La mortalité des arbres inquiète : quelque chose d’anormal se passe depuis plus d’une décennie

il y a 13 minutes, le merle a dit :

Bonjour

Certaines choses prennent du temps comme on le sait , mais les actions humaines peuvent avoir des résultats rapides ou lent et même négatives ?

Il suffirait d'arrèter les actions humaines sur la planète pendent un certain temps, pour que la Nature reprennent ses droits au galop.

Bonne soirée

Mais tout a fait , et je l'ai constaté lors du deconfinement  en Mai 2021 , j 'ai foncé aux champignons dans un coin a moi ,  au bord d'un étang ! jamais je n'avais vu autant de poissons venir en surface , les chemins forestiers avaient perdus en largeur , les herbes et branches reprenaient leur place , a la pointe du jour , j'ai aimé ce moment  !  je me suis assis , dégusté mon jambon-beurre avec un petit Merlot ! merci la VIE !

Oui par exemple si on éradique le ziva il est sûr qu'on verra revenir les mini jupes à fleurs dans nombre de quartiers le printemps venu. Que c'est beau la nature !  

Qu'en pense Francis Lalanne  ,lui qui "parle" aux arbres  ?

il y a une heure, G2LLOQ a dit :

Mais tout a fait , et je l'ai constaté lors du deconfinement  en Mai 2021 , j 'ai foncé aux champignons dans un coin a moi ,  au bord d'un étang ! jamais je n'avais vu autant de poissons venir en surface , les chemins forestiers avaient perdus en largeur , les herbes et branches reprenaient leur place , a la pointe du jour , j'ai aimé ce moment  !  je me suis assis , dégusté mon jambon-beurre avec un petit Merlot ! merci la VIE !

 

c'est merveilleux !!!!!

Il y a 3 heures, BELUGA a dit :

j'ai un talus planté de douze grands chênes âgés de plus de 50 ans: je les chiouchoute année après année, ils sont en pleine forme;

J'ai trouvé que les glands (les vrais, ceux des arbres, les autres sont de plus en plus importants. ) étaient tombés très tôt et n'étaient pas très gros

Il y a 2 heures, VladB a dit :

C'est parce que contrairement au pétrole, les arbres repoussent.

A la vitesse où les forêts disparaissent dans le monde, je ne sais pas ce qui va pratiquement s'épuiser en premier dans les 30 prochaines années !

il y a 2 minutes, Plouj a dit :

A la vitesse où les forêts disparaissent dans le monde, je ne sais pas ce qui va pratiquement s'épuiser en premier dans les 30 prochaines années !

Plus de 12 gigatonnes de carbone stocké par an tout de même.

A moins que ça soit de CO2 capturé, à un facteur 3.7 près... 

Il y a 1 heure, Plouj a dit :

'ai trouvé que les glands (les vrais, ceux des arbres, les autres sont de plus en plus importants. ) étaient tombés très tôt et n'étaient pas très gros

Ah ? nous cette année, très très nombreux et normaux, paraît que c'est le signe d'un hiver rigoureux...dixit les pécores..

il y a 53 minutes, BELUGA a dit :

paraît que c'est le signe d'un hiver rigoureux.

Ça en prend le chemin en ce moment, brrrr !

Il y a 20 heures, BELUGA a dit :

j'ai un talus planté de douze grands chênes âgés de plus de 50 ans: je les chiouchoute année après année, ils sont en pleine forme; je les suis avec l'aide d'un professionnel. trop peur qu'il leur arrive quelque chose, à mes loulous!

Tu t'es enchênée. 

il y a 8 minutes, Doïna a dit :

Tu t'es enchênée. 

Vouiii ! j'adore.

Le 30/11/2022 à 10:12, Doïna a dit :

Bonjour,

La forêt française est en danger. Le dernier inventaire forestier, réalisé par l’IGN (institut national de l’information géographique et forestière), dresse un constat inquiétant sur l’état des arbres : en l’espace de dix ans, la moyenne nationale de leur mortalité a augmenté de plus de 50 %, avec un bond spectaculaire cette année. Une situation qui semble liée, en grande partie, au changement climatique. Une chose est sûre, « quelque chose d’anormal se passe depuis plus d’une décennie », souligne l’IGN.

Trois régions sont particulièrement touchées par le phénomène : le Grand-Est, la Bourgogne-Franche-Comté où on constate deux à trois fois plus de mortalité des arbres qu’il y a dix ans, mais aussi les Hauts-de-France où l’augmentation de la mortalité atteint 130 %.

(...)

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la terre change, rien de neuf sous le soleil! à chaque fois, il y a un nouvel équilibrage dans tout le vivant qui s'établit, cela impacte tout le vivant, les règnes animal, végétal, minéral, microbien, viral, fongoïde, terrestre et marin, bref, la terre entière... et nous humains qui nous croyons invincibles et maîtres de tout, nous subirons comme tous les autres, les changements et équilibres nouveaux. ite Missa est.  

d'autres espéces plus résistantes , mieux adaptées , finiront par prendre la place !!

,laissons faire la nature  , elle retrouvera elle méme un nouvel équilibre !

la pire chose serait d' intervenir !

Le 30/11/2022 à 10:12, Doïna a dit :

Bonjour,

La forêt française est en danger. Le dernier inventaire forestier, réalisé par l’IGN (institut national de l’information géographique et forestière), dresse un constat inquiétant sur l’état des arbres : en l’espace de dix ans, la moyenne nationale de leur mortalité a augmenté de plus de 50 %, avec un bond spectaculaire cette année. Une situation qui semble liée, en grande partie, au changement climatique. Une chose est sûre, « quelque chose d’anormal se passe depuis plus d’une décennie », souligne l’IGN.

Trois régions sont particulièrement touchées par le phénomène : le Grand-Est, la Bourgogne-Franche-Comté où on constate deux à trois fois plus de mortalité des arbres qu’il y a dix ans, mais aussi les Hauts-de-France où l’augmentation de la mortalité atteint 130 %.

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La sècheresse de 2003 a fait des ravages dans beaucoup de régions. Et la forêt française en paye encore l'addition. Quand l'eau vient à manquer dans le sol, les tubes capillaires qui sont pleins en continu des racines aux feuilles peuvent manquer d'eau qui est alors remplacée par de fines bulles d'air. cette pompe capillaire s'arrête. Cela s'appelle l'embolie végétative. Il s'en suit le flétrissement des feuilles, l'arrêt de la photosynthèse et la mort de tout ou partie de la frondaison. Hélas le diagnostic n'est pas immédiat. seule un inventaire détaillé par les forestiers, au printemps suivant permet d'estimer les dégâts. Mais vu par les satellites dédiés, on peut aussi observer la forêt dans son ensemble. Un pixel faisant environ 2mx2m, cela permet d'identifier les dégâts, espèce par espèce et cette surveillance spatiale permet aussi de suivre la progression des ravageurs, comme les chenilles, l'oïdium du chêne ou d'autres "mineuses".