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Les pères auraient une utilité?

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MarcThor

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Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 099 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
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il y a 2 minutes, MarcThor a dit :

Dés que tu m'auras expliqué comment un ami de mes parents a fait pour élever seul son fils et sa fille, une fois que sa femme est partie vivre loin avec son ancien amant,qui ont eu une enfance heureuse et sont désormais des adultes formidables, heureux, intégrés socialement...Et pour autant y a-t-il une interrogation sur l'utilité d'une mère?Doit-on faire une étude pour savoir si une mère peut-être utile?

disons qu'elle est plus utile qu'un père dans le sens biologique... ne le crois-tu pas? as-tu déjà vu un mâle humain enceinte? je t'ai répondu par cela pour te montrer que finalement chaque cas est particulier et que  n'importe quel empêchement ne nuit pas forcément à la descendance. 

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Membre, 49ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 49ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, jacky29 a dit :

disons qu'elle est plus utile qu'un père dans le sens biologique... ne le crois-tu pas? as-tu déjà vu un mâle humain enceinte? je t'ai répondu par cela pour te montrer que finalement chaque cas est particulier et que  n'importe quel empêchement ne nuit pas forcément à la descendance. 

Je vais te répondre sur le même mode: as-tu vu une femme enfanter par parthénogenèse (en dehors de la vierge Marie?!)...donc en ce sens non ,je ne crois pas que la mère est plus utile que le père dans le sens biologique...Et quand bien même si cela était, en quoi cela justifierait que lors de la vie(après la naissance) de l'enfant , de son éducation, une inégalité entre père et mère?...Là, tu auras compris, on ne parle pas de biologie mais d'éducation...Oui, n'importe quel empêchement ne nuit pas forcément à la descendance , notamment le fait ne pas avoir de mère, comme dans l'exemple que je t'ai cité...encore une fois, pour autant , s'interroge-t-on sur l'utilité d'une mère?Fait-on une étude pour l'attester?Fait-on une loi pour qu' un homme puisse être père seul (ou couple d'hommes)(GPA altruiste gratuite comme on  vote la PMA pour toutes et gratuite)?

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Membre, 39ans Posté(e)
Tamar Hanna Membre 271 messages
Forumeur en herbe ‚ 39ans‚
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Il y a 14 heures, Loufiat a dit :

Quelle est la différence ? Apprendre à contrôler ses émotions, c'est apprendre à les vivre non ? L'autre alternative, c'est de forcer.

Contrôle-t-on véritablement quelque chose? Comment apprendre à des mômes à contrôler des émotions qu'on ne sait pas nous-même contrôler? Ce qui se passe en société n'est pas du contrôle, c'est du rejet, du mépris pour l'émotion. L'émotion est un mécanisme de défense, d'auto-protection. L'enfant qu'on empêche de pleurer ou qu'on veut consoler à tout prix n'apprend pas à vivre son émotion, et il ne saura jamais comment résoudre la pression accumulée et qui s'est exprimée par l'émotion. Il pensera que l'émotion est un danger parce qu'on ne lui a jamais laissé vivre son émotion. L'émotion sera donc assimilée comme handicapante et mal vue en société. De ce mal-entendu naîtra toute sorte de problèmes répétitifs qui marqueront l'individu plus ou moins selon le contexte. L'émotion bloquée n'est pas résolue, et le problème est reporté. Les émotions bloquées se reportent et s'accumulent années sur année et de génération en génération.

Comment pouvez-vous forcer une émotion?

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Membre, 39ans Posté(e)
Tamar Hanna Membre 271 messages
Forumeur en herbe ‚ 39ans‚
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Il y a 2 heures, MarcThor a dit :

as-tu vu une femme enfanter par parthénogenèse

Ce n'est pas parce que vous ne l'avez jamais vu que ça n'existe pas. Votre argument n'en est pas un. Renseignez-vous car il y a eu un cas scientifique de parthénogenèse.

Il y a 2 heures, MarcThor a dit :

s'interroge-t-on sur l'utilité d'une mère?Fait-on une étude pour l'attester?

Vous parlez comme si vous connaissiez toutes les études et tous les questionnements possibles! Qu'est-ce qui vous permet de penser que personne ne s'interroge sur l'utilité d'une mère?

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Membre, 39ans Posté(e)
Tamar Hanna Membre 271 messages
Forumeur en herbe ‚ 39ans‚
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Il y a 15 heures, DroitDeRéponse a dit :

 

Quelles sont les cultures non nombrilistes ?

Des noms, on veut des noms!

Celles qui font le moins parler d'elle.

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Membre, 49ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 49ans‚
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il y a 1 minute, Tamar Hanna a dit :

Ce n'est pas parce que vous ne l'avez jamais vu que ça n'existe pas. Votre argument n'en est pas un. Renseignez-vous car il y a eu un cas scientifique de parthénogenèse.

Vous parlez comme si vous connaissiez toutes les études et tous les questionnements possibles! Qu'est-ce qui vous permet de penser que personne ne s'interroge sur l'utilité d'une mère?

"Ce n'est pas parce que vous ne l'avez jamais vu que ça n'existe pas. Votre argument n'en est pas un. Renseignez-vous car il y a eu un cas scientifique de parthénogenèse."

Et? Que cela apporte-t-il au débat, qui, il ne vous l'aura pas échappé, est à propos de l'égalité père-mère, notamment à notre époque dans laquelle le féminisme radical lutte pour l'amoindrissement voire la disparition du rôle du père...Biologiquement, des cas particuliers peuvent exister; par exemple, parfois, c'est l'ADN mitochondrial du père qui est transmis à l'enfant.  Quel rapport avec le'utilité du rôle d'un père, d'une mère dans l'éducation?On s'écarte du sujet,non?

"Vous parlez comme si vous connaissiez toutes les études et tous les questionnements possibles! Qu'est-ce qui vous permet de penser que personne ne s'interroge sur l'utilité d'une mère?"

Montrez-les nous...

 

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Membre, 39ans Posté(e)
Tamar Hanna Membre 271 messages
Forumeur en herbe ‚ 39ans‚
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il y a 1 minute, MarcThor a dit :

Et? Que cela apporte-t-il au débat, qui, il ne vous l'aura pas échappé, est à propos de l'égalité père-mère, notamment à notre époque dans laquelle le féminisme radical lutte pour l'amoindrissement voire la disparition du rôle du père...Biologiquement, des cas particuliers peuvent exister; par exemple, parfois, c'est l'ADN mitochondrial du père qui est transmis à l'enfant.  Quel rapport avec le'utilité du rôle d'un père, d'une mère dans l'éducation?On s'écarte du sujet,non?

C'est vous qui avez parlé de parthénogenèse...

il y a 2 minutes, MarcThor a dit :

Montrez-les nous...

Que je vous montre que des personnes s'interrogent? Vous entrevoyez l'incongruité de vos propos?

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Membre, 49ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 49ans‚
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il y a 1 minute, Tamar Hanna a dit :

C'est vous qui avez parlé de parthénogenèse...

Que je vous montre que des personnes s'interrogent? Vous entrevoyez l'incongruité de vos propos?

"C'est vous qui avez parlé de parthénogenèse..."

En fait,je répondais à une question(sans rapport direct avec le sujet)...mais vous avez raison,j'aurais peut-être mieux fait d'éviter, cela éloigne du sujet:l'évidente utilité d'un père pour l'éducation, malgré  toute la propagande féministe radicale.

"Que je vous montre que des personnes s'interrogent? Vous entrevoyez l'incongruité de vos propos?"

C'est vous qui en parliez...Encore une fois, ce n'est pas le propos: le féminisme radical s'attaque à la présence du père dans l'éducation, pas à celui de la mère...Ce n'est donc pas le sujet, désolé.

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Membre, 39ans Posté(e)
Tamar Hanna Membre 271 messages
Forumeur en herbe ‚ 39ans‚
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il y a 31 minutes, MarcThor a dit :

C'est vous qui en parliez...Encore une fois, ce n'est pas le propos: le féminisme radical s'attaque à la présence du père dans l'éducation, pas à celui de la mère...Ce n'est donc pas le sujet, désolé.

Le sujet parle du l'utilité du père pour l'enfant (les pères auraient une utilité)...je n'y ai rien vu qui parlait du "féminisme radical s'attaquant à la présence du père dans l'éducation..."

Mais je vois bien que vous avez la haine du féminisme radical. Votre haine contribue à la faire vivre et lui donne raison. Le désintérêt de tout un chacun pour le féminisme radical, à commencer par soi-même, contribuera à faire disparaître ce même radicalisme.

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Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 099 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
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Il y a 3 heures, MarcThor a dit :

Je vais te répondre sur le même mode: as-tu vu une femme enfanter par parthénogenèse (en dehors de la vierge Marie?!)...donc en ce sens non ,je ne crois pas que la mère est plus utile que le père dans le sens biologique...Et quand bien même si cela était, en quoi cela justifierait que lors de la vie(après la naissance) de l'enfant , de son éducation, une inégalité entre père et mère?...Là, tu auras compris, on ne parle pas de biologie mais d'éducation...Oui, n'importe quel empêchement ne nuit pas forcément à la descendance , notamment le fait ne pas avoir de mère, comme dans l'exemple que je t'ai cité...encore une fois, pour autant , s'interroge-t-on sur l'utilité d'une mère?Fait-on une étude pour l'attester?Fait-on une loi pour qu' un homme puisse être père seul (ou couple d'hommes)(GPA altruiste gratuite comme on  vote la PMA pour toutes et gratuite)?

marc, si Marie avait enfanté par parthénogenèse, cela aurait été son propre clone donc jésus aurait été un bébé fille, très certainement mignonne comme tout et elle n'aurait pas connu cette fin atroce.  

si l'embryon est ôté du placenta, il meurt... donc la mère est nécessaire car sans elle, pas de bébé possible! :p! petite aparté, je suis contre les PMA et les gestations pour autrui. ne pas être parent ne met aucunement l'espèce en danger. rires!  

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Membre, 49ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 49ans‚
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Il y a 1 heure, Tamar Hanna a dit :

Le sujet parle du l'utilité du père pour l'enfant (les pères auraient une utilité)...je n'y ai rien vu qui parlait du "féminisme radical s'attaquant à la présence du père dans l'éducation..."

Mais je vois bien que vous avez la haine du féminisme radical. Votre haine contribue à la faire vivre et lui donne raison. Le désintérêt de tout un chacun pour le féminisme radical, à commencer par soi-même, contribuera à faire disparaître ce même radicalisme.

"Le sujet parle du l'utilité du père pour l'enfant (les pères auraient une utilité)...je n'y ai rien vu qui parlait du "féminisme radical s'attaquant à la présence du père dans l'éducation..."

 

Oui, vous avez raison ,je me suis mal exprimé. Le sujet est indiqué est bien à propos de l'utilité des pères mais, en le créant et avec le "?", je voulais souligner l'incongruité de la question. Et cette question se pose de nos jours à cause du travail de discrétisation du féminisme radical...

"Mais je vois bien que vous avez la haine du féminisme radical. Votre haine contribue à la faire vivre et lui donne raison. Le désintérêt de tout un chacun pour le féminisme radical, à commencer par soi-même, contribuera à faire disparaître ce même radicalisme."

 

Oui, le féminisme radical n'est pas "ma tasse de thé, vous l'avez bien compris !...Juste s'en désintéresser suffirait sinon à le faire disparaître tout au moins à éviter qu'il ne soit nuisible d'après vous???J'aimerais sincèrement que cela soit aussi simple...Il est puissant médiatiquement, financièrement...et si ce n'était que cela mais il est aux commandes de l'évolution sociétale ( M SCIAPPA et les asso noustoutes osezlefeminisme etc)et  il a ses réussites politiques déjà: empêchement de l'adoption en 2017 de la loi pour une moindre iniquité en JAF , adoption d'une loi PMA pour toutes/GPA pour aucun , négation totale au Grenelle des 149000 hommes battus(ONDRP° avec 0 centre d'accueil, 0 centre d'éloignement pour les épouses-bourreaux, 0 centre d'appel téléphonique) etc

Derrière leur réussite phare: l'apartheid "PMA pour toutes remboursée par la sécu/ GPA pour aucun (avec en amont réforme des subventions pour parents isolés) , on voit leur dessein s'accomplir( non pas en quelques mois mais sur une génération ou plus...) d'une société ultra matriarcale dans laquelle l'homme n'a progressivement la possibilité que d’être "donneur de gamètes"(pour être au moins un ersatz de père), beau père en CDI en attendant d’être remplacé par l'amant suivant-nouveau beau père et, évidemment, contributeur d'argent directement ou indirectement (il faut bien payer ces allocations, ces PMA remboursées etc) donc leur Graal: la disparition progressive du père en tant que l'un des deux parents  éducateurs "à part égale" de leur enfant...

Evidemment, cela aurait pu être différent: on aurait pu tenir compte du cas des couples homosexuels des deux genres en facilitant et promouvant l'adoption pour eux, en autorisant la PMA pour les couples lesbiens et les GPA altruistes pour les couples Gays (et une entraide entre eux et elles),on aurait pu tenir compte de la nulliparité subie et ainsi avancer vers un dispositif similaire pour les femmes seules et hommes seuls d'un certain age restés sans enfant et souhaitant ardemment être parent...cela aurait été tout à fait différent: on aurait traité des problèmes concrets humains sans distinction de genre avec entraide entre les genres .

...Mais non, pour ces féministes au pouvoir, le but est ailleurs: la domestication progressive d'un genre par un autre...

(Si vous avez une autre analyse du pourquoi  des lois PMA pour toutes remboursée par la sécu- augmentation de 30 pour 100 des allocations "parent isolé"/GPA pour aucun , je vous lirai avec attention)

Donc,désolé mais non!...Juste attendre et laisser faire et dire ne l' empêche pas d’être nuisible à la société.

 

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Membre, 33ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 277 messages
Mentor‚ 33ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, Tamar Hanna a dit :

Contrôle-t-on véritablement quelque chose? Comment apprendre à des mômes à contrôler des émotions qu'on ne sait pas nous-même contrôler? Ce qui se passe en société n'est pas du contrôle, c'est du rejet, du mépris pour l'émotion. L'émotion est un mécanisme de défense, d'auto-protection. L'enfant qu'on empêche de pleurer ou qu'on veut consoler à tout prix n'apprend pas à vivre son émotion, et il ne saura jamais comment résoudre la pression accumulée et qui s'est exprimée par l'émotion. Il pensera que l'émotion est un danger parce qu'on ne lui a jamais laissé vivre son émotion. L'émotion sera donc assimilée comme handicapante et mal vue en société. De ce mal-entendu naîtra toute sorte de problèmes répétitifs qui marqueront l'individu plus ou moins selon le contexte. L'émotion bloquée n'est pas résolue, et le problème est reporté. Les émotions bloquées se reportent et s'accumulent années sur année et de génération en génération.

Comment pouvez-vous forcer une émotion?

On parle de moments de jeu où, dans un cadre défini et a priori sûr, en sécurité, l'enfant est amené à des émotions vives, qu'il simule partiellement (peur) et qui peuvent le déborder (joie, enthousiasme voire colère de perdre dans un rapport de force ou d'agilité, etc.). C'est donc, à mon sens, l'inverse de ce que vous décriez. 

Je ne parlais pas de forcer une émotion, mais l'enfant. Vous avez déjà vu un enfant qui ne maîtrise pas du tout ses émotions ? Qui est totalement débordé par la colère, par exemple, au point qu'il frappe sa mère ou menace de se suicider ? Passé un stade seule reste la force. Et à ces enfants, il est indéniable que la force fait du bien. 

L'idéal est de ne pas en arriver là. Le jeu est un excellent moyen, comme plus tard le sport, etc.

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Membre, 39ans Posté(e)
Tamar Hanna Membre 271 messages
Forumeur en herbe ‚ 39ans‚
Posté(e)
il y a 22 minutes, MarcThor a dit :

Juste attendre et laisser faire

Je n'ai pas dit attendre et laisser faire. J'ai parlé de ne pas en tenir compte. Le féminisme radical n'a aucune emprise sur moi parce que je l'ai décidé ainsi, ce qu'ils disent m'est indifférent. Si chacun en faisait autant il n'aurait plus aucune emprise sur personne. C'est bien parce que ses coups ont des victimes que ça marche. S'il n'y avait plus personne pour se considérer comme victime, le radicalisme crierait dans le vide.

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Membre, 50ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 45 565 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
Posté(e)
Le 05/07/2020 à 16:39, The_Dalek a dit :

un père est une donnée secondaire, simple donneur de gamète, voila le seul moment ou le mâle est indispensable

Le reste du temps non seulement le père n'est pas utile, mais il est nuisible. 

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Membre, Poisson rouge très très méchant, 38ans Posté(e)
Loopy Membre 3 109 messages
38ans‚ Poisson rouge très très méchant,
Posté(e)

Ce que je trouve intéressant, c'est la volonté sous-jacente à vouloir théoriser, généraliser et standardiser le rôle des parents. 

Je me dis que chacun est fait de sensibilités, de nuances, de force et de faiblesses différentes. S'il y a un role biologique clairement identifiable entre mâle et femelle (quoiqu'encore cela ne vaut qu'en se limitant qu'a certaines espèces), pourquoi faut il que nous ayons des rôles prédéterminés, dans le rapport que nous avons à l'enfant en général et qu'ils soient encore en relation avec nos fonctions biologiques ?

Je veux dire qu'on explique pas à une femme que son rôle est de se cantonner à des métiers de l'éducation, nous avons des femmes et des hommes dans tous les domaines, et leurs qualités ne sont pas prédéterminés par leur genre. Dans notre relation à l'enfant, je pense également que notre rôle est plus déterminé par notre caractère, notre approche, nos nuances, notre psychologie, que par notre genre. 

Le rôle du père, le rôle de la mère, au-delà de la fonction biologique, n'a pour moi aucun sens. C'est comme parler du rôle de la femme et de l'homme dans l'écoute des autres ou l'empathie. Ou alors, si notre biologie et les instincts qu'on lui associe (peut-être même illegitimement) devaient gouverner nos relations a l'enfant, et au-delà, nos relations aux autres, alors autant retourner en troupeaux dans nos cavernes et nos marais... 

J'ai toujours trouvé les case et les catégories plutôt inquiétantes. Du moins, n'y ai je jamais vraiment trouvé d'utilité flagrante... quand pourtant nous en connaissons bien les dérives.

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Membre, 49ans Posté(e)
MarcThor Membre 2 219 messages
Forumeur vétéran‚ 49ans‚
Posté(e)
Il y a 3 heures, jacky29 a dit :

marc, si Marie avait enfanté par parthénogenèse, cela aurait été son propre clone donc jésus aurait été un bébé fille, très certainement mignonne comme tout et elle n'aurait pas connu cette fin atroce.  

si l'embryon est ôté du placenta, il meurt... donc la mère est nécessaire car sans elle, pas de bébé possible! :p! petite aparté, je suis contre les PMA et les gestations pour autrui. ne pas être parent ne met aucunement l'espèce en danger. rires!  

"marc, si Marie avait enfanté par parthénogenèse, cela aurait été son propre clone donc jésus aurait été un bébé fille, très certainement mignonne comme tout et elle n'aurait pas connu cette fin atroce.  "

Oui c'est vrai Jacky, bonne remarque!

"si l'embryon est ôté du placenta, il meurt... donc la mère est nécessaire car sans elle, pas de bébé possible! "

Je n'ai jamais dit le contraire. Je ne nie ni le coté indispensable du père ni celui de la mère.

"petite aparté, je suis contre les PMA et les gestations pour autrui. "

Je n'en doute pas. Cependant,la réalité est que les féministes politiques ont obtenu la première pour toutes et remboursée par la sécu(y compris  à 18 ans et sans problème médical) et luttent pour que la seconde(qui,une fois la première adoptée permettrait une certaine forme d'égalité homme-femme) ne soit pas acceptée; ceci crée une inégalité de fond majeure( une véritable super apartheid) entre homme et femme, qui sera, si on ne lutte pas contre, lourde de conséquences dans quelques années.

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Membre, 39ans Posté(e)
Tamar Hanna Membre 271 messages
Forumeur en herbe ‚ 39ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Loufiat a dit :

On parle de moments de jeu où, dans un cadre défini et a priori sûr, en sécurité, l'enfant est amené à des émotions vives, qu'il simule partiellement (peur) et qui peuvent le déborder (joie, enthousiasme voire colère de perdre dans un rapport de force ou d'agilité, etc.). C'est donc, à mon sens, l'inverse de ce que vous décriez. 

Je ne remettais pas en cause la théorie qui laisse entendre que jouer avec l'enfant lui permet d'apprendre la vie. Je remettais en cause les soi-disant bienfaits du contrôle des émotions par le jeu avec le père, comme étant un argument en faveur de l'utilité d'un père. Dans le jeu, on n'apprend pas à contrôler ses émotions, on apprend justement à les vivre. C'est plus facile d'être confronté à ses propres émotions dans le jeu que dans la contrainte sociétale.

Je le redis, si on ne dit rien sur les "bienfaits du contrôle des émotions" l'étude porte à interprétation et veut tout et rien dire. A cela j'exprimais justement ma désapprobation quant au contrôle de l'émotion. Pour moi cette étude n'a ni queue ni tête.

il y a 5 minutes, Loufiat a dit :

Je ne parlais pas de forcer une émotion, mais l'enfant. Vous avez déjà vu un enfant qui ne maîtrise pas du tout ses émotions ? Qui est totalement débordé par la colère, par exemple, au point qu'il frappe sa mère ou menace de se suicider ? Passé un stade seule reste la force. Et à ces enfants, il est indéniable que la force fait du bien. 

L'idéal est de ne pas en arriver là. Le jeu est un excellent moyen, comme plus tard le sport, etc.

J'ai en effet vu des enfants qui semblaient être dépassés par leurs émotions. Mais ceci n'est qu'une interprétation. Quand ce stade est atteint, c'est qu'il y a déjà un lourd passé émotionnel non compris et réprimé. Quand l'adulte ne voit plus que la force comme ressource face au comportement d'un enfant, c'est la porte ouverte à toute sorte de déviances. La force face à un enfant est l'arme des faibles.

J'ai aussi vu des adultes incapables de maîtriser leurs émotions, et vu aussi des adultes incapables de maîtriser leurs émotions croyant être en droit de maîtriser par la force un enfant.

J'aimerai bien savoir ce que vous entendez dans "maîtriser ses émotions"?

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Membre, Greuh, 43ans Posté(e)
The_Dalek Membre 21 012 messages
43ans‚ Greuh,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Crabe_fantome a dit :

Le reste du temps non seulement le père n'est pas utile, mais il est nuisible. 

ça c'est selon le père, on sort de l'objectif pour verser dans le subjectif

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 815 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 5 heures, Tamar Hanna a dit :

Des noms, on veut des noms!

Celles qui font le moins parler d'elle.

Les cultures disparues ou en passe de l’être ?

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Membre, 33ans Posté(e)
Loufiat Membre 2 277 messages
Mentor‚ 33ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Tamar Hanna a dit :

Je ne remettais pas en cause la théorie qui laisse entendre que jouer avec l'enfant lui permet d'apprendre la vie. Je remettais en cause les soi-disant bienfaits du contrôle des émotions par le jeu avec le père, comme étant un argument en faveur de l'utilité d'un père. Dans le jeu, on n'apprend pas à contrôler ses émotions, on apprend justement à les vivre. C'est plus facile d'être confronté à ses propres émotions dans le jeu que dans la contrainte sociétale.

Je le redis, si on ne dit rien sur les "bienfaits du contrôle des émotions" l'étude porte à interprétation et veut tout et rien dire. A cela j'exprimais justement ma désapprobation quant au contrôle de l'émotion. Pour moi cette étude n'a ni queue ni tête.

Vous êtes parvenue à l'étude ? En suivant le lien, j'ai seulement obtenu un article à propos de l'étude, donnant un lien vers un autre article en anglais à propos de la même étude. Si vous avez un lien direct vers l'étude, je suis preneur.

il y a une heure, Tamar Hanna a dit :

J'ai en effet vu des enfants qui semblaient être dépassés par leurs émotions. Mais ceci n'est qu'une interprétation. Quand ce stade est atteint, c'est qu'il y a déjà un lourd passé émotionnel non compris et réprimé. Quand l'adulte ne voit plus que la force comme ressource face au comportement d'un enfant, c'est la porte ouverte à toute sorte de déviances. La force face à un enfant est l'arme des faibles.

J'ai aussi vu des adultes incapables de maîtriser leurs émotions, et vu aussi des adultes incapables de maîtriser leurs émotions croyant être en droit de maîtriser par la force un enfant.

J'aimerai bien savoir ce que vous entendez dans "maîtriser ses émotions"?

Des enfants qui "semblaient être dépassés par leurs émotions" ? Vous n'avez pas vu d'enfant effectivement dépassé par ses émotions.

En vous lisant, j'ai d'abord pensé : très bien vu ! mais maintenant, je pense que nous sommes dans une intellectualisation à outrance et dans le réflexe conditionné à une occurrence du terme "contrôle".   

La force n'est pas l'arme du faible, la force n'est pas la violence, la force est parfois une nécessité.

Edit : maîtriser ou "contrôler" ses émotions, c'est être capable de les refréner ou de les susciter comme au théâtre. C'est la même différence qu'entre une personne qui ne parvient pas à coordonner ses gestes et une autre qui a développé la maîtrise de son corps. Ce qui ne signifie aucunement bannir ou nier ses émotions, en faire des tabous (car alors le contrôle est impossible) mais être présent à elles sans être dépassé, totalement englouti par elles. Bien sûr la limite est ténue et il est certaines émotions qui nous terrassent ou nous élèvent hors de tout contrôle, soit qu'on n'ait pas besoin de les réfréner soit qu'on ne le puisse pas parce qu'elles touchent à quelque chose de trop profond et vital.

La fonction sociale du contrôle de soi et, à l'intérieur, des émotions (puisqu'il s'agit globalement de "self-contrôle" dans l'étude) est intéressante à problématiser mais c'est un très vaste programme auquel ne peut pas répondre une étude. Un ancrage "critique" nous fera plutôt rattacher cette valeur du contrôle de soi à la théorie critique (Foucault, etc.), pour autant le jeu n'est pas l'apanage de cette société ni celle du genre humain, et le jugement selon lequel pouvoir se contrôler est supérieur à ne pas le pouvoir n'est pas non plus l'apanage de cette société.

Ce qui progresse indéniablement, c'est l'intellectualisation, la modélisation et la tendance à la technicité de l'éducation comme de toutes les dimensions de l'existence. 

Modifié par Loufiat
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