Bis repetita...

Il y a 4 heures, Sittelle a dit :

Les ennuis çà compte ?

Pourquoi pas, ce sont des jouets comme d'autres.

Le 03/08/2020 à 14:04, Blaquière a dit :

Bis repetita placent.

Je pensais à ça, hier : "Bis répétita placent"...

 On aime quand les choses se répètent. Mais qui aime ? Je constate : surtout les animaux... ET LES ENFANTS ! 

Ils aiment les rituels.

(Nous, enfin moi et peut-être vous, "bis répétita..." ça me gave un peu.! C'est pas qu'il me faille du neuf en permanence, ce serait autant ridicule, mais quand c'est toujours téléphoné et qu'on voit les choses venir de loin, ça me fatigue un peu...)

J'imagine que c'est rassurant. Les choses arrivent comme on sait à l'avance qu'elles vont arriver.

Quand on raconte à un petit une histoire qu'il connaît, il attend la suite avec gourmandise. une suite qu'il connaît...

"Bis repetita...", c'est l'esprit au repos qui laisse toute la place au désir, au plaisir, à la jouissance retardée... l'attende du plaisir.

Il y a peut-être deux formes de "mentalités" : les "bis repetita placent" et les "bis repetita ... gavent"!...

Qui est qui ?

Bonjour,

Vous dites préférer l’aventure à la routine.

Ce que je ne comprends pas, c’est votre corrélation avec l’âge mental.

Intuitivement, j’aurais même plutôt dit le contraire, j’aurais anti-corrélé.

L’aventure c’est excitant.

Se jeter à corps perdu dans un pays étranger est riche d’enseignements, de magie, d’osmose, et de souvenirs.

Cette magie osmotique a même été ritualisée par le tour de France initiatique des francs-maçons.

Le problème, c’est que si les constantes sont divines, les variables sont souvent diaboliques.

Rationnellement, cela relève du probabilisme événementiel, l’essence même de l’accidentologie,

jusqu’au paroxysme de l’emmerdement maximum (loi de Murphy).

On retrouve également ce probabilisme dans le formalisme : « le silence est d’or, la parole est d’argent. »

Certains pays comme la Suisse ou le Danemark ont aboli l’histoire, et ma foi, ils ne s’en portent que mieux.

Reconnaissons que selon toute vraisemblance, c’est la schizophrénie qui en tient la plume.

Cordialement, Fraction

Le 03/08/2020 à 16:14, Blaquière a dit :

Oui ! J'imagine bien le cerveau (son fonctionnement) comme un calque. Quand une nouvelle image correspond à celle en mémoire, ça doit produire une sorte de réjouissance... "Tout est bien !"

Non ça renforce ton catalogue des possibles .. et lorsque cette image repétée est régulièrement  repérée elle devient une te tes fondations .. 

Elle te permet d'évoluer ..

Il y a 4 heures, Sittelle a dit :

Non ça renforce ton catalogue des possibles .. et lorsque cette image repétée est régulièrement  repérée elle devient une te tes fondations .. 

Elle te permet d'évoluer ..

Oui et non !

Si on se réjouit du 'toujours pareil" bien sûr ça forme une fondation, mais on peut aussi bien en rester là qu'aller chercher ailleurs à partir de cette base solide. C'est un autre "programme" qui s’enclenche ou pas.

J'ai vu des gens qui se complaisaient tout-à-fait dans la routine. Ça me semblait presque une caricature de comportement mais c'était flagrant. Le plaisir , la jouissance évidente du "tout est là", "tout est à sa place", "tout est prévu", "rien ne dépasse" !

Un personnage, un copain  à l'armée auquel je devais succéder et qui me mettait au courant. J'étais tellement "admiratif" de ce comportement inimaginable pour moi, que je l'ai noté ! une des toutes premières fois que j'ai eu envie d'écrire... c'était comme un personnage de roman, un caractère bien circonscrit ! un vrai personnage  à la La Bruyère!

il y a 43 minutes, Blaquière a dit :

Oui et non !

Si on se réjouit du 'toujours pareil" bien sûr ça forme une fondation, mais on peut aussi bien en rester là qu'aller chercher ailleurs à partir de cette base solide. C'est un autre "programme" qui s’enclenche ou pas.

J'ai vu des gens qui se complaisaient tout-à-fait dans la routine. Ça me semblait presque une caricature de comportement mais c'était flagrant. Le plaisir , la jouissance évidente du "tout est là", "tout est à sa place", "tout est prévu", "rien ne dépasse" !

Un personnage, un copain  à l'armée auquel je devais succéder et qui me mettait au courant. J'étais tellement "admiratif" de ce comportement inimaginable pour moi, que je l'ai noté ! une des toutes premières fois que j'ai eu envie d'écrire... c'était comme un personnage de roman, un caractère bien circonscrit ! un vrai personnage  à la La Bruyère!

Alors franchement les routines routinière des gens que tu décrit sont effectivement très étouffantes pour bezucoup y comprit pour moi ..

Celles dont je te parle et qui participe au catalogue des événements qui sont les fondations sont celles qui développe le cerveau. Les routine offrent un environrment d'une manière tellement sécure qu'elles vont lui permettre d'explorer le monde, d'appréhender  la nouveauté avec la certitude de pouvoir retrouver une zone de confort ..

Sans cela il devient impensable D'oser ..

il y a 15 minutes, Sittelle a dit :

Alors franchement les routines routinière des gens que tu décrit sont effectivement très étouffantes pour bezucoup y comprit pour moi ..

Celles dont je te parle et qui participe au catalogue des événements qui sont les fondations sont celles qui développe le cerveau. Les routine offrent un environrment d'une manière tellement sécure qu'elles vont lui permettre d'explorer le monde, d'appréhender  la nouveauté avec la certitude de pouvoir retrouver une zone de confort ..

Sans cela il devient impensable D'oser ..

Tout-à-fait d'accord.

Pour la zone de confort

Qui permet d'appliquer ses efforts

En dehors !