La France d’en bas veut-elle vraiment monter ?

OK DDR....mais je pense que selon toute logique des écoles en France qui forment pour des Bac Pro ou des BTS elles doivent quand même s'inquiéter de savoir dans leur région ce dont les entreprises ont besoin.....et conseiller leurs étudiants d'aller dans telle ou telle autre filière....

Citation

Un double mouvement questionnera à nouveau le rôle et la place des universités dès le milieu des années soixante du siècle dernier : la massification des effectifs étudiants et l’entrée dans la post-modernité. Hier cantonnée, à côté des sociétés savantes, à faire émerger de nouvelles connaissances et à former les élites, l’université est confrontée à de nouveaux défis. Il ne s’agit plus de doter les étudiants d’une culture générale solide, d’une manière rigoureuse de raisonner, d’un art d’analyser minutieusement des textes et aussi des notions générales, de les doter des éléments d’une vision cohérente du monde, produisant la figure sociale de « l’intellectuel » selon Le Goff (1985, cité dans Charle &Verger, 1994). Il s’agit d’abord et avant tout de préparer des classes d’âge nombreuses nées au cœur des trente glorieuses à un avenir professionnel, en raison d’une demande sociale forte d’élévation des niveaux d’éducation et de formation pour faire face au développement économique des sociétés industrielles occidentales (Bernier, 2011).

https://journals.openedition.org/ripes/577#tocto2n2

il y a 1 minute, Foraveur a dit :

OK DDR....mais je pense que selon toute logique des écoles en France qui forment pour des Bac Pro ou des BTS elles doivent quand même s'inquiéter de savoir dans leur région ce dont les entreprises ont besoin.....et conseiller leurs étudiants d'aller dans telle ou telle autre filière....

Les jeunes sont mêmes capables de précéder les besoins des gens en créant leurs propres business (cf Macron et les jeunes milliardaires)

Il y a 2 heures, Swannie a dit :

C'est bien pour cette raison que j'ai parlé de ma famille, précisant milieu d'ouvriers, agriculteurs et pécheurs, dont tous les enfants ont ascensionné socialement, pas un n'est resté dans le bas de l'échelle, tous ont accédé à des postes soit d'agents de maîtrise, soit de cadres, soit se sont mis à leur compte, réussissant, et cela, sans avoir été pistonnés.

 

Une branche un peu prout prout de ma famille, qui a prit l’ascenseur social et s'imagine avoir atteint le paradis voit d'un très mauvais œil que leurs fils après avoir réussit brillamment des études de management voudrait se reconvertir comme plombier.

Résultat.. devient dépressif le fils, au bord du burn out. 

M'en fout perso j'aime pas les ascenseurs, me foutent la gerbe.

Evidemment Brooder mais votre Président vient de l'ENA...(si je me trompe pas l'ENA est une Grande Ecole en France...)

il y a 15 minutes, Foraveur a dit :

J'en conviens mais c'était un exemple pour dire que c'est une pratique avérée et pas une légende urbaine....

L’ecole et l’apprentissage ce n’est pas la même chose . La seconde à vocation a former des apprentis , tout comme un iut a pour vocation à former des professionnels. Vous comparer des choux et des carottes . C’est comme si vous m’expliquiez que la formation d’un ingénieur tient compte des besoins des entreprises

Pour le moment pas d’exemple concret ...

D’autant que les apprentis ça existe depuis un bail , au moyen âge ils étaient déjà infeodés au medef ?

Enfin la formation professionnelle relève elle aussi du savoir . Être menuisier ou psychologue nécessite des savoirs différents , mais ce sont des savoirs . Quant à l’esprit pour l’avenir bla-bla-bla, pas sûr que celui du menuisier ne soit pas plus novateur et ouvert sur l’avenir 

il y a 3 minutes, Sittelle a dit :

Une branche un peu prout prout de ma famille, qui a prit l’ascenseur social et s'imagine avoir atteint le paradis voit d'un très mauvais œil que leurs fils après avoir réussit brillamment des études de management voudrait se reconvertir comme plombier.

Résultat.. devient dépressif le fils, au bord du burn out. 

 

M'en fout perso j'aime pas les ascenseurs, me foutent la gerbe.

il y a 2 minutes, Foraveur a dit :

Evidemment Brooder mais votre Président vient de l'ENA...(si je me trompe pas l'ENA est une Grande Ecole en France...)

Ben ... si les jeunes veulent même plus être soient des présidents, soient des plombiers ... la France est foutue

Il y a 14 heures, Fred1511 a dit :

A vrai dire, je n’interpelle que ceux qui se plaignent d’être en bas et qui ne font pas grand chose pour en sortir. Donc tu n’es par interpellé ! Je pensais avoir été précis sur ce point. Ceux qui sont en bas malgré leurs efforts, je les respecte et contribue à la solidarité nationale pour eux avec plaisir.

Les causes de l’échec sont connus : on est immature qd on est jeune, on ne choisit pas d’avoir des parents démissionnaires ou qui ne vous pousse pas, on ne choisit pas de naître « en bas » etc etc.

Mais en quoi est-ce la faute EXCLUSIVE de l’Etat c.a.d. la communauté ? Parce que c’est ce qui se joue sur les ronds-points : « Tout est la faute de l’Etat, État voleur, État menteur etc. ». On a la société que NOUS avons construit ; l’Etat prélève les impôts pour les dépenses que NOUS faisons.

La seule chose qui assure la cohésion des GJ est ce grief contre l’Etat, comme s’il prenait notre argent pour partir en vacances, comme si l’Etat pouvait augmenter les dépenses sans augmenter les prélèvements, comme si l’Etat pouvait augmenter le SMIC sans impacter les entreprises ou les contribuables. 

J’ai entendu des GJ réclamer des minimas sociaux, d’autres de privilégier au contraire les travailleurs au détriment de ceux qui ne travaillent pas, d’autres veulent moins d’impôts (alors qu’on dépense 25% de + que ce que l’Etat récolte en impôt), d’autres de + mettre à contribution les entreprises, d’autres (des entrepreneurs) d’arrêter de ponctionner les entreprises ... Donc ils ne sont pas d’accord entre eux mais il sont unis ... C’est de la folie !

Bonjour Fred poigne de mains

Suffit de lire un peu tout les rapports de la cour des comptes, pour se rendre comptes des gaspillages étatique, chaque année nous sommes édifié pour l'argent que l'État jette par les fenêtre aux profits de certain escrocs. La volonté de l'État pour la désindustrialisation du pays, la non protection de certaine industries au nom du libre échange et de la finances toute puissante un exemple honteux celui des valises Samsonite ( si ma mémoire et bonne ). Sans compter comme tu dis comme s'il prenait notre argent pour partir en vacance, mais me semble c'est ce que certain ont fait il y a eu suffisamment de scandales à ce niveau,  et pas que pour leur vacances d'ailleurs, il y en a bien plus que le peuple ne connaît pas d'ailleurs  car étant plus discret. 

Évidemment que si on travaille jeune en classe, on aura plus de chances de trouver une qualification , mais en France heu, c'est pas certain j'ai vu combien de bac + 6 même + 8 ne trouver aucun emploi en France, fallait les payer. Combien de français bien diplomé, des ingénieurs entre autres trouve du travail à l'étranger, alors qu'en France, ils sont sous payé, ou n'en trouvent pas. Ton argumentation n'est que partiellement juste, mais dans son ensemble elle est complètement erronée. 

De moins en moins DDR ...car il y a de plus en plus de passerelles entre les deux et les filières deviennent de plus en plus perméables (et c'est flagrant dans les pays auxquels je me réfère)...donc les choux et les carottes se mélangent de plus en plus...

il y a 20 minutes, Quasi-Modo a dit :

https://www.enderi.fr/Les-partenariats-universites-entreprises-en-France-quels-progres_a178.html

Pourquoi considérer que les partenariats universités/entreprises sont des progrès ?

Tkt les étudiants en histoire ou en psychologie seront préservés de cette intrusion du grand capitalisme . Je te donne un indice , les entreprises par exemple emploient des chercheurs en bourse cifre ....

Les entreprises proposent des stages Masters qui sont autant de projets qui motivent les étudiants car ce ne sont pas des cas fictifs d’ecole mais des cas réels ce qui généralement est très motivant pour l’etudiant . Parce que la recherche est nourrie par les besoins des entreprises : nanotech, gentech, matériaux etc etc autant de sujet qui évoluent grâce aux entreprises qui se trouvant confrontées à des problématiques nouvelles nouent des partenariats avec les universités . L’ancien système mettait peu à contribution les entreprises , c’est idiot il faut croiser . Toujours pas d’exemple concret d’ecole où ce sont les entreprises qui décident des enseignements, un exemple concret ?

pas faux.

il n'y a pas a idéaliser le savoir quand l'on sait comment l'allemagne des années 1930 a basculée du génie aux pires crétinismes.

Le savoir doit être "encadré" et seul l'expérience le peut ...

Il y a 22 heures, Fred1511 a dit :

Non, presque tout le monde à l’occasion de monter, mais beaucoup « choisissent » de ne pas le faire. « C’est nul l’école, ça sert à rien, moi je m’en fous ». Ça ne te dit rien ces phrases ? Ma chance dont je parle c’est d’avoir eu des parents travailleurs et qui nous ont poussé mes frères et moi.

L’Etat, et par là j’entends la communauté, met à notre disposition l’escalier. On choisit de le monter ou pas. Et effectivement, il est pénible comme tout à grimper.

Bsr Fred1511, 

J'aime bien votre histoire d'escalier étatique, encore faut-il distinguer deux sortes d'escalier, le premier à une multitude de marches , il permet à ceux qui réussissent  à les gravirent de se tirer à l'etranger car les budget pour la recherche sont insignifiant en France. Dans le second escalier, les marches sont inexistante puisque pas mal de personne sont intéressés par les métiers manuels et la encore la France est en retard, aucune expérience dans la formation des candidats. Bref, pour résumer votre sujet est de demander au gens de monter dans le train, ou de rester à quai, pour ma part, je gagne bien ma vie, et je ne monte pas dans votre train, je reste à quai avec mes semblable. 

a+

il y a 33 minutes, brooder a dit :

 

Ben ... si les jeunes veulent même plus être soient des présidents, soient des plombiers ... la France est foutue

L'oiseau sans dessus dessous que je suis a d'abord grimpé pas mal haut. Et comme souffrait de vertiges existentiels est redescendue un peu.

 Sans dessus dessous Sittelle s'est trouvé une branche moins valorisante financièrement mais plus épanouissante socialement et ne regrette rien, même si cet oiseau instable finira probablement ses jours au minimal vieillesse, si un chat tout autre animal ne la dévore pas avant.

il y a 2 minutes, Sittelle a dit :

L'oiseau sans dessus dessous que je suis a d'abord grimpé pas mal haut. Et comme souffrait de vestiges existentiels est redescendue un peu.

 Sans dessus dessous Sittelle s'est trouvé une branche moins valorisante financièrement mais plus épanouissante socialement et ne regrette rien, même si cet oiseau instable finira probablement ses jours au minimal vieillesse, si un chat tout autre animal ne la dévore pas avant.

Prend pas un chat, ça coute une fortune (et ils sont malheureux en apart), garde l'argent pour te payer un petit jeune pour te "laver" quand tu seras vieille

il y a 3 minutes, Sittelle a dit :

L'oiseau sans dessus dessous que je suis a d'abord grimpé pas mal haut. Et comme souffrait de vestiges existentiels est redescendue un peu.

 Sans dessus dessous Sittelle s'est trouvé une branche moins valorisante financièrement mais plus épanouissante socialement et ne regrette rien, même si cet oiseau instable finira probablement ses jours au minimal vieillesse, si un chat tout autre animal ne la dévore pas avant.

il y a 3 minutes, Abu nuwas a dit :

Bsr Fred1511, 

 

J'aime bien votre histoire d'escalier étatique, encore faut-il distinguer deux sortes d'escalier, le premier à une multitude de marches , il permet à ceux qui réussissent  à les gravirent de se tirer à l'etranger car les budget pour la recherche sont insignifiant en France

 

http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid56383/grands-chiffres-de-la-recherche.htm

La dépense intérieure de recherche et développement en France s'élève à 49,8 Mds€ et représente 2,27% du produit intérieur brut (PIB) en 2015. La France se situe derrière la Corée du Sud (4,3 %), le Japonl (3,3%), l'Allemagne (2,9%) et les États-Unis (2,8%), mais devant le Royaume-Uni (1,7%).

• 49,8 milliards d'euros : dépense intérieure de recherche et développement.
• 2,27 % : part du PIB consacrée à la recherche et développement.
• 604 700 personnes travaillant dans le secteur de la recherche en France, soit 428 600 équivalents temps plein (E.T.P.).
• 277 631 chercheurs dont 25% des chercheurs femmes.
• 9,4  : nombre de chercheurs pour mille actifs en France. La France se place derrière la Corée du sud (13,2 pour mille), le Japon (10 pour millle), mais devant l'Allemagne (9,2 pour mille), e Royaume-Uni (8,8 pour mille),  et les Etats-Unis (8,7 pour mille).
• 74 319 étudiants inscrits en doctorat (rentrée 2016).
• 14 500 doctorats en moyenne délivrés par an (14 565 en 2016).
• 7^e rang mondial pour les publications scientifiques (la France a produit 3,2% des publications scientifiques mondiales (moyenne 2014-2015-2016).
• 4^e rang mondial dans le système européen de brevets avec 6,5% des demandes enregistrées (part mondiale des demandes de brevets européens pour la France.
• 56,7% : part des co-publications internationales de la France.
•  

il y a 4 minutes, DroitDeRéponse a dit :

 

 

http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid56383/grands-chiffres-de-la-recherche.htm

La dépense intérieure de recherche et développement en France s'élève à 49,8 Mds€ et représente 2,27% du produit intérieur brut (PIB) en 2015. La France se situe derrière la Corée du Sud (4,3 %), le Japonl (3,3%), l'Allemagne (2,9%) et les États-Unis (2,8%), mais devant le Royaume-Uni (1,7%).

 

• 49,8 milliards d'euros : dépense intérieure de recherche et développement.
• 2,27 % : part du PIB consacrée à la recherche et développement.
• 604 700 personnes travaillant dans le secteur de la recherche en France, soit 428 600 équivalents temps plein (E.T.P.).
• 277 631 chercheurs dont 25% des chercheurs femmes.
• 9,4  : nombre de chercheurs pour mille actifs en France. La France se place derrière la Corée du sud (13,2 pour mille), le Japon (10 pour millle), mais devant l'Allemagne (9,2 pour mille), e Royaume-Uni (8,8 pour mille),  et les Etats-Unis (8,7 pour mille).
• 74 319 étudiants inscrits en doctorat (rentrée 2016).
• 14 500 doctorats en moyenne délivrés par an (14 565 en 2016).
• 7^e rang mondial pour les publications scientifiques (la France a produit 3,2% des publications scientifiques mondiales (moyenne 2014-2015-2016).
• 4^e rang mondial dans le système européen de brevets avec 6,5% des demandes enregistrées (part mondiale des demandes de brevets européens pour la France.
• 56,7% : part des co-publications internationales de la France.
•  

La recherche scientifique est notre seul espoir de sortir un jours de notre boue, cela n'a pas de prix

il y a 8 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Tkt les étudiants en histoire ou en psychologie seront préservés de cette intrusion du grand capitalisme . Je te donne un indice , les entreprises par exemple emploient des chercheurs en bourse cifre ....

Les entreprises proposent des stages Masters qui sont autant de projets qui motivent les étudiants car ce ne sont pas des cas fictifs d’ecole mais des cas réels ce qui généralement est très motivant pour l’etudiant . Parce que la recherche est nourrie par les besoins des entreprises : nanotech, gentech, matériaux etc etc autant de sujet qui évoluent grâce aux entreprises qui se trouvant confrontées à des problématiques nouvelles nouent des partenariats avec les universités . L’ancien système mettait peu à contribution les entreprises , c’est idiot il faut croiser . Toujours pas d’exemple concret d’ecole où ce sont les entreprises qui décident des enseignements, un exemple concret ?

Bonjour DroitDeRéponse, poigne de mains

Je suis franchement Hors Service, mais je saisi mal ton propos, il à même des aspect inquiétant pour moi en ce qui concerne la psychologie. 

Je partage l'idée de la formation en entreprise, disons que c'est de la recherche pratique le hic faut pas que ça deviennent comme dans certain pays, ou  tout les travaux sont perverti, voir ou le scientifique devienne un faussaire. Mais bon pour la culture d'entreprise je suis absolument nul, je ferai peut être un Candide.

En plus j'ajouterai que je vois d'autres aspect pervers entre autre dans le domaine des brevets. Je considère que le travail appartient au chercheur et non à l'entreprise, qui elle devrait avoir que le droit exclusif d'utiliser la recherche, la découverte sera à vie au chercheur. 

il y a 4 minutes, DroitDeRéponse a dit :

 

 

http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid56383/grands-chiffres-de-la-recherche.htm

La dépense intérieure de recherche et développement en France s'élève à 49,8 Mds€ et représente 2,27% du produit intérieur brut (PIB) en 2015. La France se situe derrière la Corée du Sud (4,3 %), le Japonl (3,3%), l'Allemagne (2,9%) et les États-Unis (2,8%), mais devant le Royaume-Uni (1,7%).

 

• 49,8 milliards d'euros : dépense intérieure de recherche et développement.
• 2,27 % : part du PIB consacrée à la recherche et développement.
• 604 700 personnes travaillant dans le secteur de la recherche en France, soit 428 600 équivalents temps plein (E.T.P.).
• 277 631 chercheurs dont 25% des chercheurs femmes.
• 9,4  : nombre de chercheurs pour mille actifs en France. La France se place derrière la Corée du sud (13,2 pour mille), le Japon (10 pour millle), mais devant l'Allemagne (9,2 pour mille), e Royaume-Uni (8,8 pour mille),  et les Etats-Unis (8,7 pour mille).
• 74 319 étudiants inscrits en doctorat (rentrée 2016).
• 14 500 doctorats en moyenne délivrés par an (14 565 en 2016).
• 7^e rang mondial pour les publications scientifiques (la France a produit 3,2% des publications scientifiques mondiales (moyenne 2014-2015-2016).
• 4^e rang mondial dans le système européen de brevets avec 6,5% des demandes enregistrées (part mondiale des demandes de brevets européens pour la France.
• 56,7% : part des co-publications internationales de la France.
•  

Bsr DroitDeReponse, 

Merci pour la précision, "derrière" et pour aller de l'avant et gravir les escaliers si cher à notre ami Fred, nos élite vont de l'avant en se tirant à l'étranger, vos chiffres et statistique n'y changerons rien. 

a+

il y a 31 minutes, Sittelle a dit :

Une branche un peu prout prout de ma famille, qui a prit l’ascenseur social et s'imagine avoir atteint le paradis voit d'un très mauvais œil que leurs fils après avoir réussit brillamment des études de management voudrait se reconvertir comme plombier.

Résultat.. devient dépressif le fils, au bord du burn out. 

M'en fout perso j'aime pas les ascenseurs, me foutent la gerbe.

Dans une famille, je crois que les parents, selon l'éducation donnée à leurs enfants, peuvent faire leur bonheur autant que leur malheur, sans pour autant l'avoir souhaité concernant le malheur, comme ne se rendant pas compte de l'influence qu'ils ont sur leurs enfants.

Etre socialement élevé, puis avoir un fils voulant se reconvertir plombier, ça la fiche mal pour ceux là, qui voient déjà les autres leur demander "et votre fils, que fait-il ?" "plombier" et bam, leur prestige s'écroule, leur belle auréole s'envole. Le paraitre est fichu par terre.

C'est ça qui est incompréhensible : ne pas comprendre où se situe le bonheur de ses propres enfants et d'aller à leur encontre pour sa propre renommée, pour le paraitre. Je ne crois pas que ces personnes là aiment véritablement leurs enfants, sinon elles les laisseraient libres, tant qu'ils veulent travailler, ce sont de bons enfants, qu'importe le métier, il n'y en a pas de sot, tous sont utiles et nécessaires, être vaut infiniment mieux que paraitre.