"je vis avec un homme déconstruit et j'en suis super heureuse" (Sandrine Rousseau)

L'utilisation du mot déconstruction est révélateur, il révèle la logique violente, autoritaire et égoïsme de cette demande. On est bien loin de la communication, de l'échange, de montrer de l'intérêts pour ce qu'est l'autre. 

Une  volonté de nié la complexité de l'individu, son éducation, son vécu, son ressentit.

Le 11/12/2021 à 11:39, Doïna a dit :

Injonction est un bien grand mot, et même un terme plutôt lourd.

Sandrine Rousseau a raison, d'une part de ne pas faire confiance à des hommes qui n'ont pas fait le chemin de la déconstruction, parce que ce sont des hommes qui persistent à nier l'égalité, à se considérer supérieurs à l'autre sexe, à mépriser l'autre sexe, et d'autre part à ne pas faire confiance à des femmes qui n'ont pas fait le chemin de la déconstruction parce qu'en se considérant inférieures aux hommes, à se mettre en retrait par rapport à eux, elles empêchent la société d'évoluer.

Non . Pas besoin du deconstruction  pour ça . Maintenant que des femmes savantes puissent le croire c’est un autre problème 

Le 11/12/2021 à 11:39, Doïna a dit :

Les hommes à l'ancienne, dirais-je, sont ceux qui vont s'autoriser à harceler des femmes,

Non les hommes à l’ancienne ne s’autorisaient pas ça. Il te faut déconstruire tes idées toutes faites en prêt à porter …

Le 11/12/2021 à 11:39, Doïna a dit :

Quant à la déconstruction, elle ne vise pas à efféminer l'homme, mais à rester homme dans le respect de l'autre sexe, concernant la femme à l'inviter au respect de soi, donc pourquoi voir une telle déconstruction comme une menace ou une injustice ? On n'avancera pas sans passer par cette étape.

Heu non le deconstruction  ne vise pas à ça . C’est factuellement faux . Mais bon les néologismes abâtardis ça fait chic ^^

Le 11/12/2021 à 11:58, DroitDeRéponse a dit :

Mais bon les néologismes abâtardis ça fait chic ^^

C'est nécessaire de rabaisser les autres par des petites réflexions pourries, n'est-ce pas ?

N'empêche que je n'ai pas conservé un trop bon souvenir de l'avant concernant ces choses-là dont notre époque ne veut plus.

Il faut apprendre à se projeter dans les années 70, 80, 90 face au harcèlement au travail, au viol, à la place des femmes dans la société, dans les lieux publics...

Il faut comprendre celles qui portent plainte parfois trente ans après une agression sexuelle parce qu'au moment des faits, personne ne les écoutait : elles se heurtaient à des collègues féminines qui ne savaient que leur rabâcher que les hommes étaient ainsi faits et qu'elles ne pouvaient l'éviter, ou alors qu'elles l'avaient bien cherché. Elles se heurtaient à une hiérarchie indifférente et sourde. Elles se heurtaient à des policiers pas toujours respectueux, qui trouvaient de bonne raisons de les décourager à déposer plainte.

Jusqu'à une certaine époque, on reprochait aux femmes de "s'aventurer" dans des lieux déserts ou à des heures tardives, comme si des zones entières de l'espace public et des heures de la journée n'étaient réservées qu'à la gent masculine. De ce fait, "les aventurières" étaient coupables d'avoir empiété sur ces plages réservées en cas de viol.

Le 11/12/2021 à 12:11, Doïna a dit :

C'est nécessaire de rabaisser les autres par des petites réflexions pourries, n'est-ce pas ?

Toujours.

Le 11/12/2021 à 12:11, Doïna a dit :

personne ne les écoutait : elles se heurtaient à des collègues féminines qui ne savaient que leur rabâcher que les hommes étaient ainsi faits et qu'elles ne pouvaient l'éviter, ou alors qu'elles l'avaient bien cherché. Elles se heurtaient à une hiérarchie indifférente et sourde. Elles se heurtaient à des policiers pas toujours respectueux, qui trouvaient de bonne raisons de les décourager à déposer plainte.

Malheureusement, je ne suis pas certain qu'il faille parler au passé ...

Le 11/12/2021 à 12:17, Pheldwyn a dit :

Malheureusement, je ne suis pas certain qu'il faille parler au passé ...

Sauf qu'actuellement, nous en prenons conscience, c'est donc maintenant que nous pouvons tout faire pour ne pas retourner en arrière.

Le 11/12/2021 à 11:56, doug1991 a dit :

L'utilisation du mot déconstruction est révélateur, il révèle la logique violente, autoritaire et égoïsme de cette demande. 

??

Tu fais dire beaucoup a un mot qui au départ signifie juste remettre en cause une construction sociale autour du sexe : le genre.

Pas de violence, ni d'autoritarisme pu d'égoïsme, juste questionner et critiquer des stéréotypes, qui eux peuvent s'avérer violents.

Le 11/12/2021 à 12:18, Doïna a dit :

Sauf qu'actuellement, nous en prenons conscience, c'est donc maintenant que nous pouvons tout faire pour ne pas retourner en arrière.

 A priori, pas tout le monde.

Mais oui, c'est en progrès 

Le 11/12/2021 à 10:20, hanss a dit :

Justement c’est peut être par là que commence la deconstruction il y a des femmes avec les traits de caractère que tu décris là d’autres qui en ont rien à glander des aspects relationnels,  qui se sentent tout ce qu’il y a de plus légitime. Et y’a aussi de la grosse connasse intransigeante, colérique…  On ne se ressemble pas toutes. 

La déconstruction ne se décrète pas, voilà exactement le problème. J'ai beau en être conscient, cela ne changera pas de si tôt, et c'est le cas pour tout individu, homme comme femme. Le patriarcat façonne les corps et les esprits, si bien que notre désir lui-même est le résultat de cette structure patriarcale que nous traînons dans nos inconscients. Et c'est exactement ce que ne comprennent pas les féministes, qui ont bien souvent raison sur l'analyse pour les plus cultivées d'entre elles, mais dont les mots restent lettre morte, car trop décalé et inadapté par rapport aux récits collectifs qui, je le répète, façonnent les désirs et les esprits, même le leur !

Et nul ne choisit son désir mais il s'impose aux individus. Il ne suffit pas d'être conscient du caractère arbitraire et patriarcal des normes ou des mentalités pour déconstruire, car nos désirs eux-mêmes, qui s'imposent à nous, s'originent dans la structure patriarcale de la société, avec tout ce que cela charrie de stéréotypes, de prescriptions, de désirs, de mentalités.

C'est pourquoi beaucoup de féministes se découvrent féministes ou se radicalisent vers 40 ans, alors que le désir des hommes envers elles baisse, ou que la déconstruction des stéréotypes peut carrément empêcher leur homme ou les hommes d'avoir du désir pour elles et de bander. C'est pourquoi même les hommes conscients du patriarcat continuent à éprouver du désir envers les femmes plus jeunes, à l'apparence plus douce, plus chétive, plus fragile, et que même les féministes les plus chevronnées ont une part d'elle qui acquiesce au patriarcat et qui frissonne pour les hommes d'âge mûr ayant du pouvoir. Et on pourrait multiplier les exemples à l'infini.

Même les lois ne servent à rien tant que les mentalités restent les mêmes : on le voit quand des victimes de viol ou d'agressions ne portent pas plainte, qu'elles se persuadent qu'elles l'ont bien cherché ou que par leur attitude elles l'ont provoqué, ou que le harcèlement de rue ne cessera pas de si tôt, mais a de très beaux jours devant lui, notamment par la vision patriarcale de la séduction qui veut que l'homme conquiert et doit vaincre les résistances de la belle, ce qui sera interprété comme une agression sexuelle par les féministes en cas de baiser volé ou interpreté comme du harcèlement en cas d'insistance, tandis que les femmes continuent à traîner dans leur inconscient l'envie d'être conquises par un prince charmant. C'est la vanité des féministes de croire, non seulement que l'on puisse déconstruire le patriarcat par la simple analyse, analyse que j'ai moi-même très bien faite pour ma part, ou que les lois vont permettre de faire évoluer les mentalités, alors que leurs désirs sont façonnés par le patriarcat malgré elles, comme tout individu, et qu'une loi sans évolution des mentalités est juste impuissante.

Et cette impuissance, qui est aussi celle des féministes à changer les mentalités, les mènent vers le ressentiment voir la haine, comme chez celles qui pratiquent l'abstinence sexuelle et le rejet des hommes par révolte envers le patriarcat. La plupart du temps, au terme d'une démarche féministe cohérente, il n'y a que la frustration, le sentiment d'impuissance et la haine, tandis qu'à son origine, il y a souvent une blessure, un traumatisme qui accroît leur névrotisme vis-à-vis des hommes. Et croyez bien que j'en suis le premier désolé, mais c'est plus de l'ordre du constat de ma part qu'autre chose. Plus les féministes vont insister, plus des lois d'inspiration féministe vont passer sans que les mentalités évoluent, plus les hommes vont se venger envers elles. C'est mécanique et logique.

Le 11/12/2021 à 01:03, Mr_Fox a dit :

 

Désolé de te le dire mais je ne suis pas responsable de tes propos. Tes posts pavloviens ne sont en rien de mon fait mais je me contente de les remarquer.

La prochaine fois que tu as envie de parler de la haine de quelqu'un étendue à l'humanité au grand complet, assures toi que c'est quelqu'un de malveillant. Si ce n'est pas le cas, adapte ton vocabulaire.

Mal nommer les choses c'est ajouter au malheur du monde, et aujourd'hui c'est ce que je te reproche.

 

 

 

 

je maintiens mes propos... Je trouve ça triste de voir certaines personnes remplies de haine pour l'autre sexe, sans justement faire la part des choses, et admettre que l'on ne peut haïr tous les hommes ou toutes les femmes, parce que certains ont été ignobles. C'est juste un réflexe de haine primaire... Ce qui ne m'empêche pas non plus de trouver tes propos confus

Le 11/12/2021 à 12:39, Quasi-Modo a dit :

Même les lois ne servent à rien tant que les mentalités restent les mêmes

Alors là je suis complètement d’accord avec toi sur ce point. La loi permet juste de dire à quelqu’un : n’aie pas un discours homophobe/raciste/antisemite/ misogyne… ou peu importe tu risques une condamnation mais rien ne change vraiment au fond. 

Le 11/12/2021 à 12:54, guernica a dit :

je maintiens mes propos... Je trouve ça triste de voir certaines personnes remplies de haine pour l'autre sexe, sans justement faire la part des choses, et admettre que l'on ne peut haïr tous les hommes ou toutes les femmes, parce que certains ont été ignobles. C'est juste un réflexe de haine primaire... Ce qui ne m'empêche pas non plus de trouver tes propos confus

Mes propos sont très clairs : OUVRE UN DICTIONNAIRE !

Personne ne hait tous les hommes ou toutes les femmes à part une poignée de psychopathes qui veulent éradiquer l'humanité.

ET toi en nous disant ça comme une banalité, en nous racontant que @Quasi-Modo est le quatrième cavalier de l'apocalypse sur le ton de la badinerie tu fabriques de toute pièce un conflit irréconciliable. Le conflit entre le hommes et les femmes qui n'existe pas et n'a aucun fondement, toi tu en fais une évidence.

C'est toi le fauteur de guerre. Parce que tu es trop feignante pour réfléchir à la tournure de tes phrases et que tu répète des formules que tu as prises dans les médias.

Quand Luc Ferry dit qu'il faut envoyer la troupe ouvrir le feu à balles sur les gilets jaunes : ça c'est de la haine de classe.

Je me demande juste si tu vois la différence.

Le 11/12/2021 à 12:11, Doïna a dit :

C'est nécessaire de rabaisser les autres par des petites réflexions pourries, n'est-ce pas ?

Rabaisser c’est précisément ce que tu viens de faire ….

Le 11/12/2021 à 12:11, Doïna a dit :

N'empêche que je n'ai pas conservé un trop bon souvenir de l'avant concernant ces choses-là dont notre époque ne veut plus.

Le 11/12/2021 à 12:11, Doïna a dit :

Il faut apprendre à se projeter dans les années 70, 80, 90 face au harcèlement au travail, au viol, à la place des femmes dans la société, dans les lieux publics...

Je ne sais pas , à l’époque dans les années 70 n’était il pas question de jouir sans entrave ?

Le discours était hyper positif … 

Le 11/12/2021 à 12:11, Doïna a dit :

Il faut comprendre celles qui portent plainte parfois trente ans après une agression sexuelle parce qu'au moment des faits, personne ne les écoutait : elles se heurtaient à des collègues féminines qui ne savaient que leur rabâcher que les hommes étaient ainsi faits et qu'elles ne pouvaient l'éviter, ou alors qu'elles l'avaient bien cherché. Elles se heurtaient à une hiérarchie indifférente et sourde. Elles se heurtaient à des policiers pas toujours respectueux, qui trouvaient de bonne raisons de les décourager à déposer plainte.

oui le travail des femmes et des hommes anciens fait progresser … 

Le 11/12/2021 à 12:11, Doïna a dit :

Jusqu'à une certaine époque, on reprochait aux femmes de "s'aventurer" dans des lieux déserts ou à des heures tardives, comme si des zones entières de l'espace public et des heures de la journée n'étaient réservées qu'à la gent masculine. De ce fait, "les aventurières" étaient coupables d'avoir empiété sur ces plages réservées en cas de viol.

Je ne trouve pas dans les cités que je côtoient que ça ait tant changé , et de Les quartiers ouvriers de hommes à l’ ancienne et des femmes à l’ancienne n’étaient pas moins sûrs qu’aujourd’hui ou des bécasses prônent l’élargissement des trottoirs 

Le 11/12/2021 à 12:57, hanss a dit :

Alors là je suis complètement d’accord avec toi sur ce point. La loi permet juste de dire à quelqu’un : n’aie pas un discours homophobe/raciste/antisemite/ misogyne… ou peu importe tu risques une condamnation mais rien ne change vraiment au fond. 

Sur cette base les lois contre le harcèlement sexuel ou le viol sont un eu inutiles, rien ne change vraiment au fond tu risques une condamnation mais la deconstruction n’a pas eu lieu

82% de professeurs des écoles , pas de parité comment ensuite déconstruire les préjugés de nos enfants ? Que fait l’éducation nationale ?

Le 11/12/2021 à 13:02, Mr_Fox a dit :

Mes propos sont très clairs : OUVRE UN DICTIONNAIRE !

Personne ne hait tous les hommes ou toutes les femmes à part une poignée de psychopathes qui veulent éradiquer l'humanité.

ET toi en nous disant ça comme une banalité, en nous racontant que @Quasi-Modo est le quatrième cavalier de l'apocalypse sur le ton de la badinerie tu fabriques de toute pièce un conflit irréconciliable. Le conflit entre le hommes et les femmes qui n'existe pas et n'a aucun fondement, toi tu en fais une évidence.

C'est toi le fauteur de guerre. Parce que tu es trop feignante pour réfléchir à la tournure de tes phrases et que tu répète des formules que tu as prises dans les médias.

Quand Luc Ferry dit qu'il faut envoyer la troupe ouvrir le feu à balles sur les gilets jaunes : ça c'est de la haine de classe.

Je me demande juste si tu vois la différence.

 

 

quel est le rapport avec la phrase que tu me serines ? "ouvre un dictionnaire " ???? Et ton agressivité est extrêmement désagréable, je comprends mieux certains propos d'intervenants de ce site te concernant

Le 11/12/2021 à 11:56, doug1991 a dit :

L'utilisation du mot déconstruction est révélateur, il révèle la logique violente, autoritaire et égoïsme de cette demande.

Pas du tout , c’est juste que ça fait intelligent , il ne faut pas y voir à mal , on est juste dans le Jourdainisme du mépris de classe peut être , mais ce n’est pas volontaire .

Le 11/12/2021 à 12:22, Pheldwyn a dit :

??

Tu fais dire beaucoup a un mot qui au départ signifie juste remettre en cause une construction sociale autour du sexe : le genre.

Pas de violence, ni d'autoritarisme pu d'égoïsme, juste questionner et critiquer des stéréotypes, qui eux peuvent s'avérer violents.

 

Remettre en cause en fonction d'une vision militante de la société, avec un objectif imposé. 

Le 11/12/2021 à 13:12, DroitDeRéponse a dit :

Sur cette base les lois contre le harcèlement sexuel ou le viol sont un eu inutiles, rien ne change vraiment au fond tu risques une condamnation mais la deconstruction n’a pas eu lieu

Dans l’idéal il vaut mieux pas de harcèlement ni de viols plutôt que ces faits soient punis après coups. Oui la loi punit mais il reste une personne avec des blessures à vie. 

Le 11/12/2021 à 13:12, DroitDeRéponse a dit :

82% de professeurs des écoles

Femmes ou hommes? 

Le 11/12/2021 à 13:05, DroitDeRéponse a dit :

Rabaisser c’est précisément ce que tu viens de faire ….

Ce n'est pas moi qui ai commencé, puis, ma foi, je ne vois pas pourquoi je me laisserais faire.

Le 11/12/2021 à 13:05, DroitDeRéponse a dit :

Je ne sais pas , à l’époque dans les années 70 n’était il pas question de jouir sans entrave ?

Le discours était hyper positif … 

Moui, enfin, s'il fallait pour autant fermer les yeux sur des agressions... On peut jouir sans aller jusque-là ! 

Le discours positif, dans certains cas, devient celui des béni oui-oui et des hypocrites.

Le 11/12/2021 à 13:05, DroitDeRéponse a dit :

oui le travail des femmes et des hommes anciens fait progresser …

Et pas le travail des femmes et des hommes d'aujourd'hui ? Tiens donc !

Le 11/12/2021 à 13:05, DroitDeRéponse a dit :

Je ne trouve pas dans les cités que je côtoient que ça ait tant changé , et de Les quartiers ouvriers de hommes à l’ ancienne et des femmes à l’ancienne n’étaient pas moins sûrs qu’aujourd’hui ou des bécasses prônent l’élargissement des trottoirs

Pourquoi les insulter de bécasses si ce sont des femmes qui souffrent d'un quartier peu sûr ? Ceux qui méritent de se faire insulter, dans l'affaire, sont les agresseurs, pas les victimes ! Cela dit, il faudrait tout faire pour que tous les quartiers soient sûrs, et cela passe par les mentalités avant tout.

Le 11/12/2021 à 13:16, guernica a dit :

quel est le rapport avec la phrase que tu me serines ? "ouvre un dictionnaire " ???? Et ton agressivité est extrêmement désagréable, je comprends mieux certains propos d'intervenants de ce site te concernant

Tu es extrêmement désagréable en accusant les gens de haïr la terre entière.

C'est totalement grotesque, c'est totalement faux et personne ne peut le croire. Même pas toi. Tu dis juste ça parce que tu es trop feignante pour utiliser un mot adéquat et tu répètes des formules de professionnels de la politique dont le métier est d'hystériser les esprits pour tirer profit du conflit.

En faisant ça tu fais énormément de mal à tout le monde.

Alors ne le fais plus. Utilises le mot de haine quand tu parles de gens qui théorisent l'extermination de leur prochain. Pour ici tu dis ressentiment par exemple. C'est faux aussi mais au moins ça permet de continuer la discussion entre personnes civilisées.

A un moment donné il faudrait faire le bon constat : les hommes déconstruits, ou les femmes libérées, cela n'existe pas. Point barre.

Le 11/12/2021 à 13:21, DroitDeRéponse a dit :

Pas du tout , c’est juste que ça fait intelligent , il ne faut pas y voir à mal , on est juste dans le Jourdainisme du mépris de classe peut être , mais ce n’est pas volontaire .

Que proposerais-tu comme mot, alors ?

Perso, je ne pense pas que "déconstruction" ait été choisi parce qu'il ferait intelligent, mais parce qu'on n'aura pas trouvé plus juste. Comprenez bien qu'il ne s'agit pas de castration, mais de déconstruction de stéréotypes qui, au fond, enchaînent l'homme.