Macron refait du Macron.

il y a une heure, MASSOT a dit :

Si des députés veulent, en leur âme et conscience, faire tomber un gouvernement, ils sont légitimes à le faire et n'ont pas à être menacés. Ils sont par ailleurs adultes et élus de la République, ils savent parfaitement que les votes ont des conséquences, et n'ont pas besoin de menaces paternalistes pour comprendre et mesurer ces conséquences.

La perte de souveraineté, l'enfumage et l'autoritarisme.
Et les médias de masse qui soutiennent cette chienlit.
Tous au col roulé et on est sauf.

Si l'opposition casse ses jouets, il ne peut même pas se recycler, tous les postes il les a déjà attribué.
C'est étrange, le BOOMERANG il connait avec l'Australie, l'Algérie ! Mais il n'a pas compris ;
qu'il dissout, ce sera intéressant de voir la réduction de son petit parti, ses députés ne pourront même pas faire une équipe de football, berger sera contente

La CHIENLIT est déjà en FRANCE, mais à l'Elysée  il ne voit rien ! Trop occuper à recaser les Castaner, Lallement (  et Ferrant  pas encore recyclé ?).

  Mais ! ......

C' est que t'es un joyeux drille toi ! ......

Il y a 19 heures, MASSOT a dit :

Quand un de nos messages reste sans réponse, pas grave , s’il est “lu”  par beaucoup de visiteurs,  c'est le plus important !

Tout à fait d'accord. Alors voici un extrait d'un texte, dont j'ai malheureusement perdu l'origine, et qui j'espère, tout comme vous, qu'il sera lu par beaucoup de visiteurs.

Il convient d'abord de savoir que dès 1945, à la naissance du Régime Général, son non financement était prévu pour 2050 !

Dès 1953 ... "La REFORME AVORTEE présentée par Le ministre Jean-Marie Louvel

Le conflit le plus notable intervient toutefois en 1953 qu’un étrange trou de mémoire sociale a plongé dans l’oubli alors qu’il fut le plus grand mouvement de grèves entre 1936 et 1968. Il démarre en plein été, le 4 août, et dure jusqu’au 25 août. Au plus fort de la crise, le 13, on dénombre jusqu’à 4 millions de grévistes.

Il intéresse d’abord, sinon exclusivement, les fonctionnaires et les agents des services publics. On est alors sous un gouvernement de centre droit, qui, dirigé par Joseph Laniel, se tient sur la ligne de rigueur budgétaire engagée un an plus tôt par Pinay au nom de la lutte contre l’inflation. A la veille des vacances, les députés autorisent le gouvernement à légiférer par décrets en matière sociale pendant la période estivale, peu propice aux mobilisations. Auparavant, les parlementaires ont pris soin d’augmenter substantiellement leurs indemnités… Les décrets, préparés de longue date, prévoient, en plus des mesures de réduction des crédits civils et de licenciements d’auxiliaires, de reculer l’âge de départ à la retraite des agents des services publics. Sous couvert « d’harmonisation », il est question de rapprocher leurs régimes sur celui, moins avantageux des fonctionnaires, et au sein des premiers, d’aligner les agents « actifs » (facteurs, conducteurs, etc. exerçant une activité reconnue pénible) sur les « sédentaires ». Pour certains, la prolongation atteindrait jusqu’à sept ans.

Les fédérations CFTC et CGT appellent, sans illusion, à des débrayages le 4 août, en fin de service. L’ampleur des arrêts de travail surprend les syndicats et, plus encore, la décision des postiers bordelais de se lancer dans une grève illimitée. Le 5, la fédération postale Force ouvrière reprend le mot d’ordre, tandis que le mouvement s’emballe à la base où l’unité prévaut quand les divisions de la guerre froide sont de règle aux échelons fédéraux et confédéraux. Fait significatif de la méfiance et du mécontentement, la grève débute avant même que soit connu le contenu exact de la réforme. Une « fuite » d’origine ministérielle (!) a toutefois précédé la publication, le 10 août, des décrets.

Leur parution relance la mobilisation qui ne s’opère pas partout sur le modèle des postiers. Dans maints services, administrations et entreprises publiques, elle passe par la participation à des journées de grève plus ou moins convergentes, renouvelées tous les 3 à 4 jours. La détermination est à la mesure de l’indignation provoquée par ce que beaucoup ressentent  un manquement caractérisé de l’État à ses engagements. Aussi bien condamne-t-on les décrets qui, s’attaquant aux retraites, mettent à mal un des éléments du « pain sûr » par lequel les agents se résignent au « pain dur » d’une condition sociale plus que modeste. De fait, les revendications salariales ne tardent pas à surgir alors que les rémunérations du secteur public accusent un net retard sur celles du privé. La fermeté confine parfois à la dureté lorsque, à la SNCF, les trains s’arrêtent à minuit, heure retenue pour le démarrage de la journée de grève nationale du 11 août. « Grève de tristesse », aussi, face à des pouvoirs publics et aux médias prompts à faire passer les fonctionnaires et les agents des services publics pour des « privilégiés ».

Côté gouvernemental, le Président du conseil répète à plusieurs reprises sur les ondes de la radio qu’il ne cèdera pas et ne négociera pas tant que les grévistes n’auront pas repris le travail. Pour l’emporter, les autorités usent très vite de l’arme de la réquisition. Distribués à domicile par les gendarmes, les ordres de réquisition ne sont guère suivis d’effets. Des milliers sont brûlés publiquement, mais la justice frappe une partie des récalcitrants qui s’exposent par ailleurs à des sanctions disciplinaires. 263 personnes sont condamnées, dont quelques-unes à des peines de prison ferme (jusqu’à 8 jours en métropole, davantage en Algérie).

Vers le 11 août, pourtant, l’opinion, un temps surprise, peu concernée en ces jours de congés payés et sans sympathie particulière envers les grévistes, se retournent contre un gouvernement dont l’incompréhensible obstination est jugée responsable de la poursuite du conflit. Cf. Mémoires d’Edgar Faure.

Après le 15 août, les retours de vacances des travailleurs du privé changent la donne. Elle fait craindre une offensive généralisée de la CGT qui pousse à l’élargissement de l’action. La réponse de la base est assez molle dans le contexte de division maintenue entre les syndicats du privé. A défaut de l’issue, un temps envisagée, d’une convocation extraordinaire du Parlement, il faut se résoudre à prendre langue. Discrètement et au moyen de négociations séparées qui tiennent la CGT à distance. Le 21, les fédérations FO et CFTC appellent à la reprise. Les assemblées générales réagissent mal à une décision qu’aucun accord en bonne et due forme ne légitime. Seule encore dans l’action, la CGT finit par préconiser l’arrêt de la grève le 25.

Nombre de grévistes reprennent les travaux, amers et déçus, près de conclure à l’échec du mouvement. A tort : les décrets ne seront jamais appliqués et des mesures salariales seront mise en œuvre dès l’automne. Faible chez les salariés, la mémoire du mouvement demeurera forte au sommet de l’État, parmi les hauts fonctionnaires et les « politiques » qui y regarderont désormais à deux fois avant de s’aventure sur le terrain miné des régimes spéciaux."

il y a 16 minutes, pluc89 a dit :

Tout à fait d'accord. Alors voici un extrait d'un texte, dont j'ai malheureusement perdu l'origine, et qui j'espère, tout comme vous, qu'il sera lu par beaucoup de visiteurs.

Il convient d'abord de savoir que dès 1945, à la naissance du Régime Général, son non financement était prévu pour 2050 !

Dès 1953 ... "La REFORME AVORTEE présentée par Le ministre Jean-Marie Louvel

Le conflit le plus notable intervient toutefois en 1953 qu’un étrange trou de mémoire sociale a plongé dans l’oubli alors qu’il fut le plus grand mouvement de grèves entre 1936 et 1968. Il démarre en plein été, le 4 août, et dure jusqu’au 25 août. Au plus fort de la crise, le 13, on dénombre jusqu’à 4 millions de grévistes.

Il intéresse d’abord, sinon exclusivement, les fonctionnaires et les agents des services publics. On est alors sous un gouvernement de centre droit, qui, dirigé par Joseph Laniel, se tient sur la ligne de rigueur budgétaire engagée un an plus tôt par Pinay au nom de la lutte contre l’inflation. A la veille des vacances, les députés autorisent le gouvernement à légiférer par décrets en matière sociale pendant la période estivale, peu propice aux mobilisations. Auparavant, les parlementaires ont pris soin d’augmenter substantiellement leurs indemnités… Les décrets, préparés de longue date, prévoient, en plus des mesures de réduction des crédits civils et de licenciements d’auxiliaires, de reculer l’âge de départ à la retraite des agents des services publics. Sous couvert « d’harmonisation », il est question de rapprocher leurs régimes sur celui, moins avantageux des fonctionnaires, et au sein des premiers, d’aligner les agents « actifs » (facteurs, conducteurs, etc. exerçant une activité reconnue pénible) sur les « sédentaires ». Pour certains, la prolongation atteindrait jusqu’à sept ans.

Les fédérations CFTC et CGT appellent, sans illusion, à des débrayages le 4 août, en fin de service. L’ampleur des arrêts de travail surprend les syndicats et, plus encore, la décision des postiers bordelais de se lancer dans une grève illimitée. Le 5, la fédération postale Force ouvrière reprend le mot d’ordre, tandis que le mouvement s’emballe à la base où l’unité prévaut quand les divisions de la guerre froide sont de règle aux échelons fédéraux et confédéraux. Fait significatif de la méfiance et du mécontentement, la grève débute avant même que soit connu le contenu exact de la réforme. Une « fuite » d’origine ministérielle (!) a toutefois précédé la publication, le 10 août, des décrets.

Leur parution relance la mobilisation qui ne s’opère pas partout sur le modèle des postiers. Dans maints services, administrations et entreprises publiques, elle passe par la participation à des journées de grève plus ou moins convergentes, renouvelées tous les 3 à 4 jours. La détermination est à la mesure de l’indignation provoquée par ce que beaucoup ressentent  un manquement caractérisé de l’État à ses engagements. Aussi bien condamne-t-on les décrets qui, s’attaquant aux retraites, mettent à mal un des éléments du « pain sûr » par lequel les agents se résignent au « pain dur » d’une condition sociale plus que modeste. De fait, les revendications salariales ne tardent pas à surgir alors que les rémunérations du secteur public accusent un net retard sur celles du privé. La fermeté confine parfois à la dureté lorsque, à la SNCF, les trains s’arrêtent à minuit, heure retenue pour le démarrage de la journée de grève nationale du 11 août. « Grève de tristesse », aussi, face à des pouvoirs publics et aux médias prompts à faire passer les fonctionnaires et les agents des services publics pour des « privilégiés ».

Côté gouvernemental, le Président du conseil répète à plusieurs reprises sur les ondes de la radio qu’il ne cèdera pas et ne négociera pas tant que les grévistes n’auront pas repris le travail. Pour l’emporter, les autorités usent très vite de l’arme de la réquisition. Distribués à domicile par les gendarmes, les ordres de réquisition ne sont guère suivis d’effets. Des milliers sont brûlés publiquement, mais la justice frappe une partie des récalcitrants qui s’exposent par ailleurs à des sanctions disciplinaires. 263 personnes sont condamnées, dont quelques-unes à des peines de prison ferme (jusqu’à 8 jours en métropole, davantage en Algérie).

Vers le 11 août, pourtant, l’opinion, un temps surprise, peu concernée en ces jours de congés payés et sans sympathie particulière envers les grévistes, se retournent contre un gouvernement dont l’incompréhensible obstination est jugée responsable de la poursuite du conflit. Cf. Mémoires d’Edgar Faure.

Après le 15 août, les retours de vacances des travailleurs du privé changent la donne. Elle fait craindre une offensive généralisée de la CGT qui pousse à l’élargissement de l’action. La réponse de la base est assez molle dans le contexte de division maintenue entre les syndicats du privé. A défaut de l’issue, un temps envisagée, d’une convocation extraordinaire du Parlement, il faut se résoudre à prendre langue. Discrètement et au moyen de négociations séparées qui tiennent la CGT à distance. Le 21, les fédérations FO et CFTC appellent à la reprise. Les assemblées générales réagissent mal à une décision qu’aucun accord en bonne et due forme ne légitime. Seule encore dans l’action, la CGT finit par préconiser l’arrêt de la grève le 25.

Nombre de grévistes reprennent les travaux, amers et déçus, près de conclure à l’échec du mouvement. A tort : les décrets ne seront jamais appliqués et des mesures salariales seront mise en œuvre dès l’automne. Faible chez les salariés, la mémoire du mouvement demeurera forte au sommet de l’État, parmi les hauts fonctionnaires et les « politiques » qui y regarderont désormais à deux fois avant de s’aventure sur le terrain miné des régimes spéciaux."

 

Morbleu

Il a oublié la naphtaline, le bon pluc !

M'enfin les calendes étaient romaines, et non point grecques, comme dans l'adage ou le truisme répertorié !

Cela dit, voilà de la lecture en copié-collé indigeste et qui encombre l'espace de cette sémillante tribune !

Inopportunément (mais un pluc, ça s'refait pas, ça se saurait-ptdr)

hub' the best

on attend la dissolution avec impatience , ça va aller , faut pas s inquiéter et se faire peur , en plus on ne risque pas grand chose à changer de majorité, bien au contraire d autant qu elle est  relative. 

Il y a 5 heures, hubert.de.montcalm a dit :

Diantre

Très bonne remarque, n'empêche que l'on a parfois quelques insultes, l'arme (absolue) des "faibles" (dans tous les domaines, d'esprit, de culture et coetera.....)

Mais il faut de tout pour faire un monde, et parfois pas grand chose pour le défaire, je pense à notre acrobate, lequel vient de menacer de dissoudre l'Assemblée en cas de contestation de "sa" réformette des retraites, rien que ça !

L'acrobate, vous l'aurez identifié, il se prend pour un dieu, mais n'est point Jupiter qui veut, en prenant du "re-cul" !

Et gaffe à ton arrière-train, il risque pas de siffler trois fois celui là, pas vrai, chère Mellenoir ?

(en référence au célèbre film avec gary cooper-le train sifflera trois fois-avant le jugement des armes)

Cinématographiquement

hub' 

 

Mon cher Hubert,  mon opinion, c'est que le matraquage médiatique sur l'inflation depuis des semaines conduit les distributeurs à profiter de l'aubaine. L'opinion publique y étant ainsi préparée, elle accepte ces augmentations (injustifiées) avec fatalité.

Attention démagogie !

Je m'achète tous les matins 2 machines à café, 3 grilles pains mais j'économise sur les céréales et sur le pain. Aussi, l'eau et l'électricité j'ai fait une croix dessus ce qui me chagrine pour l'utilisation de mes machines.

il y a 8 minutes, hubert.de.montcalm a dit :

Morbleu

Il a oublié la naphtaline, le bon pluc !

M'enfin les calendes étaient romaines, et non point grecques, comme dans l'adage ou le truisme répertorié !

Cela dit, voilà de la lecture en copié-collé indigeste et qui encombre l'espace de cette sémillante tribune !

Inopportunément (mais un pluc, ça s'refait pas, ça se saurait-ptdr)

hub' the best

 

Addendum

Sur CNews, la chaine de saint-vincent (Bolloré, le pote au feu - de dieu jup...itérien, enfin t'est rien ou pas grand chose...)

Elle confirme la posture du chef en cas de motion de censure pour les retraites, c'est la menace de la dissolution immédiate de l'assemblée, même si Chirac, d'outre-tombe et d'une voix sépulcrale, le lui déconseille pour s'être fait "entuber" à cause de ce Villpein de malheur (souvenirs souvenirs....)

Mais le chef tout puissant n'écoute que la voix de sa maman-cougar-épouse, depuis le bon temps du lycée jésuite de la provinence, là où il perdit sa virginité de puceau !

Malheureusement (pour lui et pour nous tous, pauvres gaulois réfractérisés-ptdr)

hub'

Il y a 2 heures, petirobert a dit :

on veut voir la dissolution vite , qu on rigole un peu 

Chiche que de la gueule .

Fichtre

Ce matin, à Nantes, Morandini était parmi les vendeurs de shit, ça se passe en plein jour et en plein centre d'une ville autrefois tranquille, un reportage édifiant, et des témoignages hallucinants sur une délinquance hors de contrôle !

Madame la maire refuse de prendre la parole, se planque donc, un vrai scandale, et qui pourrit la vie des citoyens honnêtes, lesquels n'osent plus sortir en soirée, de peur de se faire agresser, les restaurateurs sont écoeurés d'une situation qui se dégradent de plus en plus, sans même parler de l'impunité presque totale des délinquants !

C'est une honte absolue, mais je crois que le pire est à venir, suffit de constater la dégradation depuis l'arrivée du jupiter d'opérette !

Et bravo à Morandini, puisse cette plongée dans la honte nantaise avoir des retombées positives, un voeu pieux eu égard au laxisme macronien !

Malheureusement

hub'

Il y a 1 heure, petirobert a dit :

on attend la dissolution avec impatience , ça va aller , faut pas s inquiéter et se faire peur , en plus on ne risque pas grand chose à changer de majorité, bien au contraire d autant qu elle est  relative. 

s'il dissout tout les ans moi ça me va , le temps de dissoudre  et de s'installer et de redissoudre pour à nouveau reredissoudre puis de se rereinstaller pour à nouveau rereredissoudre ........ il peut faire ça pendant 5 ans ce c....ça m'ira très bien aprés je m'en fout .

il y a 1 minute, Elbaid1 a dit :

s'il dissout tout les ans moi ça me va , le temps de dissoudre  et de s'installer et de redissoudre pour à nouveau reredissoudre puis de se rereinstaller pour à nouveau rereredissoudre ........ il peut faire ça pendant 5 ans ce c....ça m'ira très bien aprés je m'en fout .

Morbleu

Voilà de la valeur ajoutée de premier choix !

De la discussion jaillit la lumière, et là, on en redemande, ça me rappelle un certain Diogène, celui de sinope, lequel se baladait en plein jour, une lanterne à la main, un type éclairé, donc, un disciple d'Antisthène le cynique !

Mais tous l'égoûts (lol) sont dans la nature, et Macron, en "odeur" de sainteté (instable) !

Si j'ai bien pigé le borborygme ci-dessus !

Intelligemment (donc)

hub'

Il y a 2 heures, hubert.de.montcalm a dit :

Cela dit, voilà de la lecture en copié-collé indigeste

Je revendique le copié-collé, j'ai d'ailleurs pris soin de mettre le texte copié-collé entre guillemets.

Je comprends que ce texte vous déplaise. Il présente, explique, narre des faits avérés, et, vous êtes très attaché aux préjugements, aux procès d'intention, et autres billevesées, fadaises et fariboles, pour utiliser un vocabulaire qui devrait avoir l'heur de vous plaire.

Bon... j'ai du taf,, je vous laisse. (C'était ma minute de distraction !)

il y a 3 minutes, pluc89 a dit :

Je revendique le copié-collé, j'ai d'ailleurs pris soin de mettre le texte copié-collé entre guillemets.

Je comprends que ce texte vous déplaise. Il présente, explique, narre des faits avérés, et, vous êtes très attaché aux préjugements, aux procès d'intention, et autres billevesées, fadaises et fariboles, pour utiliser un vocabulaire qui devrait avoir l'heur de vous plaire.

Bon... j'ai du taf,, je vous laisse. (C'était ma minute de distraction !)

 

Mortecouille et carabistouille

Voilà bien de la belle ouvrage, d'aucuns parlent-écrit de "taf" pour justifier ou personnifier le mecton surbooké, ce qui a l'heur de me plaire, puisque je vous fais la grâce (ou l'aumône) de vous tenir le crachoir-écrit !

Ce qui vous échappe, cher pluc à la comprenure (lol) limitée, c'est que ces faits avérés n'auront aucune incidence sur l'éventuelle réforme toujours en préparation, c'est la raison pour laquelle je vous ai tancé (lol)

Gentiment (et très élégamment comme de coutume, vilain délateur à tort)

hub' the best

il y a 41 minutes, hubert.de.montcalm a dit :

Si j'ai bien pigé le borborygme ci-dessus !

bon fan mais fé bienfur , tout est gazeux !  ce qui échappe de la bouche ou de l'anus c'est pareil , un pet ou une parole rien de plus qu'un échange gazeux ,   quand je pète ça produit le même effet thermo gazeux qu'un macron qui parle .

il y a 23 minutes, Elbaid1 a dit :

bon fan mais fé bienfur , tout est gazeux !  ce qui échappe de la bouche ou de l'anus c'est pareil , un pet ou une parole rien de plus qu'un échange gazeux ,   quand je pète ça produit le même effet thermo gazeux qu'un macron qui parle .

Fichtre

C'est pas sympa pour notre premier de cordée, dont l'ascension, c'est vrai, est remise en cause, et ça l'excite, le p'tit infatué de sa p'tite (re) personne, il va nous faire un caca nerveux si sa réforme est retoquée, reste le 49-3, dieu mercy, pour lui sauver la fesse'(lol), pardon, la face, c'est pas une farce !

Fait pour rester dans le cadre trivial, pour faire, valoir et servir ce que de droit !

Accessoirement

hub'

La France des Lumières est devant vous ! Après le col roulé de Bruno Le Maire et la doudoune d’Élisabeth Borne, voici le tancarville de Gilles Le Gendre. Le député Renaissance de la 2e circonscription de Paris a confié ce mercredi sur France info avoir abandonné son sèche-linge, très gourmand en énergie. Et si on manque de papier wc,  espérons qu'il trouve des combines ...

Il y a 1 heure, hubert.de.montcalm a dit :

Fichtre

Ce matin, à Nantes, Morandini était parmi les vendeurs de shit, ça se passe en plein jour et en plein centre d'une ville autrefois tranquille, un reportage édifiant, et des témoignages hallucinants sur une délinquance hors de contrôle !

Madame la maire refuse de prendre la parole, se planque donc, un vrai scandale, et qui pourrit la vie des citoyens honnêtes, lesquels n'osent plus sortir en soirée, de peur de se faire agresser, les restaurateurs sont écoeurés d'une situation qui se dégradent de plus en plus, sans même parler de l'impunité presque totale des délinquants !

C'est une honte absolue, mais je crois que le pire est à venir, suffit de constater la dégradation depuis l'arrivée du jupiter d'opérette !

Et bravo à Morandini, puisse cette plongée dans la honte nantaise avoir des retombées positives, un voeu pieux eu égard au laxisme macronien !

Malheureusement

hub'

   Voila-t-y pas que nous pensons pareil ! ... A part qu'imputer la situation nantaise à Macron est d' une bonne foi pour le moins remarquable .

Et tu nous dis cela dans un style si peu ampoulé que j' ai cru que ce n'était pas toi .

Quant à la dégradation tu peux l' attribuer à tous les présidents depuis Mitterrand ....

Au moins on en a un qui va peut être arriver à réformer les retraites .

il y a 10 minutes, MASSOT a dit :

La France des Lumières est devant vous ! Après le col roulé de Bruno Le Maire et la doudoune d’Élisabeth Borne, voici le tancarville de Gilles Le Gendre. Le député Renaissance de la 2e circonscription de Paris a confié ce mercredi sur France info avoir abandonné son sèche-linge, très gourmand en énergie. Et si on manque de papier wc,  espérons qu'il trouve des combines ...

Diantre

La France des Lumières a été répudiée par notre jupiter au petit pied ou au petit Q, mais au gros QI (selon LUI) !

Le papier WC n'est plus utile, depuis que Cabrel se sert de "cailloux" dans la cabane au fond du jardin !

Mais achetez des pulls à col roulé, c'est Le Maire, notre ministre des "économies" qui l'a dit, et qu'il a enfilés (au sens noble et économique) on est en plein dans le théâtre de boulevards, cher à bribri-chita, la grande prêtresse-maman-épouse de la RAIE PUBLIQUE (ptdr)

Charismatiquement

hub'

il y a 14 minutes, Maurice Clampin a dit :

   Voila-t-y pas que nous pensons pareil ! ... A part qu'imputer la situation nantaise à Macron est d' une bonne foi pour le moins remarquable .

Et tu nous dis cela dans un style si peu ampoulé que j' ai cru que ce n'était pas toi .

Quant à la dégradation tu peux l' attribuer à tous les présidents depuis Mitterrand ....

Au moins on en a un qui va peut être arriver à réformer les retraites .

Nom d'une pipe de saint claude (de jurassik park !)

Nantes est à l'image de la plupart des grandes villes, l'insécurité est devenue permanente, et la dégradation s'est amplifiée avec le sacre de manu, le chantre de l'anti-france, le chantre et même le chancre, et allez, pour aller plus avant, notre cancre de la sécurité, et pourtant, c'est le premier des devoirs d'un président, que d'assurer la sécurité de ses ouailles (les français de souche et aussi les pièces rapportées, invitées ou non dans notre douce France, enfin, notre ex-douce France, plutôt) !

ça s'appelle le régalien, et la question qui me taraude de plus en plus, car un État qui ne les assure pas, ses fonctions régaliennes, est de facto dans une situation d’échec, ça ne peut échapper à personne, sauf à être de mauvaise foi !

Evidemment

hub'

Il triche toujours.

https://www.public.fr/News/Calvitie-d-Emmanuel-Macron-on-sait-enfin-par-quel-moyen-le-President-arrive-a-la-camoufler-1714851

il y a 9 minutes, PASCOU a dit :

Il triche toujours.

https://www.public.fr/News/Calvitie-d-Emmanuel-Macron-on-sait-enfin-par-quel-moyen-le-President-arrive-a-la-camoufler-1714851

Tes lectures deviennent de plus en plus intellectuelles