Le Plaisir, le Bonheur

il y a 1 minute, lysiev a dit :

Rebondi pas trop, tu risques te faire mal 

Et alors adieu petit bonheur et petit plaisir ..non , en fait des fois certaines douleurs peuvent être plaisantes ..  

il y a 52 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

Fait rien. J'essayais de rebondir sur le post. Tout ce qui compte c'est que cela reste dans le sujet.

Faut vous suivre quand même , ce n'est pas gagné 

il y a 7 minutes, lysiev a dit :

Rebondi pas trop, tu risques te faire mal 

Serait ce des menaces ? 

il y a 7 minutes, eriu a dit :

Et alors adieu petit bonheur et petit plaisir ..non , en fait des fois certaines douleurs peuvent être plaisantes ..  

 

Faut vous suivre quand même , ce n'est pas gagné 

Les douleurs plaisantes sont indolores car la vraie douleur c'est négatif.

il y a 3 minutes, Boutetractyxreqs a dit :

Serait ce des menaces ? 

Les douleurs plaisantes sont indolores car la vraie douleur c'est négatif.

Je suis d'accord ..et d'ailleurs quel bonheur lorsqu'une douleur comme une rage de dents ou autre disparaît ..

il y a 26 minutes, lysiev a dit :

Le plaisir n'est pas le bonheur.

Les plaisirs sont de courte durée. Que le bonheur perdure.

Le plaisir s'est viscéral. Le bonheur spirituel.

Le plaisir a plus avoir avec prendre, le bonheur avec donner.

Le bonheur et le plaisir s'est positif.

Tu peux avoir du bonheur d'avoir une famille, cela n'empêche pas les souffrances.

Et d'avoir du plaisir en buvant un verre de vin sans notion de bonheur.

C'est mon avis 

Un verre de vin c'est du plaisir !

Deux verres de vin, c'est du plaisir :

Mais à partir de trois,

C'EST BU D'HONNEUR !...

DU BONHEUR ! JE VEUX DIRE ! HIC !

ET LE BONHEUR, C'EST A SONCOMMER AVEC MOTIVATION  ! HIC !

il y a une heure, lysiev a dit :

Le plaisir n'est pas le bonheur.

Les plaisirs sont de courte durée. Que le bonheur perdure.

Le bonheur peut être pensé et vécu comme une succession de plaisirs divers et variés selon les goûts et les aspirations de chacun et de moments de joie, éphémères ou de plus ou moins longue durée ; le plaisir et la joie sont vécus dans le cadre du bonheur personnel ressenti auprès de ceux que l'on aime.

On peut donner plusieurs définitions sans etre exhaustif, par exemple:

Le plaisir c'est de voir des êtres innocents ( qui n'ont nulle intention de nuire) heureux autour de soi, et le bonheur c'est quand nous sommes une des causes de leur joie, ce qui peut suffire a justifier notre existence.

Il y a 7 heures, Boutetractyxreqs a dit :

Serait ce des menaces ? 

 

Voilà comment on est remercier de s'inquiéter du bien être des autres 

il y a 20 minutes, lysiev a dit :

C'est la recette de quel plat ?

il y a 12 minutes, brooder a dit :

C'est la recette de quel plat ?

J'ai les ingrédients à toi de me dire 

il y a 16 minutes, lysiev a dit :

J'ai les ingrédients à toi de me dire 

Encore une recette de végane 

il y a 41 minutes, brooder a dit :

Encore une recette de végane 

Nann j'aime la viande 

Il y a 23 heures, lysiev a dit :

Nann j'aime la viande 

Bientôt on pourra manger notre dinde aux marrons sans en être les dindons

Il y a 13 heures, brooder a dit :

Bientôt on pourra manger notre dinde aux marrons sans en être les dindons

Tant que l'on se fait pas déplumé  

Pour en revenir à la racine du topic :

• Faut-il considérer le plaisir, (voire le bonheur) comme une chose en soi  positive?

Je me demande d'où vient ce faut-il/il faut. Au nom de quoi, faudrait-il considérer le plaisir voire le bonheur, comme une chose en soi positive ? et une chose en soi positive, c'est-à-dire dans l'absolu, cela est-il possible ? cela existe-t-il ? ... Ces dernières questions révèlent que le faut-il/il faut, est au nom de l'absolu, "en soi". Qui pourrait parler ainsi dans l'absolu ? est-ce possible ? cela existe-t-il ? dans l'absolu ? ... Enfin, une dernière question : pourquoi faudrait-il considérer le plaisir voire le bonheur, comme positifs dans l'absolu ?

Sur le pourquoi, on voit assez vite : c'est que communément, voire de bon sens, on se dit que le plaisir voire le bonheur, sont agréables. Mais l'agréable est-il l'utile ? ... Qu'on veuille joindre l'utile à l'agréable est aussi commun, c'est se vouloir pratique et se faciliter la tâche. Seulement, de telles choses communes sont-elles intéressantes ? pas forcément. Les facilités que l'on se donne dans l'existence, comme leur nom l'indique, nous facilitent la vie/la tâche. Oui, mais à quelle fin, et/ou avec quel effet ? ... Si c'est pour nous empâter, nous affaiblir, nous diminuer avec trop de facilités, on peut craindre pour notre survie, sans laquelle plus jamais il n'y a de plaisirs ni de bonheurs - sauf à considérer morbidement, que la mort est un bonheur éternel, un plaisir suprêmement jouissif ... Uh.

Donc on a compris que, de base, on voulait se faciliter la vie/la tâche. Tous les publicitaires ont compris cela, qui nous vendent "une vie rêvée" dans leurs mises en scène. C'est le mythe de l'âge d'or, de l'eden, et de la corne d'abondance : état paradisiaque. D'autres sont motivés pour le terrorisme, à cause de tels mythes placés "dans la vie future", par exemple. Est-ce positif ?

• Ou plutôt négative comme l'absence, l'élimination  de (toute) souffrance ou douleur ?

Il existe des personnes, dépourvues du sens du toucher. Elles ne ressentent jamais la douleur. C'est un vrai problème, quand leurs chairs crament sur une plaque de cuisson éteinte récemment utilisée. Parce que la brûlure reste réelle, peut s'infecter jusqu'à la mort, et de toutes façons les peaux mortes n'ont plus de souplesse et son hideuses.

Cela dit, Épicure n'était pas un hédoniste contrairement à ce qu'on raconte, et il cherchait tout simplement à vivre le moins malheureusement possible. Ça a au moins l'avantage de ne pas trop nous en demander. Au fond, Épicure voulait se faciliter la vie ...

il y a une heure, Marzhin a dit :

Pour en revenir à la racine du topic :

• Faut-il considérer le plaisir, (voire le bonheur) comme une chose en soi  positive?

Je me demande d'où vient ce faut-il/il faut. Au nom de quoi, faudrait-il considérer le plaisir voire le bonheur, comme une chose en soi positive ? et une chose en soi positive, c'est-à-dire dans l'absolu, cela est-il possible ? cela existe-t-il ? ... Ces dernières questions révèlent que le faut-il/il faut, est au nom de l'absolu, "en soi". Qui pourrait parler ainsi dans l'absolu ? est-ce possible ? cela existe-t-il ? dans l'absolu ? ... Enfin, une dernière question : pourquoi faudrait-il considérer le plaisir voire le bonheur, comme positifs dans l'absolu ?

Sur le pourquoi, on voit assez vite : c'est que communément, voire de bon sens, on se dit que le plaisir voire le bonheur, sont agréables. Mais l'agréable est-il l'utile ? ... Qu'on veuille joindre l'utile à l'agréable est aussi commun, c'est se vouloir pratique et se faciliter la tâche. Seulement, de telles choses communes sont-elles intéressantes ? pas forcément. Les facilités que l'on se donne dans l'existence, comme leur nom l'indique, nous facilitent la vie/la tâche. Oui, mais à quelle fin, et/ou avec quel effet ? ... Si c'est pour nous empâter, nous affaiblir, nous diminuer avec trop de facilités, on peut craindre pour notre survie, sans laquelle plus jamais il n'y a de plaisirs ni de bonheurs - sauf à considérer morbidement, que la mort est un bonheur éternel, un plaisir suprêmement jouissif ... Uh.

Donc on a compris que, de base, on voulait se faciliter la vie/la tâche. Tous les publicitaires ont compris cela, qui nous vendent "une vie rêvée" dans leurs mises en scène. C'est le mythe de l'âge d'or, de l'eden, et de la corne d'abondance : état paradisiaque. D'autres sont motivés pour le terrorisme, à cause de tels mythes placés "dans la vie future", par exemple. Est-ce positif ?

• Ou plutôt négative comme l'absence, l'élimination  de (toute) souffrance ou douleur ?

Il existe des personnes, dépourvues du sens du toucher. Elles ne ressentent jamais la douleur. C'est un vrai problème, quand leurs chairs crament sur une plaque de cuisson éteinte récemment utilisée. Parce que la brûlure reste réelle, peut s'infecter jusqu'à la mort, et de toutes façons les peaux mortes n'ont plus de souplesse et son hideuses.

Cela dit, Épicure n'était pas un hédoniste contrairement à ce qu'on raconte, et il cherchait tout simplement à vivre le moins malheureusement possible. Ça a au moins l'avantage de ne pas trop nous en demander. Au fond, Épicure voulait se faciliter la vie ...

Si cela reste négatif même si malgré l'absence de douleur chez certains c'est parce qu'ils se risquent a la mort. Ne voulant pas banaliser la mort car si tout le monde mourait et qu'il ne resterait que soi, on resterait avec la douleur.

Comme par exemple une chirurgie lourde demande l'autre et sans l'autre pas de soins et on reste dans la douleur.

Je n'ai pas compris peux-tu expliciter ta réponse s'il te plaît ?

il y a 1 minute, Marzhin a dit :

Je n'ai pas compris peux-tu expliciter ta réponse s'il te plaît ?

Disons que tout le monde ne ressent pas la douleur sauf soi. Si on l'a ressent on se sentira seul et sans aide car les autres ne savent pas ce qu'est la douleur donc ils ne risquent pas d'aider.

Le negatif ce n'est pas qu'ils n'aident pas c'est que soi est capable de ressentir la douleur.

Donc ce qui est negatif c'est la douleur.

Non. Elle n'est une négation que du bien-être voire du plaisir et du bonheur. Encore qu'elle y contribue ! car, sans elle, comment puis-je savoir qu'il faut que je mène ma barque autrement ? comment savoir que je dois retirer ma main cramée de la plaque chauffante pour me sauver de la brûlure ? Ici, il y a une positivité de la douleur, rapport à ma survie, donc à la possibilité de mon plaisir et de mon bonheur. Positivité et négativité sont des notions relatives au contexte d'emploiement.

il y a 28 minutes, Marzhin a dit :

Non. Elle n'est une négation que du bien-être voire du plaisir et du bonheur. Encore qu'elle y contribue ! car, sans elle, comment puis-je savoir qu'il faut que je mène ma barque autrement ? comment savoir que je dois retirer ma main cramée de la plaque chauffante pour me sauver de la brûlure ? Ici, il y a une positivité de la douleur, rapport à ma survie, donc à la possibilité de mon plaisir et de mon bonheur. Positivité et négativité sont des notions relatives au contexte d'emploiement.

Le 21/10/2019 à 14:30, Boutetractyxreqs a dit :

Estimé négatif ce qui est negatif, là la guerre qu'il faut estimé négative en ne faisant plus la fête soit en étant négatif, peut s'avérer positif.

Ce qui serait dramatique c'est d'estimer positif ce qui négatif et vice versa.

Il en est qu'estimer positif le positif est positif.

En fait tu exprimes que si quelqu'un n'a pas la capacité a ressentir la douleur, il ne peut pas en faire l'estimation négative. Donc estimé ce qui est negatif, négatif c'est positif.