Aller au contenu

Noter ce sujet


Invité JOSEPH DELETRE

Messages recommandés

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 43 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Alors, il faudrait être un arbre: ressentir la terre pour s'élever vers les cieux instinctivement, sans jamais avoir à juger.

Ce qui n'est pas le cas du sujet conscient dont le questionnement perpétuel le force à juger la mort qui lui fait face pour donner une raison, par la raison, à sa propre existence, s'il ne veut devenir inutile à lui-même.

Savoir que nous mourrons donne à coup sûr un recul sur la vie.

Le culte des morts en est un signe.

Mais peut-être faut il juger sa vie, je préfère jauger sa vie plutôt que juger LA mort.

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

L'inconscience étant l'unique reliquat qui soit jamais possible au paroxysme d'un processus d'annihilation, quelle que soit la réalité de départ puisqu'il faudrait tout annihiler jusqu'à soi, alors il faut enfin toujours créer pour être conscient afin de tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi.

Or, la conscience implique de se connaître ce qui n'est pleinement possible qu'en comprenant sa propre condition par la raison.

Ainsi, la mort nous fait face car nous devons perpétuellement en juger, pour toujours faire émerger d'elle, le vivant.

C'est la finalité de l'étant: le fait d'être toujours par soi pour n'avoir d'autre cause que soi.

Le refuser, c'est tout simplement devenir inutile à soi en vertu de notre propre nature.

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 6 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

L'inconscience étant l'unique reliquat qui soit jamais possible au paroxysme d'un processus d'annihilation, quelle que soit la réalité de départ puisqu'il faudrait tout annihiler jusqu'à soi...

 

L’annihilation ne concerne pas que les sujets pensants...

Votre ”réalité de départ”, c’est uniquement le sujet pensant, une petite exception dans la réalité physique 

Par ailleurs, un processus d’annihilation au sens large ne concerne pas qu’un processus d’autodestruction.

Le meurtre, le génocide est un processus d’annihilation dont le meurtrier se tire très bien en toute conscience.

Un véritable processus d’auto destruction motivé par un véritable désir d’autodestruction appelé suicide ne cherche pas un état d’inconscience mais un état de ... mort cérébrale et physique sans conscience, sans inconscience.

J’ai bien peur que votre processus d’annihilation ne concerne qu’une simple expérience de pensée romantique dont la conscience décide du résultat désiré.

Bien sûr la mort élimine la conscience mais l’état de mort ne peut être définie comme un état d’inconscience stricto sensu

Ce n’est pas une simple ”privation de conscience” c’est une Annihilation définitive 

Le paroxysme d’un processus d’annihilation s’appelle donc ..la mort et annihile tout pour soi même en effet

A moins de croire à la préservation de l’âme, matière première des religions 

A moins de croire que soi même n’est qu’un épiphénomène négligeable d’un système qui perdure

Modifié par zenalpha
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Dès lors que nous existions en ayant l'idée du néant, alors la question de la conception du néant se pose.

Nous pouvons l'admettre pour nous reconnaître.

Ou le nier pour nous nier ce qui reviendrait déjà à être inconscient.

Dans ce dernier cas, plus rien ne pourrait être soutenu, pas même le nihilisme qui ne saurait s'affranchir de la vérité du sujet conscient pour mieux la défaire.

 

 

Modifié par JOSEPH DELETRE
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Ou convenir que la réalité n'est pas ce que nous souhaiterions philosophiquement qu'elle soit.

Certaines idées précèdent les découvertes, certaines nous illusionnent.

Il y a eu au cours des 18eme et 19eme siècle ce mouvement louable pour créer expérimentalement le vide le plus vide possible et en definir les caractéristiques 

On sait aujourd'hui que des champs quantique fondamentaux ne peuvent être ôtés, que des myriades de particules virtuelles bouillonnent dans les fluctuations du vide quantique 

"Vide" quantique perçu comme la matrice même de l'univers 

La véritable question des origines n'est pas le néant.

La matière n'est pas en opposition à "rien"

La question du pourquoi y a t'il quelque chose plutôt que rien est une question mal posée non pas philosophiquement bien sûr mais très concrètement 

La logique classique philosophique est clairement un frein à cette recherche de connaissance puisque ce sont les fondements de la logique quantique, du tiers inclu, des propriétés non commutatives, du lien entre physique et mathématiques qui doit être approfondi.

Le langage mathématiques n'est pas là pour faire joli.

C'est un fondement de la physique qui nous retourne un fonctionnement beaucoup plus subtil et beaucoup plus précis que le langage classique.

La nature nous impose de l'humilité 

Si nous n'en saisissons pas les fondements, c'est bien parce qu'ils échappent aux esprits les plus brillants.

Nous en sommes loin

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Il faut donc admettre que nous existons en ayant l'idée du néant, ou non.

Dans le premier cas, la question de la conception du néant s'impose. Il s'ensuit que l'unique chose qui puisse jamais exister, par déduction logique, soit une entité d'annihilation de toute chose présente à elle-même, jusqu'à sa propre inconscience. Si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer paradoxalement afin d'être conscient.

Dans le second cas, rien ne peut plus être soutenu à commencer par l'illusion puisqu'il faut d'abord un sujet conscient pour s'illusionner. En outre, il n'est possible de s'illusionner qu'à partir d'une réalité servant de référence sans quoi l'illusion émergerait à partir du néant. Par conséquent, l'on ne saurait, là encore, s'affranchir d'une réflexion sur la conception du néant à considérer qu'il n'y ait point de réalité.

 

Modifié par JOSEPH DELETRE
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Disons @JOSEPH DELETRE que votre argumentaire vous satisfait 

Est ce le but ? Si oui, vous l’avez atteint dès le départ de ce post.

Mais la question n’est pas tellement de savoir s’il faut s’affranchir d’une réflexion sur notre conception du néant mais à quoi conduit cette réflexion 

Expérimentalement à rien de vérifié.

Conceptuellement à rien non plus, nous avons vu que le néant qui contiendrait des attributs lui permettant de sortir de son état...ne serait pas le néant.

Vous savez, il y a deux manières généralement de considérer une définition 

Soit en lui donnant des caractéristiques précises dites positives qui permettent de qualifier le concept.

Soit en précisant ce qu’est le concept opposé, contraire, ce qui repose sur une logique classique intégrant le tiers exclu et le raisonnement par l’absurde.

L’être renvoie au néant faute de qualifier l’être.

Le néant renvoie à l’être faute de qualifier le néant.

Et de l’un à l’autre à qui de penser l’angoisse comme une passerelle ici pour Heidegger ou encore la nausée pour Sartre.

Je pense d’un point de vue très condescendant de ma part il est vrai qu’on touche alors une philosophie de comptoir dont le but finalement n’est pas de savoir ni comment est le monde ni même de caractériser notre relation d’être pensant au monde mais de se satisfaire de son plaisir à penser 

Sans doute un moyen assurer d’exister, de se sentir vivant.

Mais je lui préfère d’autres manières faisant appel à l’honnête curiosité 

Celle qui frotte ses idées aux expériences et donc qui permet d’en évaluer la pertinence 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

L'expérimentation est caduque en vertu du sentiment qui ne saurait être spatialisé.

Dans le cas contraire, il nous suffirait de synthétiser le bonheur.

Si bien que le seul laboratoire utile soit celui de la pensée pour y mener des expériences au-delà de certaines limites infranchissables posées par la nature.

Et s'il nous est possible de comprendre notre condition à partir du néant, alors la vérité est nécessairement invincible à tous les outrages.

Car celle-ci doit toujours l'emporter in fine si le sujet conscient n'a d'autre raison que de donner une raison, par la raison, à son existence, faisant ainsi du nihilisme, une défaite perpétuelle pour ceux qui auront choisi de se rendre inutiles à eux-mêmes. 

 

Modifié par JOSEPH DELETRE
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 9 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

L'expérimentation est caduque en vertu du sentiment qui ne saurait être spatialisé.

Dans le cas contraire, il nous suffirait de synthétiser le bonheur.

Si bien que le seul laboratoire utile soit celui de la pensée pour y mener des expériences au-delà de certaines limites infranchissables posées par la nature.

Et s'il nous est possible de comprendre notre condition à partir du néant, alors la vérité est nécessairement invincible à tous les outrages.

Car celle-ci doit toujours l'emporter in fine si le sujet conscient n'a d'autre raison que de donner une raison, par la raison, à son existence, faisant ainsi du nihilisme, une défaite perpétuelle pour ceux qui auront choisi de se rendre inutiles à eux-mêmes. 

La raison n’est pas davantage le fondement du sentiment que le "bonheur" ne se synthétise en laboratoire sinon on trouverait rationnellement l’amour...

La raison serait elle caduque à son tour ?

Et le nihilisme n’est pas ce que représentent les sciences expérimentales ni le doute raisonnable.

La pensée est ce ”laboratoire personnel” quasi illimité en imagination romantique et strictement limité en rationalité partagée 

On peut donc imaginer ce que vous pensez et pour preuve puisque vous l’imaginez

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Il faut donc admettre que nous existons en ayant l'idée du néant ou non.

Dans le premier cas, la question de la conception du néant s'impose. Il s'ensuit que l'unique chose qui puisse jamais exister, par déduction logique, soit une entité d'annihilation de toute chose présente à elle-même, jusqu'à sa propre inconscience. Si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer, paradoxalement, afin d'être conscient.

Dans le second cas, plus rien ne pourrait être soutenu, pas même le nihilisme, qui ne saurait s'affranchir d'une vérité préalable à détruire, et sans laquelle il ne serait rien de manière pathétique.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Je pencheraidavantage sur l’idée d’une fracture épistémologique dans le pays.

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Se connaître n'étant pleinement possible qu'en comprenant sa propre condition, alors le sujet conscient ne saurait avoir d'autre raison que de donner une raison à sa propre existence.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 9 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Se connaître n'étant pleinement possible qu'en comprenant sa propre condition, alors le sujet conscient ne saurait avoir d'autre raison que de donner une raison à sa propre existence.

Oui, c'est une quête qui nous réunit.

Ce qui est productif et enrichissant, c'est la démarche elle même 

A savoir que rester ouvert et sans fermer la conclusion donne des fenêtres qui proposent autant d'éclairages permettant d'enrichir le sien.

La dynamique est toujours plus riche qu'une photo floue et fermée.

Le chemin compte davantage que la destination.

Du sens de la vie et de sa vie

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Et si l'inconscience est l'unique reliquat qui soit jamais possible au paroxysme d'un processus d'annihilation, quelle que soit la réalité de départ, alors il nous faut inéluctablement juger de la mort.

C'est la raison pour laquelle elle nous fait face, telle une piqûre de rappel perpétuelle afin de ne pas devenir inutiles à nous-mêmes en sombrant dans l'ataraxie .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 1 minute, JOSEPH DELETRE a dit :

Et si l'inconscience est l'unique reliquat qui soit jamais possible au paroxysme d'un processus d'annihilation, quelle que soit la réalité de départ, alors il nous faut inéluctablement juger de la mort.

C'est la raison pour laquelle elle nous fait face, telle une piqûre de rappel perpétuelle afin de ne pas devenir inutiles à nous-mêmes en sombrant dans l'ataraxie .

Je lui préfère penser la vie car à trop penser les processus d’annihilation, on rate les processus d’accomplissement de la vie

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

L'inconscience ne pouvant être annihilée que par la conscience, il faut donc enfin toujours créer pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, faisant ainsi de l'annihilation le gage inattendu d'une victoire perpétuelle de la vie sur la mort.

Sans quoi, aucune chronologie permettant la vie ne serait possible puisqu'une succession d'instants recèle l'idée d'annihilation de ce qui est présent.

Sans quoi, on ne pourrait que sombrer dans l'arbitraire car la vie relèverait de la contingence pour n'être plus une nécessité en vertu de la nature de ce qui est.

Sans quoi, on ne pourrait que consacrer l'inanité de nos existences dès lors que la compréhension de notre propre condition serait une option au choix.

Sans quoi, on ne pourrait enfin que déprécier la vie en ne l'appréciant pas justement pour ce qu'elle est: l'unique chance qui soit jamais d'être conscient.

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

Dans la pensée existentialiste dans laquelle je t'aurai classé à ta lecture, l'être est contingent.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Dès lors que toute chose existante est sujet du verbe substantif, sans lequel rien ne saurait être défini, alors il ne saurait y avoir de concept plus fondamental qu'être, ce que traduit la récursivité de l'essence de ce qui est.

Il faut donc nécessairement être en premier lieu pour pouvoir exister.

En outre, l'inconscience ne pouvant être annihilée que par antithèse, alors la conscience est toujours une nécessité pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, c'est à dire jusqu'à la mort qui nous fait face, perpétuellement.

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 22 490 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 1 heure, JOSEPH DELETRE a dit :

Il faut donc nécessairement être en premier lieu pour pouvoir exister.

En sens inverse, pour l'existentialisme, l'existence précède l'essence.

Vous êtes ici plutôt inspiré de la métaphysique greque ou de la tradition classique de la philosophie

L'essence comme fondement et comment serait elle un fondement sans concevoir un néant comme étant son opposé

En réalité la définition de l'essence est aussi erronée que celle du néant, rien n'existant en soi sans un cadre relationnel qui lui permet une distinction existentielle 

Toutes ces réflexions tournent en rond en réalité.

Citez moi un homme qui "est" sans exister ou qui "existe" sans être...

Le seul point fondamental que je trouve en fil rouge dans vos discours et sans doute à votre insu est le dualisme, le yin et le yang dans une danse où l'un contient en lui les germes de l'autre.

Une catégorisation binaire qui structure l'opposition de l'être et de l'existence, de la vie et de la mort, du vrai et du faux.

Le bouddhisme l'appelle maya.

Une dualité comme fondement des manifestations phenoménales qui cache l'unité fondamentale 

Vous êtes la victime d'une dichotomie de façade qui ne tient pas la route quand on l'analyse en prenant du recul

Nouveau cadeau pour vous

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

Dès lors que toute chose existante est sujet du verbe substantif, sans lequel rien ne saurait être défini, alors il ne saurait y avoir de concept plus fondamental qu'être, telle que la récursivité de l'essence de ce qui est le démontre, faisant ainsi de l'existence un concept secondaire.

Il faut donc nécessairement être en premier lieu pour pouvoir exister.

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×