Vous avez besoin de quoi pour vous motiver ?

Vous préférez être motiver comment ? 

Vôtre entraîneur/prof/managers avaient quoi comme méthode. 

Généralement mes entraîneurs avaient tendance a faire la motivation par l'humiliation.

Pour eux l'idée c'était de créer un électrochoc en criant méchamment sur la personne . 

Les profs d'école étaient un peu plus pédagogique...

Sauf mon prof d'art plastique et a cause de lui je détestais cette matière. 

Avec ma mère c'était vraiment marche ou creve.

C'était dans des contextes très différent donc je peux pas vraiment comparer. 

Sur moi ça marchait bien parce que j'avais un gros ego plus jeune.

Et parce que mon entraîneur de foot en U17 avait l'habitude de nous jeter des crampons sur la tête...  

C'était plutôt efficace pour courir . 

mais sur la plupart des gens c'était contre productifs. 

Rien  . Je n'ai plus de volonté , rien ne m’intéresse .

Redonner confiance.

Juste parfois, en certaines circonstances, des paroles d'encouragement et un soutien exprimé.

L'argent au bout de la journeé.

parfois juste un sourire suffit à me motiver.

Voir des personnes femmes ou hommes. 

Le contact avec les autres est important et les échanges de discussions ou d'entraide. 

Autant je manque cruellement de motivation dans ma vie personnelle (procrastination, quand tu nous tient), autant je n'en ai pas besoin au travail ; la satisfaction d'avoir accompli ma tâche me suffit.

Il n'y a pas si longtemps, on m'a dit que je savais motiver mes troupes (paroles d'un membre de la troupe) ; ça m'a fait plaisir. Ce n'est pourtant pas moi le chef, je pallie juste son absence. Je profite de tous les points positifs que je vois dans les actions des autres pour les en féliciter, sans exagération. Si quelqu'un me dit qu'il a du mal, qu'il n'avance pas, j'essaie de dédramatiser afin qu'il sorte de cette boucle mentale. En général, je lui dit que je vois qu'il n'a pas trop la forme mais qu'il ne s'en sort quand même pas si mal. Je ne le blâme pas mais je ne laisse pas entendre que le travail fourni est suffisant.

Et bien-sûr je n'oublie pas de remercier mes collègues pour le travail qu'ils ont fourni, notamment lorsque la journée a été difficile (ce qui n'est pas rare).

Je m'auto-énerve pour me motiver. En gros, je suis là à me parler à moi-même en me disant : "tu fais n'importe quoi", "hé aller ! comme d'hab t'as rien foutu".

Il y a 11 heures, Sexophone a dit :

Je m'auto-énerve pour me motiver. En gros, je suis là à me parler à moi-même en me disant : "tu fais n'importe quoi", "hé aller ! comme d'hab t'as rien foutu".

Je fais pareille. 

Perso, je suis toujours motivé par ce que je fais, et cela pour une bonne raison: j’ai choisi il y a longtemps de ne faire que ce qui motive…. (C’est un choix qui implique quelques contraintes…).….et, sur 20 ans, je pense que mon enthousiasme entraine celui des autres….

Normalement, j’essaie de voir de la transcendance dans ce ce que je fais, même indirecte. Par exemple si je dépouille 5000 graphes d’une expèrience d’électrophysiologie neuronale, je me dis que je travaille à faire une révolution copernicienne en intelligence artificielle qui permettre de transcender notre intelligence. J’arrive à faire ca même en nettoyant les sols, genre en retituant l’état initial du sol, je crée un certain rapport à l’éternité… ouais, bien perché le gars….

Les petites phrases encourageantes de mes amies ou de ma maman sont ma plus grande motivation au quotidien. Sinon, je cherche toujours des moyens de me fixer des objectifs en début de semaine et je fais de mon mieux par la suite afin de les atteindre. En outre, le fait d’être accompagné par quelqu’un peut beaucoup aider si vous vous lancez dans quelque chose de nouveau. Par exemple, si votre but est de perdre du poids avant l’arrive de l’été, c’est mieux de s’entrainer à deux, car votre niveau de motivation sera rebooté et vous ne risquerez pas d’abandonner.