Il y a 15 heures, no-comment a dit :

Ceux qui étaient reçus à l'Elysée il y a quelques mois ?

je ne connais pas les gens reçus à l'Elysée.

En revanche, il a été question ici d'un rapeur qui traitait les blancs et les français en particulier de moins que rien et qui demandait à ce qu'on nous supprime.

Je pense que ce genre de taré devrait être contré dare-dare et par tous les moyens !

il y a 15 minutes, boeingue a dit :

liberticide ,  ouiais !....

je me demande bien ,ou sont les goulags en France !!

..... patience... !! 

il y a 6 minutes, Répy a dit :

je ne connais pas les gens reçus à l'Elysée.

En revanche, il a été question ici d'un rapeur qui traitait les blancs et les français en particulier de moins que rien et qui demandait à ce qu'on nous supprime.

Je pense que ce genre de taré devrait être contré dare-dare et par tous les moyens !

Et ben non, Répy.... parce que ce "genre de taré" bénéficie de toutes les garanties offertes par notre état de droit… 

il y a 33 minutes, Mr_Fox a dit :

Dans la vraie rue de la vraie vie, tu es fiché, harcelé, licencié, la police te pète la gueule et la justice saisit ton argent. Et tes gosses. Les médias te chient dessus et plein de @versys trouvent que tu n'es vraiment qu'une sale merde d'avoir été t'exprimer.

 

Dans la vraie vie Dupont de Ligonnès cour toujours... 

« Cette loi a des critères : la haine en fonction de la race, de l’orientation sexuelle, de la religion ». « Mais alors, on va condamner les propos haineux pour les homosexuels, mais pour les hétérosexuels ?

On va condamner les propos haineux pour les juifs et les musulmans, mais pour les chrétiens ? », s’inquiète-t-il. Et l’éditorialiste de conclure : « La notion de haine est devenue le nec plus ultra de la pensée progressiste : la haine c’est l’autre, c’est le non-politiquement correct, c’est le non-progressisme, c’est celui qui refuse la société multiculturelle. Pourtant, il n’est pas haineux, il veut une autre société, il veut défendre sa propre société ». 

donc on arrive à toute vitesse à remettre en cause , le blasphème !

c'est véritablement un scandale car on le voit bien sur le forum , dès que certains ne sont pas d'accord avec tes propos , tes idées , tu te fais traiter de haineux !!!

Vivement que le prochain président abroge cette loi .

Dans Atlantico

les réseaux sociaux à cette vision caricaturale (dont, du reste, il est facile de se protéger soit en ne les lisant pas, soit en pratiquant des blocages, soit enfin en portant en justice les cas caractérisés de cyber-harcèlement)  une manière bien pratique pour le pouvoir et la pensée dominante de jeter le bébé de la liberté d’expression avec le bain de ses inévitables excès.

Rappelons que les réseaux sociaux sont aussi ce lieu merveilleux de liberté, unique, grâce auquel la pensée non consensuelle peut circuler en dehors des vérités officielles et se confronter au dissensus. Ils sont une véritable agora contemporaine où s’exerce le débat public.

Comme la loi Pleven de 1972, punissant la provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence visant certaines personnes ou groupes de personnes « à raison de leur origine ou leur appartenance ou non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée », elle vise seulement à protéger les « minorités ». 

Comment comprendre qu’une loi aussi problématique, et qui a suscité tant de résistances, ait été considérée comme suffisamment urgente pour être la première ne concernant pas le Covid-19 à être votée depuis le début de l’épidémie ?

La raison en est sans doute son rôle stratégique dans le traitement des tensions, à l’occasion de cette épidémie, entre le gouvernement et l’aile gauche de la République en Marche. Pour cette aile gauche, la défense des « minorités » est une pierre de touche d’une attitude « de gauche ». Au moment où, pour tenter de maîtriser l’épidémie, le gouvernement tend à mettre en œuvre des mesures « liberticides », donc « de droite », la loi Avia fournit une compensation « de gauche ». On peut douter qu’elle contribue à rendre la société française moins conflictuelle. Mais ce n’est son objet ni pour ses promoteurs ni pour le gouvernement. 

https://www.atlantico.fr/decryptage/3589560/l-affaire-laetitia-avia-ou-la-preuve-que-les-1001-tensions-de-la-societe-francaise-rendent-sa-loi-encore-plus-dangereuse-internet-haine-reseaux-sociaux-anne-sophiie-chazaud-philippe-d-iribarne-regis-de-castelnau

Le 14/05/2020 à 12:13, Répy a dit :

je ne connais pas les gens reçus à l'Elysée.

En revanche, il a été question ici d'un rapeur qui traitait les blancs et les français en particulier de moins que rien et qui demandait à ce qu'on nous supprime.

Je pense que ce genre de taré devrait être contré dare-dare et par tous les moyens !

La crème de la crème, des deux côtés (il est temps de vous informer).

Le 14/05/2020 à 12:21, versys a dit :

Et ben non, Répy.... parce que ce "genre de taré" bénéficie de toutes les garanties offertes par notre état de droit… 

Dans l'état de droit les mesures sont efficaces, il suffit de les appliquer, mais comme l'état de droit ne suffit plus à la nouvelle ère on créé la loi AVIA qui ne relève plus du droit (police/justice) et on trouve des gens béats d'admiration.

Le 13 mai 2020 à 11:55, williams a dit :

Depuis que Macron est au pouvoir voilà que la liberté de communication semble diminuer. En juin 2017, l’Elysée inquiétait les journalistes sur la liberté de la presse.

En 2019 et voir à nouveau en janvier 2020 il y a eu la proposition de loi contre la cyberhaine qui veut dire punir enfin les auteurs de haine en ligne, mais qui a été contestée pour certaines raisons. Voilà que cette loi revient aujourd'hui. Jusqu'où va aller cette loi sur ce que les français pourront dire et ne pas dire ??

Et il y a pas longtemps le gouvernement a aussi portait plainte pour des pancartes "Macronavirus" mais il y a eu sans suite des procédures entamées fin avril.

Puis voilà qu'après le confinement, le gouvernement cherche à savoir les critiques que les français ont dit chez eux envers le gouvernement car des documents ont été publiés ce lundi 4 mai 2020 sur la plateforme Eduscol par le ministère de l’Education nationale où l'un d'entre eux est intitulé « Ecouter et favoriser la parole des élèves en retour de confinement Covid-19 » [PDF] a particulièrement fait grincer des dents. « On a l’impression que toute forme de critique est interdite », s’est inquiétée Frédérique Rolet, secrétaire nationale et porte-parole du Snes-FSU auprès de Franceinfo.

La France va t'elle devenir comme certain pays c'est à dire qu'on ne pourra plus rien dire, plus donner nos avis négatifs,... contre le gouvernement ou se qui est dit ou fait par telle(s) personne(s) ou... ??

ok williams, dis cela à une mère dont l'enfant s'est suicidé après un harcèlement diffusé sur le net... dis cela aussi à des victimes de connards qui jugent normal de "casser du pédé" sur le net... avant de passer à l'acte lui-même... dis cela aussi à des employés qui préfèrent démissionner et perdre tous leurs droits car ils n'en peuvent plus d'être diffamés par net interposé... et ainsi de suite... j'ai été moi-même diffamée, je sais ce que sait. on dirait que toi, tu l'ignores. 

il y a 36 minutes, jacky29 a dit :

ok williams, dis cela à une mère dont l'enfant s'est suicidé après un harcèlement diffusé sur le net... dis cela aussi à des victimes de connards qui jugent normal de "casser du pédé" sur le net... avant de passer à l'acte lui-même... dis cela aussi à des employés qui préfèrent démissionner et perdre tous leurs droits car ils n'en peuvent plus d'être diffamés par net interposé... et ainsi de suite... j'ai été moi-même diffamée, je sais ce que sait. on dirait que toi, tu l'ignores. 

Tu ne semble pas voir se que je dis, car quand Repy a dit : "Quand on laisse dire des atrocités à des rappeurs de merde, il est normal de réagir." je lui ai répondu : "Si ces personnes vont trop loin de ce qu'ils disent, de la façon qu'ils le disent, les expressions qu'ils utilisent alors oui je ne dis pas le contraire. Par contre il faudra voir avec cette loi jusqu'où une personne pourra dire des choses, sans aller trop loin dans les expressions, quand elle n'est pas d'accord avec telle(s) personne(s).".

Donc pour des actes,... qui vont trop loin il est logique de sanctionné les personnes mais la chose qu'il faut voir avec cette loi dont pour l'instant on a peu d'infos, dont ils n'ont même pas parlé aux infos télévisés,..., c'est jusqu'où ils vont allé. Car dans les autres exemples que j'ai donnés, trouves-tu normal le gouvernement cherche à savoir les critiques que les français ont dit chez eux envers le gouvernement en profitant des enfants à l'école ?

Il faut bien voir les choses sans aller trop loin ou l'inverse.

il y a 28 minutes, williams a dit :

Tu ne semble pas voir se que je dis, car quand Repy a dit : "Quand on laisse dire des atrocités à des rappeurs de merde, il est normal de réagir." je lui ai répondu : "Si ces personnes vont trop loin de ce qu'ils disent, de la façon qu'ils le disent, les expressions qu'ils utilisent alors oui je ne dis pas le contraire. Par contre il faudra voir avec cette loi jusqu'où une personne pourra dire des choses, sans aller trop loin dans les expressions, quand elle n'est pas d'accord avec telle(s) personne(s).".

Donc pour des actes,... qui vont trop loin il est logique de sanctionné les personnes mais la chose qu'il faut voir avec cette loi dont pour l'instant on a peu d'infos, dont ils n'ont même pas parlé aux infos télévisés,..., c'est jusqu'où ils vont allé. Car dans les autres exemples que j'ai donnés, trouves-tu normal le gouvernement cherche à savoir les critiques que les français ont dit chez eux envers le gouvernement en profitant des enfants à l'école ?

Il faut bien voir les choses sans aller trop loin ou l'inverse.

donc tu ne sais rien mais déjà, tu veux porter la controverse... à cela, je dis que c'est idiot. 

il y a une heure, jacky29 a dit :

donc tu ne sais rien mais déjà, tu veux porter la controverse... à cela, je dis que c'est idiot. 

Je n'ai pas dis que je sais rien mais qu'on ne sais pas tout, donc ne passe pas d'une extrémité à une autre. Et comme d'autres je suppose, j'ai créé se post pour que des personnes en soit au courent car même si toi tu en été peut-être déjà au courant certain ne devaient pas en être puisque comme je l'ai dis voilà qu'aux infos TV ou radio... ils en n'ont pas parlé et pas tellement sur internet.

Et on voit que tu te bases qu'au sujet de cette loi pour me criquer sans vraiment voir se que je dis et aussi sans répondre à ma question donc apprends à lire. Car j'ai dis "Donc pour des actes,... qui vont trop loin il est logique de sanctionner les personnes..." ce qui va avec les exemples que tu as donné comme quand tu parles d'employé diffamé,... où là ça va trop loin. Donc je ne vois pas pourquoi tu dis ceci.

Le 13/05/2020 à 11:55, williams a dit :

Depuis que Macron est au pouvoir voilà que la liberté de communication semble diminuer. En juin 2017, l’Elysée inquiétait les journalistes sur la liberté de la presse.

En 2019 et voir à nouveau en janvier 2020 il y a eu la proposition de loi contre la cyberhaine qui veut dire punir enfin les auteurs de haine en ligne, mais qui a été contestée pour certaines raisons. Voilà que cette loi revient aujourd'hui. Jusqu'où va aller cette loi sur ce que les français pourront dire et ne pas dire ??

....

J'aimerais bien que tous les moyens soient employés pour détecter, bloquer et mettre hors d'état de nuire tous les échanges entre djihadistes et leurs sympathisants "dormants" pour que l'on soit débarassés de cette engeance islamiste qui ne rêve que de tuer et de détruire tout ce qui n'est pas islam rigoriste.

La République a survécu en 1961 parce que De Gaulle avait réclamé que tous les moyens soient employés contre l'OAS et son "quarteron de généraux en retraite" .

Effectivement tous les moyens de l'époque ont été employés et l'OAS a été battue et heureusement pour la démocratie.

Concernant l'islamisme actuel il en va de même !

 pendant qu'on y est, il faut aussi débloquer les précautions de vierge effarouchée de la CNIL : qu'on autorise les regroupements des fichiers départementaux des aides sociales ( allocation, primes diverses etc...) qui permettent à des musulmans polygames de cumuler des avantages financiers juteux au détriment des finances publiques.

Avant d'augmenter les impôts et taxes, il serait sage de faire le nettoyage du pognon siphonné par divers margoulins de tous poils (islamistes ou non).

Oui à l'impôt, non au gaspillage éhonté.

il y a 43 minutes, williams a dit :

Je n'ai pas dis que je sais rien mais qu'on ne sais pas tout, donc ne passe pas d'une extrémité à une autre. Et comme d'autres je suppose, j'ai créé se post pour que des personnes en soit au courent car même si toi tu en été peut-être déjà au courant certain ne devaient pas en être puisque comme je l'ai dis voilà qu'aux infos TV ou radio... ils en n'ont pas parlé et pas tellement sur internet.

Et on voit que tu te bases qu'au sujet de cette loi pour me criquer sans vraiment voir se que je dis et aussi sans répondre à ma question donc apprends à lire. Car j'ai dis "Donc pour des actes,... qui vont trop loin il est logique de sanctionner les personnes..." ce qui va avec les exemples que tu as donné comme quand tu parles d'employé diffamé,... où là ça va trop loin. Donc je ne vois pas pourquoi tu dis ceci.

allez! encore un complot! j'en ai assez! continue à délirer sans moi. merci.

Le démontage point par point de la loi avia ....

après 10 minutes .  Excellent

https://etudiant.lefigaro.fr/article/censure-menaces-violences-la-difficile-liberte-d-expression-dans-les-universites-francaises_16709950-d0d2-11ea-ab5c-a9f66a0b9ed5/

Censure, menaces, violences: la difficile liberté d’expression dans les universités françaises

Une conférence sur Napoléon? Déprogrammée. Une pièce de théâtre grecque antique? Reportée. Un cours de «prévention de la radicalisation»? Ajourné. Ces derniers mois, dans les grandes écoles et universités françaises, de nombreux événements ont été annulés à la suite de menaces proférées par certains étudiants ou militants aux chefs d’établissements. Faut-il s’inquiéter de la disparition de la liberté d’expression dans les universités françaises? Au sein de la communauté universitaire, de multiples voix commencent à s’élever pour dénoncer une censure de plus en plus importante.

Gilles Denis, maître de conférences à l’université de Lille  a observé, il y a quelques années, l’éclosion de ce nouveau phénomène importé des États-Unis.

«L’influence des universités américaines est de plus en plus forte dans les établissements français. Cela a commencé tout doucement il y a environ cinq ans, avec de premières entraves à la liberté d’expression, notamment sur les questions de laïcité. Ensuite, ça n’a fait que se multiplier. La presse a médiatisé certains de ces abus, mais en réalité, il y en a beaucoup d’autres dont on ne parle pas», affirme le maître de conférences.

en octobre, l’intervention de la philosophe Sylviane Agacinski à l’université Bordeaux Montaigne est annulée. Cette dernière devait évoquer «L’être humain à l’époque de sa reproductibilité technique». Une conférence que l’université a décidé de déprogrammer face aux menaces de violences d’associations étudiantes locales comme Solidaires Étudiant.e.s, Riposte Trans (Collectif trans et non binaire) ou GRR (Collectif étudiant anti-patriarcat), reprochant à la philosophe d’être opposée à la PMA (procréation médicalement assistée) pour toutes.

«Elle disait que j’étais pour le viol des femmes, pour la pédophilie, que j’étais une complice du patriarcat», raconte la philosophe.

Quelques semaines plus tard, en novembre 2019, c’est au tour de François Hollande de subir les foudres de quelques manifestants. L’ancien président de la République qui devait tenir une conférence à l’université de Lille, en est empêché par l’envahissement de l’amphithéâtre. Une centaine de personnes y dénoncent la précarité étudiante. Un agent de l’université est blessé pendant la manifestation, les exemplaires du livre de François Hollande sont déchirés.

Selon Gilles Denis, de «Vigilance Universités», ces nouveaux mouvements étudiants s’appuient sur un courant relativiste importé des pays anglosaxons. «C’est une école de pensée qui considère que le genre, la couleur de peau, la sexualité d’une personne la définit entièrement. Pour eux, vous n’êtes rien d’autre que ce que vous représentez», explique-t-il. Olivier Vial abonde: «Il y a de plus en plus de maîtres de conférences qui alimentent ce courant-là. Cela permet aux militants de draper leurs revendications dans une sorte de scientificité, ce qu’ils ne pouvaient pas faire auparavant.»

https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2020/07/24/qui-est-vraiment-bari-weiss-la-journaliste-qui-vient-de-demissionner-du-new-york-times_6047197_4500055.html

Bari Weiss, la journaliste qui vient de démissionner du « New York Times »

Autoproclamée « centriste penchant à gauche », ­pourfendeuse de l’extrême gauche, Bari Weiss est taxée de conservatisme par ses détracteurs. Elle s’est attiré les foudres de la gauche en critiquant des organisatrices de la Marche des femmes, au lendemain de l’investiture de Donald Trump, ou en mettant en avant des « iconoclastes » censurés, soutient-elle, par les médias « bien pensants ».

Non sans ironie, ­l’essayiste, réputée pour avoir mis en cause certains de ses professeurs lorsqu’elle était étudiante, a dénoncé les attaques de « l’extrême gauche » contre la liberté de parole sur les campus. Parfois avec justesse, elle s’est alarmée des dérives du mouvement #metoo ou a défendu un droit à l’appropriation culturelle, fustigé par les mouvements antiracistes.

https://www.lefigaro.fr/international/le-statut-de-victime-sert-de-pretexte-a-la-prise-de-pouvoir-20200724