Aller au contenu

l'évidence est-elle une connaissance ?


LionelSp

Messages recommandés

Membre, 55ans Posté(e)
LionelSp Membre 347 messages
Forumeur forcené ‚ 55ans‚
Posté(e)

L’énonciation assertorique est une vérité qui semble puiser est jugement dans un « data », alors que l’énonciation apodictique, par définition est un jugement de nécessité. Le rapprochement de l’un à l’autre est sans doute un mouvement et une représentation remise cause, comme l’intention d’une nécessité.

La définition présente étant donnée j’aurais ainsi maintenant la certitude d’avoir un jugement d’évidence vraie, donc l’évidence serait le fait d’une connaissance pure, comme si je disais que 1+1 = 2 est évident, alors qu’il n’est que le jugement d’une connaissance acquise et non remise en cause. (Sans doute en est-il un descriptif qui n’atteindra ni l’un ni l’autre, est EST possiblement ceci ou cela, présence, absence, évolution possible)  

L’évidence culturelle peut-être celle d’une obéissance aveugle ou celle pensée comme vraie dans l’intention communautaire, ainsi prétention seconde d’une connaissance acquise mais remise en cause dans son savoir.  N’y a-t-il pas une injure dans la prédictibilité d’une évidence sociale et inversement dans sa méconnaissance, l’évidence reste ici une connaissance.        

Le caractère de nécessité est sans doute celui d’une progression vers une connaissance manquante, donc est évident ce qui n’est pas connu comme étant connu. A nouveau le comportement « d’une remise cause » est sujet à un péjoratif social dans son questionnement, qui contredit une connaissance.

Il est envisageable que sa justification soit le fait d’une distinction quant à la nature d’une logique, d’un sentiment, d’une croyance, d’une science médicale… 1+1 est une logique dans l’évidence d’une connaissance, une température de -20 est un sentiment d’appréciation d’évidence sociale et culturelle, l’atome est une croyance par rapport à une existence d’évidence métaphysique, être en bonne santé est la science d’une évidence hors le fait d’un contact nocif.          

La tromperie de l’évidence est la psychologie d’un double lien, « brrr il fait froid… voulez-vous une veste…. Ce con me propose une veste, je n’en n’ai pas besoin ». Elle est une nouvelle distinction quant à la nature d’une psychologie particulière.

Il peut également y avoir appréciation psychologique dans la réponse ou non réponse, à l’évidence, à sa remise cause, ou à son intention présentée comme évidente ou comme remise en cause. L’usage de l’évidence peut être une invitation au dialogue, une confirmation, une information, une intention…   

On peut dire qu’il y ait diverses nécessités dans la justification d’une remise cause.   

Selon Brentano « est évident ce qui est sûr, et ce qui est sûr au sens propre ne connaît aucune différence de degré ». Selon Pascal lu par Brentano « Il faudrait alors croire et il faudrait récuser cette croyance, donc considérer la situation comme désespérée »

L’exemple médical récent de la mort de M. Bogdanov, docteur en physique et philo, qui a soutenu sa bonne santé, au regard d’une « acromégalie manifeste », est une interrogation  de philosophie pratique.

D’aucun argumentera culturellement par la pure connaissance d’un rapport entre une  « acromégalie manifeste » et une infection virale que vous ignorez comme moi. Il est pourtant aisé de répondre (remise en cause), qu’il n’y a pas plus un jugement vrai dans le fait d’« être svelte et en bonne santé » que dans le jugement vrai d’une bonne santé dans « l’acromégalie ».

On peut dire également qu’il n’y a aucune différence de degré entre être svelte et avoir une acromégalie, dans l’ordre des choses évidentes.  L’évidence est niée en-soi et non remise en cause, par le fait d’un jugement assertorique de connaissance « nous sommes sveltes et en bonne santé », la situation étant par la suite une connaissance désespérée.

La nécessité d’une connaissance particulière fait défaut dans le fait de l’évidence présente « n’est pas en parfaite et bonne santé ». Le péjoratif social, intention en particulier, est une réponse à apprécier  en général « Mais, heu…, êtes-vous docteur en, heu…, médecine, …heu, alors…..  »

Enfin pour terminer, le propos Luc Ferry éminent philosophe, nous informe que l’apparence de son ami « acromégalique » est due selon son information « à un problème de botox », ceci semble a priori sans ironie et convaincu de cette assertion.

Encore une fois l’information qui n’est pas remise en cause est un jugement assertorique tenu pour vrai, manifestement opposable à une réalité très bassement commune culturelle. De la même manière, le rapport entre l’ossature de feu M.b et le botox, est le même, que quelques millions de demoiselles, sans différence de degré, en première page de playboy université.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 704 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
il y a 32 minutes, LionelSp a dit :

L’énonciation assertorique est une vérité qui semble puiser est jugement dans un « data », alors que l’énonciation apodictique, par définition est un jugement de nécessité. Le rapprochement de l’un à l’autre est sans doute un mouvement et une représentation remise cause, comme l’intention d’une nécessité.

La définition présente étant donnée j’aurais ainsi maintenant la certitude d’avoir un jugement d’évidence vraie, donc l’évidence serait le fait d’une connaissance pure, comme si je disais que 1+1 = 2 est évident, alors qu’il n’est que le jugement d’une connaissance acquise et non remise en cause. (Sans doute en est-il un descriptif qui n’atteindra ni l’un ni l’autre, est EST possiblement ceci ou cela, présence, absence, évolution possible)  

L’évidence culturelle peut-être celle d’une obéissance aveugle ou celle pensée comme vraie dans l’intention communautaire, ainsi prétention seconde d’une connaissance acquise mais remise en cause dans son savoir.  N’y a-t-il pas une injure dans la prédictibilité d’une évidence sociale et inversement dans sa méconnaissance, l’évidence reste ici une connaissance.        

Le caractère de nécessité est sans doute celui d’une progression vers une connaissance manquante, donc est évident ce qui n’est pas connu comme étant connu. A nouveau le comportement « d’une remise cause » est sujet à un péjoratif social dans son questionnement, qui contredit une connaissance.

Il est envisageable que sa justification soit le fait d’une distinction quant à la nature d’une logique, d’un sentiment, d’une croyance, d’une science médicale… 1+1 est une logique dans l’évidence d’une connaissance, une température de -20 est un sentiment d’appréciation d’évidence sociale et culturelle, l’atome est une croyance par rapport à une existence d’évidence métaphysique, être en bonne santé est la science d’une évidence hors le fait d’un contact nocif.          

La tromperie de l’évidence est la psychologie d’un double lien, « brrr il fait froid… voulez-vous une veste…. Ce con me propose une veste, je n’en n’ai pas besoin ». Elle est une nouvelle distinction quant à la nature d’une psychologie particulière.

Il peut également y avoir appréciation psychologique dans la réponse ou non réponse, à l’évidence, à sa remise cause, ou à son intention présentée comme évidente ou comme remise en cause. L’usage de l’évidence peut être une invitation au dialogue, une confirmation, une information, une intention…   

On peut dire qu’il y ait diverses nécessités dans la justification d’une remise cause.   

Selon Brentano « est évident ce qui est sûr, et ce qui est sûr au sens propre ne connaît aucune différence de degré ». Selon Pascal lu par Brentano « Il faudrait alors croire et il faudrait récuser cette croyance, donc considérer la situation comme désespérée »

L’exemple médical récent de la mort de M. Bogdanov, docteur en physique et philo, qui a soutenu sa bonne santé, au regard d’une « acromégalie manifeste », est une interrogation  de philosophie pratique.

D’aucun argumentera culturellement par la pure connaissance d’un rapport entre une  « acromégalie manifeste » et une infection virale que vous ignorez comme moi. Il est pourtant aisé de répondre (remise en cause), qu’il n’y a pas plus un jugement vrai dans le fait d’« être svelte et en bonne santé » que dans le jugement vrai d’une bonne santé dans « l’acromégalie ».

On peut dire également qu’il n’y a aucune différence de degré entre être svelte et avoir une acromégalie, dans l’ordre des choses évidentes.  L’évidence est niée en-soi et non remise en cause, par le fait d’un jugement assertorique de connaissance « nous sommes sveltes et en bonne santé », la situation étant par la suite une connaissance désespérée.

La nécessité d’une connaissance particulière fait défaut dans le fait de l’évidence présente « n’est pas en parfaite et bonne santé ». Le péjoratif social, intention en particulier, est une réponse à apprécier  en général « Mais, heu…, êtes-vous docteur en, heu…, médecine, …heu, alors…..  »

Enfin pour terminer, le propos Luc Ferry éminent philosophe, nous informe que l’apparence de son ami « acromégalique » est due selon son information « à un problème de botox », ceci semble a priori sans ironie et convaincu de cette assertion.

Encore une fois l’information qui n’est pas remise en cause est un jugement assertorique tenu pour vrai, manifestement opposable à une réalité très bassement commune culturelle. De la même manière, le rapport entre l’ossature de feu M.b et le botox, est le même, que quelques millions de demoiselles, sans différence de degré, en première page de playboy université.

Vous m'en mettrez trois caisses.:p

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 71ans Posté(e)
Frank_N Membre 4 335 messages
Maitre des forums‚ 71ans‚
Posté(e)

Ben j'ai rien compris mais pas la peine de m'expliquer je ne comprendrais pas plus.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 704 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
il y a 5 minutes, Frank_N a dit :

Ben j'ai rien compris mais pas la peine de m'expliquer je ne comprendrais pas plus.

Quand j'étais jeune on disait : "Il se paye de mots".

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
system3 Membre 625 messages
Forumeur expérimenté‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, LionelSp a dit :

L’énonciation assertorique est une vérité qui semble puiser est jugement dans un « data », alors que l’énonciation apodictique, par définition est un jugement de nécessité. Le rapprochement de l’un à l’autre est sans doute un mouvement et une représentation remise cause, comme l’intention d’une nécessité.

La définition présente étant donnée j’aurais ainsi maintenant la certitude d’avoir un jugement d’évidence vraie, donc l’évidence serait le fait d’une connaissance pure, comme si je disais que 1+1 = 2 est évident, alors qu’il n’est que le jugement d’une connaissance acquise et non remise en cause. (Sans doute en est-il un descriptif qui n’atteindra ni l’un ni l’autre, est EST possiblement ceci ou cela, présence, absence, évolution possible)  

L’évidence culturelle peut-être celle d’une obéissance aveugle ou celle pensée comme vraie dans l’intention communautaire, ainsi prétention seconde d’une connaissance acquise mais remise en cause dans son savoir.  N’y a-t-il pas une injure dans la prédictibilité d’une évidence sociale et inversement dans sa méconnaissance, l’évidence reste ici une connaissance.        

Le caractère de nécessité est sans doute celui d’une progression vers une connaissance manquante, donc est évident ce qui n’est pas connu comme étant connu. A nouveau le comportement « d’une remise cause » est sujet à un péjoratif social dans son questionnement, qui contredit une connaissance.

Il est envisageable que sa justification soit le fait d’une distinction quant à la nature d’une logique, d’un sentiment, d’une croyance, d’une science médicale… 1+1 est une logique dans l’évidence d’une connaissance, une température de -20 est un sentiment d’appréciation d’évidence sociale et culturelle, l’atome est une croyance par rapport à une existence d’évidence métaphysique, être en bonne santé est la science d’une évidence hors le fait d’un contact nocif.          

La tromperie de l’évidence est la psychologie d’un double lien, « brrr il fait froid… voulez-vous une veste…. Ce con me propose une veste, je n’en n’ai pas besoin ». Elle est une nouvelle distinction quant à la nature d’une psychologie particulière.

Il peut également y avoir appréciation psychologique dans la réponse ou non réponse, à l’évidence, à sa remise cause, ou à son intention présentée comme évidente ou comme remise en cause. L’usage de l’évidence peut être une invitation au dialogue, une confirmation, une information, une intention…   

On peut dire qu’il y ait diverses nécessités dans la justification d’une remise cause.   

Selon Brentano « est évident ce qui est sûr, et ce qui est sûr au sens propre ne connaît aucune différence de degré ». Selon Pascal lu par Brentano « Il faudrait alors croire et il faudrait récuser cette croyance, donc considérer la situation comme désespérée »

L’exemple médical récent de la mort de M. Bogdanov, docteur en physique et philo, qui a soutenu sa bonne santé, au regard d’une « acromégalie manifeste », est une interrogation  de philosophie pratique.

D’aucun argumentera culturellement par la pure connaissance d’un rapport entre une  « acromégalie manifeste » et une infection virale que vous ignorez comme moi. Il est pourtant aisé de répondre (remise en cause), qu’il n’y a pas plus un jugement vrai dans le fait d’« être svelte et en bonne santé » que dans le jugement vrai d’une bonne santé dans « l’acromégalie ».

On peut dire également qu’il n’y a aucune différence de degré entre être svelte et avoir une acromégalie, dans l’ordre des choses évidentes.  L’évidence est niée en-soi et non remise en cause, par le fait d’un jugement assertorique de connaissance « nous sommes sveltes et en bonne santé », la situation étant par la suite une connaissance désespérée.

La nécessité d’une connaissance particulière fait défaut dans le fait de l’évidence présente « n’est pas en parfaite et bonne santé ». Le péjoratif social, intention en particulier, est une réponse à apprécier  en général « Mais, heu…, êtes-vous docteur en, heu…, médecine, …heu, alors…..  »

Enfin pour terminer, le propos Luc Ferry éminent philosophe, nous informe que l’apparence de son ami « acromégalique » est due selon son information « à un problème de botox », ceci semble a priori sans ironie et convaincu de cette assertion.

Encore une fois l’information qui n’est pas remise en cause est un jugement assertorique tenu pour vrai, manifestement opposable à une réalité très bassement commune culturelle. De la même manière, le rapport entre l’ossature de feu M.b et le botox, est le même, que quelques millions de demoiselles, sans différence de degré, en première page de playboy université.

L’évidence est-elle une connaissance ? Je pense que oui. Car tout ce qui est évident pour moi ne l’est pas forcément pour les autres et inversement. 

(A+B)^2=A^2+B^2+2*A*B

Ceci est aujourd’hui une évidence pour moi mais aussi une connaissance, ça n’a pas été le cas quand j’avais 10 ans... 

Toute connaissance qui est bien intégrée devient une évidence. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité korvo
Invités, Posté(e)
Invité korvo
Invité korvo Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 2 heures, LionelSp a dit :

L’énonciation assertorique est une vérité qui semble puiser est jugement dans un « data », alors que l’énonciation apodictique, ...

 

On a dit pas de mot en anglais.. j'ai rien compris.:hu:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
LionelSp Membre 347 messages
Forumeur forcené ‚ 55ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, korvo a dit :

On a dit pas de mot en anglais.. j'ai rien compris.:hu:

T'as raison ducon, il y une inversion Malveillante

Phrase non modifiée d'origine  copie de mon Ordi 

" L’énonciation assertorique est une vérité qui semble puiser son jugement dans un « data », "

Une dépréciation (communautaire) est l'intérêt d'une discrimination positive d'autres choses, pour le fait sans doute d'une mise en évidence du fait discriminatoire. 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité korvo
Invités, Posté(e)
Invité korvo
Invité korvo Invités 0 message
Posté(e)
il y a 53 minutes, LionelSp a dit :

T'as raison ducon, il y une inversion Malveillante

De toute façon c'est un texte qui n'a ni tête ni queue, ça donne la migraine, personne ne lira ton charabia jusqu'à la fin.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
LionelSp Membre 347 messages
Forumeur forcené ‚ 55ans‚
Posté(e)
à l’instant, korvo a dit :

De toute façon c'est un texte qui n'a ni tête ni queue, ça donne la migraine, personne ne lira ton charabia jusqu'à la fin.

Allez pisser votre haine ailleurs si cela ne vous plait pas.  

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité korvo
Invités, Posté(e)
Invité korvo
Invité korvo Invités 0 message
Posté(e)
il y a 1 minute, LionelSp a dit :

Allez pisser votre haine ailleurs si cela ne vous plait pas.  

Quelle haine? je vous connais pas, le sujet m’intéresse mais le texte n'est pas clair, c'est tout. et je ne suis pas le seul qui le dis, lis les autres réponses.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 896 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)

"La véritable ignorance s'ignore elle-même." Montaigne

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 47ans Posté(e)
Fraction Membre 5 632 messages
Maitre des forums‚ 47ans‚
Posté(e)
Il y a 16 heures, LionelSp a dit :

L’énonciation assertorique est une vérité qui semble puiser est jugement dans un « data », alors que l’énonciation apodictique, par définition est un jugement de nécessité. Le rapprochement de l’un à l’autre est sans doute un mouvement et une représentation remise cause, comme l’intention d’une nécessité.

La définition présente étant donnée j’aurais ainsi maintenant la certitude d’avoir un jugement d’évidence vraie, donc l’évidence serait le fait d’une connaissance pure, comme si je disais que 1+1 = 2 est évident, alors qu’il n’est que le jugement d’une connaissance acquise et non remise en cause. (Sans doute en est-il un descriptif qui n’atteindra ni l’un ni l’autre, est EST possiblement ceci ou cela, présence, absence, évolution possible)  

L’évidence culturelle peut-être celle d’une obéissance aveugle ou celle pensée comme vraie dans l’intention communautaire, ainsi prétention seconde d’une connaissance acquise mais remise en cause dans son savoir.  N’y a-t-il pas une injure dans la prédictibilité d’une évidence sociale et inversement dans sa méconnaissance, l’évidence reste ici une connaissance.        

Le caractère de nécessité est sans doute celui d’une progression vers une connaissance manquante, donc est évident ce qui n’est pas connu comme étant connu. A nouveau le comportement « d’une remise cause » est sujet à un péjoratif social dans son questionnement, qui contredit une connaissance.

Il est envisageable que sa justification soit le fait d’une distinction quant à la nature d’une logique, d’un sentiment, d’une croyance, d’une science médicale… 1+1 est une logique dans l’évidence d’une connaissance, une température de -20 est un sentiment d’appréciation d’évidence sociale et culturelle, l’atome est une croyance par rapport à une existence d’évidence métaphysique, être en bonne santé est la science d’une évidence hors le fait d’un contact nocif.          

La tromperie de l’évidence est la psychologie d’un double lien, « brrr il fait froid… voulez-vous une veste…. Ce con me propose une veste, je n’en n’ai pas besoin ». Elle est une nouvelle distinction quant à la nature d’une psychologie particulière.

Il peut également y avoir appréciation psychologique dans la réponse ou non réponse, à l’évidence, à sa remise cause, ou à son intention présentée comme évidente ou comme remise en cause. L’usage de l’évidence peut être une invitation au dialogue, une confirmation, une information, une intention…   

On peut dire qu’il y ait diverses nécessités dans la justification d’une remise cause.   

Selon Brentano « est évident ce qui est sûr, et ce qui est sûr au sens propre ne connaît aucune différence de degré ». Selon Pascal lu par Brentano « Il faudrait alors croire et il faudrait récuser cette croyance, donc considérer la situation comme désespérée »

L’exemple médical récent de la mort de M. Bogdanov, docteur en physique et philo, qui a soutenu sa bonne santé, au regard d’une « acromégalie manifeste », est une interrogation  de philosophie pratique.

D’aucun argumentera culturellement par la pure connaissance d’un rapport entre une  « acromégalie manifeste » et une infection virale que vous ignorez comme moi. Il est pourtant aisé de répondre (remise en cause), qu’il n’y a pas plus un jugement vrai dans le fait d’« être svelte et en bonne santé » que dans le jugement vrai d’une bonne santé dans « l’acromégalie ».

On peut dire également qu’il n’y a aucune différence de degré entre être svelte et avoir une acromégalie, dans l’ordre des choses évidentes.  L’évidence est niée en-soi et non remise en cause, par le fait d’un jugement assertorique de connaissance « nous sommes sveltes et en bonne santé », la situation étant par la suite une connaissance désespérée.

La nécessité d’une connaissance particulière fait défaut dans le fait de l’évidence présente « n’est pas en parfaite et bonne santé ». Le péjoratif social, intention en particulier, est une réponse à apprécier  en général « Mais, heu…, êtes-vous docteur en, heu…, médecine, …heu, alors…..  »

Enfin pour terminer, le propos Luc Ferry éminent philosophe, nous informe que l’apparence de son ami « acromégalique » est due selon son information « à un problème de botox », ceci semble a priori sans ironie et convaincu de cette assertion.

Encore une fois l’information qui n’est pas remise en cause est un jugement assertorique tenu pour vrai, manifestement opposable à une réalité très bassement commune culturelle. De la même manière, le rapport entre l’ossature de feu M.b et le botox, est le même, que quelques millions de demoiselles, sans différence de degré, en première page de playboy université.

Bonjour,

Comme il l’a été dit par les contributeurs, votre pédagogie mériterait quelques optimisations :

des phrases plus segmentées, un vocabulaire plus accessible, et moins d’égarements dans vos exemples.

Si bien que je ne peux pas vous répondre point par point.

 

L’évidence est-elle une connaissance ?

Déjà, il faut savoir que le verbe « être » français est ambigüe, en ce sens qu’il peut signifier tantôt une implication, tantôt une équivalence.

Je préfère donc reformuler la question :

Que représente la connaissance par rapport à l’évidence ?

 

D’abord la connaissance est une mémoire morte, inerte.

C’est un formalisme dont la mise en évidence est la conscientisation.

La connaissance se veut avérée par la mise en évidence :

_ Tantôt par la démonstration (sémantique, fonctionnelle, rationnelle : logico-mathématique),

_ tantôt par l’expérience (mesure, preuve),

_ tantôt par l’intuition (axiomatique, probabiliste, a priori…).

Alors que l’évidence c’est l’épreuve intime de la mesurabilité, de la véracité, et de la pertinence du formalisme.

 

Ainsi, il existe quelques contradictions et antagonismes au sein de la mise en évidence.

Par exemple, que viendraient faire l’argument démocratique, l’argument subjectif, en science ou en philosophie,

puisque la mesure et la démonstration se voudraient universelles, suffisantes à elles-mêmes, c’est-à-dire récursives ?

Tout simplement parce qu’il existe encore des axiomes en science et en philosophie qui ne sont pas universels.

Et ce n’est pas un détail protocolaire.

Parce que la compromission de ces axiomes viendrait jusqu’à délégitimer ces disciplines, ou en tout cas disqualifier leur exclusivité, leur récursivité.

Je préfère rester flou dans ce dernier paragraphe, pour ne pas digresser, mais je suis disposé à vous le développer.

Cordialement, Fraction

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
LionelSp Membre 347 messages
Forumeur forcené ‚ 55ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Fraction a dit :

Bonjour,

Comme il l’a été dit par les contributeurs, votre pédagogie mériterait quelques optimisations :

des phrases plus segmentées, un vocabulaire plus accessible, et moins d’égarements dans vos exemples.

Si bien que je ne peux pas vous répondre point par point.

 

L’évidence est-elle une connaissance ?

Déjà, il faut savoir que le verbe « être » français est ambigüe, en ce sens qu’il peut signifier tantôt une implication, tantôt une équivalence.

Je préfère donc reformuler la question :

Que représente la connaissance par rapport à l’évidence ?

 

D’abord la connaissance est une mémoire morte, inerte.

C’est un formalisme dont la mise en évidence est la conscientisation.

La connaissance se veut avérée par la mise en évidence :

_ Tantôt par la démonstration (sémantique, fonctionnelle, rationnelle : logico-mathématique),

_ tantôt par l’expérience (mesure, preuve),

_ tantôt par l’intuition (axiomatique, probabiliste, a priori…).

Alors que l’évidence c’est l’épreuve intime de la mesurabilité, de la véracité, et de la pertinence du formalisme.

 

Ainsi, il existe quelques contradictions et antagonismes au sein de la mise en évidence.

Par exemple, que viendraient faire l’argument démocratique, l’argument subjectif, en science ou en philosophie,

puisque la mesure et la démonstration se voudraient universelles, suffisantes à elles-mêmes, c’est-à-dire récursives ?

Tout simplement parce qu’il existe encore des axiomes en science et en philosophie qui ne sont pas universels.

Et ce n’est pas un détail protocolaire.

Parce que la compromission de ces axiomes viendrait jusqu’à délégitimer ces disciplines, ou en tout cas disqualifier leur exclusivité, leur récursivité.

Je préfère rester flou dans ce dernier paragraphe, pour ne pas digresser, mais je suis disposé à vous le développer.

Cordialement, Fraction

Votre reformulation synthétique dactylographiée comme il vous plait semble reprendre pêle-mêle, mais méthodiquement, paragraphe par paragraphe, tous les thèmes généraux de la philosophie dans la plus grande confusion, en passant de la vérité, aux axiomes, postulats, et considérations démocratiques, d’itérations ou récursivité…  

Vous êtes sans doute mieux qu’Aristote et autres poids lourds qui sont clairs et accessibles à chacun.

Ce bout-à-bout reste dur à avaler et impressionne certainement le quidam qui prend la peine de vous lire.   

Le thème de philo « je connais » et « il est évident », dans ses définitions ancestrales est sans doute ici accessible à la compréhension et en lien avec une actualité, sociale, comportementale… de philosophie Pratique que tous peuvent aborder.

Je ne pédagogue pas, je n’impressionne pas, je ne noie pas, je cause   

Citation

Selon Brentano « est évident ce qui est sûr, et ce qui est sûr au sens propre ne connaît aucune différence de degré ». Selon Pascal lu par Brentano « Il faudrait alors croire et il faudrait récuser cette croyance, donc considérer la situation comme désespérée », clair, précis, concis, accessible.

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 47ans Posté(e)
Fraction Membre 5 632 messages
Maitre des forums‚ 47ans‚
Posté(e)
il y a une heure, LionelSp a dit :

Votre reformulation synthétique dactylographiée comme il vous plait semble reprendre pêle-mêle, mais méthodiquement, paragraphe par paragraphe, tous les thèmes généraux de la philosophie dans la plus grande confusion, en passant de la vérité, aux axiomes, postulats, et considérations démocratiques, d’itérations ou récursivité…  

Vous êtes sans doute mieux qu’Aristote et autres poids lourds qui sont clairs et accessibles à chacun.

Ce bout-à-bout reste dur à avaler et impressionne certainement le quidam qui prend la peine de vous lire.   

Le thème de philo « je connais » et « il est évident », dans ses définitions ancestrales est sans doute ici accessible à la compréhension et en lien avec une actualité, sociale, comportementale… de philosophie Pratique que tous peuvent aborder.

Je ne pédagogue pas, je n’impressionne pas, je ne noie pas, je cause   

 

Je ne souhaite pas faire de notre débat contradictoire une rivalité.

Je comprends à peu près ce que vous déclarez.

Mais votre réaction à mon égard s’inscrit dans le métadiscours :

Vous tentez de discréditer mon discours en parlant de son auteur et de ses travers, mais sans jamais parler de l’objet de ce discours.

Mais je ne vous jette pas la pierre, car moi aussi, j’ai souvent ce même défaut.

 

Mais si vous souhaitez vraiment faire du métadiscours, alors ainsi soit-il.

Tout comme vous, tout comme Wikipédia, mon discours a besoin d’être relu plusieurs fois avant d’être assimilé.

Ce n’est pas seulement à l’auteur d’être à la hauteur, c’est aussi à son audience.

Votre audience ne m’inspire aucune paresse, et aucun mauvais esprit.

Mais j’aurais préféré d’elle qu’elle me reprenne sur mes faillites rationnelles, et non sur mon arrogance posturale.

 

Pour en revenir au sujet, votre description de l’évidence me semble éminemment subjectiviste.

Mais regarder dans un microscope ou dans un télescope n’a-t-il pas une composante subjective ?

En ce sens, l’objectivité n’est-elle pas strictement dépendante de la subjectivité ?

Certains intellectuels, comme moi, pourront alors faire légitimement précéder cette objectivité par cette subjectivité.

Et ainsi réduire l’objectivité à un sous-ordre de la subjectivité.

J'ai toujours été prêt à en débattre, mais je n'ai jamais trouvé d'interlocuteur à la hauteur.

Cordialement, Fraction

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 🇪🇺, 🏳️‍🌈, 💻, 🐺, 🦂, Posté(e)
Jim69 Membre 19 585 messages
Maitre des forums‚ 🇪🇺, 🏳️‍🌈, 💻, 🐺, 🦂,
Posté(e)
Il y a 20 heures, Gouderien a dit :

Quand j'étais jeune on disait : "Il se paye de mots".

Connais pas. Pourtant des expressions j’en connais des caisses. Régionalisme peut-être ? Ceci dit même les régionalismes j’en connais pas mal.

https://fr.wiktionary.org/wiki/se_payer_de_mots
Cool j’apprends donc une expression que je n’avais jamais entendu. Mais je n’ai ni la région ni l’origine.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 704 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
il y a 20 minutes, Jim69 a dit :

Connais pas. Pourtant des expressions j’en connais des caisses. Régionalisme peut-être ?

Régionalisme... de Paris.:DD

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
LionelSp Membre 347 messages
Forumeur forcené ‚ 55ans‚
Posté(e)
il y a 11 minutes, Fraction a dit :

En ce sens, l’objectivité n’est-elle pas strictement dépendante de la subjectivité ?

Certains intellectuels, comme moi, pourront alors faire légitimement précéder cette objectivité par cette subjectivité.

Et ainsi réduire l’objectivité à un sous-ordre de la subjectivité.

J'ai toujours été prêt à en débattre, mais je n'ai jamais trouvé d'interlocuteur à la hauteur.

Cordialement, Fraction

Vos réponses semblent avoir des sauts qualitatifs ou être des réponses à dix mains.  Vous avez sans doute un titre administratif à faire valoir et vous me prêtez l’évidence ridicule de discréditer votre discours. Le parallèle est facilement compréhensible avec l’objet de la discussion.

Vous ne me prêtez pas encore l’évidence du fait de vouloir posséder votre femme.

Est-ce l’intérêt du propos que la mesure d’une connaissance dans sa conscientisation sans l’argumentions démocratique (avec ironie) ?   

Il ne devrait toutefois  pas vous avoir échappé qu’une discussion n’est pas une démonstration.

La pertinence des propos historiques du domaine de la philo n’est sans doute pas votre intérêt particulier, il est celui du propos de la discussion ‘présentement’ et clairement.

La qualité de votre objectif vous appartient de vouloir à votre hauteur faire légitimer une objectivité, mais le mien n’est sans doute que d’en parler et d’épingler peut-être quelques uns de vos éminents collègues dans leur action publique.   

Nous sommes donc loin d’une « acromégalie », des jugements, et de son évidence à apprécier.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 509 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

bonsoir 

l'évidence est une connaissance à condition qu'elle soit vérifiée pour être acceptée .

bonne soirée

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 47ans Posté(e)
Fraction Membre 5 632 messages
Maitre des forums‚ 47ans‚
Posté(e)
il y a une heure, LionelSp a dit :

Vos réponses semblent avoir des sauts qualitatifs ou être des réponses à dix mains.  Vous avez sans doute un titre administratif à faire valoir et vous me prêtez l’évidence ridicule de discréditer votre discours. Le parallèle est facilement compréhensible avec l’objet de la discussion.

Vous ne me prêtez pas encore l’évidence du fait de vouloir posséder votre femme.

Est-ce l’intérêt du propos que la mesure d’une connaissance dans sa conscientisation sans l’argumentions démocratique (avec ironie) ?   

Il ne devrait toutefois  pas vous avoir échappé qu’une discussion n’est pas une démonstration.

La pertinence des propos historiques du domaine de la philo n’est sans doute pas votre intérêt particulier, il est celui du propos de la discussion ‘présentement’ et clairement.

La qualité de votre objectif vous appartient de vouloir à votre hauteur faire légitimer une objectivité, mais le mien n’est sans doute que d’en parler et d’épingler peut-être quelques uns de vos éminents collègues dans leur action publique.   

Nous sommes donc loin d’une « acromégalie », des jugements, et de son évidence à apprécier.

Je n'ai aucun statut, je suis un sans grade.

Et lorsque j'arpente le 16ème arrondissement de son sud vers son nord, alors je deviens progressivement un gueux.

Je ne suis pas mandaté par le Ministère de la Raison, comme on pouvait l'être du temps de l'ORTF.

Si nous sommes revenus de cette époque, c'est parce qu'elle ne nous ressemblait pas.

J'espère que le débat contradictoire pourra conduire la démocratie à la vérité et à la sagesse.

Même s'il demeure possible qu'il la conduise au mensonge et à la folie.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 55ans Posté(e)
LionelSp Membre 347 messages
Forumeur forcené ‚ 55ans‚
Posté(e)
Citation

"Finalement, c'est peut-être mieux si Igor ne s'est pas réveillé", a déclaré Cédric André, l'attaché de presse des jumeaux, au micro de RTL, ce mardi 4 janvier. « C'est terrible à dire, mais quelle aurait été la vie de l'un sans l'autre ? Ils étaient plus qu'inséparables »

ho, les chiens sociaux ! p'tain c'qu' c'est minable, entre les " chiottes communs " de valorisations personnel, la malveillance, les dépréciations, la nullité absolue ou l'intellectualité débordante...  le cocktail est " étonnant ". 

Parler de psychologie ou de jugement semble une opération surréaliste. Un parc animalier entouré de bouffons qui font une diversion d'image collective sociale.    

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×