Hantise

Qu'est-ce qui (ou qui est-ce qui) vous hante et de quelle façon?

Les chameaux volants. A chaque fois que je dors.

Il y a 1 heure, sirielle a dit :

Qu'est-ce qui (ou qui est-ce qui) vous hante

Les cafards

Citation

et de quelle façon?

Aucune, ils sont gentils ils ne font aucun mal, j'aime pas leur tronche par pur spécisme, j'espère qu'il existe une autre version de l'univers ou les cafards n'existent pas.

il y a 19 minutes, Virtuose_en_carnage a dit :

Les chameaux volants. A chaque fois que je dors.

Tu fumes trop de Camel.

Je me hante moi-même ! 

il y a une heure, CAL26 a dit :

Tu fumes trop de Camel.

Ça existe encore chez vous?

Il y a 1 heure, sirielle a dit :

Qu'est-ce qui (ou qui est-ce qui) vous hante et de quelle façon?

Les sirielle killers.

Le vide me hante dans mes rêves. A chaque fois je tombe. 

il y a 31 minutes, riad** a dit :

Ça existe encore chez vous?

 

Sûr en tabac à rouler et je crois également en paquets de cigarettes.

Il y a 9 heures, riad** a dit :

Ça existe encore chez vous?

 

Un bon chameau impérissable

Hanté Christ.

La plupart des autres me hantent. Quand je dis les autres pas ceux du film avec Nicole Kidman, je parle des gens en général. Au milieu d'eux j'ai toujours l'impression de venir d'une autre planète parce qu'il semblerait que quelque chose en moi provoque leur animosité, ce qui me fait dire que c'est une malédiction à cause de laquelle je ne pourrai jamais tisser de liens vraiment avec des humains, que je ne suis pas faite pour vivre parmi eux, que la solitude est mon fardeau sur cette planète. 

Il y a 14 heures, sovenka a dit :

La plupart des autres me hantent. Quand je dis les autres pas ceux du film avec Nicole Kidman, je parle des gens en général. Au milieu d'eux j'ai toujours l'impression de venir d'une autre planète parce qu'il semblerait que quelque chose en moi provoque leur animosité, ce qui me fait dire que c'est une malédiction à cause de laquelle je ne pourrai jamais tisser de liens vraiment avec des humains, que je ne suis pas faite pour vivre parmi eux, que la solitude est mon fardeau sur cette planète. 

Il y a fort à parier que c'est toi qui "hante" les autres, qui leur attribue tes névroses.

il y a 39 minutes, Name a dit :

Il y a fort à parier que c'est toi qui "hante" les autres, qui leur attribue tes névroses.

Tu crois ? Mais, est-ce être névrosée que d'être mal à l'aise dans une société malade ?

Pourquoi est-ce que je m'entends bien avec un tout petit nombre qui ont des qualités humaines et pas les autres qui, bien qu'humains, se déshumanisent tout seuls en cultivant l'irrespect, le mépris... ?

Enfin je ne voudrais pas te contredire inconsidérément.

Il y a 16 heures, sovenka a dit :

La plupart des autres me hantent. Quand je dis les autres pas ceux du film avec Nicole Kidman, je parle des gens en général. Au milieu d'eux j'ai toujours l'impression de venir d'une autre planète parce qu'il semblerait que quelque chose en moi provoque leur animosité, ce qui me fait dire que c'est une malédiction à cause de laquelle je ne pourrai jamais tisser de liens vraiment avec des humains, que je ne suis pas faite pour vivre parmi eux, que la solitude est mon fardeau sur cette planète. 

Peut-être y-a-t-il moyen de solutionner ces sentiments d'animosité, qui par nature sont censés être surmontables. En tout cas ils sont signe d'intérêt. Ceci dit être cible d'hostilité représente une situation relativement courante jusqu'à un certain degré, sans que soit forcément mérité, ou à ce point mérité, c'est selon les cas. Cependant l'estime reçue se perçoit de même plus ou moins consciemment ou inconsciemment, voire surpasse l'hostilité de préférence. Mais être aimé peut aussi comporter des inconvénients selon la façon dont c'est exprimé, voire même se manifeste parfois aussi à travers de l'agressivité.

il y a une heure, sovenka a dit :

Tu crois ? Mais, est-ce être névrosée que d'être mal à l'aise dans une société malade ?

Qu'est-ce qu'une"société malade" ?

Citation

Pourquoi est-ce que je m'entends bien avec un tout petit nombre qui ont des qualités humaines et pas les autres qui, bien qu'humains, se déshumanisent tout seuls en cultivant l'irrespect, le mépris... ?

La réponse est dans la question : les autres sont humains ou ne le sont pas. Si tu l'es ils le sont, s'ils ne le sont pas, toi non plus.

Tu penses avoir quand il faut être. Tu as de l'amour en toi, il t'appartient et tu choisis qui en es digne ou non, il faut présenter son curriculum vitæ, son casier judiciaire et un certificat de bonne conduite. Tu as donc un petit nombre d'élus dignes de toi. Le problème est que tu t'étonnes de recevoir de l'animosité de la part de ceux que tu juges indignes d'humanité, ce qui est pourtant une conséquence logique. En alchimie, on dit que "le haut et le bas est une même chose. Tu veux te voir dans l'autre, mais refuse de voir l'autre en toi. L'amour que tu as est limité, pas l'amour que tu es. Sois l'amour, pas le sentiment qui n'est qu'une manifestation, mais l'essence de ce sentiment, et infuse-le comme remède, et ce que tu penses être une maladie et qui n'est que ton incomplétude se diluera.

Citation

Enfin je ne voudrais pas te contredire inconsidérément.

Moi non plus.

Il y a 2 heures, sirielle a dit :

Ceci dit être cible d'hostilité représente une situation relativement courante jusqu'à un certain degré, sans que soit forcément mérité, ou à ce point mérité, c'est selon les cas.

Je ne pense pas être la seule dans cette situation mais, c'est plus facile d'en parler en virtuel. Par exemple un truc qui m'arrive parmi d'autres: dans un magasin, j'ai affaire à une employée. Tout est normal, je suis polie, aimable comme d'habitude, l'employée aussi puis soudain, elle me regarde droit dans les yeux et blêmit. Plus exactement elle se met à faire la gueule, comme ça d'un coup comme si je lui avais balancé une grossièreté. D'une seconde à l'autre elle passe d'aimable à sèche, sans raison à mon sens. Je lui demande si un truc ne va pas, elle me répond que non d'un ton vexé, et là je sens que sa courtoisie perdure par contrainte mais sans sincérité comme au départ. Comment expliquer ça ?!!!

Il y a 2 heures, Name a dit :

Qu'est-ce qu'une"société malade" ?

Vaste sujet. Une société bien portante a-t-elle jamais existé ou bien n'est-ce qu'un idéal ? On peut aisément constater que la nôtre n'est pas bien portante.

Il y a 2 heures, Name a dit :

Tu as de l'amour en toi, il t'appartient et tu choisis qui en es digne ou non, il faut présenter son curriculum vitæ, son casier judiciaire et un certificat de bonne conduite. Tu as donc un petit nombre d'élus dignes de toi.

Je t'assure que je ne suis pas comme ça: au départ j'accorde indifféremment ma confiance et ma bonté puis au fur et à mesure je me mets en retrait de ceux qui prennent ça pour une invitation à l'irrespect ou à être dominée, puis au bout du compte il ne reste personne. Ce fut par le passé un réel problème dans les entreprises et les lieux de résidence partagée parce que je m'y retrouvai toujours isolée en terre ennemie. En fait les gens me semblent avoir tendance à prendre la mouche dès qu'on leur dit que leur comportement nous gène ou qu'un truc ne se fait pas, et pourtant je ne suis pas du genre à reprocher tout et rien, j'essaye d'exprimer mon désaccord avec tact.

Il y a 2 heures, Name a dit :

Sois l'amour, pas le sentiment qui n'est qu'une manifestation, mais l'essence de ce sentiment, et infuse-le comme remède, et ce que tu penses être une maladie et qui n'est que ton incomplétude se diluera.

Je l'ai cru à une époque maintenant je n'ose plus. J'approuve cette attitude mais me me demande si l'on peut encore sans risque être amour dans cette société. 

il y a 20 minutes, sovenka a dit :

Vaste sujet. Une société bien portante a-t-elle jamais existé ou bien n'est-ce qu'un idéal ? On peut aisément constater que la nôtre n'est pas bien portante.

On peut aussi constater que notre société n'a jamais été aussi bien portante.

il y a 20 minutes, sovenka a dit :

Je t'assure que je ne suis pas comme ça: au départ j'accorde indifféremment ma confiance et ma bonté puis au fur et à mesure je me mets en retrait de ceux qui prennent ça pour une invitation à l'irrespect ou à être dominée, puis au bout du compte il ne reste personne. Ce fut par le passé un réel problème dans les entreprises et les lieux de résidence partagée parce que je m'y retrouvai toujours isolée en terre ennemie. En fait les gens me semblent avoir tendance à prendre la mouche dès qu'on leur dit que leur comportement nous gène ou qu'un truc ne se fait pas, et pourtant je ne suis pas du genre à reprocher tout et rien, j'essaye d'exprimer mon désaccord avec tact.

Tu mets des conditions à l'amour, or il n'y en a pas.

il y a 20 minutes, sovenka a dit :

Je l'ai cru à une époque maintenant je n'ose plus. J'approuve cette attitude mais me me demande si l'on peut encore sans risque être amour dans cette société. 

Mon père dit : aime, et ne t'occupes pas du reste.

Il y a 3 heures, Name a dit :

On peut aussi constater que notre société n'a jamais été aussi bien portante.

Alors que le réchauffement climatique atteint des seuils critiques et que les mers s'acidifient dangereusement...

Il y a 3 heures, Name a dit :

Mon père dit : aime, et ne t'occupes pas du reste.

J'admire ton papa mais quant à moi la patience me fait défaut quand le "reste" me pique les yeux.

il y a 24 minutes, sovenka a dit :

Alors que le réchauffement climatique atteint des seuils critiques et que les mers s'acidifient dangereusement...

La nature en a vu beaucoup et en verra beaucoup d'autres.

il y a 24 minutes, sovenka a dit :

J'admire ton papa mais quant à moi la patience me fait défaut quand le "reste" me pique les yeux.

Change de regard, tu ne seras pas en reste.

Il y a 20 heures, sovenka a dit :

Je ne pense pas être la seule dans cette situation mais, c'est plus facile d'en parler en virtuel. Par exemple un truc qui m'arrive parmi d'autres: dans un magasin, j'ai affaire à une employée. Tout est normal, je suis polie, aimable comme d'habitude, l'employée aussi puis soudain, elle me regarde droit dans les yeux et blêmit. Plus exactement elle se met à faire la gueule, comme ça d'un coup comme si je lui avais balancé une grossièreté. D'une seconde à l'autre elle passe d'aimable à sèche, sans raison à mon sens. Je lui demande si un truc ne va pas, elle me répond que non d'un ton vexé, et là je sens que sa courtoisie perdure par contrainte mais sans sincérité comme au départ. Comment expliquer ça ?!!!

Les causes imaginables sont nombreuses. S'il ne s'agit pas d'une réaction à une attitude, une gestuelle, à une maladresse inconsciente ou à une inquiétude communicative par exemple, la cause pourrait aussi être indirecte, liée à une pensée passagère, un stress, ou encore à une association d'idées… Or si la cause est extérieure au domaine professionnel son humeur appartient quelque part à sa vie privée, ainsi une question sur la raison de son humeur peut éventuellement alors s'avérer un peu embarrassante, voire culpabilisante, selon la personne qui la reçoit, dans un cadre où faire bonne figure pour la clientèle est un devoir malgré les possibles contrariétés.