilà la mère trop 'ma soeur'.

il y a 12 minutes, Doïna a dit :

Bonjour,

On connaît mal le quotidien des religieux et des religieuses, sinon à travers des documentaires et de rares témoignages. Or, il existe dans ces communautés, à l’instar d’autres milieux professionnels, des situations difficiles : d’après une enquête du Vatican en 2020, près de 650 000 sœurs dans le monde seraient victimes de burn-out.

L’histoire de Catherine Draveil est à cet égard exemplaire. Elle a vécu 38 ans dans une abbaye bénédictine, mais à 64 ans après des années d’emprise de la part de la supérieure, elle quitte son couvent et décide de vivre intensément. Elle s’est mariée à 70 ans et vient de sauter en parachute ! Elle publie Métamorphose.

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Et après on s'étonne de la baisse des vocations avec des témoignages de ce genre, ajoutés aux discours souvent malveillants des "bons catholiques"

Disons que la vie monastique peut convenir à certaines personnes et pas à d'autres, et qu'à ces dernières il faudrait laisser la possibilité d'un retrait plutôt que de chercher à les retenir à tout prix.

Je pense qu'il y a des moines et des nonnes qui sont heureux de vivre dans un cloître malgré tout. Ceux à qui cette existence ne convient pas, pourquoi les retenir ? Cela revient à les contraindre à l'hypocrisie.

il y a 7 minutes, menon a dit :

AAAAhhhh , il me semblait bien ....

Après le gyné violeur , le kiné trop masseur .... voilà la mère trop 'ma soeur'.

 

Mare du coté     oecumenique  . 

Diderot a une opinion.

il y a 51 minutes, Doïna a dit :

Bonjour,

On connaît mal le quotidien des religieux et des religieuses, sinon à travers des documentaires et de rares témoignages. Or, il existe dans ces communautés, à l’instar d’autres milieux professionnels, des situations difficiles : d’après une enquête du Vatican en 2020, près de 650 000 sœurs dans le monde seraient victimes de burn-out.

L’histoire de Catherine Draveil est à cet égard exemplaire. Elle a vécu 38 ans dans une abbaye bénédictine, mais à 64 ans après des années d’emprise de la part de la supérieure, elle quitte son couvent et décide de vivre intensément. Elle s’est mariée à 70 ans et vient de sauter en parachute ! Elle publie Métamorphose.

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Elle a mis du temps à se décider! Enfin, mieux vaut tard que jamais.

il y a 43 minutes, menon a dit :

AAAAhhhh , il me semblait bien ....

Après le gyné violeur , le kiné trop masseur .... voilà la mère trop 'ma soeur'.

 

Il n'y a pas que des presbytes dans les presbytères semble t'il...........................

Il y a 1 heure, Doïna a dit :

Disons que la vie monastique peut convenir à certaines personnes et pas à d'autres et qu'à ces dernières il faudrait laisser la possibilité d'un retrait plutôt que de chercher à les retenir à tout prix.

Je pense qu'il y a des moines et des nonnes qui sont heureux de vivre dans un cloître malgré tout. Ceux à qui cette existence ne convient pas, pourquoi les retenir ? Cela revient à les contraindre à l'hypocrisie.

Une amie d'autrefois, après dix années d'études pour devenir médecin, a choisi de devenir religieuse et de se retirer dans un couvent pour y vivre une vie contemplative.

J'avoue que tout comme ses deux frères et sûrement ses autres amis, je n'ai pas compris... Il y a tant et tant à faire sur le terrain !! Elle serait partie avec "médecins du monde" par exemple on aurait compris, on aurait trouvé cela logique, allant de soi mais choisir... la vie contemplative, j'avoue que cela me dépasse mais étant une femme "de terrain", il est normal que j'aie du mal à comprendre un tel choix existentiel.

Bonjour 

Chez les Carmélites , cela est plus difficile , à moins d'avoir une vrai vocation ?

Le silence est d'or et de mise .

Bonne journée

Il y a 10 heures, Doïna a dit :

Elle s’est mariée à 70 ans et vient de sauter en parachute ! Elle publie Métamorphose.

C'est son choix alors

Le 18/05/2023 à 09:49, Doïna a dit :

Bonjour,

On connaît mal le quotidien des religieux et des religieuses, sinon à travers des documentaires et de rares témoignages. Or, il existe dans ces communautés, à l’instar d’autres milieux professionnels, des situations difficiles : d’après une enquête du Vatican en 2020, près de 650 000 sœurs dans le monde seraient victimes de burn-out.

L’histoire de Catherine Draveil est à cet égard exemplaire. Elle a vécu 38 ans dans une abbaye bénédictine, mais à 64 ans après des années d’emprise de la part de la supérieure, elle quitte son couvent et décide de vivre intensément. Elle s’est mariée à 70 ans et vient de sauter en parachute ! Elle publie Métamorphose.

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On s'en tape, on sait tous qu'entrer dans un couvent, les candidates en premier,  ce ne sont pas des vacances !

"L'emprise de la supérieure", on devrait dire l'emprise de l'église qui a l'art de lobotomiser les individus.

Si un(e) ecclésiastique se sent mal dans sa communauté, qu'elle quitte celle-ci, un point c'est tout !

il y a 50 minutes, Anatole1949 a dit :

On s'en tape, on sait tous qu'entrer dans un couvent, les candidates en premier,  ce ne sont pas des vacances !

"L'emprise de la supérieure", on devrait dire l'emprise de l'église qui a l'art de lobotomiser les individus.

Si un(e) ecclésiastique se sent mal dans sa communauté, qu'elle quitte celle-ci, un point c'est tout !

À tout prendre, entre finir clodo et donc à la rue, ou bien moine nourri et logé dans un monastère, que choisirais-tu ?

à l’instant, Doïna a dit :

À tout prendre, entre finir clodo et donc à la rue, ou bien moine nourri et logé dans un monastère, que choisirais-tu ?

Je choisi la liberté à l'endoctrinement...

Je rappelle quand même, qu'il fut un temps, entrer dans un couvent demandait une dot et qu'encore aujourd'hui, une bonne sœur lègue ses biens à l'église...

à l’instant, Anatole1949 a dit :

Je choisi la liberté à l'endoctrinement...

Je rappelle quand même, qu'il fut un temps, entrer dans un couvent demandait une dot et qu'encore aujourd'hui, une bonne sœur lègue ses biens à l'église...

Je m'en doutais que tu allais choisir "la liberté à l'endoctrinement". 

Au Moyen-âge, comme ce n'était pas donné à tout le monde de manger à sa faim, beaucoup de gens entraient dans les ordres pour manger et rien que pour ça.

Il y a 13 heures, Anatole1949 a dit :

Je choisi la liberté à l'endoctrinement...

Je rappelle quand même, qu'il fut un temps, entrer dans un couvent demandait une dot et qu'encore aujourd'hui, une bonne sœur lègue ses biens à l'église...

Pas du tout. Seulement s'il n'y a aucun autre héritier ; la plupart du temps (lorsqu'elle fait sa profession solennelle, pas avant) elle renonce en bonne et due forme à tous ses droits sur l'héritage au profit des autres membres de sa famille (en tous cas des frères et soeurs). Quand au système de la dot c'était calqué sur la dot du mariage. Cela n'a plus cours aujourd'hui ni dans un cas ni dans l'autre. Et même du temps où il fallait une dot pour rentrer au couvent celles qui n'en avaient pas pouvaient rentrer quand même mais pas comme Soeurs de Choeur, elles pouvaient rentrer comme servantes en quelque sorte, de même que les jeunes filles sans dot ne trouvaient pas d'époux, ou alors...

Il y a 7 heures, Cressida a dit :

Pas du tout. Seulement s'il n'y a aucun autre héritier ; la plupart du temps (lorsqu'elle fait sa profession solennelle, pas avant) elle renonce en bonne et due forme à tous ses droits sur l'héritage au profit des autres membres de sa famille (en tous cas des frères et soeurs). Quand au système de la dot c'était calqué sur la dot du mariage. Cela n'a plus cours aujourd'hui ni dans un cas ni dans l'autre. Et même du temps où il fallait une dot pour rentrer au couvent celles qui n'en avaient pas pouvaient rentrer quand même mais pas comme Soeurs de Choeur, elles pouvaient rentrer comme servantes en quelque sorte, de même que les jeunes filles sans dot ne trouvaient pas d'époux, ou alors...

Vraiment ?

En Belgique et plus particulièrement en Flandre, en 1990 un couvent a été vendu (+ de 1 millions d'euros !!!) par de vieilles nonettes qui sont parties habiter en région PACA en ... Mercedes neuve. 

Comme si cela ne suffisait pas, elles se sont fait rouler dans la farine par leur homme d'affaire.

La question était: d'où venait l'argent pour acheter un couvent ?

"Et même du temps où il fallait une dot pour rentrer au couvent celles qui n'en avaient pas pouvaient rentrer quand même mais pas comme Soeurs de Choeur, elles pouvaient rentrer comme servantes en quelque sorte", de même que les jeunes filles sans dot ne trouvaient pas d'époux, ou alors..."

Comme quoi, sélection par le fric, tout cela est très chrétien et explique en partie la richesse de cette institution !

"de même que les jeunes filles sans dot ne trouvaient pas d'époux, ou alors..."

La dot était surtout en usage dans la bourgeoisie et la noblesse et la majorité des gens (du peuple) n'appartenait pas à ces catégorie.

N'oublions qu'il était habituel chez les nobles et même la bourgeoisie, qu'un fils ou une fille entre dans les ordres

Il y a 3 heures, Anatole1949 a dit :

Vraiment ?

En Belgique et plus particulièrement en Flandre, en 1990 un couvent a été vendu (+ de 1 millions d'euros !!!) par de vieilles nonettes qui sont parties habiter en région PACA en ... Mercedes neuve. 

Comme si cela ne suffisait pas, elles se sont fait rouler dans la farine par leur homme d'affaire.

La question était: d'où venait l'argent pour acheter un couvent ?

"Et même du temps où il fallait une dot pour rentrer au couvent celles qui n'en avaient pas pouvaient rentrer quand même mais pas comme Soeurs de Choeur, elles pouvaient rentrer comme servantes en quelque sorte", de même que les jeunes filles sans dot ne trouvaient pas d'époux, ou alors..."

Comme quoi, sélection par le fric, tout cela est très chrétien et explique en partie la richesse de cette institution !

"de même que les jeunes filles sans dot ne trouvaient pas d'époux, ou alors..."

La dot était surtout en usage dans la bourgeoisie et la noblesse et la majorité des gens (du peuple) n'appartenait pas à ces catégorie.

N'oublions qu'il était habituel chez les nobles et même la bourgeoisie, qu'un fils ou une fille entre dans les ordres

 

Un militaire, un dans les affaires, un dans les ordres...

il y a 12 minutes, Blaquière a dit :

Un militaire, un dans les affaires, un dans les ordres...

 Quoi toi veux dire ?