Que veut dire: vaincre sa peur

il y a 48 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

La douleur c'est estimé négatif et l'indolore positif. Leur discernement se fait dans leur opposition c'est à dire que l'un n'est pas l'autre.

Votre concept de "douleur/indolore" m'a fait réfléchir un moment. Durant quelques instants je me suis même posé la question d'est-ce qu'il ne serait pas l'explication de l'existence même... Cependant j'ai vite repris mes esprits !!

Cher @Boutetractyxreqs ce qui anime les êtres vivant n'est pas la douleur/indolore, mais bien la volonté de puissance. La preuve irréfutable c'est votre "volonté" de vouloir imposer votre concept de douleur/indolore sur ce forum aux autres forumeurs ! Il s'agit là de la manifestation de votre volonté de puissance.

Effectivement la douleur/indolore est intéressant à étudier, mais en fin de compte il ne représente pour moi que ce qu'on appel communément l'instinct de survie ! Ou plus précisément en biologie le système de récompense / renforcement. Je vous concède tout de même que l'instinct de survie est une forme particulière ou encore un sous-ensemble d'un concept plus large qui est la volonté de puissance.

Enfin, je voudrais souligner que (chez l'animal comme chez l'humain) on peut même observer une sorte de transcendance à l'instinct de survie (douleur/indolore) lorsqu'il s'agit par exemple chez la femelle de protéger ses petits (l'instinct maternel) au prix de sa propre vie : Ce qui finalement relève également d'une volonté de puissance et plus précisément de ce que j'appelle une volonté de survie de l'espèce... !

il y a 2 minutes, InstantEternité a dit :

Votre concept de "douleur/indolore" m'a fait réfléchir un moment. Durant quelques instants je me suis même posé la question d'est-ce qu'il ne serait pas l'explication de l'existence même... Cependant j'ai vite repris mes esprits !!

Cher @Boutetractyxreqs ce qui anime les êtres vivant n'est pas la douleur/indolore, mais bien la volonté de puissance. La preuve irréfutable c'est votre "volonté" de vouloir imposer votre concept de douleur/indolore sur ce forum aux autres forumeurs ! Il s'agit là de la manifestation de votre volonté de puissance.

Effectivement la douleur/indolore est intéressant à étudier, mais en fin de compte il ne représente pour moi que ce qu'on appel communément l'instinct de survie ! Ou plus précisément en biologie le système de récompense / renforcement. Je vous concède tout de même que l'instinct de survie est une forme particulière ou encore un sous-ensemble d'un concept plus large qui est la volonté de puissance.

Enfin, je voudrais souligner que (chez l'animal comme chez l'humain) on peut même observer une sorte de transcendance à l'instinct de survie (douleur/indolore) lorsqu'il s'agit par exemple chez la femelle de protéger ses petits (l'instinct maternel) au prix de sa propre vie : Ce qui finalement relève également d'une volonté de puissance et plus précisément de ce que j'appelle une volonté de survie de l'espèce... !

Je suis impuissant à ne pas accepter la douleur soit le négatif et puissant à n'accepter que l'indolore soit le positif.

il y a 3 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

Je suis impuissant à ne pas accepter la douleur soit le négatif et puissant à n'accepter que l'indolore soit le positif.

Oui mais ce qui coince c'est que parfois la recherche de puissance est justement dans la douleur ! 

Ce qui me fait revenir au sujet de ce topic : En effet, la peur ou plutôt la recherche de la vaincre n'est pas non plus un lite-motive existentiel. Car la recherche de puissance est toujours accompagnée d'une certaine angoisse et d'une certaine prise de risque.

On revient toujours à la question de départ concernant la philosophie de Nietzsche là où cela peut justement coincer pour la volonté de puissance c'est lorsque les concepts moraux entre en jeu, en d'autre termes : "faut-il tendre l'autre joue"... ou pas ?!

il y a 1 minute, InstantEternité a dit :

Oui mais ce qui coince c'est que parfois la recherche de puissance est justement dans la douleur ! 

Ce qui me fait revenir au sujet de ce topic : En effet, la peur ou plutôt la recherche de la vaincre n'est pas non plus un lite-motive existentiel. Car la recherche de puissance est toujours accompagnée d'une certaine angoisse et d'une certaine prise de risque.

On revient toujours à la question de départ concernant la philosophie de Nietzsche là où cela peut justement coincer pour la volonté de puissance c'est lorsque les concepts moraux entre en jeu, en d'autre termes : "faut-il tendre l'autre joue"... ou pas ?!

La peur est raisonnée quand elle est justifiée et elle pousse à faire le bon choix.

Il y a 10 heures, Ambre Agorn a dit :

Tu as été chasseur?

Je pensais surtout à un ouvrage qui m'a, autrefois, occupé quelques temps. Il s'intitule: le voyage à Ixtlan. Dans un des chapitres il est justement question de devenir chasseur. C'est ce chasseur là qui m'intéresse, les qualités qu'il acquiert.

Et oui, je pense que cela implique un changement en profondeur.

Il y a 20 heures, Ambre Agorn a dit :

Je suis tombée sur un os, et je veux vous en parler (pourquoi pas!)

J'ai toujours entendu qu'il fallait vaincre sa peur. Bon, pourquoi pas, vu que j'y vois un certain intérêt.

Jusqu'à ce que je tombe carrément sur une de mes peurs de la façon la plus flagrante, ou elle m'est tombée dessus...ou alors ce doit être quand j'ai courru plus vite que mon ombre pour fuir!

Une fois au chaud près de mon feu de camp, à côté de ma tente, tremblant de tous mes membres, j'essayais de relativiser pour me rassurer.

A force de me retrouver dans ces situations, j'ai fini par percuter que je ne faisais pas face à mes peurs! (oui bon je suis lente, merci mes origines!!!)

Faire face à ses peurs? Donc déjà les repérer: peur du noir, peur d'être enfermé, peur de...etc. Oui mais alors comment vaincre chaque peur sans pour autant perdre tout son temps en demi batailles. Est-ce que tout ça ne cachait pas une seule et même peur?

J'en suis arrivée à me dire que la peur se retrouvait en chaque proie, en chaque victime. Et donc, facile: il suffit de supprimer tous les prédateurs et ...plus de proies. Oui oui, tout est bon surtout quand on n'est pas responsable. Mais ça ne m'allait toujours pas: infaisable

Il n'y a pas à tortiller, ça vient de moi, hein: il faut donc supprimer toutes les proies à commencer par moi.

Arf! Dur dur! Par quoi commencer.

Déjà: peur et proie, qu'ont-elles en commun? Juste la peur de mourir. Donc supprimer la peur de mourir.

Je suis sortie de ma cabane en bois (et oui j'évolue à la vitesse de mes neurones! Encore merci pour mes origines!), et j'ai essayé de trouver comment vaincre ma peur, ma peur de la mort.

Pour ça j'ai pris mon arc et mes flèches (ha! là je reconnais encore mes origines!), et je suis partie faire le prédatrice, la chasseresse. Et bien la seule chose que j'ai pu retenir, c'est qu'il fait froid à ne pas bouger, heu...non, après j'ai compris que les proies étaient faciles à chasser une fois que l'on connaissait leurs habitudes! Bravo! Donc il faut que je change mes habitudes.

Nouveau travail: m'observer pour découvrir mes habitudes et faire l'inverse. Ha! Non, pas l'inverse: ce serait des habitudes en négation! Donc faire des trucs inhabituels, des trucs habituels, des trucs sages et des trucs fous! C'est complètement fou, parce qu'en essayant de faire autre chose, je me suis mis d'autres habitudes. MAis alors comment faire.

On recommence: ne plus être une proie. Une proie pour qui? Une proie pour tout autre être humain, ok. Mais ça ne me semble pas suffisant. Je suis une proie aussi face à moi: pfff! ça commence à être galère!

Je ne vois qu'une solution: me traquer comme une proie et faire la même chose qu'avec les lapin et autre chevreuil.

Je refais un point: pour vaincre ma peur, il faut que j'arrête d'être une proie, une victime. Mais alors je deviens prédateur. C'est nul un prédateur, parce que ça sous-entends une ou des victimes/proies.Suis-je dans une impasse? Pourquoi sortir du problème de la proie pour se retrouver de l'autre côté du miroir?

Pour voir si je suis dans une impasse, je vais aller jusqu'au bout, et voir si ça mène quelque part

Une fois que je serai devenu la meilleure chasseresse, la meilleure prédatrice, que je ne sois la proie de plus personne, quel point je pourrais alors faire? Tout et tous sont à ma merci. Je décide quand et comment prendre une vie, même si je me limite à ma faim, rien ne dit que ma faim ne va pas aller en augmentant, ni que l'ennuie m'inventera de nouvelles envies. Oui, c'est vraiment pas idilique comme position, car en tant que proie actuelle (j'ai toujours peur de la mort), le préateur ne m'attire pas vraiment.

Et hier j'ai introduit le temps, ou plutôt je l'ai enlevé. Et ça a donné ça: Je suis la proie et je me prédate pour supprimer la proie en moi. Seconde étape, je suis la prédateur et je chasse...la proie qui est en moi. Si la proie disparaît, le prédateur disparaît. Le temps disparaît aussi; le temps, en disparaissant, supprime la dualité de mon être. En supprimant la proie en moi, je deviens le prédateur qui la supprime et supprime pour le même coup la dualité qui s'affronte en moi.

J'ai bon ou pas?

 

Une femme pourra comprendre.

Si vous voulez être une proie, conservez la peur car elle est nécessaire.

Si vous voulez être une chasseresse, conservez la peur, elle vous sera nécessaire lorsque vous réaliserez que tout chasseur est aussi une proie.

Si vous voulez être une offrande à toute bouche qui aura faim de vous, il ne sert à rien d'avoir peur, vous n'en aurez aucun besoin, parce que vous serez immortelle.

Il y a 4 heures, ÈléonoreK a dit :

Une femme pourra comprendre.

Si vous voulez être une proie, conservez la peur car elle est nécessaire.

Si vous voulez être une chasseresse, conservez la peur, elle vous sera nécessaire lorsque vous réaliserez que tout chasseur est aussi une proie.

Si vous voulez être une offrande à toute bouche qui aura faim de vous, il ne sert à rien d'avoir peur, vous n'en aurez aucun besoin, parce que vous serez immortelle.

Donc si j'ai peur, c'est que j'aurai voulu garder une part de moi qui aura été demandée? Ou alors c'est que je n'aurai pas encore vu que je ne peux être que celle qui se donne. Il me suffit donc d'accepter ...ma grandeur, ou plutôt ma taille, qui n'est ni grande ni petite, mais suffisante pour être entièrement donnée!

@Ambre Agorn  de quoi s'agit-il exactement

1/ Peur de la mort ?  2/ Peur des autres ?    3/Peur de vous même ?

Evidemment ce que je trouve le plus interessant c'est le 3, le conflit avec soi-meme, parce qu'il est deja la preuve d'une grande richesse intérieure.

Surtout si on considère une lutte entre la sensualité et la spiritualité, le désir profond de perdre le contrôle et la peur de sombrer, une lucidité sur soi-même et la nécessité de se cramponner a quelque chose ou quelqu'un de solide.

Je n'ai plus qu'une seule peur : mourir avant ma femme. Le malheur est pour ceux qui restent.

Si un jour je réussissais (ce dont je doute fort) à sauter dans l'eau là où je n'ai pas pied, je réussirais à surmonter ma peur panique de l'eau...

Ma grande peur c de claquer sans avoir le fric que j'ai sur mon compte..Pas facile de gérer un avenir hypothétique 

Il y a 2 heures, hell-spawn a dit :

@Ambre Agorn  de quoi s'agit-il exactement

1/ Peur de la mort ?  2/ Peur des autres ?    3/Peur de vous même ?

Evidemment ce que je trouve le plus interessant c'est le 3, le conflit avec soi-meme, parce qu'il est deja la preuve d'une grande richesse intérieure.

Surtout si on considère une lutte entre la sensualité et la spiritualité, le désir profond de perdre le contrôle et la peur de sombrer, une lucidité sur soi-même et la nécessité de se cramponner a quelque chose ou quelqu'un de solide.

Ha! Hell-spawn, bienvenu ici!

Essayez-vous de diriger ma réponse, ou de dire ce que vous aimeriez entendre, ou une perche pour me montrer que vous sentez de quoi je parle?

J'ai un léger soucis de conscience: je sais exactement ce qu'il faut que je vous dise suivant les buts ou les réactions que je veux que vous ayez...

Alors je vais être franche, ou en tout cas le plus rapprochant possible selon ma conscience.  Je veux voir si vous pouvez m'étonner dans votre réponse (ne prenez surtout pas mal ce que je dis là, car je me rend compte que j'aime causer avec vous, parce que vos réactions sont, pour moi, comment dire, un peu famillières...)

Alors oui, j'ai peur de la mort. Je le sais, parce que la mort m'a frôlé ou en tout cas je l'ai cru, et j'ai eu très peur.

Je ne dirai pas que j'ai peur des autres car, en réalité, j'ai peur de moi-même, ou pluôt peur d'une partie de moi-même. Pourquoi? C'est délicat à dire. Comprendriez-vous si je vous dis que j'ai peur de ne pas me donner suffisemment? Peur de ce que je veux garder pour moi, parce que si je n'arrive pas à m'en séparer, j'ai peur de m'y perdre entièrement dedans. Comprenez-vous?

Il y a 8 heures, ÈléonoreK a dit :

Une femme pourra comprendre.

Si vous voulez être une proie, conservez la peur car elle est nécessaire.

Si vous voulez être une chasseresse, conservez la peur, elle vous sera nécessaire lorsque vous réaliserez que tout chasseur est aussi une proie.

Si vous voulez être une offrande à toute bouche qui aura faim de vous, il ne sert à rien d'avoir peur, vous n'en aurez aucun besoin, parce que vous serez immortelle.

 

Dans ces quelques mots se trouve une vision qui dépasse les logiques ou les nécessités de ce monde. Un acte majestueux, s'il en est. Je me sens comme une feuille d'automne, tremblante et promise à la pourriture, qui arrachée à l'arbre, s'abandonne à cette autre Vie.

il y a 4 minutes, Junayd a dit :

Dans ces quelques mots se trouve une vision qui dépasse les logiques ou les nécessités de ce monde. Un acte majestueux, s'il en est. Je me sens comme une feuille d'automne, tremblante et promise à la pourriture qui, arrachée à l'arbre, s'abandonne à cette autre Vie.

Ne vous abandonnez pas, et allez-y parce que vous avez décider d'être ce pour quoi vous êtes cette feuille. Donnez-vous au lieu de vous abandonnez, terminez le cycle parce que vous avez décidé que c'était bon pour vous et pour l'ordre, et non pas parce que tout semble écrit d'avance.

Je parle plus pour moi que pour vous, mais le geste est le même

il y a 20 minutes, Ambre Agorn a dit :

Ne vous abandonnez pas, et allez-y parce que vous avez décider d'être ce pour quoi vous êtes cette feuille. Donnez-vous au lieu de vous abandonnez, terminez le cycle parce que vous avez décidé que c'était bon pour vous et pour l'ordre, et non pas parce que tout semble écrit d'avance.

Je parle plus pour moi que pour vous, mais le geste est le même

Je comprend votre, juste, remarque.

Il faudra certainement encore mourir pour vouloir mourir. 

Il y a 11 heures, Ambre Agorn a dit :

Ha! Hell-spawn, bienvenu ici!

Essayez-vous de diriger ma réponse, ou de dire ce que vous aimeriez entendre, ou une perche pour me montrer que vous sentez de quoi je parle?

J'ai un léger soucis de conscience: je sais exactement ce qu'il faut que je vous dise suivant les buts ou les réactions que je veux que vous ayez...

Alors je vais être franche, ou en tout cas le plus rapprochant possible selon ma conscience.  Je veux voir si vous pouvez m'étonner dans votre réponse (ne prenez surtout pas mal ce que je dis là, car je me rend compte que j'aime causer avec vous, parce que vos réactions sont, pour moi, comment dire, un peu famillières...)

Alors oui, j'ai peur de la mort. Je le sais, parce que la mort m'a frôlé ou en tout cas je l'ai cru, et j'ai eu très peur.

Je ne dirai pas que j'ai peur des autres car, en réalité, j'ai peur de moi-même, ou pluôt peur d'une partie de moi-même. Pourquoi? C'est délicat à dire. Comprendriez-vous si je vous dis que j'ai peur de ne pas me donner suffisemment? Peur de ce que je veux garder pour moi, parce que si je n'arrive pas à m'en séparer, j'ai peur de m'y perdre entièrement dedans. Comprenez-vous?

Deja la peur de la mort est fort répandue, bien peu s'en affranchissent.

Peur de vous meme c'est deja nettement plus rare et plus interessant.

Si vous avez peur de ne pas vous donner suffisamment c'est étrange car pourquoi avoir peur de retenir du positif ?

Je comprendrais mieux si vous disiez que vous avez peur de vous donner trop ( conflit entre le sensuel et le spirituel )

Il y a 15 heures, Ambre Agorn a dit :

Donc si j'ai peur, c'est que j'aurai voulu garder une part de moi qui aura été demandée? Ou alors c'est que je n'aurai pas encore vu que je ne peux être que celle qui se donne. Il me suffit donc d'accepter ...ma grandeur, ou plutôt ma taille, qui n'est ni grande ni petite, mais suffisante pour être entièrement donnée!

Oui, je crois que vous m'avez bien comprise. Merci.

Il y a 17 heures, Ambre Agorn a dit :

Comprendriez-vous si je vous dis que j'ai peur de ne pas me donner suffisemment? Peur de ce que je veux garder pour moi, parce que si je n'arrive pas à m'en séparer, j'ai peur de m'y perdre entièrement dedans. Comprenez-vous?

Ce n'est vraiment pas trés clair, ce me semble meme assez chaotique.

J'étais fixé sur la femme qui a peur de se donner trop car c'est pour moi le type de femme le plus abouti et le plus intéressant, mais si ce n'est pas cela alors ce que je peux voir dans " une femme qui a peur de ne pas se donner assez", c'est un conflit entre sa part masculine et féminine.

Vous n'arrêtez pas de citer alternativement la proie et le prédateur = le féminin et le masculin ?

Peur d'être une mauvaise mère ? Peur de ne pas aimer assez les personnes qui en ont besoin ?

Il y a 2 heures, hell-spawn a dit :

Ce n'est vraiment pas trés clair, ce me semble meme assez chaotique.

J'étais fixé sur la femme qui a peur de se donner trop car c'est pour moi le type de femme le plus abouti et le plus intéressant, mais si ce n'est pas cela alors ce que je peux voir dans " une femme qui a peur de ne pas se donner assez", c'est un conflit entre sa part masculine et féminine.

Vous n'arrêtez pas de citer alternativement la proie et le prédateur = le féminin et le masculin ?

Peur d'être une mauvaise mère ? Peur de ne pas aimer assez les personnes qui en ont besoin ?

En fait tout ce que je voulais dire à été dis, et j'ai trouvé une réponse qui m'allait. Mais si vous me posez des questions, c'est que vous, vous n'avez pas tout compris, et il m'est aussi important de clarifier ma pensée pour qu'on m'entende que comprendre ce qu'on me dit. Je vais onc essayer de comprendre où vous n'avez pas compris, pour essayer de mieux m'exprimer pour vous.

Pourquoi étiez-vous fixé sur une telle femme? (je remarque que vous utilisez l'imparfait, ce n'est donc plus le cas?) Je veux dire qu'à partir du moment où vous êtes fixé sur quelque chose, vous n'évoluez plus. Pourquoi cette femme serait plus intéressante? Intéressante dans le sens où vous la comprendriez? Mais pourquoi? ce que vous ne comprenez pas, ne vous intéresse pas? La découverte ne vous intéresse pas?

Je vois ce que vous voulez dire quand vous dites:

Il y a 2 heures, hell-spawn a dit :

Vous n'arrêtez pas de citer alternativement la proie et le prédateur = le féminin et le masculin ?

Mais, au départ, je parlais vraiment de ne plus être la proie de mes peurs, la proie des hommes et même de certaines femmes, la proie des personnes détenant une certaine autorité, etc...

Je suis vite passée sur les heures de réflexions, qui m'on fait arriver au résultat, pour être la plus succincte possible. Alors je suis passée, dans le texte, de proie physique à proie mentale, parce que pour moi, on est d'abord une proie dans sa tête. Je ne faisais aucunement allusion au masculin/féminin, parce que je n'y ai pas pensé. Mais là, pour vous répondre et vous dire s'il y a un rapport, il faudrait que j'y réfléchisse un peu plus (bien qu'à première vue je dirai que non)

Et pour les deux dernières questions: non, pas du tout peur de ne pas assez aimer mes enfants ou mes proches!

Je ne sais pas si tout ceci vous a éclairé, mais je peux répondre à toutes les questions que vous poserez.

il y a une heure, Ambre Agorn a dit :

En fait tout ce que je voulais dire à été dis, et j'ai trouvé une réponse qui m'allait. Mais si vous me posez des questions, c'est que vous, vous n'avez pas tout compris, et il m'est aussi important de clarifier ma pensée pour qu'on m'entende que comprendre ce qu'on me dit. Je vais onc essayer de comprendre où vous n'avez pas compris, pour essayer de mieux m'exprimer pour vous.

Pourquoi étiez-vous fixé sur une telle femme? (je remarque que vous utilisez l'imparfait, ce n'est donc plus le cas?) Je veux dire qu'à partir du moment où vous êtes fixé sur quelque chose, vous n'évoluez plus. Pourquoi cette femme serait plus intéressante? Intéressante dans le sens où vous la comprendriez? Mais pourquoi? ce que vous ne comprenez pas, ne vous intéresse pas? La découverte ne vous intéresse pas?

Je vois ce que vous voulez dire quand vous dites:

Mais, au départ, je parlais vraiment de ne plus être la proie de mes peurs, la proie des hommes et même de certaines femmes, la proie des personnes détenant une certaine autorité, etc...

Je suis vite passée sur les heures de réflexions, qui m'on fait arriver au résultat, pour être la plus succincte possible. Alors je suis passée, dans le texte, de proie physique à proie mentale, parce que pour moi, on est d'abord une proie dans sa tête. Je ne faisais aucunement allusion au masculin/féminin, parce que je n'y ai pas pensé. Mais là, pour vous répondre et vous dire s'il y a un rapport, il faudrait que j'y réfléchisse un peu plus (bien qu'à première vue je dirai que non)

Et pour les deux dernières questions: non, pas du tout peur de ne pas assez aimer mes enfants ou mes proches!

Je ne sais pas si tout ceci vous a éclairé, mais je peux répondre à toutes les questions que vous poserez.

Oui la c'est plus clair, et j'ai envie de dire " ce n'est que cela ?", le choix entre le dominant et le dominé.

Mais la réponse que vous a faite Eleonore et que vous avez approuvé m'avait orienté dans une autre direction, plus profonde.

Pour le reste j'ai dit plus interessante car selon moi plus aboutie, j'ai pensé a Simone Weil.