Qui a cassé la France ?

à l’instant, Plouj a dit :

Ces problèmes sont mondiaux et connus des gouvernements en place pourtant...

Ces gens-là ne sont pas inquiets ?

Le calendrier d'une banque a 20 ans de visibilité.

Seul l'Etat peut voir plus loin, parce qu'il est inertiel, infiniment solvable, et éternel.

Monsieur Hollande, par exemple, a mis le paquet sur la petite enfance, sachant que ça compromettrait son bilan.

Le courage, ce n'est pas l'impopularité, le courage c'est l'abnégation, c'est ne pas penser à 2022.

Le quinquennat a restreint l'intervalle temporel du courage politique : à deux ans des élections, on cherche déjà à séduire alors qu'on est à mi-mandat.

La mondialisation crée une synergie heureuse, elle accélère le taux de croissance global.

Mais elle subordonne les nations : ça fait 20 ans que les nations n'écrivent plus l'histoire mais qu'elles la subissent.

Il y a 3 heures, Fraction a dit :

Le système des retraites et la sécurité sociale ont une composante identitaire profonde qui coïncide avec une volonté nationale de justice et même souvent d'équité.

Mais les réformes à venir ne consisteront pas à détruire le modèle.

Elles consisteront plutôt à l'hybrider, à le flexibiliser, ou encore à l'uniformiser.

Privatiser la bobologie, en déremboursant le rhume, étalonner les carrières par une retraite par point, sont autant de mesures certes discutables, mais qui vont dans le sens d'une adaptation nécessaire du modèle Gaullien plutôt que de sa destruction.

L'hybridation public-privé est comparable à la symbiose végétal-champignon du lichen : le lichen résiste à toutes les conditions, et on en retrouve même dans les sommets montagneux.

Je ne sais pas qui peut croire une telle chose, l'horizon indépassable est le modèle americain en déliquescence, privatisation de tout et bien sur aucun versement en cas de maladie vu qu'un malade est trop faible pour se plaindre.

Le but est l'élimination totale et définitive de toute forme de justice ou d'équité. Le comportement anti-social ultime.

L'hybridation n'est pas institutionnelle mais personnelle. Le dirigeant d'Enron qui a volé des milliards est tiré d'affaire par l'état quand des dizaines de milliers de salariés fidèles se font voler leur retraite purement et simplement. C'est ça l'hybridation public-privé, les anciens généraux qui vendent des armes (qui n'ont aucun besoin de marcher) à l'état major. Les Enarques, les pantouflards. 

Les banques qui saisissent les maisons qui ne leur appartiennent pas en raison de dettes réelles ou imaginaires.

L'hybridation est déjà là et c'est le parasitisme de ceux qui sont intouchables, protégés de tout et particulièrement de la justice. Les amis d'Epstein.

C'est un monde fait pour éliminer tout ce qui n'est pas le lichen.

Il y a 3 heures, Mr_Fox a dit :

Je ne sais pas qui peut croire une telle chose, l'horizon indépassable est le modèle americain en déliquescence, privatisation de tout et bien sur aucun versement en cas de maladie vu qu'un malade est trop faible pour se plaindre.

 

Le but est l'élimination totale et définitive de toute forme de justice ou d'équité. Le comportement anti-social ultime.

 

L'hybridation n'est pas institutionnelle mais personnelle. Le dirigeant d'Enron qui a volé des milliards est tiré d'affaire par l'état quand des dizaines de milliers de salariés fidèles se font voler leur retraite purement et simplement. C'est ça l'hybridation public-privé, les anciens généraux qui vendent des armes (qui n'ont aucun besoin de marcher) à l'état major. Les Enarques, les pantouflards. 

Les banques qui saisissent les maisons qui ne leur appartiennent pas en raison de dettes réelles ou imaginaires.

L'hybridation est déjà là et c'est le parasitisme de ceux qui sont intouchables, protégés de tout et particulièrement de la justice. Les amis d'Epstein.

C'est un monde fait pour éliminer tout ce qui n'est pas le lichen.

L'hybridation public-privé offre une combinaison d'intérêts politiques et de nécessité accélératrice.

En temps de crise mondiale, on est heureux d'avoir de nombreux fonctionnaires et un système de revenus sociaux, qui décélèrent la chute.

Et en temps de reprise, on est heureux d'un système capitaliste qui parvient à capter l'accélération environnante par le commerce extérieur.

Sur le plan des caisses publiques, c'est idem.

Quand un français contracte un cancer, il est pris en charge à 100%.

Mais lorsqu'il est seulement enrhumé, est-il pertinent de le prendre en charge, à moins qu'il soit particulièrement défavorisé ?

L'universalité des droits est, en effet, parfois contre-productive tant elle empêche la focalisation vers les intérêts prolétaires pour mieux libérer le budget commun.

Les partenariats public-privé (PPP) ont permis la réalisation de nombreux ouvrages, comme certains stades de football.

Le seul vice systémique, c'est que les caïds du BTP savent négocier, alors que les pucelles de l'exécutif manquent souvent de charisme et d'initiation.

Il y a 6 heures, Mr_Fox a dit :

L'offre politique émerge de la banque d'affaire americaine ou internationale. La trahison est programmée dès l'école par des choses comme les Young Leaders ou simplement les programmes de Science Po et de l'ENA pour reproduire une élite de plus en plus consanguine et de plus en plus pourrie.

En outre les candidats des partis sont sélectionnés par les partis puis par les médias. Ca n'émerge certainement pas du "peuple". Etre sélectionné par Patrick Drahi ne fait pas la légitimité d'un candidat par contre ça fait son élection.

Etant élevés pour l'être, ils le sont.

Evidemment, mais ce n'est pas de ça qu'on parle. Le titre du présent fil est "qui a cassé la France". Il ne s'agit pas de prendre des vacances aux Maldives mais par exemple de détruire consciencieusement et dans des plans de long terme l'industrie, le régime de retraite ou encore le système de soins. C'est de la haute trahison dans le but de détruire la France et son peuple qu'on parle.

 

L'administration fait voeu de créer un ordre et chacun de ses membres fait un voeu individuel secret et contraire. Il en résulte que l'état dans son ensemble trahit la fonction de l'état.

 

Quand tout sera "détruit" que tireront des français ceux qui seraient responsables? j'pige pas l'idée...

Il y a 10 heures, Virtuose_en_carnage a dit :

Vous pouvez paraphraser que ça ne change rien au fait que je ne vois pas le rapport logique qui impliquerait une contradiction entre mes deux phrases

Je vous l'ai démontrée, je ne veux pas recommencer.

Citation

 

. Vous avez des mots et un clavier, deux neurones (c'est le minimum pour être capable de mouvement), vous devriez être en mesure de construire le pont contradictoire qui vous semble si obvious.

La France est en déclin et accueille tout un tas d'étrangers qui donne un maximum pour la France. Vous avez les arguments simplistes d'un mouvement d'extrême droite: c'est la faute aux politiques et aux étrangers.

Vous faites dans la facilité en vous épargnant de la réflexion et un développement d'arguments en vous livrant à des attaques personnelles.

Je pense que lorsque vous dites :

"Les Français eux-même. L’appât du gain facile et être payé à ne rien foutre. Il est temps de se remettre au travail."

vous faites un transfert de votre comportement sur autrui, un peu comme un vieux fonctionnaire oisif en retraite qui projetterait sur d'autres sa vie professionnelle passée.

Il y a 2 heures, Fraction a dit :

Quand un français contracte un cancer, il est pris en charge à 100%.

Si il a une mutuelle.

Les frais qui restent à la charge du malade concernent donc le forfait hospitalier journalier, la chambre particulière, les dépassements d’honoraires pratiqués par certains médecins ainsi que tous les actes ou prestations qui n’entrent pas dans le protocole de soins. Pour toutes ces catégories, il est donc important de se renseigner auprès de sa mutuelle.

Le 15/09/2020 à 18:39, hanss a dit :

J’en arrive même à me demander si ceux qui sont élus peuvent faire ce qu’ils voudraient vraiment faire. 

Il pourraient, mais ce serait la révolution!

il y a 18 minutes, Barbara lebol a dit :

Il y a 2 heures, Fraction a dit :

Quand un français contracte un cancer, il est pris en charge à 100%.

Si il a une mutuelle. 

 

Non, le cancer est pris en charge  100%

Je viens de prouver le contraire.

https://www.lesfurets.com/mutuelle-sante/guide/prise-en-charge-cancer-securite-sociale#:~:text=la Sécurité Sociale %3F-,Comment le cancer est-il pris en charge par la,sécurité sociale et la mutuelle.

Le 16/09/2020 à 19:48, Mr_Fox a dit :

il nous faut une élite pour gouverner mais une élite qui ne confonde pas la nation avec leur tiroir caisse.

Mélenchon ? 

Au lieu de t'en prendre aux élites qui seraient d'après toi corrompues  il faudrait plutôt que les salariés de l'usine de Béthune soient moins cons .... en juin il a eu un vote pour augmenter le temps de travail de deux heures payées alors qu'ils travaillaient 32 heures , pour sauver l'entreprise et pour que la direction modernise l'entreprise avec quelques millions d'Euros au pot .... 

refusé par 60% des ouvriers qui préfèrent  prendre le indemnités de licenciements que les salaires ... 

Il y a 3 heures, Fraction a dit :

L'hybridation public-privé offre une combinaison d'intérêts politiques et de nécessité accélératrice. 

En temps de crise mondiale, on est heureux d'avoir de nombreux fonctionnaires et un système de revenus sociaux, qui décélèrent la chute. 

Et en temps de reprise, on est heureux d'un système capitaliste qui parvient à capter l'accélération environnante par le commerce extérieur. 

 

Sur le plan des caisses publiques, c'est idem. 

Quand un français contracte un cancer, il est pris en charge à 100%.

Mais lorsqu'il est seulement enrhumé, est-il pertinent de le prendre en charge, à moins qu'il soit particulièrement défavorisé ?

L'universalité des droits est, en effet, parfois contre-productive tant elle empêche la focalisation vers les intérêts prolétaires pour mieux libérer le budget commun. 

 

Les partenariats public-privé (PPP) ont permis la réalisation de nombreux ouvrages, comme certains stades de football.

Le seul vice systémique, c'est que les caïds du BTP savent négocier, alors que les pucelles de l'exécutif manquent souvent de charisme et d'initiation. 

La seule hybridation publique/privée est celle des loges, des annuaires de promo et autres sectes. Par définition ça ne peut pas concerner le pays, son système ou sa population puisque c'est un système de caste qui est immunisée à la faillite grâce au vol de l'argent public, immunisée au jugement par les serments d'allégeances et immunisée à la concurrence par la commande publique. Sa vertu est de toujours pouvoir sauver cette caste mais au détriment d'autres castes.

Des gens doivent toujours payer, il ne s'agit donc pas d'un système solidaire mais il doit tuer pour survivre. Et mauvaise nouvelle le parasitisme universel n'est pas une option possible, tout parasite vit aux dépends de son hôte.

Il y a 3 heures, Morfou a dit :

Quand tout sera "détruit" que tireront des français ceux qui seraient responsables? j'pige pas l'idée...

Leur patron leur donnera un susucre et ils iront baiser des putes à Miami jusqu'à la fin de leurs jours.

Il y a 1 heure, Barbara lebol a dit :

Je vous l'ai démontrée, je ne veux pas recommencer.

Vous faites dans la facilité en vous épargnant de la réflexion et un développement d'arguments en vous livrant à des attaques personnelles.

Je pense que lorsque vous dites :

"Les Français eux-même. L’appât du gain facile et être payé à ne rien foutre. Il est temps de se remettre au travail."

vous faites un transfert de votre comportement sur autrui, un peu comme un vieux fonctionnaire oisif en retraite qui projetterait sur d'autres sa vie professionnelle passée.

Vous avez oublié vos pilules pour débloquer autant. Quant à la logique, je vous recommande le Cori et Lascar, livre toujours instructif.

Quant à l'ad hominem, c'est vous qui le faite en supposant ce qu'est ma vie professionnelle et les choix que j'ai effectué.

il y a 2 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

Vous avez oublié vos pilules pour débloquer autant. Quant à la logique, je vous recommande le Cori et Lascar, livre toujours instructif

Ca continue sur le mode pas d'argument uniquement l'attaque personnelle !

il y a 2 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

 

.

Quant à l'ad hominem, c'est vous qui le faite en supposant ce qu'est ma vie professionnelle et les choix que j'ai effectué.

Pas que...

J'explique que vous faites un transfert de votre comportement sur autrui, un peu comme un vieux fonctionnaire oisif en retraite qui projetterait sur d'autres sa vie professionnelle passée.

C'est plus circonstancié que "vous avez 2 neurones"

Décret du 29 avril 1976 : autorisation sous conditions

Après avoir mis fin à l’immigration pour motif économique en juillet 1974, le gouvernement Chirac autorise le regroupement familial sous plusieurs conditions (durée de résidence, ressources, logement, ordre public, santé). Cette décision est actée par un décret du 29 avril 1976 signé notamment par le Premier ministre, Jacques Chirac, et par le ministre du Travail, Michel Durafour^21,22. Les familles algériennes ne bénéficient cependant pas de ce droit au regroupement familial²³.

Décret du 10 novembre 1977 : suspension

Un an plus tard, en pleine augmentation du chômage, le gouvernement Barre suspend pour trois ans l'application du décret du 29 avril 1976 : le regroupement familial est ainsi stoppé, sauf pour « les membres de la famille qui ne demandent pas l'accès au marché de l'emploi »²⁴. Mais ce décret est annulé par le Conseil d’État (voir infra), qui consacre le droit au regroupement familial, le 8 décembre 1978.

Droit positif actuel

Le code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile (CESEDA) précise les dispositions relatives au regroupement familial.

La loi asile et immigration de 2018 étend le regroupement familial aux frères et sœurs des « réfugiés »²⁵.

Jurisprudence du Conseil d'État : décision du 8 décembre 1978

Saisi par le Groupe d'information et de soutien des immigrés (GISTI), le Conseil d'État consacre, dans une décision du 8 décembre 1978, un nouveau principe général du droit : le « droit de mener une vie familiale normale »²⁶. Il annule le décret du 10 novembre 1977 par lequel le gouvernement subordonnait l'entrée des conjoints et enfants de travailleurs immigrés à la promesse que ceux-ci ne tenteraient pas d'y chercher un emploi. Cet arrêt du Conseil d'État marque un revirement de jurisprudence important.

Pour l'universitaire Jean-Louis Harouel, « cet arrêt du Conseil d'État a été l'acte fondateur de la transformation de l'immigration de travail en immigration de colonisation, selon la formule du sociologue Abdelmalek Sayad ». De plus, ce même arrêt eut pour conséquence, toujours selon l'historien du droit, de faire basculer la société française « dans un système de gouvernement des juges » ; le président de la République de l’époque, Valéry Giscard d’Estaing, s'opposait en particulier à cette vision du regroupement familial^27,28.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Regroupement_familial#Droit_européen

Maastricht, l’horizon indépassable de la concurrence libre dans un marché ouvert

Ces évolutions trouvent leur aboutissement dans le traité de Maastricht de 1992. C’est en effet à cette occasion que la concurrence se trouve consacrée, non plus seulement comme instrument pour atteindre les objectifs de l’Union, mais comme horizon indépassable de la politique économique. C’est aussi le traité de Maastricht qui pose les bases de la constitutionnalisation des politiques économiques.

Encadré n°4 : Traité de Maastricht 1992 (extraits)

(…)4) L’article suivant est inséré :

« Article 3 A 1. Aux fins énoncées à l’article 2, l’action des États membres et de la Communauté comporte, dans les conditions et selon les rythmes prévus par le présent traité, l’instauration d’une politique économique fondée sur l’étroite coordination des politiques économiques des États membres, sur le marché intérieur et sur la définition d’objectifs communs, et conduite conformément au respect du principe d’une économie de marché ouverte où la concurrence est libre.

Le traité ajoute en premier lieu un article 3A qui comporte la phrase selon laquelle la politique économique est « conduite conformément au respect du principe d’une économie de marché ouverte ou la concurrence est libre ».

[...]

En second lieu, la fonction de la concurrence est également modifiée.

D’une part compte tenu de la rédaction du texte, le respect de la libre concurrence est un objectif qui s’impose aux Etats, alors qu’auparavant la politique de la concurrence visait principalement les entreprises. Autrement dit, alors qu’auparavant deux ordres également légitimes pouvaient coexister dans l’Union, l’ordre marchand (domaine des entreprises) et celui du non marchand (domaine des administrations), dorénavant l’ordre concurrentiel devient la référence prédominante. D’autre part la notion de concurrence « libre » (free competition) supplante celle de concurrence non faussée (fair competition) [4]. Le glissement de sens est révélateur : la concurrence n’est certes jamais totalement libre, mais la nouvelle expression lui accorde explicitement une plus grande plénitude. En éclipsant la référence à la loyauté, elle écarte aussi la possibilité d’attribuer un contenu moral ou social à la concurrence. Au total, on remarque que si la concurrence gagne en autonomie, l’action de l’Etat est parallèlement plus encadrée.

Finalement, le traité constitue la concurrence libre comme un droit supérieur fondateur d’un ordre concurrentiel dans l’UE.

http://www.opee.unistra.fr/?7-Les-metamorphoses-du-statut-de

La perte de souveraineté financière des Etats

Au cours des trente dernières années, les banques ont été décloisonnées afin qu’elles puissent intervenir sur tous les marchés. Parallèlement, les produits financiers sont devenus de plus en plus sophistiqués et, parfois, opaques. On peut désormais spéculer sur la probabilité de défaut d’un Etat grâce à l’utilisation des CDS (Credit default swap). A titre d’exemple, la France a détricoté en trois grandes étapes son système mis en place en 1945 au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale : une loi de 1973 sur l’évolution des missions de la Banque de France ; la loi bancaire de 1984 uniformisant le statut des banques ; la loi de 1993 fixant les nouveaux statuts de la Banque de France afin de les rendre compatibles avec la mise en place de l’euro.

http://opee.u-strasbg.fr/spip.php?article289

https://metropolitiques.eu/La-decroissance-urbaine-en-France.html

https://www.monde-diplomatique.fr/2018/05/DUMAY/58634

https://metropolitiques.eu/Action-coeur-de-Ville-une-reponse-en-trompe-l-oeil-a-la-crise-des-villes.html

https://www.lemonde.fr/blog/transports/2019/03/04/villes-moyennes-toujours-plus-mal/

Entre autres sujets.

il y a 3 minutes, Barbara lebol a dit :

Ca continue sur le mode pas d'argument uniquement l'attaque personnelle !

Pas que...

J'explique que vous faites un transfert de votre comportement sur autrui, un peu comme un vieux fonctionnaire oisif en retraite qui projetterait sur d'autres sa vie professionnelle passée.

C'est plus circonstancié que "vous avez 2 neurones"

J'ai dit au moins 2 neurones. Comme quoi vous avez vraiment un problème avec le formalisme et la logique. Je ne peux que réitérer ma proposition de lecture du Cori et Lascar. 

il y a 4 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

J'ai dit au moins 2 neurones. Comme quoi vous avez vraiment un problème avec le formalisme et la logique. Je ne peux que réitérer ma proposition de lecture du Cori et Lascar. 

Vous devriez laisser reposer votre neurone car vous vous embourbez dans le HS.

Ma position sur le sujet (qui..?) est : L'union européenne d'abord.

L'UE fait office de courroie de transmission entre la corruption majeure des USA et la France. Nos dirigeants nous vendent (pas cher) aux USA et à la Chine.

Depuis Mitterrand, et Maastricht, les gens "de gauche" se sont sentis obligés d'être européïstes et mondialistes. (Vieil erzatz de l'internationale...)

L'UE a éliminé la démocratie de la gouvernance française et l'a remplacé par la haute ploutocratie, qui est une féodalité. Ce n'est plus du libéralisme, mais de l'ultralibéralisme : Pas d'entreprise, de la finance. Hélas, le consommateur n'a plus aucune valeur. (Les confinements le démontrent.)

L'UE et son cortège de lobbys dirige la France dans la plus grande opacité par les GOPE (grandes orientations de politique économique). Nos media vivent sans journalistes : une poignée d'éditorialistes répétant les nouvelles de l'AFP. Leur rédaction est aux ordres des propriétaires (tous milliardaires) pour faire élire le choix des ploutocrates et endoctriner le peuple en pompant ses impôts. Les parlementaires ne sont élus que s'ils sont compatibles avec les ploutocrates, comme le montre la stupéfiante passivité et l'accord de tous les députés et à peu près tous les sénateurs à chaque "réforme" antidémocratique, anticonstitutionnelle et contreproductive.

La politique économique est simple : Socialiser les pertes en privatisant les gains et les acquis.

La justice n'est plus indépendante non plus : c'est une dictature accomplie.

Nous sommes arrivés au bout de l'illusion démocratique. La "bète de l'évènement" est arrivée.

Le 15/09/2020 à 18:03, hell-spawn a dit :

Pratiquement plus d'industries, plus d'armée, un niveau scolaire affligeant, s'il y a des responsables, qui sont-ils ?

Les vieux .

il y a 4 minutes, elbaid a dit :

Les vieux .

Pas les vieux / pas les jeunes.

Pas les noirs / pas les blancs.

Pas les masquophobes / pas les masquophobophobes.

Pas les homosexuels ./ pas les hétérosexuels.

Pas les homme / pas les femmes.

Pas les musulmans / pas les juifs.

Pas les pauvres / pas les riches.

Les cons ... un peu.

PS : Le temps ne fait rien à l'affaire.

Pas la gauche / pas la droite

Il y a 2 heures, Solatges a dit :

Pas les vieux / pas les jeunes.

Pas les noirs / pas les blancs.

Pas les masquophobes / pas les masquophobophobes.

Pas les homosexuels ./ pas les hétérosexuels.

Pas les homme / pas les femmes.

Pas les musulmans / pas les juifs.

Pas les pauvres / pas les riches.

Les cons ... un peu.

 

 

PS : Le temps ne fait rien à l'affaire.

Pas la gauche / pas la droite

Il ne reste qu'une personne du coup... toi !

à l’instant, Plouj a dit :

toi

Et toi ?

Non, j'ai été un peu plus précis deux posts avant.