Verbalisé 200 € pour avoir fumé un joint

Le 18 juin 2020 à 16:55, Barbara lebol a dit :

Pourquoi l'usage du cannabis n'est-il pas légalisé en France ?

Avantages  :

- contrôler l'économie souterraine

- contrôle de la qualité du produit

- recettes fiscales supplémentaires

- désengorgement des tribunaux, des prisons

- des missions en moins pour la police

- les dealers des cités pourraient aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte.

 

je suis tout à fait d'accord avec toi, Barbara et je rajouterais que la légalisation devrait toucher d'autres drogues car rien ni personne ne pourra empêcher quelqu'un de se détruire... autant qu'il le fasse dans une sécurité relative. 

Le 18/06/2020 à 16:40, Plouj a dit :

Si vraiment la consommation de drogue est interdite,  il serait plus judicieux de s'attaquer aux fournisseurs plutôt qu'au consommateurs.

Il y a des personnes qui rétorqueront que s'il n'y avait pas de demandes bla, bla, bla.., il n'y aurait plus de demandes si le produit n'existait plus et s'il ne rapportait pas autant.

Après si les amendes servent uniquement à sortir les drogués de leurs drames, ça ma va !

Mais atomiser les producteurs m'irait très bien aussi !

 

 

 

 

Ben non, si il n'y a plus de consommateur les fournisseurs iront se faire teter les yeux ailleurs 

Le 27/06/2020 à 16:48, Répy a dit :

Dans cette affaire d'amende à 200 €,

- ceux qui s'insurgent sont ceux qui trouvent le cannabis banal ou qui en consomment

Je ne cesserai jamais de dire cher Répy la reconnaissance et la confiance que j'ai en tes mots.

"banal" ou "consommer" sous entends etre pervertis, ...ou simplement de "mauvais sujets de sa majesté ".

Tu sais Répy  ( avec toute l'admiration que j'ai pour toi...et vous êtes un petit nombre en ce cas..) je ne consomme jamais de cannabis ou autre et pourtant je m'insurge! 

Le 27/06/2020 à 16:48, Répy a dit :

- ceux qui trouvent normal de verbaliser parce que c'est la loi et parce que la drogue est l'ouverture vers la déchéance de l'individu.

Je m'insurge car mes enfants et moi-même faisons du moto cross, de l'enduro plus précisément , et nous côtoyons dans ce milieux de nombreux jeunes adultes "fumeurs" de ces machins.

Au fil des années j'en suis venu à constater qu'il n'y avait pas de "monter en puissance" de "dégradation" individuelle pour une raison simple:

L'etre travailleur qui avec espoir perforema dans son domaine s'accorde quelques "latitudes" mais ni ne les subit malgré lui ni n'exagère en évoluant sur des Drogues dites "dures".

J'attire votre attention sur le film " Ciao Pantin", une merveille du genre oui tout est dit. 

ENFIN/.:

Il existe 3 réalités graves  dans ce domaine: La mésestime de sois, la faiblesse et l'ennui !

Dans les années 40 Maslow et sa pyramide a statué. 

Le 03/07/2020 à 20:36, Barbara lebol a dit :

La facilite pour  se procurer du cannabis ou même une drogue plus dure ( malheureusement  ) rend superflues l 'interdiction ou l'autorisation de ces substances ; ceux qui veulent en consommer en consomment.

Et alors vous démissionneriez... comme bien d'autres. 

Je pense au contraire - et vous l'aurez compris- qu'il faut lutter. Il n'est pas toujours évident pour un jeune de s'affirmer, de dire "non" sauf quand il y a une prévention, un dialogue. Dans les années 80/90, il y avait des campagnes à ce sujet, des interventions dans les collèges et les lycées. Aujourd'hui, nous sommes davantage en roue libre.

Nous savons que la drogue est interdite, nocive. Il n'y a pas eu vraiment de répressions depuis une vingtaine d'années. Amendes et saisie des biens sont aussi générateurs d'argent, pour l'État. Peut-être qu'un Gouvernement en viendra un jour à prendre des positions fortes, courageuses.

Certains en viennent à banaliser ses effets, à l'exemple de @Boutetractyxreqs ici, qui les assimilent à ceux de l'arachide ou d'un repas trop copieux, dans une idée de vouloir en faire quelque chose de très inoffensif.  

Le 03/07/2020 à 20:36, Barbara lebol a dit :

Cela dépend des quantités  consommées. Perso, je n'ai jamais consommé de cannabis, je n'en connais pas la durée d'action. Un addictologue pourrait nous renseigner mais manifestement  il n'y en a pas sur le forum.

Cela varie en fonction des drogues, des dosages, des individus, la fréquence des prises... Des semaines plus tard, on relève une présence de drogue dans les urines. Personnellement, rien que le fait de ne pas pouvoir évacuer rapidement complètement cette daube, me ferait déjà bien flipper. 

Le 03/07/2020 à 20:36, Barbara lebol a dit :

L'autre aspect du changement qu'apporterait la légalisation serait l'entrave faite aux  maffias qui font régner la terreur dans les banlieues. Les sommes d'argent faramineuses draînées par la drogue permettent à ces maffias d'imposer leurs lois, d'acheter des armes. La légalisation du cannabis serait un moyen de faire tomber ces caids et les zones de non-droit.

Afin de vendre, il faut s'établir et régler pour un local (traite bancaire ou loyer). Pour exercer dans ce local, il faut régler une cotisation financière des entreprises. Il faut qu'il soit éclairé ce local (EDF à régler), et souvent il y a un point d'eau (distribution des eaux à régler), ainsi qu'un ramassage des ordures (REOM secondaire à régler) et même s'il est fermé dans l'année ou quelques jours par semaine.

Afin de lui apporter plus de convivialité, une ambiance à cette petite entreprise, une radio et/ou une télévision sera branchée, et la SACEM viendra toquer. Il est aussi vivement "recommandé" de cotiser au RSI. Il y a l'impôt direct et l'indirect... Sans parler des employés à rémunérer et de toutes les taxes qui sont affiliées. 

Être entrepreneur c'est en plus des responsabilités, un état d'esprit. Vous pensez sérieusement que ces dealeurs, au profil de voyou, vont être consciencieux, honnêtes et accepter ainsi comme tout entrepreneur, de régler tous ces impôts et taxes (et j'en ai sûrement oubliés) ? 

Le 03/07/2020 à 20:36, Barbara lebol a dit :

Et rendre les immeubles aux habitants de ces lieux.

Et rendre nos jeunes dépendants, suicidaires, malades...

Tant de potentiels gâchés, avortés à cause des drogues. Ça m'attriste vraiment. 

il y a 42 minutes, Léna-Postrof a dit :

Afin de vendre, il faut s'établir et régler pour un local (traite bancaire ou loyer). Pour exercer dans ce local, il faut régler une cotisation financière des entreprises. Il faut qu'il soit éclairé ce local (EDF à régler), et souvent il y a un point d'eau (distribution des eaux à régler), ainsi qu'un ramassage des ordures (REOM secondaire à régler) et même s'il est fermé dans l'année ou quelques jours par semaine.

Afin de lui apporter plus de convivialité, une ambiance à cette petite entreprise, une radio et/ou une télévision sera branchée, et la SACEM viendra toquer. Il est aussi vivement "recommandé" de cotiser au RSI. Il y a l'impôt direct et l'indirect... Sans parler des employés à rémunérer et de toutes les taxes qui sont affiliées. 

Être entrepreneur c'est en plus des responsabilités, un état d'esprit. Vous pensez sérieusement que ces dealeurs, au profil de voyou, vont être consciencieux, honnêtes et accepter ainsi comme tout entrepreneur, de régler tous ces impôts et taxes (et j'en ai sûrement oubliés) ? 

Faudrait qu'ils soient idiots alors qu'ils trafiquent en zone protégée sans taxes, 100% bénèf.

Le jour où la monnaie liquide disparaitra, la donne changera peut-être même si la magouille a certainement été trouvée.

il y a 44 minutes, Léna-Postrof a dit :

Et rendre nos jeunes dépendants, suicidaires, malades...

Tant de potentiels gâchés, avortés à cause des drogues. Ça m'attriste vraiment.  

Par où commencer ?

il y a 40 minutes, Léna-Postrof a dit :

Et alors vous démissionneriez... comme bien d'autres.

Moi ? En quoi ? Ce ne serait pas l'état plutôt qui serait impuissant et achèterait la paix sociale en cédant le marche de la drogue aux dealers de banlieues ? 

il y a 40 minutes, Léna-Postrof a dit :

Je pense au contraire - et vous l'aurez compris- qu'il faut lutter. Il n'est pas toujours évident pour un jeune de s'affirmer, de dire "non" sauf quand il y a une prévention, un dialogue. Dans les années 80/90, il y avait des campagnes à ce sujet, des interventions dans les collèges et les lycées. Aujourd'hui, nous sommes davantage en roue libre.

Nous savons que la drogue est interdite, nocive. Il n'y a pas eu vraiment de répressions depuis une vingtaine d'années. Amendes et saisie des biens sont aussi générateurs d'argent, pour l'État. Peut-être qu'un Gouvernement en viendra un jour à prendre des positions fortes, courageuses.

Certains en viennent à banaliser ses effets, à l'exemple de @Boutetractyxreqs ici, qui les assimilent à ceux de l'arachide ou d'un repas trop copieux, dans une idée de vouloir en faire quelque chose de très inoffensif.  

Cela varie en fonction des drogues, des dosages, des individus, la fréquence des prises... Des semaines plus tard, on relève une présence de drogue dans les urines. Personnellement, rien que le fait de ne pas pouvoir évacuer rapidement complètement cette daube, me ferait déjà bien flipper. 

Afin de vendre, il faut s'établir et régler pour un local (traite bancaire ou loyer). Pour exercer dans ce local, il faut régler une cotisation financière des entreprises. Il faut qu'il soit éclairé ce local (EDF à régler), et souvent il y a un point d'eau (distribution des eaux à régler), ainsi qu'un ramassage des ordures (REOM secondaire à régler) et même s'il est fermé dans l'année ou quelques jours par semaine.

Afin de lui apporter plus de convivialité, une ambiance à cette petite entreprise, une radio et/ou une télévision sera branchée, et la SACEM viendra toquer. Il est aussi vivement "recommandé" de cotiser au RSI. Il y a l'impôt direct et l'indirect... Sans parler des employés à rémunérer et de toutes les taxes qui sont affiliées. 

Être entrepreneur c'est en plus des responsabilités, un état d'esprit. Vous pensez sérieusement que ces dealeurs, au profil de voyou, vont être consciencieux, honnêtes et accepter ainsi comme tout entrepreneur, de régler tous ces impôts et taxes (et j'en ai sûrement oubliés) ? 

Vous ne semblez pas comprendre. Si un marché légal se crée avec avec des produits sécurisés, le marche illégal disparait de facto. L'alternative serait très  simple ou les dealers arrêtent contraints et forcés  ou ils rentrent dans le rang. Le marché noir du cannabis disparaîtrait.

il y a 40 minutes, Léna-Postrof a dit :

Et rendre nos jeunes dépendants, suicidaires, malades...

Tant de potentiels gâchés, avortés à cause des drogues. Ça m'attriste vraiment. 

Parce-que actuellement avec la prohibition il n'y a pas de drogués, dépendants suicidaires ?

Nous ne serons pas d'accord sur ce sujet .

il y a une heure, Barbara lebol a dit :

Si un marché légal se crée avec avec des produits sécurisés

Quels produits par exemple ?

Il s'en crée de nouveaux, plus forts souvent, les drogues dures seraient alors vendues comme le cannabis ? Le nombre de morts ne changerait pas.

Et on fait quoi de toutes les personnes qui vivent de ce trafic ? Tu réembauches tout le monde en les payant au Smic ??

Il y a 4 heures, Plouj a dit :

Quels produits par exemple ?

Le  cannabis.

Il y a 4 heures, Plouj a dit :

Il s'en crée de nouveaux, plus forts souvent, les drogues dures seraient alors vendues comme le cannabis ? Le nombre de morts ne changerait pas.

Et on fait quoi de toutes les personnes qui vivent de ce trafic ? Tu réembauches tout le monde en les payant au Smic ??

Ils intègrent le système et vont bosser ou alors ils rentrent chez eux.

il y a 2 minutes, Barbara lebol a dit :

Le  cannabis.

C'est de la rigolade ça !

il y a 2 minutes, Barbara lebol a dit :

ils rentrent chez eux.

Ils sont chez eux !

il y a 1 minute, Plouj a dit :

 

Ils sont chez eux !

Pas tous !

Cannabis: des chercheurs de Bordeaux font le lien entre consommation et diminution de la sociabilité

Si des troubles du comportement et une moindre sociabilité avaient pu être observés chez les consommateurs de cannabis, le chercheur Inserm Giovanni Marsicano et son équipe du NeuroCentre Magendie, ont identifié les cellules cérébrales responsables de ce repli sur soi...

https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/cannabis-chercheurs-bordeaux-font-lien-entre-consommation-diminution-sociabilite-1851864.html

Même si la consommation de cannabis arrive en tête avec 80%, il ne faut pas oublier les autres, plus fortes.

A rajouter, l'alcool, et la cigarette.

Le 09/07/2020 à 17:33, Plouj a dit :

Faudrait qu'ils soient idiots alors qu'ils trafiquent en zone protégée sans taxes, 100% bénèf.

Le jour où la monnaie liquide disparaitra, la donne changera peut-être même si la magouille a certainement été trouvée.

Par où commencer ?

Ils pourraient y avoir des vendeurs de cannabis bien proprets, mais ce ne sera jamais le cas de ces bandes rivales bien installées qui terrorisent les grandes villes. C'est évident. 

Il n'y a aucun intérêt pour les dealers à avoir pignon sur rue et régler des taxes. Ils mènent leurs affaires plutôt tranquillement. Le traffic de cannabis n'est pas assez réprouvé par la société et pénalisé par l'État, la Justice. 

Nous pourrions commencer par stopper les double-discours déjà et aller vers plus d'information, de dialogue : de prévention, finalement.  

Le 09/07/2020 à 17:45, Barbara lebol a dit :

Moi ? En quoi ? Ce ne serait pas l'état plutôt qui serait impuissant et achèterait la paix sociale en cédant le marche de la drogue aux dealers de banlieues ? 

Vous ne semblez pas comprendre. Si un marché légal se crée avec avec des produits sécurisés, le marche illégal disparait de facto. L'alternative serait très  simple ou les dealers arrêtent contraints et forcés  ou ils rentrent dans le rang. Le marché noir du cannabis disparaîtrait.

Parce-que actuellement avec la prohibition il n'y a pas de drogués, dépendants suicidaires ?

Nous ne serons pas d'accord sur ce sujet .

J'entends et comprends votre point de vue (je me doutais bien que vous n'étiez pas consommatrice de drogues) et même si nous ne serons pas d'accord sur ce sujet. Néanmoins, ce n'est pas en aidant les gens à se droguer, que nous lutterons efficacement contre les drogues. C'est aussi simple que cela.

Allez vers une légalisation, c'est céder, abdiquer et consacrer la délinquance, quelque part. Cela ne résoudrait absolument rien, je vous l'assure. Le nombre de victimes du cannabis pourrait encore accroître. Les habitants des quartiers auront toujours à pâtir de l'activité des dealers, c'est désolant mais c'est comme ça. La marchandise pourrait être vendue moins chère (puisque non taxée) ou une marchandise plus forte et nocive sera vendue. Sans parler du traffic d'armes.

L'erreur fondamentale aura été d'agglutiner des individus aux même endroits et s'assurer qu'ils n'en sortent pas. 

il y a 26 minutes, Léna-Postrof a dit :

Ils pourraient y avoir des vendeurs de cannabis bien proprets, mais ce ne sera jamais le cas de ces bandes rivales bien installées qui terrorisent les grandes villes. C'est évident. 

Il n'y a aucun intérêt pour les dealers à avoir pignon sur rue et régler des taxes. Ils mènent leurs affaires plutôt tranquillement. Le traffic de cannabis n'est pas assez réprouvé par la société et pénalisé par l'État, la Justice. 

Nous pourrions commencer par stopper les double-discours déjà et aller vers plus d'information, de dialogue : de prévention, finalement.  

La prévention pourrait se faire dans les écoles, cela se fait déjà, mais dans les quartiers où ce business s'exerce, les dealers SONT dans les écoles et bien plus actifs que les organismes de prévention.

Je me souviens, dans les années 95, mes filles étaient en établissements scolaires privés et la drogue y circulait déjà. Depuis quelles ont été les mesures pour endiguer le fléau ? L'État a laissé s'installer des zones de non droits.

Il y a 5 heures, Plouj a dit :

La prévention pourrait se faire dans les écoles, cela se fait déjà, mais dans les quartiers où ce business s'exerce, les dealers SONT dans les écoles et bien plus actifs que les organismes de prévention.

Je me souviens, dans les années 95, mes filles étaient en établissements scolaires privés et la drogue y circulait déjà. Depuis quelles ont été les mesures pour endiguer le fléau ? L'État a laissé s'installer des zones de non droits.

Cela s’est déjà fait plus exactement. En plus de cela, le dialogue est scrupuleusement évité dans les familles. Les guédro sont facilement identifiables dans les collèges et les lycées -souvent en échec scolaire- et même au sortir de ceux-ci. Ajoute à cela l’influence des petits cons de Youtubeurs qui vantent le cannabis sois couvert de liberté d’expression. 

Tant que nous ne pointerons plus les dégâts qu’entraînent le cannabis, que nous ne renouerons pas le dialogue, ne communiquerons pas là-dessus, une partie de la population en profitera pour nous le faire passer comme simplement récréatif et totalement inoffensif. 

Oui il y a un laisser faire tout à fait inadmissible et les double-discours ont été légion. Nous payons des années de socialisme. Il convient d’être fermes, implacables pourtant. 

il y a 1 minute, Léna-Postrof a dit :

Cela s’est déjà fait plus exactement. En plus de cela, le dialogue est scrupuleusement évité dans les familles. Les guédro sont facilement identifiables dans les collèges et les lycées -souvent en échec scolaire- et même au sortir de ceux-ci. Ajoute à cela l’influence des petits cons de Youtubeurs qui vantent le cannabis sois couvert de liberté d’expression. 

Tant que nous ne pointerons plus les dégâts qu’entraînent le cannabis, que nous ne renouerons pas le dialogue, ne communiquerons pas là-dessus, une partie de la population en profitera pour nous le faire passer comme simplement récréatif et totalement inoffensif. 

Oui il y a un laisser faire tout à fait inadmissible et les double-discours ont été légion. Nous payons des années de socialisme. Il convient d’être fermes, implacables pourtant. 

Tu sembles oublier le côté économique de la chose.. Un marché dont les ramifications s'étendent plus qu'on ne l'imagine !

il y a 4 minutes, Plouj a dit :

Tu sembles oublier le côté économique de la chose.. Un marché dont les ramifications s'étendent plus qu'on ne l'imagine !

C’est bien pour cela qu’une partie de la population nous la fait passer pour inoffensive. 

Il y a 10 heures, Léna-Postrof a dit :

C’est bien pour cela qu’une partie de la population nous la fait passer pour inoffensive. 

Et ça fonctionne !

Cette partie-là, plus les accros, plus les neutres, plus ceux qui détournent le regard, il ne reste plus grand monde à vouloir lutter contre.

Le 18/06/2020 à 16:55, Barbara lebol a dit :

Pourquoi l'usage du cannabis n'est-il pas légalisé en France ?

Avantages  :

- contrôler l'économie souterraine

- contrôle de la qualité du produit

- recettes fiscales supplémentaires

- désengorgement des tribunaux, des prisons

- des missions en moins pour la police

- les dealers des cités pourraient aller voir ailleurs si l'herbe est plus verte.

 

Très bien et des camés partout y compris sur les routes..

Le cannabis c'est la porte ouverte aux autres drogues plus dure, tout le monde sais cela !

Le 03/07/2020 à 21:09, jacky29 a dit :

je suis tout à fait d'accord avec toi, Barbara et je rajouterais que la légalisation devrait toucher d'autres drogues car rien ni personne ne pourra empêcher quelqu'un de se détruire... autant qu'il le fasse dans une sécurité relative. 

Le vrai problème n'est pas que le consommateur de drogue de détruit, mais que dans son délire hallucinatoire, ils détruise les autres ! 

Pour répondre au titre du topic:

 la prochaine fois il fera mieux d'aller fumer des harengs...