Les objets vivants

Lorsqu'on se cogne le pied au fauteuil parfois on a mal. Peut être peut on voir cela comme deux personnes qui se cognent malencontreusement mais quand ça ne fait pas mal cela fait toujours rire.

Alors peut être que lorsque comme dans l'exemple on se cogne on a mal mais le fauteuil aussi.

Par exemple c'est la nuit, il fait froid, il s'agit de dormir alors on prend la couette. Au moment où on a froid il y avait trois existences en interaction. Soi, la couette et la température et qu'alors satisfait l'interaction est sans douleur.

Aussi inversement l'interaction entre soi, la couette et la température quand il fait chaud, fait que quand on a chaud la couette aussi.

C'est dingue, cette interaction entre des objets et des êtres dont le corps contient  99, 9% de vide!

Concernant cette relation de l'homme avec les objets, je me souviens d'une période où j'étais hanté par cette affirmation de Nietzsche qui disait que dans les objets tout comme dans le vivant il existe de la "volonté de puissance". Une forme rudimentaire de volonté de puissance. Alors oui, quand on se cogne dans le fauteuil on a mal parce que peut-être c'est la volonté de puissance du fauteuil qui s'exprime ! Pas que le fauteuil ai une quelconque volonté à elle, mais qu'une force réactive s'exprime en réponse à notre propre force à travers le fauteuil.

il y a 29 minutes, Groenland a dit :

Concernant cette relation de l'homme avec les objets, je me souviens d'une période où j'étais hanté par cette affirmation de Nietzsche qui disait que dans les objets tout comme dans le vivant il existe de la "volonté de puissance". Une forme rudimentaire de volonté de puissance. Alors oui, quand on se cogne dans le fauteuil on a mal parce que peut-être c'est la volonté de puissance du fauteuil qui s'exprime ! Pas que le fauteuil ai une quelconque volonté à elle, mais qu'une force réactive s'exprime en réponse à notre propre force à travers le fauteuil.

Non justement la volonté de puissance du fauteuil autant que soi est bonne. Quand on a mal c'est parce que entre autre la mal existe encore.

Par exemple comme tout a une fin, le mal et obligatoirement, le mal fini avant le bien, et a commencé après le bien mais sans rentrer dans le détail parce que cela peut être difficile a conceptualiser car le mal ou plutôt la douleur existe encore.

Donc quand il n'y aura plus de mal, plus de mort, plus de mort de faim, car on n'aura pas besoin de nourriture on mange si l'on veut mais ce n'est pas cela qui nourrit car ne pouvant mourir on ne perd pas de cellules on n'en gagne pas.

Comme dans le présent tant qu'il y a le mal, on gagne de la nourriture en mangeant, alors qu'en fait la nourriture c'est soi, on se mange soi sans le savoir. Et comme en fait on n'a rien gagné alors que si, et quand on perd l'énergie, la nourriture en fait n'ayant rien gagné, il faut le voir comme si l'on n'avait rien perdu, alors que si.

Il y a 8 heures, Boutetractyxreqs a dit :

....

Aussi inversement l'interaction entre soi, la couette et la température quand il fait chaud, fait que quand on a chaud la couette aussi.

Cela s'appelle une couette thermorégulatrice, ça n'a rien d'extraordinaire. 

Après est-ce que la couette est indolore ? À mon avis, il n'a rien de douloureux. L'esprit est une énergie indolore parce que la douloureuse est indolore. Indolore + douloureuse + douleur = 3. Trois fois moins de douleur, donc résultats des courses, moins de Doliprane et les résultats sont indolores.

il y a 2 minutes, doug a dit :

Cela s'appelle une couette thermorégulatrice, ça n'a rien d'extraordinaire. 

Après est-ce que la couette est indolore ? À mon avis, il n'a rien de douloureux. L'esprit est une énergie indolore parce que la douloureuse est indolore. Indolore + douloureuse + douleur = 3. Trois fois moins de douleur, donc résultats des courses, moins de Doliprane et les résultats sont indolores.

Il y a un niveau certes déjà comme le chaud et le froid. Mais l'interaction chaud et froid que j'ai pris en compte n'est pas la seule alors aussi y est inclue l'interaction explicitée avec ou sans douleur. C'est pourquoi j'ai dit aussi quand on a chaud sous la couette c'est qu'aussi la couette à chaud non pas par une méthode autre que ta couette ne risque que de chauffer. Pas besoin de chercher midi a quatorze heure avec une couette thermorégulatrice.

Il y a 13 heures, Boutetractyxreqs a dit :

Lorsqu'on se cogne le pied au fauteuil parfois on a mal. Peut être peut on voir cela comme deux personnes qui se cognent malencontreusement mais quand ça ne fait pas mal cela fait toujours rire.

Alors peut être que lorsque comme dans l'exemple on se cogne on a mal mais le fauteuil aussi.

Par exemple c'est la nuit, il fait froid, il s'agit de dormir alors on prend la couette. Au moment où on a froid il y avait trois existences en interaction. Soi, la couette et la température et qu'alors satisfait l'interaction est sans douleur.

Aussi inversement l'interaction entre soi, la couette et la température quand il fait chaud, fait que quand on a chaud la couette aussi.

La douleur, ce n'est ni plus ni moins qu'être au mauvais endroit, au mauvais moment. Pour les animaux et les "choses" c'est pareil, car pourquoi en serait-il différemment? L'indolore est toujours placé selon un ordre précis et minutieux, c'est le choix qui saura placer chaque élément à sa place. Vouloir se rebeller, traîner des casseroles en se mouvant et tenter de briser l'harmonie revient à choisie la douleur, la mauvaise interaction.

Cette volonté de puissance accordée aux objets inanimés, ça me fatigue un peu...

Faire semblant de croire à ce en quoi on ne croit pas c'est quoi comme religion ?

Je ne vois guère que "la Poésie Téléphonée".

"Objets inanimés avez-vous donc un âme

qui s'attache à notre âme et la force d'aimer ?"

"Je crois en tout ce que je ne crois pas"

"Aux pierres et aux plantes

qui pensent... sans penser.

Et en tous ceux

qui ne pensent pas... tout en pensant."

il y a 50 minutes, Blaquière a dit :

"Je crois en tout ce que je ne crois pas"

Cette phrase est sublime et mérite une réflexion philosophique !

(Mais en ce qui me concerne ça sera pour une autre fois... jamais peut-être... Oui ! Je crois en la profondeur philosophique de ta phrase sans vraiment y croire...)

Il y a 19 heures, Groenland a dit :

Concernant cette relation de l'homme avec les objets, je me souviens d'une période où j'étais hanté par cette affirmation de Nietzsche qui disait que dans les objets tout comme dans le vivant il existe de la "volonté de puissance". Une forme rudimentaire de volonté de puissance. Alors oui, quand on se cogne dans le fauteuil on a mal parce que peut-être c'est la volonté de puissance du fauteuil qui s'exprime ! Pas que le fauteuil ai une quelconque volonté à elle, mais qu'une force réactive s'exprime en réponse à notre propre force à travers le fauteuil.

Faut pas croire que ce soit toi qui uses du couteau pour découper ta viande: en fait, le couteau prémédite de t'assassiner...

Méfie -toi de lui la prochaine fois que tu rentreras dans la cuisine, mon ami, on ne sait jamais...

il y a 10 minutes, querida13 a dit :

Faut les avoir en béton avec vous en effet....! 

Il y a 6 heures, querida13 a dit :

Faut pas croire que ce soit toi qui uses du couteau pour découper ta viande: en fait, le couteau prémédite de t'assassiner...

Méfie -toi de lui la prochaine fois que tu rentreras dans la cuisine, mon ami, on ne sait jamais...

Le 28/06/2020 à 17:54, Boutetractyxreqs a dit :

"Non justement la volonté de puissance du couteau autant que soi est bonne. Quand on a mal c'est parce que entre autre la mal existe encore".

Le 28/06/2020 à 17:54, Boutetractyxreqs a dit :

Non justement la volonté de puissance du fauteuil autant que soi est bonne. Quand on a mal c'est parce que entre autre la mal existe encore. 

Par exemple comme tout a une fin, le mal et obligatoirement, le mal fini avant le bien, et a commencé après le bien mais sans rentrer dans le détail parce que cela peut être difficile a conceptualiser car le mal ou plutôt la douleur existe encore. 

Donc quand il n'y aura plus de mal, plus de mort, plus de mort de faim, car on n'aura pas besoin de nourriture on mange si l'on veut mais ce n'est pas cela qui nourrit car ne pouvant mourir on ne perd pas de cellules on n'en gagne pas.

Comme dans le présent tant qu'il y a le mal, on gagne de la nourriture en mangeant, alors qu'en fait la nourriture c'est soi, on se mange soi sans le savoir. Et comme en fait on n'a rien gagné alors que si, et quand on perd l'énergie, la nourriture en fait n'ayant rien gagné, il faut le voir comme si l'on n'avait rien perdu, alors que si. 

C'est le mal soit la douleur qui assassine dans ce contexte d'exemple cité de ta part, pas le couteau.

Il y a 17 heures, Boutetractyxreqs a dit :

Mis à part la douleur. Être indolore étant sans douleur, et ayant sans douleur, ce qu'il mange et respire sans douleur.

Par contre ;

 - Vue, touché, odorat, goût et ouïe, tous sans douleur, sont sa perception et aussi tous autant sans douleur, que fondation indolore de ses actes sans douleur, plus que lui indolore, cette perception est les autres indolores aussi.

 

Il y a 2 heures, Boutetractyxreqs a dit :

 

 

 

 

Il y a 2 heures, Boutetractyxreqs a dit :

 

Il y a 2 heures, Boutetractyxreqs a dit :

Mis à part la douleur. Être indolore étant sans douleur, et ayant sans douleur, ce qu'il mange et respire sans douleur.

Par contre ;

 - Vue, touché, odorat, goût et ouïe, tous sans douleur, sont sa perception et aussi tous autant sans douleur, que fondation indolore de ses actes sans douleur, plus que lui indolore, cette perception est les autres indolores aussi.

 

 

 

 

 

J'ai du mal a te suivre : trop, c'est trop, ça brouille tout.

Sans doute pour le vivant la douleur est le signal de base, le premier symptôme qui guide toute réaction.

Mais il faudrait nuancer.

Or en le déclinant 11 fois en 5 lignes, ça ne veut plus rien dire.

Tu as sans doute tiré tes conclusions, mais pour nous, il, faut un peu que tu reprennes chaque fois ton raisonnement à la base, sinon, on va te croire fou ! Obnubilé !

C'est pas en tapant "indolore, indolore, indolore !" qu'on va te croire.

Quand une grille de lecture n'a plus qu'un trou, c'est plus une grille, ça devient un entonnoir !

Je te comprends un peu mais je n'arrive plus à te suivre...

Ça devient trop systématique... ça ne dit plus rien.

Fais l'effort...

il y a 4 minutes, Blaquière a dit :

 

J'ai du mal a te suivre : trop, c'est trop, ça brouille tout.

Sans doute pour le vivant la douleur est le signal de base, le premier symptôme qui guide toute réaction.

Mais il faudrait nuancer.

Or en le déclinant 11 fois en 5 lignes, ça ne veut plus rien dire.

Tu as sans doute tiré tes conclusions, mais pour nous, il, faut un peu que tu reprennes chaque fois ton raisonnement à la base, sinon, on va te croire fou ! Obnubilé !

C'est pas en tapant "indolore, indolore, indolore !" qu'on va te croire.

Quand une grille de lecture n'a plus qu'un trou, c'est plus une grille, ça devient un entonnoir !

Je te comprends un peu mais je n'arrive plus à te suivre...

Ça devient trop systématique... ça ne dit plus rien.

Fais l'effort...

C'est simple on ne mange pas c'est une histoire de gout indolore. Quand on respire on ne respire que soi.

il y a 8 minutes, Blaquière a dit :

 

J'ai du mal a te suivre : trop, c'est trop, ça brouille tout.

Sans doute pour le vivant la douleur est le signal de base, le premier symptôme qui guide toute réaction.

Mais il faudrait nuancer.

Or en le déclinant 11 fois en 5 lignes, ça ne veut plus rien dire.

Tu as sans doute tiré tes conclusions, mais pour nous, il, faut un peu que tu reprennes chaque fois ton raisonnement à la base, sinon, on va te croire fou ! Obnubilé !

C'est pas en tapant "indolore, indolore, indolore !" qu'on va te croire.

Quand une grille de lecture n'a plus qu'un trou, c'est plus une grille, ça devient un entonnoir !

Je te comprends un peu mais je n'arrive plus à te suivre...

Ça devient trop systématique... ça ne dit plus rien.

Fais l'effort...

J'ai peur de dériver en peu en psychologie, mais je ne peux pas nier un certain effet, sur moi en tout cas. Je m'explique. Au début j'étais rebutée, et puis tout le monde réagissant comme moi, je me suis mise à me remettre en question, relire systématiquement et tenter de me le représenter. Et, tout de suite il se passe un "truc". Je pouvais le comprendre, le lire sans être rebutée, l'expliquer à d'autres et lui parler (...un peu), alors qu'à la base je m'en sentais totalement exclue. Quand je bouillonne ou que je fulmine dans un coin du forum (c'est souvent en philo quand même!) je viens relire deux ou trois passage de @Boutetractyxreqs (je les choisis quand même), et ça agit sur moi de cette façon: ce qui m'énerve devient rigolo en appliquant des "douleur" "indolore" par-ci par-là, ça me permet de relativiser, de prendre du recul, de me remettre à ma place et ne pas me prendre au sérieux.

Je ne sais pas ce que ça lui fait à lui, mais la folie de l'"astuce" me remue le cerveau et j'ai un tout autre regard moins lourd, moins dramatique, plus dynamique parce que libéré de certaines préoccupations majeures qui passent alors au second plan ou disparaissent.

Oui, enfin, n'oublie pas que je suis jeune et naïve...mais j'aime bien quand il envoie des piqûres de rappel!

il y a 33 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

C'est simple on ne mange pas c'est une histoire de gout indolore. Quand on respire on ne respire que soi.

@Ambre Agorn m'a fait peur, elle me fait penser que je ne comprends pas !

Mais je voulais dire  que le goût c'est avant tout goûteux ou insipide. Douloureux quand on se brûle, mais faut être couillon.

Mais goûteux et insipide, c'est en élargissant l'éventail, et douloureux et indolore. Donc, la grille de lecture à un seul trou, ça ne dit plus rien. Tout y passe !

Dans le cas où j'ai rien pigé, (ce qui ne m'étonnerait pas de moi !) j'attends des explications... DETAILLEES !

  Mais là je vais me coucher ! à plus !

il y a 2 minutes, Blaquière a dit :

@Ambre Agorn m'a fait peur, elle me fait penser que je ne comprends pas !

 

Mais je voulais dire  que le goût c'est avant tout goûteux ou insipide. Douloureux quand on se brûle, mais faut être couillon.

Mais goûteux et insipide, c'est en élargissant l'éventail, et douloureux et indolore. Donc, la grille de lecture à un seul trou, ça ne dit plus rien. Tout y passe !

Dans le cas où j'ai rien pigé, (ce qui ne m'étonnerait pas de moi !) j'attends des explications... DETAILLEES !

  Mais là je vais me coucher ! à plus !

Bonne nuit @Blaquière!

Comme un certain conseil de @Name, là, tu réfléchis trop!

Je comprends ton point de vue...Et le sien (je crois vraiment!)

Douleur et indolore sont des faces d'une pièce, une dualité. Toi tu dis: "non, c'est un curseur à placer avec tout un panel de nuances, et douloureux est un gros bobo" (c'est ça?)

Bien sûre il y a tout un panel, mais au final, on peut tout rapporter à "j'aime, j'aime pas" et j'aime=indolore et j'aime pas=douloureux (c'est du langage binaire!). Donc tout ce qui est perçu comme plutôt ou franchement "moins" est douloureux et tout ce qui est  "plus" est indolore, le "ça m'est égal" est traité comme une nouvelle façon de trier telle que:"ça m'est égal, j'aime ou j'aime pas pour ça?"

Si c'est goûteux, c'est que tu es "plus" (j'aime), donc indolore (tu ne souffres pas, tu es content), si c'est insipide, c'est égal et tu apprécies le "égal", alors c'est "plus" (j'aime), mais si l'insipide t'es désagréable alors tu souffres (j'aime pas). Si c'est mauvais, c'est carrément "moins" (j'aime pas), douloureux. Ce sont des mots bien sûre et tu pourrais toujours dire que "douloureux" est un terme trop extrême, mais c'est pour la simplicité du concept que tout est binaire).

On en revient donc à manger= le choix de la sensation, soit douloureux et c'est pas bon, soit indolore et c'est égal que ce soit bon ou mauvais, vu que tu choisis de ne pas en ressentir de douleur. Donc manger revient à se foutre totalement du "manger" en lui-même vu que sa qualité principale est le chois indolore pour éviter la douleur.

C'est mon point de vue, mais c'est hyper rationnel et hyper fou en même temps!

C'est un jeu pour éclaircir par la simplicité, encore faut-il connaître les règles. (c'est indolore pour celui qui en fait un jeu indolore, surtout si les règles indolores sont connues, de façon indolore bien sûre!)

C'est un casse-tête pour celui qui tente de s'y briser les méninges ( c'est douloureux pour celui qui tente douloureusement d'en faire ressortir la douleur de façon douloureuse)

Tu approuves @Boutetractyxreqs?

Cela dit, @Boutetractyxreqs, tu pourrais quand même intégrer un peu de poésie indolore dans des discours, tout serait un degré moins douloureux, voire indolore pour certains! Mai seulement si cela n'entame pas de façon douloureuse ton doigté!

il y a 3 minutes, Ambre Agorn a dit :

Bonne nuit @Blaquière!

Comme un certain conseil de @Name, là, tu réfléchis trop!

Je comprends ton point de vue...Et le sien (je crois vraiment!)

Douleur et indolore sont des faces d'une pièce, une dualité. Toi tu dis: "non, c'est un curseur à placer avec tout un panel de nuances, et douloureux est un gros bobo" (c'est ça?)

Bien sûre il y a tout un panel, mais au final, on peut tout rapporter à "j'aime, j'aime pas" et j'aime=indolore et j'aime pas=douloureux (c'est du langage binaire!). Donc tout ce qui est perçu comme plutôt ou franchement "moins" est douloureux et tout ce qui est  "plus" est indolore, le "ça m'est égal" est traité comme une nouvelle façon de trier telle que:"ça m'est égal, j'aime ou j'aime pas pour ça?"

Si c'est goûteux, c'est que tu es "plus" (j'aime), donc indolore (tu ne souffres pas, tu es content), si c'est insipide, c'est égal et tu apprécies le "égal", alors c'est "plus" (j'aime), mais si l'insipide t'es désagréable alors tu souffres (j'aime pas). Si c'est mauvais, c'est carrément "moins" (j'aime pas), douloureux. Ce sont des mots bien sûre et tu pourrais toujours dire que "douloureux" est un terme trop extrême, mais c'est pour la simplicité du concept que tout est binaire).

On en revient donc à manger= le choix de la sensation, soit douloureux et c'est pas bon, soit indolore et c'est égal que ce soit bon ou mauvais, vu que tu choisis de ne pas en ressentir de douleur. Donc manger revient à se foutre totalement du "manger" en lui-même vu que sa qualité principale est le chois indolore pour éviter la douleur.

C'est mon point de vue, mais c'est hyper rationnel et hyper fou en même temps!

C'est un jeu pour éclaircir par la simplicité, encore faut-il connaître les règles. (c'est indolore pour celui qui en fait un jeu indolore, surtout si les règles indolores sont connues, de façon indolore bien sûre!)

C'est un casse-tête pour celui qui tente de s'y briser les méninges ( c'est douloureux pour celui qui tente douloureusement d'en faire ressortir la douleur de façon douloureuse)

Tu approuves @Boutetractyxreqs?

Cela dit, @Boutetractyxreqs, tu pourrais quand même intégrer un peu de poésie indolore dans des discours, tout serait un degré moins douloureux, voire indolore pour certains! Mai seulement si cela n'entame pas de façon douloureuse ton doigté!

On est en science mais on peut faire un interlude sur le mot indolent. Tout est indolore mis a part la douleur. Donc l'indolant est indolore mais l'indolant c'est le nonchalant celui qui manque de vivacite.

L'indolore a sa propre définition a part si l'on propose un autre mot celui la ne m'est pas venu a l'esprit. Car l'indolore c'est l'indolant qui manque de vivacite avec douleur mais sans douleur, l'indolore c'est plus que tous les vivants réunis qu'il est vivace sans douleur.

Comme del la racine commune a diviser, douleur et indolore. On peut diviser avec ou sans douleur alors que diviser est en fait comme tout sans douleur, soit l'indolore

Donc a part redefinir.

Pour l'instant on reste sur l'indolore est le sans douleur, celui qui n'a aucune intensité avec douleur soit l'intensemment indolore.