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Etre bien avec une femme sans penser à la toucher

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Norbert

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Membre, 51ans Posté(e)
Norbert Membre 2 500 messages
Maitre des forums‚ 51ans‚
Posté(e)
il y a 36 minutes, hell-spawn a dit :

Mais a mon avis tu choisis la complication avec une femme qui ne veut plus de mecs ( ton coté HPI probablement )

C'est le discours officiel de la République!

heureusement il y a autre chose dans la vie, en ce moment je refais entièrement un appartement à moi, et c'est un travail à temps plein, et on ne pense pas à autre chose. il y a aussi le fait d'en savoir (et d'appliquer) toujours plus sur le Monde!

 

Modifié par Norbert
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Membre, 58ans Posté(e)
Elbaid1 Membre 7 656 messages
Maitre des forums‚ 58ans‚
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Il y a 7 heures, Norbert a dit :

salut "EL", Hanss ne m'a pas reconnu, et toi? As tu des nouvelles de Gurgle, etc?

nono ? beloboy ?  :hum: j'avoue tu me pose une colle .

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Invité Netra
Invités, Posté(e)
Invité Netra
Invité Netra Invités 0 message
Posté(e)
Le 01/09/2022 à 12:19, Norbert a dit :

Bonjour

Je n’aurais jamais cru que cela pût exister! J'aurais pensé que le gars était coincé ou

que la femme le promenait.  Mais ça existe, on est dans une relation amoureuse (et non amicale)

mais on est "si bien" que passer au physique serait tout gâcher.
 

 

je comprends, parfois à la désape, on a de mauvaises surprises et hop tout s'écroule.:laugh:

 

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Membre, 48ans Posté(e)
Elisa* Membre 11 378 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Netra a dit :

je comprends, parfois à la désape, on a de mauvaises surprises et hop tout s'écroule.:laugh:

 

Ami de la poésie, c’est toi le champion aujourd’hui ! :rolle:

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Invité Netra
Invités, Posté(e)
Invité Netra
Invité Netra Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 8 heures, Elisa* a dit :

Ami de la poésie, c’est toi le champion aujourd’hui ! :rolle:

Y a suffisamment de glandus ici pour te chanter la sérénade...

Et y a les autres =>


Le philosophe-voyou est l'alliage de deux figures opposées, le philosophe pour l'abstrait, le voyou pour le sensible. Son credo, le mal n'est pas mauvais, il permet même d'atteindre la vertu, est relayé dans ce pamphlet au style polémique et sincère, désireux d'introduire le combat dans la philosophie en même temps que la philosophie dans le monde de la cogne.

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Membre, 48ans Posté(e)
Elisa* Membre 11 378 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, Netra a dit :

Y a suffisamment de glandus ici pour te chanter la sérénade...

Et y a les autres =>


Le philosophe-voyou est l'alliage de deux figures opposées, le philosophe pour l'abstrait, le voyou pour le sensible. Son credo, le mal n'est pas mauvais, il permet même d'atteindre la vertu, est relayé dans ce pamphlet au style polémique et sincère, désireux d'introduire le combat dans la philosophie en même temps que la philosophie dans le monde de la cogne.

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Membre, 51ans Posté(e)
Norbert Membre 2 500 messages
Maitre des forums‚ 51ans‚
Posté(e)
Le 13/09/2022 à 17:29, Netra a dit :

je comprends, parfois à la désape, on a de mauvaises surprises et hop tout s'écroule

L'amour peut commencer bien avant le sexe!

 

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Membre, 63ans Posté(e)
Forumeur accro‚ 63ans‚
Posté(e)

Je suis touché . Jusqu'au plus profond de moi-même, perdu en soi, comme si l'on avait volé ma nature, la souffrance, comme une piqûre de rappel, balançant à la tronche, ce terrible constat, et tentant de faire amende honorable, en ces jours sombres, en ces nuits éclairées par une lune, irrésolument étincelante, présentant le monde, comme un jour infini, à l'image de ces jours, que l'on ne souhaiterais plus jamais avoir à vivre . Comptables à présent, en mois, au grand dam de l'humanité, grand bien te fasse ... L'humanité voulant en finir une bonne fois pour toutes, vise toujours le cœur, bien que cela ne soit jamais le cœur, qui soit touché, encore en eurent-ils seulement les moyens ... L'humain, présenté en fautif et lâche, s'abandonnant à l'assurance de ses nuits sans sommeil, à jamais consommables, comme une fille facile, devenue trop vieille, pour être digne d'être payable . Le soleil de plomb, obscurcissant tellement la vue, qu'il n'y a plus de cœur, il n'y a plus de vie, pour unique preuve, les battements du cœur, sonnant comme le glas, comme seule compagnie, les idées, s'entrechoquant comme des balles, dans une boîte de conserve . L'amour, rendu hors d'accès, l'humanité, étant déjà vaincue par ko, comme si un uppercut, avait provoqué un décollement du sternum, carrément mortel, c'te fois . L'on vise et pense atteindre l'amour, alors que l'on a juste touché le fond, l'inaccessibilité ce faisant, atteignant directement l'humanité . Détruisant l'humanité, par les assauts de l'inhumanité, et séparer le pouvoir, et mieux en disposer ... De l'humanité, hein .... Les pulsions de mort, ne donnant aucunes chances à l'humanité, n'ayant d'humanité, que l'apparence physique, d'une dévotion passée à Dieu, pourtant déchu de son pouvoir suprême, et on ne se demande même plus pourquoi . L'esclave, faisant place à la vie achevée, le résultat sans appel, d'une vie stoppée net, comme dans la fureur de vivre, comme pour mieux posséder, ce que l'on ne pourra jamais détenir . Comme si de l'autre côté du miroir, le génie, n'était au final qu'une ombre au cadre idéal, un peu comme une tâche, que l'on frotterais énergiquement, dans l'intérêt de l'effacer pour toujours, sans jamais y parvenir . Est-ce le résultat de l'amour, lorsque l'humanité faute de moyens, pointe du doigt, la seule chose qu'il ne peut percevoir, quand bien même, par tous les moyens matériels dont elle dispose ...? Ais-je donné le pouvoir à la seule personne apte à me haïr assez, tout du moins de toutes ses forces, ou ais-je renoncé à l'amour, par lassitude et ennui, de toujours ne percevoir que mépris et indifférence . Quelle idée, serait assez forte, pour y mettre toute sa puissance, enfin juste assez pour décourager l'humanité à jamais ...? L'indifférence, est-elle seulement apte à identifier l'existence, à défaut de pouvoir ...? L'idée me fait de l'œil, me drague ouvertement, puis me nargue, faute de pouvoir y poser des mots assez justes, tout du moins assez forts, comme si l'idée avait été inventée à son seul destinataire, inconnu comme le soldat . Je ne perçois plus que le résultat de mon ignorance, présentée par la douleur, toujours maintenue par des mains invisibles, et lorsque je regarde ces mains, mon corps ne fait qu'un cri, perdu dans le labyrinthe de l'origine du mal, aux abonnés absents . Prisonnier d'un geôlier, sourd aux plaintes prononcées par une voix inconnue,  dans le silence, régnant en maître de maison, déterminé à garder le poids, face à l'insoutenable légèreté de l'être, déterminée à se libérer de son poids, toujours en échecs . Le roi de la gamberge, intronisé en cœur de pierre, n'ayant plus rien à revendre, sinon ressasser un passé, qui ne fût jamais commun, sinon par le seul moyen possible d'établi encore un contact, dans ce monde de brutes,  encore et toujours les yeux, encore et toujours d'une concession égale à soi-même, sinon par l'autre moyen de sauver les apparences, en enfermant le dernier témoin de son passage sur terre, microcosme mégalomaniaque des nuits passées, beaucoup trop agitées, pour ne point mériter le fait que l'on s'y attarde . Des yeux aveuglés par la haine, toujours lattente, enlaçant les mots, et s'en servant comme dortoir, les pages, comme des édredons moelleux, pourtant toujours prête à bondir au moindre soupçon de vie, perturbant l'amabilité de l'instant, au détriment du témoin invisible, n'étant plus qu'un pantin, entre les griffes de la cécité . Le passé, d'une histoire à jamais consommée . La colère et l'incompréhension, pour seule compagnie, face aux forces opposées résolument liguées, afin d'exterminer le dernier présentant du genre humain, l'humain, défiguré sexuellement, comme l'ultime outrage, au profit de la présence de l'absence, léguée à l'imposture de son silence, toujours résolue à réduire plus bas que terre, le simple fait de mon existence, seulement revenue à la vie, pour rendre hommage au dernier homme présent sur terre, n'étant désormais plus qu'une ombre informe, furibonde, le seul costume qui me va bien, en ces temps de malheur, ou peut-être le seul habillage encore vacant, comme l'encombrement des décombres, allégé au profit du diable, s'habillant désormais en Prada, identifiable par le luxe, banalisé par le succès de son couturier, ainsi que sa valeur ajoutée exceptionnellement accessible, et annihilé, comme la rançon d'une popularité, à laquelle je n'ai pourtant jamais prétendu, comme si j'étais puni d'avoir fait quelque chose de répréhensible, comme si ma naissance, était une insulte à l'humanité, toujours à fleur de peau, réalisant pourtant un plaquage hors du commun contre le sol, comme un rugbyman professionnel, gonflé par les encouragements du public . La résignation et la sensation d'impuissance, face à l'inhumanité, vêtue de mes apparats, jusque mon cadavre, comme preuve probante, de la victoire assassine . Les mains pleines de sang, symbolisant les larmes christiques, roulant sur des joues pourtant encore chaudes, tièdies par la mise en joue, craignant l'entrée en matière d'un certain coup de soleil, ou peut-être les coups des assaillants, portés afin d'être certains que le soleil ne se lève jamais plus . Du mélo ajouté au drame, juste parce que cela sonne bien, et que c'est rigolo tout plein, car comment des malvoyants, pourraient-ils réduire à néant, la seule énergie, leur permettant de percevoir le monde, et le seul moyen de pouvoir trouver son refuge, comment pourraient-ils seulement percevoir la prétention à son génie ...? Ne restent plus que le son des voix, résonnant dans le bocal, témoins de son exécution, patiemment organisée à l'usure du temps, ne croyant jamais un traître mot, de l'entêtement du benêt de service, borné et bouché à l'emeri, l'origine même du conflit, à jamais insoluble . La figure masculine, comme unique preuve de mon assassin imparfait . Le fait est que selon Freud, j'ignore encore si c'est le résultat de Dieu, mon père, mon frère, mon meilleur ennemi, le pire de mon meilleur ami, ou bien le président de la République, en espérant de tout cœur, que cela ne soit point l'homme, qui abolit la peine de mort, juste avant ma naissance, comme celle d'avant ma mort ... L'immortalité, par la frustration de n'être qu'un vivant, parmi tant d'autres, mais le seul vivant d'une banalité affligeante, et son assistance, complice d'une histoire à jamais achevée, bien qu'elle ne fût jamais commencée . La philosophie, n'à jamais été une question politique . Le sol, s'effondre jusque sous mes pieds . Pourtant, je suis encore plus seul . Le gouffre, faisant office de tour d'ivoire . Là où le désir n'ayant plus lieu d'être, la mascarade, ne se résume plus qu'à un mauvais rêve, la vision de l'éternel retour de noces, à jamais consommé, réduit en simple spectateur d'une trahison ultime, à laquelle je suis parfaitement insensible, en mémoire de ma sordide et courte existence, car le dernier moment qu'il me reste, c'est bien le dernier moment dont je souhaite me rappeler ... L'automne, entre dans la réalité de mon univers intérieur, plus tôt qu'à son habitude, ensuite, viendra l'hiver . L'année fatidique, à jamais inscrite sur la stèle, servant de cible aux badauds, en mémoire d'une guerre passée, sans personne pour y mettre des fleurs . L'hiver venu, je n'y viendrai plus, et les contours de l'humanité, jusqu'à son extension, ne seront plus que le marqueur de la victoire, d'une mort, assurée d'être à jamais gagnante . Une équation inconnue, à laquelle l'on ne pourra jamais mettre un visage, comme les pièces d'un puzzle, éparpillées aux quatre coins du monde . Puis l'on oubliera son socle, comme l'on en oubliera le symbole, tout comme l'on oubliera les paroles, comme des lettres écrites sur le sable mouillé, caressées par les vagues du passé . L'éphémérité des lettres mortes, à jamais tombées dans l'oubli . L'image du soleil ne se levant plus jamais, comme l'absurde mensonge du singe disant, qu'il ne remonterait plus jamais sur l'arbre, pourtant ressuscité, afin d'y poser son collier étrangleur, et serrant assez fort, jusque la mort nous unisse, pour ne jamais disparaître . La parfaite réplique d'une scène d'un mauvais nanar, tournée indéfiniment, en des versions toujours plus grotesques, sélectionnées par défaut, juste afin de jouer mon propre rôle, sans plus nécessiter le fait de ma présence, trop pesante . L'ultime acte de fidélité, à la dernière étreinte, comme la fidélité, conjuguée au plus-que-parfait, à la seconde personne du pluriel, au singulier chez les anonymous, en la personne de Ça, présentée en horreur, comme pour mieux se gargariser du bien-fondé de son action première . Le corps humain, perçu comme un coffre-fort, sans nécessité de tendre l'oreille, et entendre le déclic salutaire, à chaque série numérotée, sans jamais donc l'ouvrir, sans jamais percevoir son contenu . Le coffre-fort, c'est une affaire personnelle, comme une affaire de goût, ne se mangeant pas en salade, impersonnelle, s'il n'est jamais ouvert . Paradoxalement, sans désir, le coffre-fort reste à jamais fermé . C'est le baromètre de l'union contre-nature, au détriment de ce qui est sacré, compteur bloqué, et donnant toujours la même heure . Le générique d'une série d'inconnus, présentés sous la forme d'un X . À chacun sa croix, comme on dit, je suis venu avec la mienne, comme je suis parti de ce monde ... Ne restera bientôt plus, qu'un énième cadavre entassé parmi tant d'autres . N'étant pourtant pas un banal cadavre . Tout du moins, ni à mes yeux, ni aux yeux de mes proches . Posséder les vestiges de l'ombre ne veut jamais dire en posséder son contenu . Le génie, se meurt par l'humanité . Ne reste plus que son ersatz . Le troc inqualifiable, comme un pacte avec le diable . Lorsque l'on éteint la lumière à jamais, l'on perd irrémédiablement son humanité . Il n'y plus matière, à en posséder l'objet . Mais parfois, ce que l'on cherche, se trouve juste sous ses yeux ...

Signé X .

Pour les simplets de services, n'ayant en aucuns points les neurones adaptés à la question ci-dessus, c'est non, car la réponse, est sans appel, et va dans le sens contraire ... À l' Humanité ...?

( Etre bien avec une femme sans penser à la toucher) Amour et Séduction 

Modifié par Groseille Trucmauche
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Invité lilineige
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Invité lilineige
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Posté(e)
il y a 36 minutes, Groseille Trucmauche a dit :

Je suis touché . Jusqu'au plus profond de moi-même, perdu en soi, comme si l'on avait volé ma nature, la souffrance, comme une piqûre de rappel, balançant à la tronche, ce terrible constat, et tentant de faire amende honorable, en ces jours sombres, en ces nuits éclairées par une lune, irrésolument étincelante, présentant le monde, comme un jour infini, à l'image de ces jours, que l'on ne souhaiterais plus jamais avoir à vivre . Comptables à présent, en mois, au grand dam de l'humanité, grand bien te fasse ... L'humanité voulant en finir une bonne fois pour toutes, vise toujours le cœur, bien que cela ne soit jamais le cœur, qui soit touché, encore en eurent-ils seulement les moyens ... L'humain, présenté en fautif et lâche, s'abandonnant à l'assurance de ses nuits sans sommeil, à jamais consommables, comme une fille facile, devenue trop vieille, pour être digne d'être payable . Le soleil de plomb, obscurcissant tellement la vue, qu'il n'y a plus de cœur, il n'y a plus de vie, pour unique preuve, les battements du cœur, sonnant comme le glas, comme seule compagnie, les idées, s'entrechoquant comme des balles, dans une boîte de conserve . L'amour, rendu hors d'accès, l'humanité, étant déjà vaincue par ko, comme si un uppercut, avait provoqué un décollement du sternum, carrément mortel, c'te fois . L'on vise et pense atteindre l'amour, alors que l'on a juste touché le fond, l'inaccessibilité ce faisant, atteignant directement l'humanité . Détruisant l'humanité, par les assauts de l'inhumanité, et séparer le pouvoir, et mieux en disposer ... De l'humanité, hein .... Les pulsions de mort, ne donnant aucunes chances à l'humanité, n'ayant d'humanité, que l'apparence physique, d'une dévotion passée à Dieu, pourtant déchu de son pouvoir suprême, et on ne se demande même plus pourquoi . L'esclave, faisant place à la vie achevée, le résultat sans appel, d'une vie stoppée net, comme dans la fureur de vivre, comme pour mieux posséder, ce que l'on ne pourra jamais détenir . Comme si de l'autre côté du miroir, le génie, n'était au final qu'une ombre au cadre idéal, un peu comme une tâche, que l'on frotterais énergiquement, dans l'intérêt de l'effacer pour toujours, sans jamais y parvenir . Est-ce le résultat de l'amour, lorsque l'humanité faute de moyens, pointe du doigt, la seule chose qu'il ne peut percevoir, quand bien même, par tous les moyens matériels dont elle dispose ...? Ais-je donné le pouvoir à la seule personne apte à me haïr assez, tout du moins de toutes ses forces, ou ais-je renoncé à l'amour, par lassitude et ennui, de toujours ne percevoir que mépris et indifférence . Quelle idée, serait assez forte, pour y mettre toute sa puissance, enfin juste assez pour décourager l'humanité à jamais ...? L'indifférence, est-elle seulement apte à identifier l'existence, à défaut de pouvoir ...? L'idée me fait de l'œil, me drague ouvertement, puis me nargue, faute de pouvoir y poser des mots assez justes, tout du moins assez forts, comme si l'idée avait été inventée à son seul destinataire, inconnu comme le soldat . Je ne perçois plus que le résultat de mon ignorance, présentée par la douleur, toujours maintenue par des mains invisibles, et lorsque je regarde ces mains, mon corps ne fait qu'un cri, perdu dans le labyrinthe de l'origine du mal, aux abonnés absents . Prisonnier d'un geôlier, sourd aux plaintes prononcées par une voix inconnue,  dans le silence, régnant en maître de maison, déterminé à garder le poids, face à l'insoutenable légèreté de l'être, déterminée à se libérer de son poids, toujours en échecs . Le roi de la gamberge, intronisé en cœur de pierre, n'ayant plus rien à revendre, sinon ressasser un passé, qui ne fût jamais commun, sinon par le seul moyen possible d'établi encore un contact, dans ce monde de brutes,  encore et toujours les yeux, encore et toujours d'une concession égale à soi-même, sinon par l'autre moyen de sauver les apparences, en enfermant le dernier témoin de son passage sur terre, microcosme mégalomaniaque des nuits passées, beaucoup trop agitées, pour ne point mériter le fait que l'on s'y attarde . Des yeux aveuglés par la haine, toujours lattente, enlaçant les mots, et s'en servant comme dortoir, les pages, comme des édredons moelleux, pourtant toujours prête à bondir au moindre soupçon de vie, perturbant l'amabilité de l'instant, au détriment du témoin invisible, n'étant plus qu'un pantin, entre les griffes de la cécité . Le passé, d'une histoire à jamais consommée . La colère et l'incompréhension, pour seule compagnie, face aux forces opposées résolument liguées, afin d'exterminer le dernier présentant du genre humain, l'humain, défiguré sexuellement, comme l'ultime outrage, au profit de la présence de l'absence, léguée à l'imposture de son silence, toujours résolue à réduire plus bas que terre, le simple fait de mon existence, seulement revenue à la vie, pour rendre hommage au dernier homme présent sur terre, n'étant désormais plus qu'une ombre informe, furibonde, le seul costume qui me va bien, en ces temps de malheur, ou peut-être le seul habillage encore vacant, comme l'encombrement des décombres, allégé au profit du diable, s'habillant désormais en Prada, identifiable par le luxe, banalisé par le succès de son couturier, ainsi que sa valeur ajoutée exceptionnellement accessible, et annihilé, comme la rançon d'une popularité, à laquelle je n'ai pourtant jamais prétendu, comme si j'étais puni d'avoir fait quelque chose de répréhensible, comme si ma naissance, était une insulte à l'humanité, toujours à fleur de peau, réalisant pourtant un plaquage hors du commun contre le sol, comme un rugbyman professionnel, gonflé par les encouragements du public . La résignation et la sensation d'impuissance, face à l'inhumanité, vêtue de mes apparats, jusque mon cadavre, comme preuve probante, de la victoire assassine . Les mains pleines de sang, symbolisant les larmes christiques, roulant sur des joues pourtant encore chaudes, tièdies par la mise en joue, craignant l'entrée en matière d'un certain coup de soleil, ou peut-être les coups des assaillants, portés afin d'être certains que le soleil ne se lève jamais plus . Du mélo ajouté au drame, juste parce que cela sonne bien, et que c'est rigolo tout plein, car comment des malvoyants, pourraient-ils réduire à néant, la seule énergie, leur permettant de percevoir le monde, et le seul moyen de pouvoir trouver son refuge, comment pourraient-ils seulement percevoir la prétention à son génie ...? Ne restent plus que le son des voix, résonnant dans le bocal, témoins de son exécution, patiemment organisée à l'usure du temps, ne croyant jamais un traître mot, de l'entêtement du benêt de service, borné et bouché à l'emeri, l'origine même du conflit, à jamais insoluble . La figure masculine, comme unique preuve de mon assassin imparfait . Le fait est que selon Freud, j'ignore encore si c'est le résultat de Dieu, mon père, mon frère, mon meilleur ennemi, le pire de mon meilleur ami, ou bien le président de la République, en espérant de tout cœur, que cela ne soit point l'homme, qui abolit la peine de mort, juste avant ma naissance, comme celle d'avant ma mort ... L'immortalité, par la frustration de n'être qu'un vivant, parmi tant d'autres, mais le seul vivant d'une banalité affligeante, et son assistance, complice d'une histoire à jamais achevée, bien qu'elle ne fût jamais commencée . La philosophie, n'à jamais été une question politique . Le sol, s'effondre jusque sous mes pieds . Pourtant, je suis encore plus seul . Le gouffre, faisant office de tour d'ivoire . Là où le désir n'ayant plus lieu d'être, la mascarade, ne se résume plus qu'à un mauvais rêve, la vision de l'éternel retour de noces, à jamais consommé, réduit en simple spectateur d'une trahison ultime, à laquelle je suis parfaitement insensible, en mémoire de ma sordide et courte existence, car le dernier moment qu'il me reste, c'est bien le dernier moment dont je souhaite me rappeler ... L'automne, entre dans la réalité de mon univers intérieur, plus tôt qu'à son habitude, ensuite, viendra l'hiver . L'année fatidique, à jamais inscrite sur la stèle, servant de cible aux badauds, en mémoire d'une guerre passée, sans personne pour y mettre des fleurs . L'hiver venu, je n'y viendrai plus, et les contours de l'humanité, jusqu'à son extension, ne seront plus que le marqueur de la victoire, d'une mort, assurée d'être à jamais gagnante . Une équation inconnue, à laquelle l'on ne pourra jamais mettre un visage, comme les pièces d'un puzzle, éparpillées aux quatre coins du monde . Puis l'on oubliera son socle, comme l'on en oubliera le symbole, tout comme l'on oubliera les paroles, comme des lettres écrites sur le sable mouillé, caressées par les vagues du passé . L'éphémérité des lettres mortes, à jamais tombées dans l'oubli . L'image du soleil ne se levant plus jamais, comme l'absurde mensonge du singe disant, qu'il ne remonterait plus jamais sur l'arbre, pourtant ressuscité, afin d'y poser son collier étrangleur, et serrant assez fort, jusque la mort nous unisse, pour ne jamais disparaître . La parfaite réplique d'une scène d'un mauvais nanar, tournée indéfiniment, en des versions toujours plus grotesques, sélectionnées par défaut, juste afin de jouer mon propre rôle, sans plus nécessiter le fait de ma présence, trop pesante . L'ultime acte de fidélité, à la dernière étreinte, comme la fidélité, conjuguée au plus-que-parfait, à la seconde personne du pluriel, au singulier chez les anonymous, en la personne de Ça, présentée en horreur, comme pour mieux se gargariser du bien-fondé de son action première . Le corps humain, perçu comme un coffre-fort, sans nécessité de tendre l'oreille, et entendre le déclic salutaire, à chaque série numérotée, sans jamais donc l'ouvrir, sans jamais percevoir son contenu . Le coffre-fort, c'est une affaire personnelle, comme une affaire de goût, ne se mangeant pas en salade, impersonnelle, s'il n'est jamais ouvert . Paradoxalement, sans désir, le coffre-fort reste à jamais fermé . C'est le baromètre de l'union contre-nature, au détriment de ce qui est sacré, compteur bloqué, et donnant toujours la même heure . Le générique d'une série d'inconnus, présentés sous la forme d'un X . À chacun sa croix, comme on dit, je suis venu avec la mienne, comme je suis parti de ce monde ... Ne restera bientôt plus, qu'un énième cadavre entassé parmi tant d'autres . N'étant pourtant pas un banal cadavre . Tout du moins, ni à mes yeux, ni aux yeux de mes proches . Posséder les vestiges de l'ombre ne veut jamais dire en posséder son contenu . Le génie, se meurt par l'humanité . Ne reste plus que son ersatz . Le troc inqualifiable, comme un pacte avec le diable . Lorsque l'on éteint la lumière à jamais, l'on perd irrémédiablement son humanité . Il n'y plus matière, à en posséder l'objet . Mais parfois, ce que l'on cherche, se trouve juste sous ses yeux ...

Signé X .

Pour les simplets de services, n'ayant en aucuns points les neurones adaptés à la question ci-dessus, c'est non, car la réponse, est sans appel, et va dans le sens contraire ... À l' Humanité ...?

( Etre bien avec une femme sans penser à la toucher) Amour et Séduction 

et si tu résume en deux phrases , ça donne quoi ? 

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Invité Netra
Invités, Posté(e)
Invité Netra
Invité Netra Invités 0 message
Posté(e)
Le 01/09/2022 à 12:19, Norbert a dit :

Bonjour

Je n’aurais jamais cru que cela pût exister! J'aurais pensé que le gars était coincé ou

que la femme le promenait.  Mais ça existe, on est dans une relation amoureuse (et non amicale)

mais on est "si bien" que passer au physique serait tout gâcher.
 

 

J'en connais un qui vit ce genre de relation depuis bientôt 2 ans.

Elle en est arrivée à le noter,  20/20 sur toute la ligne.

Il  va jusqu'à lui cueillir des fleurs sauvages.

 

 

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Membre, 51ans Posté(e)
Norbert Membre 2 500 messages
Maitre des forums‚ 51ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Netra a dit :

Il  va jusqu'à lui cueillir des fleurs sauvages.

Faut pas exagérer quand même! A un moment donné, le rêve doit s'incarner!

 

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 11 heures, Groseille Trucmauche a dit :

Je suis touché . Jusqu'au plus profond de moi-même, perdu en soi, comme si l'on avait volé ma nature, la souffrance, comme une piqûre de rappel, balançant à la tronche, ce terrible constat, et tentant de faire amende honorable, en ces jours sombres, en ces nuits éclairées par une lune, irrésolument étincelante, présentant le monde, comme un jour infini, à l'image de ces jours, que l'on ne souhaiterais plus jamais avoir à vivre . Comptables à présent, en mois, au grand dam de l'humanité, grand bien te fasse ... L'humanité voulant en finir une bonne fois pour toutes, vise toujours le cœur, bien que cela ne soit jamais le cœur, qui soit touché, encore en eurent-ils seulement les moyens ... L'humain, présenté en fautif et lâche, s'abandonnant à l'assurance de ses nuits sans sommeil, à jamais consommables, comme une fille facile, devenue trop vieille, pour être digne d'être payable . Le soleil de plomb, obscurcissant tellement la vue, qu'il n'y a plus de cœur, il n'y a plus de vie, pour unique preuve, les battements du cœur, sonnant comme le glas, comme seule compagnie, les idées, s'entrechoquant comme des balles, dans une boîte de conserve . L'amour, rendu hors d'accès, l'humanité, étant déjà vaincue par ko, comme si un uppercut, avait provoqué un décollement du sternum, carrément mortel, c'te fois . L'on vise et pense atteindre l'amour, alors que l'on a juste touché le fond, l'inaccessibilité ce faisant, atteignant directement l'humanité . Détruisant l'humanité, par les assauts de l'inhumanité, et séparer le pouvoir, et mieux en disposer ... De l'humanité, hein .... Les pulsions de mort, ne donnant aucunes chances à l'humanité, n'ayant d'humanité, que l'apparence physique, d'une dévotion passée à Dieu, pourtant déchu de son pouvoir suprême, et on ne se demande même plus pourquoi . L'esclave, faisant place à la vie achevée, le résultat sans appel, d'une vie stoppée net, comme dans la fureur de vivre, comme pour mieux posséder, ce que l'on ne pourra jamais détenir . Comme si de l'autre côté du miroir, le génie, n'était au final qu'une ombre au cadre idéal, un peu comme une tâche, que l'on frotterais énergiquement, dans l'intérêt de l'effacer pour toujours, sans jamais y parvenir . Est-ce le résultat de l'amour, lorsque l'humanité faute de moyens, pointe du doigt, la seule chose qu'il ne peut percevoir, quand bien même, par tous les moyens matériels dont elle dispose ...? Ais-je donné le pouvoir à la seule personne apte à me haïr assez, tout du moins de toutes ses forces, ou ais-je renoncé à l'amour, par lassitude et ennui, de toujours ne percevoir que mépris et indifférence . Quelle idée, serait assez forte, pour y mettre toute sa puissance, enfin juste assez pour décourager l'humanité à jamais ...? L'indifférence, est-elle seulement apte à identifier l'existence, à défaut de pouvoir ...? L'idée me fait de l'œil, me drague ouvertement, puis me nargue, faute de pouvoir y poser des mots assez justes, tout du moins assez forts, comme si l'idée avait été inventée à son seul destinataire, inconnu comme le soldat . Je ne perçois plus que le résultat de mon ignorance, présentée par la douleur, toujours maintenue par des mains invisibles, et lorsque je regarde ces mains, mon corps ne fait qu'un cri, perdu dans le labyrinthe de l'origine du mal, aux abonnés absents . Prisonnier d'un geôlier, sourd aux plaintes prononcées par une voix inconnue,  dans le silence, régnant en maître de maison, déterminé à garder le poids, face à l'insoutenable légèreté de l'être, déterminée à se libérer de son poids, toujours en échecs . Le roi de la gamberge, intronisé en cœur de pierre, n'ayant plus rien à revendre, sinon ressasser un passé, qui ne fût jamais commun, sinon par le seul moyen possible d'établi encore un contact, dans ce monde de brutes,  encore et toujours les yeux, encore et toujours d'une concession égale à soi-même, sinon par l'autre moyen de sauver les apparences, en enfermant le dernier témoin de son passage sur terre, microcosme mégalomaniaque des nuits passées, beaucoup trop agitées, pour ne point mériter le fait que l'on s'y attarde . Des yeux aveuglés par la haine, toujours lattente, enlaçant les mots, et s'en servant comme dortoir, les pages, comme des édredons moelleux, pourtant toujours prête à bondir au moindre soupçon de vie, perturbant l'amabilité de l'instant, au détriment du témoin invisible, n'étant plus qu'un pantin, entre les griffes de la cécité . Le passé, d'une histoire à jamais consommée . La colère et l'incompréhension, pour seule compagnie, face aux forces opposées résolument liguées, afin d'exterminer le dernier présentant du genre humain, l'humain, défiguré sexuellement, comme l'ultime outrage, au profit de la présence de l'absence, léguée à l'imposture de son silence, toujours résolue à réduire plus bas que terre, le simple fait de mon existence, seulement revenue à la vie, pour rendre hommage au dernier homme présent sur terre, n'étant désormais plus qu'une ombre informe, furibonde, le seul costume qui me va bien, en ces temps de malheur, ou peut-être le seul habillage encore vacant, comme l'encombrement des décombres, allégé au profit du diable, s'habillant désormais en Prada, identifiable par le luxe, banalisé par le succès de son couturier, ainsi que sa valeur ajoutée exceptionnellement accessible, et annihilé, comme la rançon d'une popularité, à laquelle je n'ai pourtant jamais prétendu, comme si j'étais puni d'avoir fait quelque chose de répréhensible, comme si ma naissance, était une insulte à l'humanité, toujours à fleur de peau, réalisant pourtant un plaquage hors du commun contre le sol, comme un rugbyman professionnel, gonflé par les encouragements du public . La résignation et la sensation d'impuissance, face à l'inhumanité, vêtue de mes apparats, jusque mon cadavre, comme preuve probante, de la victoire assassine . Les mains pleines de sang, symbolisant les larmes christiques, roulant sur des joues pourtant encore chaudes, tièdies par la mise en joue, craignant l'entrée en matière d'un certain coup de soleil, ou peut-être les coups des assaillants, portés afin d'être certains que le soleil ne se lève jamais plus . Du mélo ajouté au drame, juste parce que cela sonne bien, et que c'est rigolo tout plein, car comment des malvoyants, pourraient-ils réduire à néant, la seule énergie, leur permettant de percevoir le monde, et le seul moyen de pouvoir trouver son refuge, comment pourraient-ils seulement percevoir la prétention à son génie ...? Ne restent plus que le son des voix, résonnant dans le bocal, témoins de son exécution, patiemment organisée à l'usure du temps, ne croyant jamais un traître mot, de l'entêtement du benêt de service, borné et bouché à l'emeri, l'origine même du conflit, à jamais insoluble . La figure masculine, comme unique preuve de mon assassin imparfait . Le fait est que selon Freud, j'ignore encore si c'est le résultat de Dieu, mon père, mon frère, mon meilleur ennemi, le pire de mon meilleur ami, ou bien le président de la République, en espérant de tout cœur, que cela ne soit point l'homme, qui abolit la peine de mort, juste avant ma naissance, comme celle d'avant ma mort ... L'immortalité, par la frustration de n'être qu'un vivant, parmi tant d'autres, mais le seul vivant d'une banalité affligeante, et son assistance, complice d'une histoire à jamais achevée, bien qu'elle ne fût jamais commencée . La philosophie, n'à jamais été une question politique . Le sol, s'effondre jusque sous mes pieds . Pourtant, je suis encore plus seul . Le gouffre, faisant office de tour d'ivoire . Là où le désir n'ayant plus lieu d'être, la mascarade, ne se résume plus qu'à un mauvais rêve, la vision de l'éternel retour de noces, à jamais consommé, réduit en simple spectateur d'une trahison ultime, à laquelle je suis parfaitement insensible, en mémoire de ma sordide et courte existence, car le dernier moment qu'il me reste, c'est bien le dernier moment dont je souhaite me rappeler ... L'automne, entre dans la réalité de mon univers intérieur, plus tôt qu'à son habitude, ensuite, viendra l'hiver . L'année fatidique, à jamais inscrite sur la stèle, servant de cible aux badauds, en mémoire d'une guerre passée, sans personne pour y mettre des fleurs . L'hiver venu, je n'y viendrai plus, et les contours de l'humanité, jusqu'à son extension, ne seront plus que le marqueur de la victoire, d'une mort, assurée d'être à jamais gagnante . Une équation inconnue, à laquelle l'on ne pourra jamais mettre un visage, comme les pièces d'un puzzle, éparpillées aux quatre coins du monde . Puis l'on oubliera son socle, comme l'on en oubliera le symbole, tout comme l'on oubliera les paroles, comme des lettres écrites sur le sable mouillé, caressées par les vagues du passé . L'éphémérité des lettres mortes, à jamais tombées dans l'oubli . L'image du soleil ne se levant plus jamais, comme l'absurde mensonge du singe disant, qu'il ne remonterait plus jamais sur l'arbre, pourtant ressuscité, afin d'y poser son collier étrangleur, et serrant assez fort, jusque la mort nous unisse, pour ne jamais disparaître . La parfaite réplique d'une scène d'un mauvais nanar, tournée indéfiniment, en des versions toujours plus grotesques, sélectionnées par défaut, juste afin de jouer mon propre rôle, sans plus nécessiter le fait de ma présence, trop pesante . L'ultime acte de fidélité, à la dernière étreinte, comme la fidélité, conjuguée au plus-que-parfait, à la seconde personne du pluriel, au singulier chez les anonymous, en la personne de Ça, présentée en horreur, comme pour mieux se gargariser du bien-fondé de son action première . Le corps humain, perçu comme un coffre-fort, sans nécessité de tendre l'oreille, et entendre le déclic salutaire, à chaque série numérotée, sans jamais donc l'ouvrir, sans jamais percevoir son contenu . Le coffre-fort, c'est une affaire personnelle, comme une affaire de goût, ne se mangeant pas en salade, impersonnelle, s'il n'est jamais ouvert . Paradoxalement, sans désir, le coffre-fort reste à jamais fermé . C'est le baromètre de l'union contre-nature, au détriment de ce qui est sacré, compteur bloqué, et donnant toujours la même heure . Le générique d'une série d'inconnus, présentés sous la forme d'un X . À chacun sa croix, comme on dit, je suis venu avec la mienne, comme je suis parti de ce monde ... Ne restera bientôt plus, qu'un énième cadavre entassé parmi tant d'autres . N'étant pourtant pas un banal cadavre . Tout du moins, ni à mes yeux, ni aux yeux de mes proches . Posséder les vestiges de l'ombre ne veut jamais dire en posséder son contenu . Le génie, se meurt par l'humanité . Ne reste plus que son ersatz . Le troc inqualifiable, comme un pacte avec le diable . Lorsque l'on éteint la lumière à jamais, l'on perd irrémédiablement son humanité . Il n'y plus matière, à en posséder l'objet . Mais parfois, ce que l'on cherche, se trouve juste sous ses yeux ...

Signé X .

Pour les simplets de services, n'ayant en aucuns points les neurones adaptés à la question ci-dessus, c'est non, car la réponse, est sans appel, et va dans le sens contraire ... À l' Humanité ...?

( Etre bien avec une femme sans penser à la toucher) Amour et Séduction 

Mon dernier mot ici sera pour vous.

Arrivés ou nous en sommes aujourd'hui votre solitude est une force.

Les ténébres menacent de recouvrir toute l'humanité qui semble être arrivée dans une impasse.

Il n'y a plus guere d'individus, la société est malade, il n'y a plus grand chose a désirer, sinon rester sain d'esprit quand tous deviennent fous.

Si vous en avez l'occasion regardez le dernier épisode du "prisonnier" :

https://odysee.com/@VinylDiscoFunkSmoothFiveStar:5/Le.Prisonnier.S1E17.Final:b

 

 

 

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Membre, 48ans Posté(e)
Elisa* Membre 11 378 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 13 minutes, hell-spawn a dit :

Mon dernier mot ici sera pour vous.

Est-ce à dire que tu quittes le forum ou juste ce topic ? :mef2:

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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 3 heures, Elisa* a dit :

Est-ce à dire que tu quittes le forum ou juste ce topic ? :mef2:

Le forum.

ça fait 11 jours que j'ai demandé a @Nephalion  la suppression de mon compte, mais elle n'arrive point  ( il y a de l'abus quand meme )

Vous me regretterez ?

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Membre, 48ans Posté(e)
Elisa* Membre 11 378 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)
il y a 11 minutes, hell-spawn a dit :

Le forum.

ça fait 11 jours que j'ai demandé a @Nephalion  la suppression de mon compte, mais elle n'arrive point  ( il y a de l'abus quand meme )

Vous me regretterez ?

Absolument !

C4DF712B-AEFC-4ACA-9982-174C7BEF665C.thumb.jpeg.f047cf7e895a17b90df7a580f7cc05a6.jpeg

Je trouve vraiment regrettable que tu te barres quelles soient les dissensions : c’est ce qui fait la richesse d’un forum !

J’aime bien batailler ac toi sauf quand tu pousses trop loin… 

Allez respires un peu et reviens-nous en pleine forme… :fleur:

Ou challenges-toi… ne pars pas ! 

 

Modifié par Elisa*
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Membre, 51ans Posté(e)
Norbert Membre 2 500 messages
Maitre des forums‚ 51ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, hell-spawn a dit :

le dernier épisode du "prisonnier" :

Ah oui celui qui montre que la politique c'est manipuler les gens pour qu'ils fassent ce que les puissants  attendent d'eux!

J'aime bien aussi le premier!

 

Modifié par Norbert
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Invité hell-spawn
Invités, Posté(e)
Invité hell-spawn
Invité hell-spawn Invités 0 message
Posté(e)
il y a 8 minutes, Norbert a dit :

J'aime bien aussi le premier!

Le dernier Norbert !  Regarde le dernier !

 

A toi il est a peu pres sur qu'il parlera.

il y a 27 minutes, Elisa* a dit :

J’aime bien batailler ac toi sauf quand tu pousses trop loin…

Je ne pousse jamais trop loin, je suis juste comme la justice.

 

 

39 meilleures idées sur Balance de la justice | balance de la justice, la  justice, logo avocat

Bise.

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Membre, 51ans Posté(e)
Norbert Membre 2 500 messages
Maitre des forums‚ 51ans‚
Posté(e)

@hell-spawn

humour: jusqu'à présent je n'ai jamais eu de problème pour quitter un forum ! Sur Dorg j'ai été viré 10 fois, et même récemment sur rencontre-laminaire.org, 3 fois je crois.

Vu que tu veux partir, je me permets ces conseils à prendre ou pas: tu es adulte:

dans un forum ou dans la vie

a) ne pas vouloir absolument convaincre: si les gens ont envie de s'injecter 10 doses de vaccin dangereux pour leur système immunitaire, c'est leur droit

b) ne t'énerve pas, même si personne ne te croit et ne te prend au sérieux: toujours rester "british"!

c) si par contre les chicanes deviennent humiliantes, renvoie leur l'ascenseur, toujours remettre les compteurs à zéro (mais pas plus)

d)  avec les femmes "C'est fuis là elle te suit, suis là elle te fuit", mais il faut quand même les rattraper. Donc quand tu es amoureux, même si elle te fuit, vas y et n'aie pas peur du râteau!

e) il faut faire dans le Réel, mais pas forcément selon comment on veut que tu fasses, tu peux faire autrement profite-en!

f) en tant que zèbre HP tu peux faire de grandes choses, aie confiance dans ta capacité de faire, même si c'est plus dur pour toi que pour les autres car tu vas voir à l'avance toutes les conséquences négatives que pourrait avoir ton acte.

il y a 23 minutes, hell-spawn a dit :

Le dernier Norbert !  Regarde le dernier !

Ah oui sur les élections!

Modifié par Norbert
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Membre, 51ans Posté(e)
Norbert Membre 2 500 messages
Maitre des forums‚ 51ans‚
Posté(e)
Le 06/09/2022 à 19:29, Elbaid1 a dit :

nono ? beloboy

Nono un fan de Mollande!

Oui, Nono, Belloboy alis exit, le charquemontais travaillant en Suisse (je l'ai croisé sur la route de Charquemont en Suisse) en juillet 2015

Julie, tous ceux qui avait atterri chez Julie puis sur "Paroles et Musique"

dont la gérante m'avait fait découvrir cela

je dedicace @hell-spawn pour qu'il ne parte pas!

 

 

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