Adélaïde recalée à l'entretien d'embauche, pourquoi ?

il y a une heure, Beebee a dit :

10! Tu n'as pas de coeur, c'est trop mignon les ratons laveurs. Moins que les bébés phoques mais tout juste.

Je préfère les moufettes.

même si ça pue du cul  

Il y a 9 heures, Doïna a dit :

Pas vrai, actuellement le gros des médias doit se composer de macronistes, qui sont des libéraux, donc de droite.

Devriez revoir votre copie!

https://www.wikiberal.org/wiki/Libéraux_de_gauche

A leurs valeurs retrouvées

Il y a 6 heures, Ximène a dit :

si c'est vrai ! elle en rajoute peut être un peu , la donzelle pour faire le buzz !

Pourquoi pas, ça fonctionne partout comme ça aujourd'hui, du buzz, ça réjouit le bon peuple !

Puis le buzz de Camille sera apprécié de la Gauche, même chose !

Il y a 10 heures, dede 2b a dit :

Parce qu'accepter le racisme c'est de la tolérance ?

Bien sur.

Le problème des gens qui font trop de communication, c'est qu'ils ont tellement déformé l'emploi des mots qu'ils finissent pas ne plus avoir aucune idée de ce que ces mots voulaient dire à l'origine. C'est typiquement le cas de la tolérance.

Figures toi que la tolérance c'est laisser faire quelque chose qu'on a le droit légitime et le pouvoir de faire cesser. Comme le racisme. Mais aussi comme l'immigration. Quelque chose qu'on a le droit légitime et le pouvoir de faire cesser.

Alors évidemment si tu me parles de l'emploi contemporain du mot, ça veut dire soumission totale aux diktats de la télé qui n'a aucun problème à être schizophrénique et à dire aujourd'hui l'inverse de ce que ça disait hier.

Et là ça ne veut plus rien dire donc demander la signification est superflu.

Mais si on en revenait au sens de la tolérance. Et si tu nous présentais tes excuses pour des décennies de mensonge et de violence contre nous ?

Il y a 21 heures, Ines Presso a dit :

Il y a un moment où il faut arrêter d’être con, on choisit toujours nos collaborateurs sur plusieurs critères, et certaines valeurs ont tout a fait leur place dans les critères. L’Opera Garnier, n’a pas besoin d’une personne qui forcément ferait valoir des valeurs puantes de racisme dans son travail. 

Voila.

Quel drame, une petite fafiotte n'a pas pu se faire engager à l'Opéra...ALALALALALALA.....Maisouval'monde !

Il y a 11 heures, Morfou a dit :

Devriez revoir votre copie!

https://www.wikiberal.org/wiki/Libéraux_de_gauche

Aucun rapport avec ce qui était dit précédemment : il faut quand même préciser que les partis qui se réclament du centre, Modem et Larem, ne sont ni de gauche, ni de gauche, ils ne sont que des partis libéraux, et seulement libéraux.

à l’instant, Doïna a dit :

Aucun rapport avec ce qui était dit précédemment : il faut quand même préciser que les partis qui se réclament du centre, Modem et Larem, ne sont ni de gauche, ni de gauche, ils ne sont que des partis libéraux, et seulement libéraux.

Erreur courante : le libéralisme est une idéologie de droite

En toute rigueur, le libéralisme ne peut être classé ni à droite ni à gauche. En déduire qu'il est « centriste » serait aussi une erreur, sauf à dire qu'il est éloigné tant des tendances redistributives de la gauche (et aussi de la droite) que des tendances autoritaires de la droite (et aussi de la gauche), ces deux types de tendances reposant sur l'étatisme et l'interventionnisme, réprouvés par les libéraux :

« Les conservateurs veulent tous être votre papa, qui vous dit ce qu'il faut faire et ne pas faire. Les sociaux-démocrates veulent tous être votre maman, qui vous nourrit, borde vos draps et vous mouche. » (David Boaz, Libertarianism: A Primer)

Si on tient à tout prix à coller des étiquettes politiques sur les libéraux, on aura :

• plutôt à droite, les libéraux conservateurs ;
• plutôt à gauche, les libéraux de gauche ;
• plutôt centristes (dans le bon sens du terme), les libéraux classiques, qui historiquement s'opposent tant aux conservateurs de droite qu'aux socialistes ;
• inclassables, les libertariens, qui tendent vers l'anarchisme ou l'État minimal.

Il y a 11 heures, Jim69 a dit :

Je préfère les moufettes.

même si ça pue du cul  

Sont cro mignones...

il y a 1 minute, Morfou a dit :

Erreur courante : le libéralisme est une idéologie de droite

En toute rigueur, le libéralisme ne peut être classé ni à droite ni à gauche. En déduire qu'il est « centriste » serait aussi une erreur, sauf à dire qu'il est éloigné tant des tendances redistributives de la gauche (et aussi de la droite) que des tendances autoritaires de la droite (et aussi de la gauche), ces deux types de tendances reposant sur l'étatisme et l'interventionnisme, réprouvés par les libéraux :

« Les conservateurs veulent tous être votre papa, qui vous dit ce qu'il faut faire et ne pas faire. Les sociaux-démocrates veulent tous être votre maman, qui vous nourrit, borde vos draps et vous mouche. » (David Boaz, Libertarianism: A Primer)

Si on tient à tout prix à coller des étiquettes politiques sur les libéraux, on aura :

• plutôt à droite, les libéraux conservateurs ;
• plutôt à gauche, les libéraux de gauche ;
• plutôt centristes (dans le bon sens du terme), les libéraux classiques, qui historiquement s'opposent tant aux conservateurs de droite qu'aux socialistes ;
• inclassables, les libertariens, qui tendent vers l'anarchisme ou l'État minimal.

Mettons que quand je parle de libéraux, il s'agit plus précisément de capitalistes.

De nos jours, les capitalistes se qualifient de libéraux parce qu'ils répugnent à admettre qu'ils sont purement et simplement capitalistes.

Cela dit, c'est enregistré : à compter de maintenant, promis, je n'emploierais plus le terme libéral, mais capitaliste. Après tout, il faut appeler un chat un chat !

il y a 19 minutes, Doïna a dit :

Mettons que quand je parle de libéraux, il s'agit plus précisément de capitalistes.

De nos jours, les capitalistes se qualifient de libéraux parce qu'ils répugnent à admettre qu'ils sont purement et simplement capitalistes.

Cela dit, c'est enregistré : à compter de maintenant, promis, je n'emploierais plus le terme libéral, mais capitaliste. Après tout, il faut appeler un chat un chat !

Ce n'est pas un gros mot... capitalisme! il n'y aurait donc pas de gens de gauche propriétaires de la production? pas de patrons capitalistes à gauche? au centre?

Sont bien contents les travailleurs qu'il y ait des capitalistes...le marxisme et le communisme et le capitalisme d'état ont ruiné plus d'un pays...et puis nous sommes tous plus ou moins capitalistes dans l'esprit...nous aimons être propriétaire de notre logement, de notre voiture, avoir un bas de laine à la banque...la française des jeux et les milliards d'€ par an "qu'investissent" des gens qui voudraient bien devenir riches...

Le capitalisme désigne un système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production et la liberté de concurrence. Par extension, le terme peut également désigner l'organisation sociale induite par ce système ou un système fondé sur l'accumulation du capital productif fondé sur la recherche du profit. Les acteurs du système capitalisme sont les individus, des entreprises, des associations, des fondations voire l’État quand il assume un rôle économique.

Les économistes, les sociologues et les historiens ont adopté des perspectives différentes dans leurs analyses du capitalisme et en ont reconnu diverses formes dans la pratique dont le capitalisme de laissez-faire, l'économie sociale de marché ou le capitalisme d'État. Les différentes formes de capitalisme présentent des degrés variables de marché, de propriété privée, d'obstacles à la libre concurrence et d'implication de l'État à travers les politiques sociales et sont du ressort des politiques et de la loi. La plupart des économies capitalistes existantes sont des économies mixtes, qui combinent des éléments de libre marché avec l'intervention de l'État et, dans certains cas, une certaine forme de planification économique.

Le système capitaliste a connu une diffusion croissante depuis la révolution industrielle et est actuellement le système économique de la plupart des pays de la planète suite à l'échec du modèle marxiste et communiste avec l'effondrement de l'URSS en 1991¹. Il s'est développé historiquement à partir de l'Italie à la fin du Moyen Âge avant de se diffuser en Europe, en Amérique du Nord et de se diffuser dans le reste du monde notamment à partir du XIXème siècle. Source de développement économique et de croissance, il a permis l'industrialisation précoce de l'Angleterre et ensuite d'autres pays européens et de l'Amérique du Nord.

Plusieurs types de critiques ont été faites contre le capitalisme sur le plan de la morale, de la validité des théories économiques, sur le rôle de l'État, le pouvoir des propriétaires du capital, le partage de la valeur ajoutée et du profit, l'organisation du travail ou encore dans le domaine des relations internationales. En outre, l'implication du capitalisme dans de grandes questions sociétales, comme l'impérialisme ou l'environnement, font l'objet de controverses. Pour cette raison, le mot capitalisme est généralement employé à ses origines avec une connotation critique ou une volonté de s'opposer à ce système, notamment par les tenants du marxisme, du communisme et de l'anarchisme, tandis que les économistes libéraux préfèrent utiliser l'expression « économie de marché ».

Le 27/05/2022 à 09:40, Plouj a dit :

Elle est recalée d’un entretien d’embauche à l’Opéra de Paris pour avoir fait un stage à Valeurs actuelles : «Vous pensiez vraiment qu’avec un tel CV vous pourriez être embauchée dans le monde de la culture ?»

Adélaïde, stagiaire dans notre rédaction depuis cinq mois, a été recalée d’un entretien d’embauche à l’Association pour le rayonnement de l’Opéra national de Paris (AROP) en raison de son passé dans la presse “d’extrême droite”. Elle raconte ce moment. Un sommet de sectarisme.

[…]La responsable me demande de me présenter. Enthousiaste et honorée d’être là, au cœur de cette institution réputée dans le monde entier, je me lance : « Je m’appelle Adélaïde. J’ai 23 ans. Après une double licence histoire-science politique à la Sorbonne, j’ai effectué un master 1 et un master 2 de science-politique spécialisé en communication politique et institutionnelle toujours dans le même établissement. » Elle sourit et semble contente de constater que je sors de cette université parisienne. Je poursuis en évoquant longuement ma passion pour l’art et notamment le ballet. Je montre à mon interlocutrice que je connais bien les rouages de l’Opéra de Paris et que je suis quotidiennement son actualité.

//

Étonnée par la tournure que prend l’entretien, je lui dis posément : « Attendez Madame, avant de partir j’aimerais revenir sur un point. Tout cela est bien paradoxal. Vous prônez à juste titre la diversité et l’inclusion, mais vous fermez vos portes à une jeune femme compétente seulement parce qu’elle n’a pas les mêmes convictions politiques que celles de votre équipe et des vôtres. » Camille me répond en souriant : « Mais Madame, le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit. » Surprise par son insinuation et son sectarisme, je lui dis qu’il est temps, en effet, de nous quitter. « Je suis bien d’accord », me répond-t-elle. Elle me raccompagne à la porte. « Au revoir, Madame », lui dis-je dans un dernier soupir.

En sortant de Garnier, je suis davantage attristée par le manque d’ouverture d’esprit de mon interlocutrice que de ne pas avoir été retenue pour le poste. Je regrette de ne pas avoir dit à Camille qu’elle est à des années-lumière de ce qu’attend une partie des spectateurs. Sur les réseaux sociaux, les groupes d’échange entre passionnés témoignent de la déception et du mécontentement  de certains fidèles de l’Opéra de Paris, qui pointent du doigt le politiquement correct – au détriment parfois de la méritocratie – défendue par cette prestigieuse institution, fondée par Louis XIV. Au cours de notre entretien, Camille m’avait prévenu : « Le monde de la culture est de gauche, ne perdez pas votre temps à postuler. »

Le lien

La suite

 

en lisant cela, je pense que l'une comme l'autre, ne sont pas faites pour le job. 

il y a 11 minutes, jacky29 a dit :

en lisant cela, je pense que l'une comme l'autre, ne sont pas faites pour le job. 

Si on ne se fie qu'aux déclarations, on ne connait que le CV d'Adélaïde, pas si mauvais ma foi... Difficile donc de porter un jugement.

Durant ma carrière j'ai rencontré des RH et je ne me souviens pas d'avoir abordé le sujet politique.

il y a 52 minutes, Morfou a dit :

Ce n'est pas un gros mot... capitalisme! il n'y aurait donc pas de gens de gauche propriétaires de la production? pas de patrons capitalistes à gauche? au centre?

Sont bien contents les travailleurs qu'il y ait des capitalistes...le marxisme et le communisme et le capitalisme d'état ont ruiné plus d'un pays...et puis nous sommes tous plus ou moins capitalistes dans l'esprit...nous aimons être propriétaire de notre logement, de notre voiture, avoir un bas de laine à la banque...la française des jeux et les milliards d'€ par an "qu'investissent" des gens qui voudraient bien devenir riches...

 

Le capitalisme désigne un système économique caractérisé par la propriété privée des moyens de production et la liberté de concurrence. Par extension, le terme peut également désigner l'organisation sociale induite par ce système ou un système fondé sur l'accumulation du capital productif fondé sur la recherche du profit. Les acteurs du système capitalisme sont les individus, des entreprises, des associations, des fondations voire l’État quand il assume un rôle économique.

Les économistes, les sociologues et les historiens ont adopté des perspectives différentes dans leurs analyses du capitalisme et en ont reconnu diverses formes dans la pratique dont le capitalisme de laissez-faire, l'économie sociale de marché ou le capitalisme d'État. Les différentes formes de capitalisme présentent des degrés variables de marché, de propriété privée, d'obstacles à la libre concurrence et d'implication de l'État à travers les politiques sociales et sont du ressort des politiques et de la loi. La plupart des économies capitalistes existantes sont des économies mixtes, qui combinent des éléments de libre marché avec l'intervention de l'État et, dans certains cas, une certaine forme de planification économique.

Le système capitaliste a connu une diffusion croissante depuis la révolution industrielle et est actuellement le système économique de la plupart des pays de la planète suite à l'échec du modèle marxiste et communiste avec l'effondrement de l'URSS en 1991¹. Il s'est développé historiquement à partir de l'Italie à la fin du Moyen Âge avant de se diffuser en Europe, en Amérique du Nord et de se diffuser dans le reste du monde notamment à partir du XIXème siècle. Source de développement économique et de croissance, il a permis l'industrialisation précoce de l'Angleterre et ensuite d'autres pays européens et de l'Amérique du Nord.

Plusieurs types de critiques ont été faites contre le capitalisme sur le plan de la morale, de la validité des théories économiques, sur le rôle de l'État, le pouvoir des propriétaires du capital, le partage de la valeur ajoutée et du profit, l'organisation du travail ou encore dans le domaine des relations internationales. En outre, l'implication du capitalisme dans de grandes questions sociétales, comme l'impérialisme ou l'environnement, font l'objet de controverses. Pour cette raison, le mot capitalisme est généralement employé à ses origines avec une connotation critique ou une volonté de s'opposer à ce système, notamment par les tenants du marxisme, du communisme et de l'anarchisme, tandis que les économistes libéraux préfèrent utiliser l'expression « économie de marché ».

Il y a 17 heures, Mite_Railleuse a dit :

« Le but n’est pas le but, c’est la voie » - Lao Tseu

Amen toujours!

il y a 44 minutes, Demsky a dit :

 

L'URSS. En avril 1918 , Nikolaï Ossinski et Nikolaï Boukharine, dans la revue Le Communiste, reprennent le concept de capitalisme d'État pour dénoncer l'appropriation par l'État soviétique des moyens de production (le programme de Lénine).

Il y a 2 heures, Morfou a dit :

L'URSS. En avril 1918 , Nikolaï Ossinski et Nikolaï Boukharine, dans la revue Le Communiste, reprennent le concept de capitalisme d'État pour dénoncer l'appropriation par l'État soviétique des moyens de production (le programme de Lénine).

Référence SVP. Je n'ais pas trouvé cette revue à cette époque?

C'est le programme transitoire de la NEP que tu cites! En aucun cas le programme marxiste que défend Lénine dès 1905.

Il y a 9 heures, Alain75 a dit :

Voila.

Quel drame, une petite fafiotte n'a pas pu se faire engager à l'Opéra...ALALALALALALA.....Maisouval'monde !

j'espère qu'avec ce buzz elle trouvera plus facilement une entreprise sérieuse qui appréciera ses valeurs de "droite "  

Par contre la place des collaborateurs gauchisants et wokistes devrait être plutôt à pôle emploi...

il y a 6 minutes, Clavier a dit :

j'espère qu'avec ce buzz elle trouvera plus facilement une entreprise sérieuse qui appréciera ses valeurs de "droite "  

Par contre la place des collaborateurs gauchisants et wokistes devrait être plutôt à pôle emploi...

Pourtant Bonnafé est de droite ....un banquier comme Macron....et un invité à CNews comme Zemour!

Il y a 4 heures, dede 2b a dit :

Référence SVP. Je n'ais pas trouvé cette revue à cette époque?

C'est le programme transitoire de la NEP que tu cites! En aucun cas le programme marxiste que défend Lénine dès 1905.

 

https://www.librairie-gallimard.com/livre/9782952827638-la-revue-kommunist-moscou-1918-les-communistes-de-gauche-contre-le-capitalisme-d-etat-boukharine-ossinski-radek-smirnov/

Il y a 23 heures, Morfou a dit :

Ce n'est pas un gros mot... capitalisme! 

Mais ça pourrait le devenir. Enfin, le capitalisme il faut y mettre des limites, sinon il signe notre perte. Dans le passé, il a causé des conditions ouvrières déplorables : salaires de misère, horaires de travail complètement fous, rythmes des tâches répétitives à rendre dingue, travail des enfants... Actuellement, c'est en train de détruire la planète et nos santés. Il faut recadrer tout ça très vite, ça urge !