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islamo-gauchisme la trahison du rève européen.

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 806 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
il y a 5 minutes, DroitDeRéponse a dit :

On reprend :

1- @Garlaban indique que l’islamogauchisme sert l’extrême droite et que ce n’est pas pour déplaire aux gauchistes 

2- Tu lui dis non ça favorise surtout l’islamisme 

3- Je te réponds non aussi l’islamophobo droitisme , car je pense qu’effectivement nos terra nova du musulman meskine nouvelle causette prolétarienne à protéger , ça peut finir par rendre l’islam indigeste et favorise l’extrémisme et le report du prolo blanc sur la droite de la droite ( ce n’est pas comme si ça n’avait pas eu lieu par exemple aux US ) . Bref que @Garlaban n’a pas tort .

4- Tu me réponds je fais du Melenchon et il ne faut pas confondre islamiste et musulman . 
 

:crazy:

pour le reste ravi pour toi que la masse des voilées ne soient désormais plus des islamistes pour toi . Sacré pas en avant 

"L'islamophobo-droitisme", comme tu dis, on s'en fout complètement. C'est bien ce que je pensais, tu as pris ta carte à LFI!

(Je préférais encore quand tu faisais la propagande de Macron.:D)

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 1 heure, dede 2b a dit :

Merci as toi, j'espère que beaucoup vont lire cet article!

C’est sûr que quand on a lu Marx sur la question juive .... « Il y a un juif derrière chaque tyran «  ou encore « Ne cherchons pas le secret du juif dans sa religion, mais cherchons le secret de la religion dans le juif réel. Quel est le fond profane du judaïsme? Le besoin pratique, l'intérêt personnel.
Quel est le culte profane du juif ? Le trafic.
Quel est son dieu ? L'argent.
C'est de ses propres entrailles que la société bourgeoise engendre continuellement le juif.
Quel était, en soi et pour soi, le fondement de la religion juive ? Le besoin pratique, l'égoïsme.
Le besoin pratique, l'égoïsme, voilà le principe de la société bourgeoise, et il se manifeste comme tel dans toute sa pureté dès que la société bourgeoise a achevé de mettre au monde l'État politique. Le dieu du besoin pratique et de l'intérêt personnel, c'est l'argent.
L'argent est le dieu jaloux d'Israël, devant qui nul autre dieu ne doit exister. L'argent avilit tous les dieux des hommes: il les transforme en une marchandise. L'argent est la valeur universelle de toutes choses, constituée pour soi-même. C'est pourquoi il a dépouillé le monde entier, le monde des hommes ainsi que la nature, de leur valeur originelle. L'argent, c'est l'essence aliénée du travail et de la vie de l'homme, et cette essence étrangère le domine, et il l'adore.

=============================
Du coup forcément le juif ne peut pas être bolchevique :sleep:

L’extrême droite française est petite bitte à côté du maître sur le sujet 

Modifié par DroitDeRéponse
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Membre, 81ans Posté(e)
dede 2b Membre 27 616 messages
Maitre des forums‚ 81ans‚
Posté(e)
il y a 36 minutes, DroitDeRéponse a dit :

C’est sûr que quand on a lu Marx sur la question juive .... « Il y a un juif derrière chaque tyran «  ou encore « Ne cherchons pas le secret du juif dans sa religion, mais cherchons le secret de la religion dans le juif réel. Quel est le fond profane du judaïsme? Le besoin pratique, l'intérêt personnel.
Quel est le culte profane du juif ? Le trafic.
Quel est son dieu ? L'argent.
C'est de ses propres entrailles que la société bourgeoise engendre continuellement le juif.
Quel était, en soi et pour soi, le fondement de la religion juive ? Le besoin pratique, l'égoïsme.
Le besoin pratique, l'égoïsme, voilà le principe de la société bourgeoise, et il se manifeste comme tel dans toute sa pureté dès que la société bourgeoise a achevé de mettre au monde l'État politique. Le dieu du besoin pratique et de l'intérêt personnel, c'est l'argent.
L'argent est le dieu jaloux d'Israël, devant qui nul autre dieu ne doit exister. L'argent avilit tous les dieux des hommes: il les transforme en une marchandise. L'argent est la valeur universelle de toutes choses, constituée pour soi-même. C'est pourquoi il a dépouillé le monde entier, le monde des hommes ainsi que la nature, de leur valeur originelle. L'argent, c'est l'essence aliénée du travail et de la vie de l'homme, et cette essence étrangère le domine, et il l'adore.

=============================
Du coup forcément le juif ne peut pas être bolchevique :sleep:

L’extrême droite française est petite bitte à côté du maître sur le sujet 

Sauf que il y a une petite nuance le titre n'est pas "La question Juive" mais "Sur la question juive"!

Alors pour ton éducation sur le sujet:

Karl Marx, juif antisémite ?

par Lionel Richard 
 

En 1843, Bruno Bauer, qui venait de perdre son enseignement à l’université de Bonn en raison de ses diatribes antireligieuses, publie deux livres : La Question juive, puis L’Aptitude des juifs et des chrétiens d’aujourd’hui à devenir libres. Il s’y interroge sur les prétentions des juifs d’Allemagne à revendiquer leur émancipation politique.

L’Allemagne, à cette époque, est un conglomérat d’Etats autonomes, différents dans leur législation, et les juifs ne disposent pas des droits civiques sur l’ensemble de son territoire. Ces droits ne leur seront octroyés qu’avec la réalisation de l’unité allemande par Bismarck, en 1871, alors que la France révolutionnaire les leur avait accordés plus de trois quarts de siècle auparavant.

Devant la ségrégation à laquelle sont encore soumis ses compatriotes juifs, quelle est l’attitude de Bauer ? De religion protestante par le baptême et devenu athée, voire anticlérical, il s’efforce de démontrer que les membres des communautés juives, étant donné leurs préceptes religieux, se heurtent à des obstacles pour s’intégrer aux Etats modernes. Et plus particulièrement à ceux où le christianisme, cet ennemi du judaïsme, a été promu religion officielle. Seule possibilité pour s’affranchir, sortir des « barrières de la religion ».

Contre l’argumentation de Bauer, une polémique a été aussitôt engagée par certains intellectuels juifs : Gabriel Riesser, Samuel Hirsch, Gustav Philippson. A son tour, Karl Marx, âgé de 25 ans, promu récemment docteur en philosophie, décide d’intervenir. Il rédige un article qui paraît en février 1844 dans l’unique numéro d’une revue qu’il avait tout juste contribué à fonder à Paris, Deutsch-Französische Jahrbücher. Son titre ? « A propos de la question juive » – et non « La question juive », comme on s’est accoutumé à l’indiquer en France.

Marx connaissait fort bien Bauer, puisque celui-ci, tout en étant de neuf ans son aîné, appartenait comme lui au cercle des disciples critiques de Hegel, les jeunes-hégéliens. En 1841, tous deux avaient écrit en collaboration, s’appuyant sur Hegel et contre sa récupération en Prusse par les bien-pensants, un manifeste anonyme en faveur de l’athéisme. Marx n’avait pas hésité, face aux attaques portées à Bauer en tant qu’enseignant, à le défendre publiquement. S’il rompt cette alliance, c’est qu’il juge indispensable de prendre ses distances avec des théories qu’il ne partage pas.

Dans un opuscule passionnant (1), Jacques Aron examine le point de vue que développe Marx. Celui-ci, contrairement à Bauer, pose en principe que les juifs sont en mesure de s’émanciper sans « se détacher complètement et définitivement du judaïsme ». Il estime, toutefois, qu’il leur faut aussi prendre conscience que l’obtention des droits civiques ne serait qu’un pis-aller s’ils ne se battaient pour une société rejetant l’instauration d’une religion d’Etat, garantissant la liberté religieuse comme un droit imprescriptible du citoyen.

Devant le deuxième livre de Bauer, Marx poursuit sa réflexion sur la nature de l’émancipation qui, selon lui, devrait être obtenue. L’émancipation des juifs, explique-t-il, ne saurait être réduite, comme Bauer le laisse entendre, à « un acte philosophico-théologique ». Qu’est-ce qui, selon lui, conditionne « le juif de tous les jours » ? Pas sa religion, mais des pratiques de vie qui lui ont été imposées, historiquement, par les pouvoirs d’Etat. Ces derniers l’ont enfermé dans « le trafic » et « l’argent », suscitant une caricature sociale du « judaïsme ». Vu la place qui lui est donnée arbitrairement dans la société bourgeoise, le juif ne figure plus que le « judaïsme » de cette société, une « caricature » érigée sous « l’empire de la propriété privée et de l’argent ». Conclusion : « L’émancipation sociale du juif, c’est l’émancipation de la société du judaïsme. »

De l’Histoire de l’antisémitisme de Léon Poliakov, en 1951, au Marx de Jean Ellenstein, en 1981, et à la Géographie de l’espoir de Pierre Birnbaum, en 2004, ces réflexions firent que l’auteur du Capital fut désigné comme « antisémite ». Ce petit-fils de rabbin, fils d’un converti au protestantisme et lui-même baptisé protestant par son père en 1824, se serait empêtré dans la « haine de soi ». Robert Misrahi, dans un Marx et la question juive, en 1972, avait été jusqu’à l’accuser d’avoir écrit « un des ouvrages les plus antisémites du XIXe siècle », où serait même lancé, suggérait-il, un « appel au génocide » (2).

Avec érudition et brillamment, Jacques Aron met au jour les erreurs de perspective et de jugement, les anachronismes et les contresens qui commandent l’interprétation de Misrahi. Attribuer au jeune Marx un antisémitisme de fond relève, montre-t-il, d’un détournement de pensée. Faudrait-il accepter cette falsification parmi les idées maintenant universellement admises ? L’historien Robert Mandrou (3) soulignait déjà en 1968 que les textes de Marx contre Bauer, trop souvent cités malhonnêtement « par les contempteurs du marxisme qui s’apitoient sur le juif antisémite », valaient d’être lus « avec attention et probité ».

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Membre, 52ans Posté(e)
Globure Membre 5 880 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Morfou a dit :

Les communistes se sont servis des juifs, aujourd'hui ils se servent des musulmans...rien de nouveau sous le soleil...

Ca fait plaisir de voir que tu commentes un truc auquel tu n'as rien capté.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 2 heures, Gouderien a dit :

"L'islamophobo-droitisme", comme tu dis, on s'en fout complètement. C'est bien ce que je pensais, tu as pris ta carte à LFI!

Je ne pense pas que Mélenchon désigne par là la capacité de la gauche de la gauche à pousser dans les bras de la droite ultra le prolétaire blanc de la France périphérique 

Il y a 2 heures, Gouderien a dit :

(Je préférais encore quand tu faisais la propagande de Macron.:D)

Ben pour le coup je trouve que Vidal a déconné grave sur la forme et sur le fond . Je trouve l’approche britannique sur la cancel culture plus pertinente . 

il y a une heure, dede 2b a dit :

Sauf que il y a une petite nuance le titre n'est pas "La question Juive" mais "Sur la question juive"!

Alors pour ton éducation sur le sujet:

Karl Marx, juif antisémite ?

par Lionel Richard 
 

En 1843, Bruno Bauer, qui venait de perdre son enseignement à l’université de Bonn en raison de ses diatribes antireligieuses, publie deux livres : La Question juive, puis L’Aptitude des juifs et des chrétiens d’aujourd’hui à devenir libres. Il s’y interroge sur les prétentions des juifs d’Allemagne à revendiquer leur émancipation politique.

L’Allemagne, à cette époque, est un conglomérat d’Etats autonomes, différents dans leur législation, et les juifs ne disposent pas des droits civiques sur l’ensemble de son territoire. Ces droits ne leur seront octroyés qu’avec la réalisation de l’unité allemande par Bismarck, en 1871, alors que la France révolutionnaire les leur avait accordés plus de trois quarts de siècle auparavant.

Devant la ségrégation à laquelle sont encore soumis ses compatriotes juifs, quelle est l’attitude de Bauer ? De religion protestante par le baptême et devenu athée, voire anticlérical, il s’efforce de démontrer que les membres des communautés juives, étant donné leurs préceptes religieux, se heurtent à des obstacles pour s’intégrer aux Etats modernes. Et plus particulièrement à ceux où le christianisme, cet ennemi du judaïsme, a été promu religion officielle. Seule possibilité pour s’affranchir, sortir des « barrières de la religion ».

Contre l’argumentation de Bauer, une polémique a été aussitôt engagée par certains intellectuels juifs : Gabriel Riesser, Samuel Hirsch, Gustav Philippson. A son tour, Karl Marx, âgé de 25 ans, promu récemment docteur en philosophie, décide d’intervenir. Il rédige un article qui paraît en février 1844 dans l’unique numéro d’une revue qu’il avait tout juste contribué à fonder à Paris, Deutsch-Französische Jahrbücher. Son titre ? « A propos de la question juive » – et non « La question juive », comme on s’est accoutumé à l’indiquer en France.

Marx connaissait fort bien Bauer, puisque celui-ci, tout en étant de neuf ans son aîné, appartenait comme lui au cercle des disciples critiques de Hegel, les jeunes-hégéliens. En 1841, tous deux avaient écrit en collaboration, s’appuyant sur Hegel et contre sa récupération en Prusse par les bien-pensants, un manifeste anonyme en faveur de l’athéisme. Marx n’avait pas hésité, face aux attaques portées à Bauer en tant qu’enseignant, à le défendre publiquement. S’il rompt cette alliance, c’est qu’il juge indispensable de prendre ses distances avec des théories qu’il ne partage pas.

Dans un opuscule passionnant (1), Jacques Aron examine le point de vue que développe Marx. Celui-ci, contrairement à Bauer, pose en principe que les juifs sont en mesure de s’émanciper sans « se détacher complètement et définitivement du judaïsme ». Il estime, toutefois, qu’il leur faut aussi prendre conscience que l’obtention des droits civiques ne serait qu’un pis-aller s’ils ne se battaient pour une société rejetant l’instauration d’une religion d’Etat, garantissant la liberté religieuse comme un droit imprescriptible du citoyen.

Devant le deuxième livre de Bauer, Marx poursuit sa réflexion sur la nature de l’émancipation qui, selon lui, devrait être obtenue. L’émancipation des juifs, explique-t-il, ne saurait être réduite, comme Bauer le laisse entendre, à « un acte philosophico-théologique ». Qu’est-ce qui, selon lui, conditionne « le juif de tous les jours » ? Pas sa religion, mais des pratiques de vie qui lui ont été imposées, historiquement, par les pouvoirs d’Etat. Ces derniers l’ont enfermé dans « le trafic » et « l’argent », suscitant une caricature sociale du « judaïsme ». Vu la place qui lui est donnée arbitrairement dans la société bourgeoise, le juif ne figure plus que le « judaïsme » de cette société, une « caricature » érigée sous « l’empire de la propriété privée et de l’argent ». Conclusion : « L’émancipation sociale du juif, c’est l’émancipation de la société du judaïsme. »

De l’Histoire de l’antisémitisme de Léon Poliakov, en 1951, au Marx de Jean Ellenstein, en 1981, et à la Géographie de l’espoir de Pierre Birnbaum, en 2004, ces réflexions firent que l’auteur du Capital fut désigné comme « antisémite ». Ce petit-fils de rabbin, fils d’un converti au protestantisme et lui-même baptisé protestant par son père en 1824, se serait empêtré dans la « haine de soi ». Robert Misrahi, dans un Marx et la question juive, en 1972, avait été jusqu’à l’accuser d’avoir écrit « un des ouvrages les plus antisémites du XIXe siècle », où serait même lancé, suggérait-il, un « appel au génocide » (2).

Avec érudition et brillamment, Jacques Aron met au jour les erreurs de perspective et de jugement, les anachronismes et les contresens qui commandent l’interprétation de Misrahi. Attribuer au jeune Marx un antisémitisme de fond relève, montre-t-il, d’un détournement de pensée. Faudrait-il accepter cette falsification parmi les idées maintenant universellement admises ? L’historien Robert Mandrou (3) soulignait déjà en 1968 que les textes de Marx contre Bauer, trop souvent cités malhonnêtement « par les contempteurs du marxisme qui s’apitoient sur le juif antisémite », valaient d’être lus « avec attention et probité ».

Bauer interprète ce qu’il veut , moi je cite , je n’interpréte pas Marx :

« Il y a un juif derrière chaque tyran «  ou encore « Ne cherchons pas le secret du juif dans sa religion, mais cherchons le secret de la religion dans le juif réel. Quel est le fond profane du judaïsme? Le besoin pratique, l'intérêt personnel.
Quel est le culte profane du juif ? Le trafic.
Quel est son dieu ? L'argent.
C'est de ses propres entrailles que la société bourgeoise engendre continuellement le juif.
Quel était, en soi et pour soi, le fondement de la religion juive ? Le besoin pratique, l'égoïsme.
Le besoin pratique, l'égoïsme, voilà le principe de la société bourgeoise, et il se manifeste comme tel dans toute sa pureté dès que la société bourgeoise a achevé de mettre au monde l'État politique. Le dieu du besoin pratique et de l'intérêt personnel, c'est l'argent.
L'argent est le dieu jaloux d'Israël, devant qui nul autre dieu ne doit exister. L'argent avilit tous les dieux des hommes: il les transforme en une marchandise. L'argent est la valeur universelle de toutes choses, constituée pour soi-même. C'est pourquoi il a dépouillé le monde entier, le monde des hommes ainsi que la nature, de leur valeur originelle. L'argent, c'est l'essence aliénée du travail et de la vie de l'homme, et cette essence étrangère le domine, et il l'adore.

==========================
Par comparaison Gollnisch est un tendre . 

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 806 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
Il y a 11 heures, DroitDeRéponse a dit :

 

Ben pour le coup je trouve que Vidal a déconné grave sur la forme et sur le fond . Je trouve l’approche britannique sur la cancel culture plus pertinente . 

Oui Vidal a déconné... en confiant à des islamo-gauchistes le soin d'enquêter sur l'islamo-gauchisme. Soit elle est naïve, soit elle est idiote.

Je ne veux même pas parler de cette horreur qu'est la "Cancel culture". 

Modifié par Gouderien
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 3 minutes, Gouderien a dit :

Oui Vidal a déconné... en confiant à des islamo-gauchistes le soin d'enquêter sur l'islamo-gauchisme. Soit elle est naïve, soit elle est idiote.

L’islamo gauchisme ça manque de précision mais bon , ça ou le de colonialisme sont des idéologies comme les autres qui doivent avoir voix au chapitre dans une université de pays démocratique. Par contre sa velléité à vouloir exclure toute autre idéologie n’est pas acceptable et ça ça relève de la cancel culture. Raison pour laquelle Vidal a choisi le mauvais axe . Son rôle est de veiller à ce que toutes les idéologies puissent avoir voix au chapitre dès lors qu’elles sont dans le champ universitaire 

il y a 3 minutes, Gouderien a dit :

Je ne veux même pas parler de cette horreur qu'est la "Cancel culture". 

Raison pour laquelle les britanniques en luttant contre , sont eux sur une meilleure voie 

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 806 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
il y a 35 minutes, DroitDeRéponse a dit :

L’islamo gauchisme ça manque de précision mais bon , ça ou le de colonialisme sont des idéologies comme les autres qui doivent avoir voix au chapitre dans une université de pays démocratique. Par contre sa velléité à vouloir exclure toute autre idéologie n’est pas acceptable et ça ça relève de la cancel culture. Raison pour laquelle Vidal a choisi le mauvais axe . Son rôle est de veiller à ce que toutes les idéologies puissent avoir voix au chapitre dès lors qu’elles sont dans le champ universitaire 

 

"Toutes les idéologies"... voilà qui ouvre la porte à toutes les dérives. A-t-on vraiment besoin de professeurs salafistes? Je rappelle que nous sommes en guerre avec l'islamisme.

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Membre, 79ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 826 messages
Mentor‚ 79ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Gouderien a dit :

Oui Vidal a déconné... en confiant à des islamo-gauchistes le soin d'enquêter sur l'islamo-gauchisme. Soit elle est naïve, soit elle est idiote.

Absolument d'accord, on aurait du confier cette enquête à Génération Identitaire. :o°

il y a 29 minutes, Gouderien a dit :

A-t-on vraiment besoin de professeurs salafistes?

Ils sont où les professeurs salafistes ? On veut des noms !

Vous devez les connaitre et avoir toutes les preuves pour les désigner. En plus ils sont sans doute payés par l'État !

Courez les dénoncer, pour sauver le pays.

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 806 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
Il y a 2 heures, bibifricotin a dit :

Absolument d'accord, on aurait du confier cette enquête à Génération Identitaire. :o°

 

Excellente idée!:p

Mais si les gens de GI, comme je l'ai entendu dire, sont des partisans de Soral, je doute qu'ils fassent preuve d'un grand zèle pour faire la chasse aux islamistes.

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Membre, 79ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 826 messages
Mentor‚ 79ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Gouderien a dit :

Excellente idée!:p

Mais si les gens de GI, comme je l'ai entendu dire, sont des partisans de Soral, je doute qu'ils fassent preuve d'un grand zèle pour faire la chasse aux islamistes.

Il ne reste que vous pour les chasser des universités. Il sont faciles à reconnaitre, ils portent une barbe et se déplacent avec un tapis de prière.

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 13 heures, Gouderien a dit :

"Toutes les idéologies"... voilà qui ouvre la porte à toutes les dérives. A-t-on vraiment besoin de professeurs salafistes? Je rappelle que nous sommes en guerre avec l'islamisme.

Nous sommes aussi ou avons été en guerre avec les totalitaires qu’ils soient de gauche ou de droite . Nous n’avons pas pour autant mis à l’index Sartre, Bourdieu, Badiou et tant d’autres penseurs universitaires qui ont ciré les babouches de Castro, pol pot , Staline , Mao et tant d’autres ...

 

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 806 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
Il y a 10 heures, DroitDeRéponse a dit :

Nous sommes aussi ou avons été en guerre avec les totalitaires qu’ils soient de gauche ou de droite . Nous n’avons pas pour autant mis à l’index Sartre, Bourdieu, Badiou et tant d’autres penseurs universitaires qui ont ciré les babouches de Castro, pol pot , Staline , Mao et tant d’autres ...

 

C'était une autre époque. Et il ne me viendrait pas à l'idée de comparer le PCF - puisque c'est à lui que tu fais allusion - aux mouvements islamistes d'aujourd'hui, soutiens et pourvoyeurs du terrorisme.

Il y a 18 heures, bibifricotin a dit :

Il ne reste que vous pour les chasser des universités. Il sont faciles à reconnaitre, ils portent une barbe et se déplacent avec un tapis de prière.

 

Plus jeune, pourquoi pas...:D

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Membre, Posté(e)
voileux Membre 7 613 messages
Mentor‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Gouderien a dit :

C'était une autre époque. Et il ne me viendrait pas à l'idée de comparer le PCF - puisque c'est à lui que tu fais allusion - aux mouvements islamistes d'aujourd'hui, soutiens et pourvoyeurs du terrorisme.

Plus jeune, pourquoi pas...:D

Merci pour l'éclat de rire, que n'ai je pas entendu nombre de fois de telles réflexions (par ma femme) elle qui n'a jamais fait une seule grève , ni participé à aucune manif, pour ma part j'ai commencé en 68, mais cela concrétise un fait je n'ai exercé que dans le privé (hormis 6 mois fonctionnaire) et 21 ans à mon compte

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 7 heures, Gouderien a dit :

C'était une autre époque. Et il ne me viendrait pas à l'idée de comparer le PCF - puisque c'est à lui que tu fais allusion - aux mouvements islamistes d'aujourd'hui, soutiens et pourvoyeurs du terrorisme.

Oui tu as raison l’islamisme fait moins de mort, la comparaison est idiote et puis les soutiens islamogauchistes n’appellent pas à l’élimination de certaines populations contrairement à Sartre et d’autres . La gauche révolutionnaire c’est finalement tout de même assagi en quelques décennies :sleep:

Quant au PCF je ne pensais pas spécialement à lui même si bien que nous n’en sommes pas encore au stade où l’islamogauchisme prétend au bilan globalement positif de daesh . Enfin ceci dit les mairies PCF n’ont elles pas un brin favorisé une vision un brin communautariste à des fins clientélistes dans leur bastion ?

 

Bon notons des efforts , mais le flambeau aurait-il été repris ?

https://www.marianne.net/politique/laicite-abandonnee-accusations-de-clientelisme-indigenisme-en-banlieue-parisienne-les

Laïcité abandonnée, accusations de clientélisme, indigénisme : en banlieue parisienne, les repères républicains brouillés pour les municipales

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Membre, Obsédé textuel, 72ans Posté(e)
Gouderien Membre 34 806 messages
72ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)
Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

Oui tu as raison l’islamisme fait moins de mort, la comparaison est idiote et puis les soutiens islamogauchistes n’appellent pas à l’élimination de certaines populations contrairement à Sartre et d’autres . La gauche révolutionnaire c’est finalement tout de même assagi en quelques décennies :sleep:

Quant au PCF je ne pensais pas spécialement à lui même si bien que nous n’en sommes pas encore au stade où l’islamogauchisme prétend au bilan globalement positif de daesh . Enfin ceci dit les mairies PCF n’ont elles pas un brin favorisé une vision un brin communautariste à des fins clientélistes dans leur bastion ?

 

Bon notons des efforts , mais le flambeau aurait-il été repris ?

https://www.marianne.net/politique/laicite-abandonnee-accusations-de-clientelisme-indigenisme-en-banlieue-parisienne-les

Laïcité abandonnée, accusations de clientélisme, indigénisme : en banlieue parisienne, les repères républicains brouillés pour les municipales

Quand quelqu'un d'aussi intelligent que toi se met à défendre l'islamisme, ça devient grave. Je te mets en "ignoré" - mais rassure-toi, uniquement à titre provisoire, Ha Ha Ha!:dev:

L'indulgence de DDR à l'égard de l'islamisme n'est pas très étonnante, elle est tout à fait caractéristique des lobbies néo-libéraux américains (ou canadiens) pour lesquels j'ai toujours soupçonné qu'il travaillait.

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 958 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 3 heures, Gouderien a dit :

Quand quelqu'un d'aussi intelligent que toi se met à défendre l'islamisme, ça devient grave. Je te mets en "ignoré" - mais rassure-toi, uniquement à titre provisoire, Ha Ha Ha!:dev:

Je ne vois pas en quoi rappeler qu’une partie de la gauche a soutenu bien pire que l’islamisme serait défendre l’islamisme :sleep:

En plus c’est élogieux , quelque part la gauche révolutionnaire s’améliore ....

Il y a 3 heures, Gouderien a dit :

L'indulgence de DDR à l'égard de l'islamisme n'est pas très étonnante, elle est tout à fait caractéristique des lobbies néo-libéraux américains (ou canadiens) pour lesquels j'ai toujours soupçonné qu'il travaillait.

 

Lol . Me voilà passant de l’islamophobie à l’islamophilie : drôle .

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Membre, 81ans Posté(e)
dede 2b Membre 27 616 messages
Maitre des forums‚ 81ans‚
Posté(e)

On attend toujours de Gouderien, la listes des professeurs salafistes ?

Inventerait-il ou mentirait-il sciemment ?

Modifié par dede 2b
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Membre, 52ans Posté(e)
Globure Membre 5 880 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)
Citation

Nous sommes donc sur un terme utilisé pour ostraciser et dénigrer un groupe social particulier tout en en donnant pour l’opinion publique une image anxiogène et associée à un danger imminent. Son utilisation a pour but de polariser l’opinion publique autour de deux camps déclarés incompatibles entre lesquels il faudrait choisir : d’un côté les défenseurs du droit et des valeurs républicaines, de l’autre les traîtres aux valeurs françaises et alliés d’un ennemi sanguinaire. La construction même du terme reflète cette ambition. Dans un pays encore meurtris par les attentats du Bataclan, le préfixe « islamo- » est au mieux négatif voire désigne des personnes dangereuses pour l’ordre public, quant au suffixe « gauchisme », il est une forme péjorative pour désigner en vrac les idéologies de gauche.

https://politoscope.org/2021/02/islamogauchisme-le-piege-de-lalt-right-se-referme-sur-la-macronie/

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