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changement climatique débat

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frunobulax Membre 17 548 messages
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Il y a 22 heures, SpookyTheFirst a dit :

Le concensus scientifique s’est aussi révélé totalement faux à plusieurs reprises par le passé.

Le consensus scientifique s'est surtout (à certes de très rares exceptions près ... datant principalement de plusieurs siècles, cf Galilée !?) avéré de façon extrêmement majoritaire totalement VRAI.

Après, je peux bien évidemment me tromper ...

Merci donc de nous citer des exemples récents où le consensus scientifique se serait effectivement avéré "totalement faux" ?

Bien évidemment en évitant de citer comme supposées "preuves" des pseudos théories d'une extrême minorité de (+ou-) "scientifiques", relevant la plupart du temps, au mieux d'un égo totalement démesuré (cf, entre autres, Raoult !), mais surtout, au pire, de réseaux sociaux (??!) "populisto-complotistes" n'ayant que des objectifs soit politiques, soit purement financiers. 

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Membre, 57ans Posté(e)
SpookyTheFirst Membre 3 719 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
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Il y a 3 heures, frunobulax a dit :

Le consensus scientifique s'est surtout (à certes de très rares exceptions près ... datant principalement de plusieurs siècles, cf Galilée !?) avéré de façon extrêmement majoritaire totalement VRAI.

Après, je peux bien évidemment me tromper ...

Merci donc de nous citer des exemples récents où le consensus scientifique se serait effectivement avéré "totalement faux" ?

Bien évidemment en évitant de citer comme supposées "preuves" des pseudos théories d'une extrême minorité de (+ou-) "scientifiques", relevant la plupart du temps, au mieux d'un égo totalement démesuré (cf, entre autres, Raoult !), mais surtout, au pire, de réseaux sociaux (??!) "populisto-complotistes" n'ayant que des objectifs soit politiques, soit purement financiers. 

Merci pour la réponse. Je vais essayer de ne pas tomber dans les pseudo-théories populistes, mais c’est difficile pour moi qui ai une culture scientifique très limitée…
 

J’ai donc demandé à mon amis chatgpt, et pour le 20e siécle il m’a cité:

  • Le modèle de l’atome de Bohr
  • Les ulcères uniquement causés par le stress ou l’acidité (bah moi je croyais que c’était vrai perso!)
  • L’ADN poubelle
  • Homosexualité comme trouble mental
  • L’univers statique
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Membre, Posté(e)
williams Membre 3 890 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 2 heures, SpookyTheFirst a dit :

Merci pour la réponse. Je vais essayer de ne pas tomber dans les pseudo-théories populistes, mais c’est difficile pour moi qui ai une culture scientifique très limitée…

J’ai donc demandé à mon amis chatgpt, et pour le 20e siécle il m’a cité:

  • Le modèle de l’atome de Bohr
  • Les ulcères uniquement causés par le stress ou l’acidité (bah moi je croyais que c’était vrai perso!)
  • L’ADN poubelle
  • Homosexualité comme trouble mental
  • L’univers statique

Scientifiquement parlant à propos de l'effets anthropique sur le réchauffement climatique, pourtant ceci n'est pas des théories mais c'est prouvé que le CO2... sont des gaz qui retiennent l'infrarouge émis pas le sol et océans de la Terre suite à l'énergie qu'elle reçoit du Soleil.

Par exemple, la Lune qui n'a pas d'atmosphère dont des gaz à effet de serre (H2O, CO2,...), n'a pas la même température que nous malgré la même distance au Soleil. Ou encore dans l'autre sens, Vénus qui est plus loin du Soleil que Mercure a pourtant nuit et jour une température un peu plus chaude que Mercure avec 460°C contre 430°C le jour pour Mercure et -180°C la nuit. Tout ceci par ce que Venus est composée de 96 % de CO2 alors que Mercure n'a pas d'atmosphère.

Ce qui montre bien scientifiquement que plus une planète est composée de gaz à effet de serre plus il y fait chaud.

Donc, vu que l'homme émet beaucoup de CO2, voir du CH4,... et que les mesures prouvent l'augmentation de ces gaz dans l'atmosphère donc que ceci joue bien sur le réchauffement climatique anthropique.

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Membre, 57ans Posté(e)
SpookyTheFirst Membre 3 719 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
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Il y a 8 heures, williams a dit :

Scientifiquement parlant à propos de l'effets anthropique sur le réchauffement climatique, pourtant ceci n'est pas des théories mais c'est prouvé que le CO2... sont des gaz qui retiennent l'infrarouge émis pas le sol et océans de la Terre suite à l'énergie qu'elle reçoit du Soleil.

Par exemple, la Lune qui n'a pas d'atmosphère dont des gaz à effet de serre (H2O, CO2,...), n'a pas la même température que nous malgré la même distance au Soleil. Ou encore dans l'autre sens, Vénus qui est plus loin du Soleil que Mercure a pourtant nuit et jour une température un peu plus chaude que Mercure avec 460°C contre 430°C le jour pour Mercure et -180°C la nuit. Tout ceci par ce que Venus est composée de 96 % de CO2 alors que Mercure n'a pas d'atmosphère.

Ce qui montre bien scientifiquement que plus une planète est composée de gaz à effet de serre plus il y fait chaud.

Donc, vu que l'homme émet beaucoup de CO2, voir du CH4,... et que les mesures prouvent l'augmentation de ces gaz dans l'atmosphère donc que ceci joue bien sur le réchauffement climatique anthropique.

Je suis évidemment d’accord avec les fondamentaux (le CO2 est un gaz à effet de serre par exemple), et je pense qu’une partie du réchauffement est anthropique, donc je suis d’accord avec tout ce que tu dis!
 

mais quelle partie du réchauffement est anthropique? 

par exemple dans ton raisonnement tu ne mentionne pas qu’une autre cause bien prouvée à la fois théoriquement et par les mesures (décalage de 6-800 ans T/CO2) de l’augmentation du CO2 est… la température (si tu fais chauffer du coca, il va jaillir partout quand on ouvre la bouteille….).

Et cela fait partie des (nombreux) exemples qui compliquent singulièrement les choses….:D

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Membre, 57ans Posté(e)
colibri33 Membre 1 910 messages
Forumeur vétéran‚ 57ans‚
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Le 16/07/2025 à 13:10, SpookyTheFirst a dit :

Je pense qu’il n’est contesté par personne que l’augmentation de la T augmente le taux de CO2.

Ce n'est pas ce que j'ai cru comprendre , si on dit que c'est la température qui dirige le CO2 , on sort de la thèse officielle

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Membre, 57ans Posté(e)
colibri33 Membre 1 910 messages
Forumeur vétéran‚ 57ans‚
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Le 16/07/2025 à 16:01, frunobulax a dit :

:DD

Vous ne contestez supposément pas "la compétence scientifique" ... au détail près que vous la considérez comme étant forcément "idéologique, politique" et sous des supposées "pressions diverses" ..?

Au passage, le principe même de la "science" repose sur le principe unanimement reconnu de "consensus scientifique" ... 

Pour mémoire:
"Un consensus scientifique est une vérité établie sur un ensemble de preuves vérifiables, acceptée par la communauté scientifique, valable pour une période donnée en fonction des connaissances de l’humanité à cette période.
La communauté scientifique est définie comme l’ensemble des personnes ayant validé des titres universitaires reconnus officiellement et travaillant dans le cadre de protocoles scientifiques permettant la validation de leurs preuves (citation des sources, reproductibilité dans le cas des sciences expérimentales, représentativité des échantillons, et plus généralement toutes les pratiques déontologiques permettant la vérification de la validité du raisonnement par les pairs)."

Après, libre à chacun de considérer que des "youtubeurs" (??), n'ayant strictement aucunes compétences scientifiques, et dont le seul objectif est de se faire du fric via le nombre de vues rémunérées pour eux par des gogos, auraient très supposément des pseudos "compétences scientifiques" supérieures à des VRAIS chercheurs totalement indépendants ??
:DD

Les effectifs très importants revenus financiers des "complotistes" via les réseaux sociaux (qui est devenu un réel business ultra lucratif !) ne sont un mystère pour personne ...

Sauf pour vous ..?
:cool:

Lorsque 2 scientifiques de même niveau de formation ont des opinions divergentes , qui peut juger de qui est le plus compétent ?

Vous confondez la science politisée qui a tribune libre dans les médias et la communauté scientifique dans son ensemble , ce ne sont pas les déclarations qui manquent pour affirmer que des pressions voire des sanctions poussent les scientifiques au silence ou à l'adhésion à la thèse officielle pour ne pas compromettre leur carrière. Judith Curry par exemple que j'ai citée il y a peine 2 pages.

Citation

Judith Curry, professeur à l'école des sciences de la terre et de l'atmosphère au Georgia Tech d'Atlanta. Décorée par l'American Meteorological Society, l'American Geophysical Union, la NASA, la NOAA et la Fondation Nationale des sciences.
Elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s'est produite lors de sa première moitié, avant le développement mondial ».
Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire », « une science douteuse au profit d'un projet politique »[5]. En 2017, elle démissionne de son poste de professeur d'université, en soulignant qu'un scientifique est obligé d'adhérer à l'idéologie du GIEC pour obtenir des crédits et avancer dans sa carrière : soit on renonce à l'intégrité scientifique, soit on peut faire une croix sur sa carrière.

La notion de consensus est anti-scientifique , 1 scientifique peut avoir raison contre tous les scientifiques de la planète , c'est ça la science.

On confond le consensus avec la somme de connaissances acquises à un instant T et qui prévalent tant qu'aucun autre cadre de raisonnement n'apparait.

En l'occurrence , le consensus est surtout politique , mais en plus une vaste blague compte tenu de l'étude pourrie sur laquelle il est fondé : sur environ 12000 études , 7500 n'exprimant aucun avis sur le RCA ont été éliminées , 1/3 d'entre elles disaient que les activités humaines pouavaient avoir une part d'influence sur le climat , et seule une infime partie de ces études allait dans le sens d'un RC entièrement provoqué par l'homme. On est donc très loin d'un consensus , à plus d'un titre.

Quant à vos clichés sur les réseaux sociaux , j'ai déjà répondu ; oui il y a du tri à faire , mais il y a des comptes d'experts ou de passionnés qui partagent de nombreuses sources scientifiques sérieuses , vous êtes juste dans l'amalgame facile. Si on va par là , quelle valeur accorder à des médias grassement subventionnés par l'état ? ou à un groupement intergouvernemental qui sélectionne les scientifiques selon leur penchant réchauffiste ? 

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Membre, 57ans Posté(e)
colibri33 Membre 1 910 messages
Forumeur vétéran‚ 57ans‚
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Le 16/07/2025 à 22:07, williams a dit :

Mais ceci est qu'un des facteurs qui influencent le climat sur des périodes plus ou moins long,... et ne veut pas dire qu'actuellement l'homme n'a pas d'influence sur le réchauffement. Car va en plein ville et en campagne déjà tu verra la différence de température montrant que l'urbanisation joue un certain rôle. Plus toute les autres influences de l'homme surtout que sa population augmente et donc idem sur les conséquences.

Disons qu'il y a influence théorique et influence effective ;  le fait que le CO2 ne représente que 0.04% de l'atmosphère ne va pas dans le sens d'une influence effective sauf phénomènes inverses qui se neutralisent.

L'effet "ilot de chaleur" lié à l'urbanisation est réel , d'autant plus avec l'équipement galopant en climatisation , mais il provoque des phénomènes locaux qui ne vont pas au delà de ces zones

et surtout , il remet en cause les températures moyennes relevées dans la mesure où les stations météo de référence sont localisées dans des grandes villes voire sur des tarmacs d'aéroports ; c'est justement la disparité entre ville et campagne qui démontrerait le mieux si le réchauffement climatique est un phénomène local, national, mondial ... le fait de raisonner exclusivement en moyennes noie le poisson et contribue à induire en erreur

Sur un autre sujet , j'avais posté cet article sur les différentes notions de températures , leurs méthodes de calcul , leurs biais

https://www.science-climat-energie.be/climat-mais-de-quelle-temperature-parle-t-on/

entre autres ,  ce graphique me semble intéressant :

Fig-3-1.jpg

Fig. 5. Evolution des stations terrestres et de la température globale (Easterbrook 2016) [7]. Au début de 1990, des milliers de stations météorologiques situées dans des zones rurales plus froides (par exemple, en Sibérie, dans le nord du Canada) ont cessé d’enregistrer des données.

http://www.science-climat-energie.be/wp-content/uploads/2019/07/Fig-3-1.jpg

Ce qui est frappant , c'est la corrélation entre baisse du nombre de stations et hausse de température ; coincidence ou lien de cause à effet ? ce qui est sûr , c'est qu'on ne peut pas s'avancer sur une thèse et des projections de T si on ne raisonne pas toutes choses égales par ailleurs.

Modifié par colibri33
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Membre, 57ans Posté(e)
SpookyTheFirst Membre 3 719 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
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Il y a 2 heures, colibri33 a dit :

Ce n'est pas ce que j'ai cru comprendre , si on dit que c'est la température qui dirige le CO2 , on sort de la thèse officielle

Non, ca c’est tout à fait établi à ma connaissance, mais ca nous en apprend peu sur la réciproque qui est la question centrale.

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frunobulax Membre 17 548 messages
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Il y a 19 heures, SpookyTheFirst a dit :

J’ai donc demandé à mon amis chatgpt

:DD

Il y a 4 heures, colibri33 a dit :

Lorsque 2 scientifiques de même niveau de formation ont des opinions divergentes , qui peut juger de qui est le plus compétent ?

L'énorme majorité des contestations des conséquences du changement climatique n'émanent pas de scientifiques "reconnus" ... mais de "youtubeurs" totalement scientifiquement incompétents ???
:DD

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Membre, Posté(e)
williams Membre 3 890 messages
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Il y a 10 heures, SpookyTheFirst a dit :

Je suis évidemment d’accord avec les fondamentaux (le CO2 est un gaz à effet de serre par exemple), et je pense qu’une partie du réchauffement est anthropique, donc je suis d’accord avec tout ce que tu dis!
 

mais quelle partie du réchauffement est anthropique? 

par exemple dans ton raisonnement tu ne mentionne pas qu’une autre cause bien prouvée à la fois théoriquement et par les mesures (décalage de 6-800 ans T/CO2) de l’augmentation du CO2 est… la température (si tu fais chauffer du coca, il va jaillir partout quand on ouvre la bouteille….).

Et cela fait partie des (nombreux) exemples qui compliquent singulièrement les choses….:D

Oui et ce dont tu dis, c'est ce dont je parle parfois en disant les effets secondaires puisque le réchauffement des océans font que moins de CO2 dans l'atmosphère est absorbé donc plus de CO2 reste dans l'atmosphère et amplifie le réchauffement climatique. Ceci est naturellement le serpent qui se mort la queue et qui fait qu'avec un certain décalage après un réchauffement climatique le CO2 augmente dans l'atmosphère tel comme les données recueilli dans carottes de glace nous le prouve.

C'est pour cela que je dis souvent que la climatologie est complexe vu les effets anthropiques, naturelles et les effets secondaires tel comme celui-ci ou aussi la fonte des glaciers suite au réchauffement climatique qui font diminuer l'albédo et donc amplifie le réchauffement climatique.

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Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 3 922 messages
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il y a 9 minutes, williams a dit :

Ceci est naturellement le serpent qui se mort la queue et qui fait qu'avec un certain décalage après un réchauffement climatique le CO2 augmente dans l'atmosphère tel comme les données recueilli dans carottes de glace nous le prouve.

J'ai déjà vu cela. Le premier capteur de CO2 c'est la masse océanique. Problème : à la suite, il le libère en continu, et ça va durer des siècles, au moins.

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Pierrot89 Membre 9 130 messages
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La politique énergétique de la France est l'objet de débats parlementaires violents concernant l'intérêt des énergies éoliennes et photovoltaïques qui sont globalement relativement plus émetteurs de GES que le nucléaire et l'hydraulique tout en étant très chères compte tenu des grasses subventions qui profitent essentiellement à la Chine.

il y a 2 minutes, Pierrot89 a dit :

La politique énergétique de la France est l'objet de débats parlementaires violents concernant l'intérêt des énergies éoliennes et photovoltaïques qui sont globalement relativement plus émetteurs de GES que le nucléaire et l'hydraulique tout en étant très chères compte tenu des grasses subventions qui profitent essentiellement à la Chine.

 

2025-07-09_12_raisons_moratoire_photovoltaique_et_eolien_.pdf 2025-07-02 douze raisons pour un moratoire urgent sur le photovoltaique et l-eolien en France vdef.odt

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Membre, 57ans Posté(e)
colibri33 Membre 1 910 messages
Forumeur vétéran‚ 57ans‚
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Il y a 20 heures, frunobulax a dit :

L'énorme majorité des contestations des conséquences du changement climatique n'émanent pas de scientifiques "reconnus" ... mais de "youtubeurs" totalement scientifiquement incompétents ???

ah bon ?

Tim Ball, Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l'université de Winnipeg (Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la température et l'absence de fondement scientifique à la théorie liant émissions de CO2 et réchauffement climatique.

Jean-Marc Bonnamy, ingénieur, expert climatologue pour la FAO, auteur de Réchauffement climatique : le pavé dans la mare (éd. L'Harmattan, 2018), parle à propos du réchauffement climatique d'un « débat d'opinions basé sur des interprétations contestables de corrélations statistiques hasardeuses entre des données douteuses ». Il affirme l’absence de tout effet possible de l’augmentation du taux de CO2 sur la température terrestre et dénonce les procédés utilisés par le GIEC, acculé, pour faire taire les faits.

Reid Bryson, professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, Ph.D. en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.

Bob Carter, paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University (Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine »

John Christy, professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la catastrophe qu'on nous annonce, ni la preuve évidente que l'activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut observer. Je vois plutôt l'utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des "preuves") et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ». Son bureau à l'université a été visé par sept coups de feu en avril 2017, à l'occasion du "Jour de la Terre".

John Clauser, Prix Nobel de physique 2022. Il déclare sans ambages : « Le narratif commun sur le changement climatique, explique-t-il, constitue une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes. Une science climatique mal orientée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique massive. À son tour, celle-ci s’est faite bouc émissaire de quantité de maux qui n’ont aucun rapport. »

Delgado Domingos, professeur en science environnementale au Portugal, avec plus de 150 publications à son actif. Pour le professeur Domingos, « créer une idéologie à partir du dioxyde de carbone est un non-sens dangereux… L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante »

David Evans, mathématicien, ex-collaborateur du Bureau Australien sur l’effet de serre. Il a mis au point des modèles du cycle du carbone destiné au mécanisme de réduction de CO2 dans le cadre du protocole de Kyoto (1999-2005). Sur la base de nouvelles données, il a déclaré ne plus croire à l’influence du CO2 dans le réchauffement climatique.

François Gervais, physicien, spécialiste de thermodynamique, professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours, médaillé du CNRS et primé par l’Académie des Sciences, estime que l'effet de serre du CO2 est à saturation, les activités humaines n'ont quasiment plus d'incidence sur le réchauffement. On a pris une conséquence pour une cause. Les fluctuations de température précèdent celles du CO2. Le réchauffement climatique est naturel.[14] En 2018, il publie "L'urgence climatique est un leurre", livre dans lequel il nie qu'il existe un "consensus" des chercheurs autour des questions climatiques et explique que la peur a été transformée en un véritable instrument de pouvoir.

Robert Giegengack, géologue, professeur au département Earth and Environmental Science de l'Université de Pennsylvanie : selon lui, le « réchauffement climatique n'entre même pas dans le top 10 des problèmes environnementaux » et il déplore que « l'appétit du public pour cette idiotie soit devenu insatiable »

Stanley Goldenberg, météorologue à la division de recherche sur les ouragans de la NOAA, ex-directeur au National Hurricane Center. Selon lui, « c’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il n’y aurait qu’une frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique ».

Thomas B. Gray, météorologue américain au National Oceanic and Atmospheric Administration : Sur la base de ses travaux sur le climat passé, il s'est opposé à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique, insistant sur la dimension naturelle du phénomène. Il qualifia ainsi en 2007 le changement climatique de « phénomène naturel ». Il rappelle que « rien de ce qui est en train d'arriver sur le plan climatique ne peut être considéré comme anormal à la lumière de notre connaissance des variations climatiques passées ». Il accuse directement les tenants de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique (AGW ou Anthropologic Glowal Warming) de ne s'appuyer « sur aucune donnée fiable »

William M. Gray, spécialiste des ouragans, Ph.D, auteur de très nombreux articles académiques : pour lui, le réchauffement climatique est essentiellement un phénomène naturel et non lié à l'activité humaine. Il s'est en particulier opposé à l'alarmisme de Gore et du GIEC en matière d'ouragans. Il a ainsi rappelé que les ouragans suivaient généralement un cycle multi-décennal et qu'il n'y avait rien d'anormal à observer des variations dans leur nombre et leur intensité.

Klaus Hager, climatologue, chargé de cours à l'Université d'Augsbourg, déclare que l'homme a peu d'influence sur le climat, que le changement climatique et la protection du climat sont devenus des problèmes idéologiquement chargés, que le moteur principal de chaque évènement météorologique est l'activité solaire, et que leur complexité chaotique rend la météo et le climat incontrôlables.[

Howard Hayden, professeur émérite de physique à l'Université du Connecticut. Il a écrit une lettre ouverte au Département d'État américain pour exprimer son scepticisme, en déclarant que "les activistes du réchauffement climatique, comme des fourmis qui considèrent que le monde est fait de rochers de 1 mm de diamètre, regardent les 3 derniers millionièmes de 1% de l'histoire de la Terre et font des conclusions extravagantes sur le climat et en particulier sur leur compréhension du climat"

Tony Heller, géologue, ancien chercheur au laboratoire national de Los Alamos, dénonce sur son blog Real Climate Science l'alarmisme climatique. il affirme que « cet alarmisme dépend entièrement de graphiques et de modèles climatiques sans intérêt produits par un petit nombre de personnes ; les graphiques proviennent de processus erronés scientifiquement, avec modification et camouflage de données

Hans Jelbring, climatologie suédois, de l'Unité Paléogéophysique et de Géodynamique de l'Université de Stockholm. Selon Dr Jelbring, « la nature dysfonctionnelle des sciences du climat n'est pas autre chose qu'un scandale. La science est trop importante pour nos sociétés pour être pervertie comme elle l'a été par la communauté des sciences du climat. L'establishment du changement climatique a activement supprimé les résultats de chercheurs qui ne se plient pas au dogme du GIEC ».

Andrei Kapitsa, géographe, spécialiste de l’Antarctique, membre de l’académie des Sciences de Russie. Selon lui, "les théoriciens de Kyoto ont mis la charrue avant les bœufs. [L’étude des carottes glaciaires démontre que] c’est le réchauffement global qui est la cause de hauts niveaux de CO2 dans l’atmosphère et non le contraire".

Madhav Khandekar, docteur en météorologie de l'université d'état de Floride, il a travaillé plus de 51 ans dans la climatologie, la météorologie et l'océanographie. Il est expert reviewer du GIEC 2007, membre de l'AMS depuis 1966, de l'AGU depuis 1986 et de la Canadian Meteorological and Oceanographic Society depuis 1970. Selon Dr Khandekar, « le réchauffement des années 80 et 90 a été principalement d'origine naturelle et la contribution du CO2 d'origine humaine est et sera très faible »

William Kininmonth, ancien directeur du centre national du climat australien, il a dirigé pendant douze ans son centre national du climat et a représenté l'Australie à l'organisation météorologique mondiale pendant seize ans (1982-1998) : Il s'oppose à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique actuel et met en valeur les phénomènes naturels qui l'expliquent, aujourd'hui comme au cours des variations passées du climat. Il critique par conséquent le simplisme des modèles climatiques du GIEC, qui parte du présupposé, non démontré, que c'est l'homme qui affecte le plus le climat, et occulte les facteurs naturels comme l'activité solaire.

Christopher Landsea, météorologue à la NOAA, spécialiste des ouragans, Ph.D. : « le réchauffement climatique augmente peut-être la force du vent des ouragans, mais de sûrement pas plus que 1 ou 2% ». Ancien rédacteur du rapport du GIEC, il l'a quitté en en dénonçant l'instrumentalisation : « je ne peux pas continuer, en conscience, à contribuer à un processus que je considère être et conduit par des objectifs préconçus et scientifiquement non valable »

Philippe de Larminat, expert en modélisation des processus ("identification"), met en œuvre dans son ouvrage Changement climatique (ISTE Editions, 2014) des modèles historiques pour décrire et prévoir les changements climatiques depuis 1500 ans, sur une base purement statistique. Ses résultats montrent l'absurdité des conclusions du GIEC sur l'influence des activités humaines sur le changement climatique ainsi que l'impossibilité de modéliser physiquement quelque chose d'aussi complexe que le climat.

Marcel Leroux, climatologue français, né le 27 août 1938, décédé le 12 août 2008. Professeur émérite de climatologie à l'Université Jean-Moulin - Lyon-III, il était directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement. Il a été nommé Chevalier dans l'Ordre des Palmes Académiques le 31 octobre 2002. Marcel Leroux était connu pour ses concepts scientifiques originaux comme celui des AMP, et ses remises en cause de concepts climatiques comme le réchauffement climatique. Marcel Leroux (2003) résumait ainsi son point de vue sur la théorie du réchauffement climatique : « Le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles théoriques et fondée sur des relations simplistes, qui annonce une élévation de la température, proclamée mais non démontrée. Les contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les faits climatiques directement observés, l’ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes constituant une imposture scientifique ». Dans une étude publiée en 2007, il conclut: "Les changements climatiques ne sont pas résumés par une simple courbe dite « globale » de la température. Ces changements ne sont pas « expliqués » par l’effet de serre."

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l y en a plein d'autres si vous voulez ...

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SpookyTheFirst Membre 3 719 messages
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il y a 11 minutes, colibri33 a dit :

ah bon ?

Tim Ball, Ph.D. en climatologie, ancien professeur à l'université de Winnipeg (Canada) : il rappelle les faiblesses des modes de mesure de la température et l'absence de fondement scientifique à la théorie liant émissions de CO2 et réchauffement climatique.

Jean-Marc Bonnamy, ingénieur, expert climatologue pour la FAO, auteur de Réchauffement climatique : le pavé dans la mare (éd. L'Harmattan, 2018), parle à propos du réchauffement climatique d'un « débat d'opinions basé sur des interprétations contestables de corrélations statistiques hasardeuses entre des données douteuses ». Il affirme l’absence de tout effet possible de l’augmentation du taux de CO2 sur la température terrestre et dénonce les procédés utilisés par le GIEC, acculé, pour faire taire les faits.

Reid Bryson, professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, Ph.D. en météorologie, un des pères fondateurs de la climatologie moderne : il considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.

Bob Carter, paléoclimatologue australien, professeur à la James Cook University (Australie) : il rappelle que même les mesures du GIEC ne montrent aucun réchauffement depuis 1998 et que les températures semblent au contraire baisser. Il écrit ainsi : « Il y a tout lieu de douter que le moindre réchauffement climatique soit en train d'avoir lieu, et plus encore qu'il soit causé par l'activité humaine »

John Christy, professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC : « je ne vois venir ni la catastrophe qu'on nous annonce, ni la preuve évidente que l'activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut observer. Je vois plutôt l'utilisation aveugle de modèles climatiques (utiles mais qui ne sont jamais des "preuves") et la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ». Son bureau à l'université a été visé par sept coups de feu en avril 2017, à l'occasion du "Jour de la Terre".

John Clauser, Prix Nobel de physique 2022. Il déclare sans ambages : « Le narratif commun sur le changement climatique, explique-t-il, constitue une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes. Une science climatique mal orientée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique massive. À son tour, celle-ci s’est faite bouc émissaire de quantité de maux qui n’ont aucun rapport. »

Delgado Domingos, professeur en science environnementale au Portugal, avec plus de 150 publications à son actif. Pour le professeur Domingos, « créer une idéologie à partir du dioxyde de carbone est un non-sens dangereux… L’alarmisme actuel sur le changement climatique est un instrument de contrôle social, un prétexte pour des batailles politiques et économiques. Cela devient une idéologie préoccupante »

David Evans, mathématicien, ex-collaborateur du Bureau Australien sur l’effet de serre. Il a mis au point des modèles du cycle du carbone destiné au mécanisme de réduction de CO2 dans le cadre du protocole de Kyoto (1999-2005). Sur la base de nouvelles données, il a déclaré ne plus croire à l’influence du CO2 dans le réchauffement climatique.

François Gervais, physicien, spécialiste de thermodynamique, professeur émérite à l’Université François Rabelais de Tours, médaillé du CNRS et primé par l’Académie des Sciences, estime que l'effet de serre du CO2 est à saturation, les activités humaines n'ont quasiment plus d'incidence sur le réchauffement. On a pris une conséquence pour une cause. Les fluctuations de température précèdent celles du CO2. Le réchauffement climatique est naturel.[14] En 2018, il publie "L'urgence climatique est un leurre", livre dans lequel il nie qu'il existe un "consensus" des chercheurs autour des questions climatiques et explique que la peur a été transformée en un véritable instrument de pouvoir.

Robert Giegengack, géologue, professeur au département Earth and Environmental Science de l'Université de Pennsylvanie : selon lui, le « réchauffement climatique n'entre même pas dans le top 10 des problèmes environnementaux » et il déplore que « l'appétit du public pour cette idiotie soit devenu insatiable »

Stanley Goldenberg, météorologue à la division de recherche sur les ouragans de la NOAA, ex-directeur au National Hurricane Center. Selon lui, « c’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il n’y aurait qu’une frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique ».

Thomas B. Gray, météorologue américain au National Oceanic and Atmospheric Administration : Sur la base de ses travaux sur le climat passé, il s'est opposé à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique, insistant sur la dimension naturelle du phénomène. Il qualifia ainsi en 2007 le changement climatique de « phénomène naturel ». Il rappelle que « rien de ce qui est en train d'arriver sur le plan climatique ne peut être considéré comme anormal à la lumière de notre connaissance des variations climatiques passées ». Il accuse directement les tenants de la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique (AGW ou Anthropologic Glowal Warming) de ne s'appuyer « sur aucune donnée fiable »

William M. Gray, spécialiste des ouragans, Ph.D, auteur de très nombreux articles académiques : pour lui, le réchauffement climatique est essentiellement un phénomène naturel et non lié à l'activité humaine. Il s'est en particulier opposé à l'alarmisme de Gore et du GIEC en matière d'ouragans. Il a ainsi rappelé que les ouragans suivaient généralement un cycle multi-décennal et qu'il n'y avait rien d'anormal à observer des variations dans leur nombre et leur intensité.

Klaus Hager, climatologue, chargé de cours à l'Université d'Augsbourg, déclare que l'homme a peu d'influence sur le climat, que le changement climatique et la protection du climat sont devenus des problèmes idéologiquement chargés, que le moteur principal de chaque évènement météorologique est l'activité solaire, et que leur complexité chaotique rend la météo et le climat incontrôlables.[

Howard Hayden, professeur émérite de physique à l'Université du Connecticut. Il a écrit une lettre ouverte au Département d'État américain pour exprimer son scepticisme, en déclarant que "les activistes du réchauffement climatique, comme des fourmis qui considèrent que le monde est fait de rochers de 1 mm de diamètre, regardent les 3 derniers millionièmes de 1% de l'histoire de la Terre et font des conclusions extravagantes sur le climat et en particulier sur leur compréhension du climat"

Tony Heller, géologue, ancien chercheur au laboratoire national de Los Alamos, dénonce sur son blog Real Climate Science l'alarmisme climatique. il affirme que « cet alarmisme dépend entièrement de graphiques et de modèles climatiques sans intérêt produits par un petit nombre de personnes ; les graphiques proviennent de processus erronés scientifiquement, avec modification et camouflage de données

Hans Jelbring, climatologie suédois, de l'Unité Paléogéophysique et de Géodynamique de l'Université de Stockholm. Selon Dr Jelbring, « la nature dysfonctionnelle des sciences du climat n'est pas autre chose qu'un scandale. La science est trop importante pour nos sociétés pour être pervertie comme elle l'a été par la communauté des sciences du climat. L'establishment du changement climatique a activement supprimé les résultats de chercheurs qui ne se plient pas au dogme du GIEC ».

Andrei Kapitsa, géographe, spécialiste de l’Antarctique, membre de l’académie des Sciences de Russie. Selon lui, "les théoriciens de Kyoto ont mis la charrue avant les bœufs. [L’étude des carottes glaciaires démontre que] c’est le réchauffement global qui est la cause de hauts niveaux de CO2 dans l’atmosphère et non le contraire".

Madhav Khandekar, docteur en météorologie de l'université d'état de Floride, il a travaillé plus de 51 ans dans la climatologie, la météorologie et l'océanographie. Il est expert reviewer du GIEC 2007, membre de l'AMS depuis 1966, de l'AGU depuis 1986 et de la Canadian Meteorological and Oceanographic Society depuis 1970. Selon Dr Khandekar, « le réchauffement des années 80 et 90 a été principalement d'origine naturelle et la contribution du CO2 d'origine humaine est et sera très faible »

William Kininmonth, ancien directeur du centre national du climat australien, il a dirigé pendant douze ans son centre national du climat et a représenté l'Australie à l'organisation météorologique mondiale pendant seize ans (1982-1998) : Il s'oppose à la théorie de l'origine humaine du réchauffement climatique actuel et met en valeur les phénomènes naturels qui l'expliquent, aujourd'hui comme au cours des variations passées du climat. Il critique par conséquent le simplisme des modèles climatiques du GIEC, qui parte du présupposé, non démontré, que c'est l'homme qui affecte le plus le climat, et occulte les facteurs naturels comme l'activité solaire.

Christopher Landsea, météorologue à la NOAA, spécialiste des ouragans, Ph.D. : « le réchauffement climatique augmente peut-être la force du vent des ouragans, mais de sûrement pas plus que 1 ou 2% ». Ancien rédacteur du rapport du GIEC, il l'a quitté en en dénonçant l'instrumentalisation : « je ne peux pas continuer, en conscience, à contribuer à un processus que je considère être et conduit par des objectifs préconçus et scientifiquement non valable »

Philippe de Larminat, expert en modélisation des processus ("identification"), met en œuvre dans son ouvrage Changement climatique (ISTE Editions, 2014) des modèles historiques pour décrire et prévoir les changements climatiques depuis 1500 ans, sur une base purement statistique. Ses résultats montrent l'absurdité des conclusions du GIEC sur l'influence des activités humaines sur le changement climatique ainsi que l'impossibilité de modéliser physiquement quelque chose d'aussi complexe que le climat.

Marcel Leroux, climatologue français, né le 27 août 1938, décédé le 12 août 2008. Professeur émérite de climatologie à l'Université Jean-Moulin - Lyon-III, il était directeur du Laboratoire de climatologie, risques et environnement. Il a été nommé Chevalier dans l'Ordre des Palmes Académiques le 31 octobre 2002. Marcel Leroux était connu pour ses concepts scientifiques originaux comme celui des AMP, et ses remises en cause de concepts climatiques comme le réchauffement climatique. Marcel Leroux (2003) résumait ainsi son point de vue sur la théorie du réchauffement climatique : « Le réchauffement global est une hypothèse issue de modèles théoriques et fondée sur des relations simplistes, qui annonce une élévation de la température, proclamée mais non démontrée. Les contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les faits climatiques directement observés, l’ignorance délibérée de ces distorsions flagrantes constituant une imposture scientifique ». Dans une étude publiée en 2007, il conclut: "Les changements climatiques ne sont pas résumés par une simple courbe dite « globale » de la température. Ces changements ne sont pas « expliqués » par l’effet de serre."

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l y en a plein d'autres si vous voulez ...

Merci! Ca va peut-être faire réfléchir quelques rechauffistes…:D

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Membre, 57ans Posté(e)
colibri33 Membre 1 910 messages
Forumeur vétéran‚ 57ans‚
Posté(e)
il y a 31 minutes, SpookyTheFirst a dit :

Merci! Ca va peut-être faire réfléchir quelques rechauffistes…:D

pas sûr ... ce n'est pas la 1ère fois que je poste des citations de scientifiques et ça ne fait pas avancer le schmilbik :D  l'idée bien ancrée de charlatans ou complotistes qui dénient les fausses évidences imposées reste tenace

Modifié par colibri33
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Membre, 57ans Posté(e)
SpookyTheFirst Membre 3 719 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
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Le 18/07/2025 à 17:44, williams a dit :

Oui et ce dont tu dis, c'est ce dont je parle parfois en disant les effets secondaires puisque le réchauffement des océans font que moins de CO2 dans l'atmosphère est absorbé donc plus de CO2 reste dans l'atmosphère et amplifie le réchauffement climatique. Ceci est naturellement le serpent qui se mort la queue et qui fait qu'avec un certain décalage après un réchauffement climatique le CO2 augmente dans l'atmosphère tel comme les données recueilli dans carottes de glace nous le prouve.

C'est pour cela que je dis souvent que la climatologie est complexe vu les effets anthropiques, naturelles et les effets secondaires tel comme celui-ci ou aussi la fonte des glaciers suite au réchauffement climatique qui font diminuer l'albédo et donc amplifie le réchauffement climatique.

Oui, de nombreuses rétroactions positives ou négatives. Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est, pensez à l'effet Larsen, les haut-parleurs qui sifflent, c'est une rétroaction positive qui va jusqu'à la saturation. 

Venus semble a peut être été victime de cela. Mais c'est intéressant de constater que la Terre, malgré toutes les variations de CO2 et T qu'elle a connu ne semble jamais avoir divergée, ce qui tendrait à penser que l'ensemble des rétroactions dont elle est l'objet conduisent à un équilibre. Il serait tout à fait étonnant (mais pas impossible) que le CO2 émis par l'homme conduise pour la première fois à une instabilité (à moins de supposer que le CO2 d'origine anthropique ait des propriétés radicalement différentes).

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Membre, Posté(e)
williams Membre 3 890 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 31 minutes, SpookyTheFirst a dit :

Oui, de nombreuses rétroactions positives ou négatives. Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est, pensez à l'effet Larsen, les haut-parleurs qui sifflent, c'est une rétroaction positive qui va jusqu'à la saturation. 

Venus semble a peut être été victime de cela. Mais c'est intéressant de constater que la Terre, malgré toutes les variations de CO2 et T qu'elle a connu ne semble jamais avoir divergée, ce qui tendrait à penser que l'ensemble des rétroactions dont elle est l'objet conduisent à un équilibre. Il serait tout à fait étonnant (mais pas impossible) que le CO2 émis par l'homme conduise pour la première fois à une instabilité (à moins de supposer que le CO2 d'origine anthropique ait des propriétés radicalement différentes).

En gros il faut voir jusqu'à combien l'homme va continuer à perturber le climat c'est à dire comment va évoluer l'augmentation exponentielle de l'émission du CO2 par l'homme, ainsi que l'augmentation de la déforestation, etc et tout ceci pendant combien de temps et à quelle vitesse.

Quand tu dis que l'ensemble des rétroactions dont la Terre est l'objet conduisent à un équilibre. Oui c'est bien le cas mais pourtant l'homme déséquilibre de plus en plus ceci non seulement ceci avec le CO2, mais aussi en chassant divers animaux en voie d'extinction (éléphants,...), avec la déforestation, les incendies causés à 90% par l'homme, la pêche abusive comme le chalut de fond qui détruit tout, ou encore la pollution humaine qui est excessive comme le montre les "iles de déchets" dans les océans, ou les plages de Bali où on ne peut plus mettre les pieds sauf sur des déchets,... la modification de l’atmosphère avec les divers produits émis, dont tout ceci et voir d'autres éléments montrent que l'homme va trop loin sur le bouleversent de notre planète et laisseront sans doute une trace dans l'histoire géologique et climatique de la planète.

 

Modifié par williams
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Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 17 548 messages
Maitre des forums‚
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Il y a 15 heures, colibri33 a dit :

l y en a plein d'autres si vous voulez ...

"Consensus scientifique » n’est pas synonyme de « unanimité ».
:cool:

Ceci dit:
"Il existe bien un consensus scientifique sur l'origine humaine du réchauffement climatique."
https://factuel.afp.com/doc.afp.com.32H29QP

Au passage, précisions sur le terme de "consensus scientifique":
"On construit la connaissance à partir de procédures scientifiques formelles - preuve, contre preuve, expérience - on ne se base pas sur un consensus, on le rejoint ou non une fois qu'on arrive à un résultat.
Le consensus scientifique se dégage ainsi de l'accumulation de connaissances et des études scientifique publiées sur un même sujet.
L'unanimité n'est donc pas requise pour invoquer l'existence d'un consensus, la science ne nécessite pas que tout le monde soit d'accord.
Mais l'existence d'une opinion dissidente ne fait pas tomber tout l'édifice."

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Membre, 79ans Posté(e)
PLOUC89 Membre 924 messages
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Une bonne nouvelle !

«L'affaire la plus importante de l'humanité» : la Cour internationale de justice rend un avis inédit sur l'urgence climatique

Une première historique. Ce mercredi, la Cour internationale de justice (CIJ) rend un avis inédit sur le climat. Pour la première fois, la plus haute juridiction de l’ONU se penche sur la responsabilité juridique des États dans le dérèglement climatique.

Si cette décision n’a pas de valeur contraignante, elle pourrait avoir des conséquences majeures sur les procès climatiques à venir et ouvrir d'autres procès en se basant sur sa jurisprudence.

La CIJ devait répondre à deux questions essentielles. Premièrement, quelles obligations ont les États pour protéger le climat ? Ensuite, quelles seraient les conséquences juridiques s’ils ne respectent pas ces obligations ? 

Une centaine de plaidoiries ont été entendues, venant de pays riches et pauvres, émetteurs ou victimes du changement climatique.

Parmi les nations ciblées : la Chine, l’Inde, les Etats-Unis ou encore la France*, grandes responsables des émissions de gaz à effet de serre…

Historiquement, la CIJ est prudente. Certains de ses juges viennent eux-mêmes de pays fortement émetteurs. Mais quel que soit le ton de l’avis rendu, l’impact symbolique est déjà immense : le climat devient une affaire de droit international.

Par CNEWS Publié le 23/07/2025 à 06:01 - Mis à jour le 24/07/2025 à 10:33

https://www.cnews.fr/monde/2025-07-23/laffaire-la-plus-importante-de-lhumanite-la-cour-internationale-de-justice-rend-un

*ET NON, la France n’est pas le 4ème pays le plus pollueur au monde comme le laisse à penser la façon dont est rédigé l’article de CfakeNEWS mais le 19éme, avec moins de 1%, des émissions de CO².

L’article ne dit pas si les émissions de CO² ou GES générées par les roquettes, les drones militaires kamikazes ou non, les bombes, les missiles les avions de chasse, les bombardiers et autres joyeusetés envoyées par la Fédération de Russie, Israël, l’Ukraine, les belligérants d’en face ou d’ailleurs sont pris en compte dans ces statistiques !

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Membre, 57ans Posté(e)
SpookyTheFirst Membre 3 719 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, PLOUC89 a dit :

Une bonne nouvelle !

«L'affaire la plus importante de l'humanité» : la Cour internationale de justice rend un avis inédit sur l'urgence climatique

 

Une première historique. Ce mercredi, la Cour internationale de justice (CIJ) rend un avis inédit sur le climat. Pour la première fois, la plus haute juridiction de l’ONU se penche sur la responsabilité juridique des États dans le dérèglement climatique.

 

Si cette décision n’a pas de valeur contraignante, elle pourrait avoir des conséquences majeures sur les procès climatiques à venir et ouvrir d'autres procès en se basant sur sa jurisprudence.

 

La CIJ devait répondre à deux questions essentielles. Premièrement, quelles obligations ont les États pour protéger le climat ? Ensuite, quelles seraient les conséquences juridiques s’ils ne respectent pas ces obligations ? 

 

Une centaine de plaidoiries ont été entendues, venant de pays riches et pauvres, émetteurs ou victimes du changement climatique.

 

Parmi les nations ciblées : la Chine, l’Inde, les Etats-Unis ou encore la France*, grandes responsables des émissions de gaz à effet de serre…

 

Historiquement, la CIJ est prudente. Certains de ses juges viennent eux-mêmes de pays fortement émetteurs. Mais quel que soit le ton de l’avis rendu, l’impact symbolique est déjà immense : le climat devient une affaire de droit international.

 

Par CNEWS Publié le 23/07/2025 à 06:01 - Mis à jour le 24/07/2025 à 10:33

 

https://www.cnews.fr/monde/2025-07-23/laffaire-la-plus-importante-de-lhumanite-la-cour-internationale-de-justice-rend-un

 

*ET NON, la France n’est pas le 4ème pays le plus pollueur au monde comme le laisse à penser la façon dont est rédigé l’article de CfakeNEWS mais le 19éme, avec moins de 1%, des émissions de CO².

 

L’article ne dit pas si les émissions de CO² ou GES générées par les roquettes, les drones militaires kamikazes ou non, les bombes, les missiles les avions de chasse, les bombardiers et autres joyeusetés envoyées par la Fédération de Russie, Israël, l’Ukraine, les belligérants d’en face ou d’ailleurs sont pris en compte dans ces statistiques !

 

 

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C’est grandes declarations c’est un peu se battre avec des mots contre des moulins à vent….:D

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