Sommes nous obligés d'aimer notre mére ?

Nous avons beau lui en vouloir, la détester parfois, jamais nous ne nous autorisons à dire : « Je ne l’aime pas. » Notre mère reste une icône intouchable, sacrée. Décryptage du plus ambivalent des sentiments.

L’être humain est le seul « animal » avec cette particularité même si nous pouvons observer des cas similaires à travers d’autres espèces animales, l’homme est le seul à pousser les sentiments dans leur paroxysme.

Nous sommes programmé par des millions d’années d’évolution à cet effet, c’est pour cela que notre mère, notre père, notre famille et nos amis provoqueront toujours ces sentiments dans nos têtes. Et nous amènent à faire parfois des actions contre nos envies et désirs.

Mais es bénéfique ou tout le contraire ?Les sentiments dans leur généralité deviennent souvent un obstacle pour notre conscience.  

Bonjour

Non et inversement . Des fois c'est nécessaire de " foutre le camp " comme dirait Brel :o)

il y a 26 minutes, N1-_DiO_- a dit :

L’être humain est le seul « animal » avec cette particularité même si nous pouvons observer des cas similaires à travers d’autres espèces animales, l’homme est le seul à pousser les sentiments dans leur paroxysme.

Nous sommes programmé par des millions d’années d’évolution à cet effet, c’est pour cela que notre mère, notre père, notre famille et nos amis provoqueront toujours ces sentiments dans nos têtes. Et nous amènent à faire parfois des actions contre nos envies et désirs.

Mais es bénéfique ou tout le contraire ?Les sentiments dans leur généralité deviennent souvent un obstacle pour notre conscience.  

Je pense que çà peux etre bénéfique, comme partir pour mizux revenir??

il y a 24 minutes, eriu a dit :

Bonjour

Non et inversement . Des fois c'est nécessaire de " foutre le camp " comme dirait Brel :o)

 

Oui Et tu m'a donnée l'idée d'un autre post  "Sommes nous obligés d'aimer nos enfants?"

Non tu peux fuguer, faire croire à un enlèvement et subir une chirugie esthétique avant de vivre avec un faux passeport comme pour les millions d'enfants recherchés. 

il y a 4 minutes, Fuck Them All a dit :

Non tu peux fuguer, faire croire à un enlèvement et subir une chirugie esthétique avant de vivre avec un faux passeport comme pour les millions d'enfants recherchés. 

Scénario pas mal  rires  

il y a 54 minutes, zeyas a dit :

Je pense que çà peux etre bénéfique, comme partir pour mizux revenir??

Je pense pas personnellement, les sentiments même bons au premier regard amènent vers l’opposé, l’amour amène à la jalousie, la haine... S’il te serait donné la possibilité de les supprimer dans leur entièreté, accepterais-tu ? 
 

Si dieu existe, il n’a pas de sentiments, comment pourrait-il fermer les yeux sur la tristesse de ce monde ?

Enlève les sentiments et tu n’utiliseras plus que ta conscience, tu mets un terme à l’instinct.

Pour ma part je suis un peu « bouddhiste » sur ce domaine, les sentiments tels qu’ils sont nuisent à la vie d’un homme et à sa santé mentale.

il y a 6 minutes, N1-_DiO_- a dit :

Je pense pas personnellement, les sentiments même bons au premier regard amènent vers l’opposé, l’amour amène à la jalousie, la haine... S’il te serait donné la possibilité de les supprimer dans leur entièreté, accepterais-tu ? 
 

Si dieu existe, il n’a pas de sentiments, comment pourrait-il fermer les yeux sur la tristesse de ce monde ?

Enlève les sentiments et tu n’utiliseras plus que ta conscience, tu mets un terme à l’instinct.

Pour ma part je suis un peu « bouddhiste » sur ce domaine, les sentiments tels qu’ils sont nuisent à la vie d’un homme et à sa santé mentale.

J'aime bien la philosophie bouddiste et je la pratique comme toi apparament "sourire"

il y a 5 minutes, zeyas a dit :

J'aime bien la philosophie bouddiste et je la pratique comme toi apparament "sourire"

Et dans la société actuelle, tu as encore plus raison de partager cette vision bouddhiste 

La société nous oblige à aimer et respecter nos parents ou enfants sauf que dans les faits ce n'est pas la même musique. 

Nos sentiments sont souvent disproportionnés via la famille : Amour, rancoeur, colère, haine...on peut dire qu'on n'aime pas sa mère quand aucun sentiment ne sort pour elle ou oui, j'aime ma mère parce que c'est le sentiment qui parle.

On peut avoir aucun sentiment  même avec ces propres parents ou enfants. On s'en fiche comme notre première liquette oui ça c'est possible.

il y a 4 minutes, Bad dog a dit :

La société nous oblige à aimer et respecter nos parents sauf que dans les faits ce n'est pas la même musique. 

Nos sentiments sont souvent disproportionnés via la famille : Amour, rancoeur, colère, haine...on peut dire qu'on n'aime pas sa mère quand aucun sentiments ne sort pour elle ou oui, j'aime ma mère parce que c'est le sentiment qui parle.

On peut ne pas avoir de sentiment même avec ces propres parents ou enfants. 

Il y a 5 heures, zeyas a dit :

Nous avons beau lui en vouloir, la détester parfois, jamais nous ne nous autorisons à dire : « Je ne l’aime pas. » Notre mère reste une icône intouchable, sacrée. Décryptage du plus ambivalent des sentiments.

 

Sommaire

1. Une obligation sociale
2. Une relation fusionnelle
3. La « dette originelle »
4. La peur d’être comme elle
5. La quête de l’indifférence
6. « Chez les espèces qui n’ont qu’un seul petit à la fois, on peut parler d’amour »
7. Boris Cyrulnik : « On construit ce lien toute sa vie »

il y a 5 minutes, Passiflore a dit :

 

Ma réponse est la même que celle que j'ai donnée concernant le père :

 

certaines mères ne savent tout simplement pas être des mamans, aimantes, attentionnées.

Certaines au contraire, bien que n'ayant pas eu l'attention et les démonstrations de tendresse (de la part de leur mère ou de leur père) indispensables à un bon épanouissement, s'emploient à apporter à leurs enfants ce dont elles ont été privées.

Aucun homme, aucune femme ne réagit de la même manière ; il y a le vécu de chacun et sa personnalité propre le faisant agir de telle façon ou de telle autre.

 

Des hommes et des femmes pareils........

Nous éprouvons, malgré nous, de la reconnaissance envers ceux qui nous ont donné la vie. Mais, comme dit Montesquieu, la reconnaissance est un lourd fardeau, et comme tel, il doit être secoué.

Flûteee, pas moyen d'enlever c'truc !!

Bon, je remets ma réponse :

Ma réponse est la même que celle que j'ai donnée concernant le père :

certaines mères ne savent tout simplement pas être des mamans, aimantes, attentionnées.

Certaines au contraire, bien que n'ayant pas eu l'attention et les démonstrations de tendresse (de la part de leur mère ou de leur père) indispensables à un bon épanouissement, s'emploient à apporter à leurs enfants ce dont elles ont été privées.

Aucun homme, aucune femme ne réagit de la même manière ; il y a le vécu de chacun et sa personnalité propre le faisant agir de telle façon ou de telle autre.

Rien ni personne ne nous y oblige.

Il y a 6 heures, zeyas a dit :

Nous avons beau lui en vouloir, la détester parfois, jamais nous ne nous autorisons à dire : « Je ne l’aime pas. » Notre mère reste une icône intouchable, sacrée. Décryptage du plus ambivalent des sentiments.

 

 

Et pourtant, nous sommes en droit de ne pas aimer quelqu'un, fusse t-elle notre mère, si elle ne s'est pas comportée comme telle. 

Je crois que "aimer" et la notion "d'obligation" est un peu antinomique...aimer ne se décide pas, ne se commande pas, donc on ne pas s'obliger à aimer...c'est là ou pas.

il y a 6 minutes, Talon 1 a dit :

Nous éprouvons, malgré nous, de la reconnaissance envers ceux qui nous ont donné la vie. Mais, comme dit Montesquieu, la reconnaissance est un lourd fardeau, et comme tel, il doit être secoué.

Généralisation sans fondement. 

Quand tu t'exprimes, le "je" est souvent préférable au "nous".