Ô-dieu

il y a 55 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Une onde est donc jamais qu'un message issu d'une vérité conceptuelle.

Faisant ainsi du spin, un langage universel qui s'écrit par l'onde que nous lisons ensuite sous forme corpusculaire du fait de notre capacité innée à connaître le vrai: la perception.

La dualité onde-corpuscule est donc un concept erroné qui relève d'une relation de corrélation lorsqu'il faut s'inscrire dans une relation de causalité: un langage d'abord (le spin), des périodes ondulatoires en guise de lettres puis des corpuscules en guise de mots saisis par les sens.

 

Heureusement qu’on est en religion.

En physique c’est 0/20

J’en arrive à pouvoir commenter chaque mot comme le spin qui serait hyper intéressant de définir sans pouvoir commenter la juxtaposition des mots vidés de leur substance 

Mon commentaire le plus approprié serait : stop à la vodka pomme 

La vérité est donc nécessairement toujours antérieure au vrai du fait qu'il lui soit conforme.

il y a 9 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

La vérité est donc nécessairement toujours antérieure au vrai du fait qu'il lui soit conforme.

Si je disais que c’est vrai, on devrait alors conclure que ce que je dis n’est pas la vérité 

Heureusement c’est faux et que ce soit faux est la vérité vraie de la vraie vérité 

Si bien qu'à l'énoncé juste selon lequel l'inconscience est l'unique reliquat possible au paroxysme d'un processus d'annihilation, quelle que soit la réalité de départ, il faille nécessairement qu'un être doué de conscience soit avéré pour tout annihiler jusqu'à sa l'ignorance d'être soi.

il y a 45 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Si bien qu'à l'énoncé juste selon lequel l'inconscience est l'unique reliquat possible au paroxysme d'un processus d'annihilation, quelle que soit la réalité de départ, il faille nécessairement qu'un être doué de conscience soit avéré pour tout annihiler jusqu'à sa l'ignorance d'être soi.

 

Réfléchissez une seconde...

Si on annihiliait l’ignorance d’être soi, on serait obligé de savoir en permanence qui on est et donc l’inconscience ne pourrait être l’unique reliquat...

Conclusion incohérente à la prémisse..

Nous mourrons inéluctablement si bien que l'inconscience soit l'unique reliquat qui soit jamais possible de soi.

Il y a 9 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Nous mourrons inéluctablement...

Non, nous ne mourrons pas tous nécessairement.

La mort de l’âme serait un principe religieux désespérant et aucun précepte ne donnerait les bonnes recettes de cuisine nous attirant comme des mouches.

La religion, c’est d’abord le refus de s’éteindre soi même 

Il y a 14 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Une onde est donc jamais qu'un message issu d'une vérité conceptuelle.

Faisant ainsi du spin, un langage universel qui s'écrit par l'onde que nous lisons ensuite sous forme corpusculaire du fait de notre capacité innée à connaître le vrai: la perception.

La dualité onde-corpuscule est donc un concept erroné qui relève d'une relation de corrélation lorsqu'il faut s'inscrire dans une relation de causalité: un langage d'abord (le spin), des périodes ondulatoires en guise de lettres puis des corpuscules en guise de mots saisis par les sens.

Il a parlé le grand spécialiste de la physique et du spin ! 

Tu es particulièrement doué pour énumérer autant de conneries en si peu de lignes !

Par conséquent, l'inconscience est l'unique reliquat qui soit jamais possible après avoir retiré la nature et s'être naturellement retiré.

Si bien qu'il faille enfin toujours créer pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi.

L'énergie rémanente de l'annihilation entre matière et antimatière en est la démonstration car même à vouloir tout annihiler, il resterait encore quelque chose: ce qui est, inconscient alors.

L'impression du temps qui passe en est la manifestation la plus évidente puisqu'une succession d'instants recèle l'idée d'annihilation de ce qui présent.

La relativité des durées, une autre démonstration qu'il faille tout annihiler jusqu'à la réalité objective.

Et la mort, la preuve ultime qu'il faille tout annihiler jusqu'à soi.

Cependant, le nihilisme a pour bras armé le déni de réalité jusqu'à ce que celle-ci s'impose à soi indubitablement. On ne peut alors que quitter la raison pour vouloir être encore sans raison.

Le bouddhisme rejette tant l'être que le néant.

Puisque le concept de vacuité souvent mal compris tient pour conviction que rien n'existe en soi indépendamment de ses relations, du cadre dans lequel il est défini 

Si on faisait cette hypothèse de pensée que le bouddhisme a raison, que de réflexions philosophiques dans le vent...

Il faut donc admettre que l'on existe en ayant l'idée du néant.

Ou non, en se niant soi pour être sans raison.

Il y a 3 heures, JOSEPH DELETRE a dit :

Il faut donc admettre que l'on existe en ayant l'idée du néant.

Ou non, en se niant soi pour être sans raison.

La raison n’à qu’un moyen d’expliquer ce qui ne vient pas d’elle, ce qui lui échappe, c’est de le réduire au néant.

L’angoisse de néantisation est cette psychose inconsciente comme dernier reliquat d’un processus d’annihilation du moi conscient, prenant le relais de la raison 

Si la mort effraie, la mort fascine

Une analyse montre parfois que l’inconscient qui ne veut y croire est travaillé par un désir de non désir, 

Ainsi, lorsque certains hommes ressentent en mal l’idée de fonder leur sentiment sur la relation à l’autre, leur inconscient entre dans une spirale entre menace d’annihilation et mouvement de néantisation, angoisse face au néant et fascination pour l’anéantissement de soi ou de l’autre.

Se connaître, méditer, le développement personnel sont des introspection légères de recentrage pour approfondir cette ouverture 

L’étantité de l’étant, l’être et le néant, sont une connexion de cette psychose à l’intellect conscientisé 

L’inconscient est peut-être le dernier reliquat mais la psyché est une terra pas si incognita

Concevoir le néant par l'esprit, c'est annihiler toute chose présente à soi, jusqu'à soi, de sorte qu'au terme d'un tel processus, l'inconscience soit jamais que l'unique reliquat possible.

Si bien que pour tout réduire à néant jusqu'à l'ignorance d'être soi, il faille enfin toujours créer, paradoxalement, afin d'être conscient; faisant ainsi de l'annihilation, le gage inattendu d'une victoire perpétuelle de la vie sur la mort, d'un passage de la nature inconsciente au sujet conscient dans une itération sans fin.

Satisfaisons-nous donc que le néant absolu soit impossible du fait que l'inconscience soit irréductible au paroxysme d'un processus d'annihilation de toute chose.

Mais comprenons bien que la raison demeure l'unique moyen de nous rappeler à nous-mêmes lorsque le souvenir finit par être annihilé par l'oubli.

Lorsque le souvenir finit par être annihilé par l’oubli, il,semble pourtant impossible que...la raison...puisse être un moyen de nous... rappeler ..à nous même 

Éventuellement OK si on parle d’incontinence comme petit oubli

Le 27/07/2021 à 08:28, Scénon a dit :

Non, nous ne mourrons pas tous nécessairement.

Ah bon ?

J'ai tenté une timide incursion parce que ce "Ô-dieu" m'a fait sourire...

Quand je me suis risquée à lire le préambule au sujet, j'ai compris. J'ai compris que je pouvais connaître le sens des mots, mais que par une alchimie étrange, organisés ensemble pour former des phrases, cela devenait un langage inconnu de moi, venu d'ailleurs...

Je garde tout de même mon sourire induit pas ce "Ô-dieu", parce que c'est toujours joli un sourire, et je repars sur la pointe des pieds, sans faire de bruit... 

Car comprendre sa comprendre condition, c'est se connaître pleinement, marier enfin la raison au cœur et être capable de se rappeler jamais à sa propre nature.

Le 17/06/2021 à 13:40, Atipique a dit :

Il suffit d'aller lire les arguments des athées dans le fil "Dieu existe-t'il?"

Inutile de tout répéter ici.

Pour faire simple; l'athée considère qu'il n'existe aucune divinité qui soit démontrée, prouvable et donc réelle, point barre... 

Que celui qui aurait des infos intéressantes susceptibles de démentir les athées sur l'existence d'une éventuelle divinité nous en fasse part, par exemple en 2000 ans de christianisme les chrétiens ont quand même eu le temps d'affuter leurs arguments et pourtant ils en sont toujours aux démonstrations surréalistes et aux blablas sans fin.

En effet, dieu ne saurait relever d'une entité transcendante pour être vrai.

Le divin ne peut donc qu'être immanent à soi.

Et s'il est admis que dieu doive créer, alors que pourrait-on envisager de mieux que l'abstraction logique, dont nous jouissons tous, pour le désigner: cette faculté sans laquelle il ne saurait y avoir de nouvel instant du fait qu'une conséquence ne pourrait alors être associée à une cause?