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Un collaborateur de Macron filmé frappant un homme au sol lors des manifestations

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Invité
Message ajouté par _Dolph

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Messages recommandés

Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 825 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
Il y a 3 heures, chanou 34 a dit :

Ok. Y a plus qu'à attendre les résultats de l'enquête.

Mais en tout état de cause si les faits reprochés sont réels, 15 jours de mise à pieds...comment dire...:hu:

Comment dire...

Et que dire des casseurs, pilleurs, vandales, qui agissent trop souvent en totale impunité ?

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, ouest35 a dit :

Les black block risquent de ne pas avoir de complexes ....

Je ne sais pas comment se font les entretiens d'embauches a LREM mais ça fait amateurs quand même !

Quelle mission avait ce type ce jour-là .? Etrange .... pouquoi cet autre type là , par copinerie pour casser du manifestant et faire passer ça sur le dos des CRS ,

On peut tout imaginer en fait !

Ce n'est pas une action pour la protection de Macron?

Très curieux.

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Membre, Voyageur, 69ans Posté(e)
Plouj Membre 106 490 messages
69ans‚ Voyageur,
Posté(e)

Il n'est pas nouveau dans le milieu, ni à sa première connerie semble-t-il !

Alexandre Benalla a commencé à travailler dans les cercles politiques en 2011, alors qu'il était âgé d'une vingtaine d'années.

D'abord en charge de la protection de Martine Aubry, il a ensuite été embauché dans le service d'ordre de François Hollande pendant la campagne présidentielle de 2012. Arnaud Montebourg, qui l'a engagé comme chauffeur cette année-là, raconte s'être séparé de lui "au bout d'une semaine après une faute professionnelle d’une première gravité: il avait provoqué un accident de voiture en ma présence et voulait prendre la fuite", raconte l'ancien ministre à nos confrères.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Panem&Circenses a dit :

Les bagarres politiques il y en a eu et il y en aura d'autres.

Le pire à mes yeux c'est que ce mec porte un casque et un brassard estampillés "police" et que les faits, connus de l'Elysée avant la vidéo du Monde, n'ont pas été révélés au public.

A quoi bon défendre une République dont les élus ne respectent pas un tant soit peu l'esprit démocratique !

Il va falloir beaucoup de finale de Coupe du Monde pour me faire changer d'avis sur Macron désormais.

 

Ces gens toujours au dessus des lois.

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Membre, 152ans Posté(e)
chanou 34 Membre 23 713 messages
Maitre des forums‚ 152ans‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, Anatole1949 a dit :

Comment dire...

Et que dire des casseurs, pilleurs, vandales, qui agissent trop souvent en totale impunité ?

Vous connaissez l'expression sur la femme de Cesar, Anatole?

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Plouj a dit :

Il n'est pas nouveau dans le milieu, ni à sa première connerie semble-t-il !

Alexandre Benalla a commencé à travailler dans les cercles politiques en 2011, alors qu'il était âgé d'une vingtaine d'années.

D'abord en charge de la protection de Martine Aubry, il a ensuite été embauché dans le service d'ordre de François Hollande pendant la campagne présidentielle de 2012. Arnaud Montebourg, qui l'a engagé comme chauffeur cette année-là, raconte s'être séparé de lui "au bout d'une semaine après une faute professionnelle d’une première gravité: il avait provoqué un accident de voiture en ma présence et voulait prendre la fuite", raconte l'ancien ministre à nos confrères.

Belle mentalité, pas étonnant qu'il soit recruté.:)

Un mec prêt à tout.

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Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 825 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
Il y a 4 heures, cloudy a dit :

Je croyais qu'il n'y avait que les fachos du fn qui faisaient ça ?

Il est bien entouré le "chef" : des vieux malhonnêtes (genre solere) et des tabasseurs !

 

Et le mec s'appelle benalla !!!!!!Je dis ça , je dis rien !

 

vive la democrassie jupiterienne !

Une brebis galeuse et hop on fait l’amalgame...tous pourris !

Que je sache, à ce jour, T. Solère n'est pas mis en examen !

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Membre, Posté(e)
pluc89 Membre 11 191 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Monsieur Bruno Retailleau n'a pas manqué de s'offusquer sur la "protection" dont a bénéficié ce brutus patenté. Au fait Monsieur Retailleau qu'est-il advenu à votre neveu Nicolas après qu’il ait fait "une grosse bêtise" ?

Dans un premier temps il a été mis à l’abri des questions de la police en séjournant dans un hôpital pour se remettre de ses émotions, et préparer sa défense.

Aurait-il bénéficier d’une quelconque protection ?

Le jeune étudiant suspecté d'avoir volé deux monomoteurs sur les aérodromes de Loudun, dans la Vienne, et Cholet, dans le Maine-et-Loire n'a pas encore été entendu par les enquêteurs. Ce neveu de Bruno Retailleau se trouve "dans un état psychologique très dégradé".

Par France 3 Pays de la Loire Publié le 08/02/2018 à 16:37 Mis à jour le 08/02/2018 à 16:38

Nicolas Retailleau, neveu du sénateur vendéen Bruno Retailleau, est suspecté d'avoir "emprunté" un avion monomoteur Robin DR400  sur l'aérodrome de Loudun, dans la Vienne, le 25 janvier dernier avant de rallier Cholet, dans le Maine-et-Loire, où il a atterri dans la soirée. Le lendemain, le voleur est reparti de l'aérodrome de Cholet, cette fois-ci à bord d'un second monomoteur, un Piper 28, qu'il a ensuite abandonné sur le tarmac de Loudun.


Dans un entretien accordé à nos confrères de La Nouvelle République, Sébastien Retailleau, le père du principal suspect et frère du sénateur LR Bruno Retailleau, explique que son fils est hospitalisé depuis une dizaine de jours à Monaco à la suite d'un malaise. Il n'a donc pu être entendu par la justice dans cette affaire.
"Il va rester à l'hôpital pendant encore une semaine au moins, selon les médecins", a expliqué le père de famille qui dit n'avoir eu "aucun contact direct avec (son) fils depuis deux semaines, hormis quelques échanges par SMS".


Sébastien Retailleau dit également avoir reçu un coup de fil d'un ami de son fils au lendemain des vols. "Il m'a dit que Nicolas était passé chez lui la veille, vers 21 h 30, qu'il lui avait raconté être venu jusqu'à Loudun en avion. J'ai été surpris par cet appel, mais n'y ai pas trop prêté attention. J'ai supposé qu'il avait raconté des bêtises à son copain."

Le week-end suivant, il aurait "rejoint le sud de la France, où il disait avoir trouvé une école de pilotage, en vue d'accomplir son rêve : devenir pilote de ligne", poursuit Sébastien Retailleau.


Quelques jours plus tard, le père de Nicolas a reçu un SMS de l'ami qui l'avait appelé, avec un lien vers un article de presse relatant l'affaire des deux avions volés. "J'ai tout de suite fait le lien : “C'est Nicolas qui a fait ça, j'en suis sûr !”. J'ai alerté immédiatement la gendarmerie, à qui j'ai demandé de transmettre mon message à la brigade des transports aériens" explique Sébastien Retailleau, qui poursuit, "Nicolas a fait une grosse bêtise, il va devoir s'expliquer. J'espère bien qu'il va être entendu dès sa sortie de l'hôpital."


En attendant, Sébastien Retailleau a été entendu mercredi, par la section de recherches de la Brigade de gendarmerie des transports aériens de Roissy-Charles-de-Gaulle, en charge de l'enquête.

 

 

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Invité s
Invités, Posté(e)
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Invité s Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 1 heure, fullmetal06 a dit :

ah bon ! faut une autorisation pour prendre une photo en public ?

Dans cette vidéo (concernant le lien), le policier déclare qu'il est interdit de filmer, tandis que l'auteur répond qu'il connaît la loi et qu'il n'est pas interdit de photographier ou filmer les forces de police mais simplement de diffuser les images. En fait, les deux ont tort. Le filmeur amateur ne connaît pas si bien la loi que ça, et pour cause, il n'y en a pas.

De façon générale, le droit à l'image n'existe que dans le prolongement du droit à la protection de la vie privée. Il a été tiré, par les tribunaux, de l'article 9 du Code Civil: «Chacun a droit au respect de sa vie privée». Sauf que filmer un agent de police dans l'exercice de ses fonctions sur la voie publique, comme dans le cas d'un contrôle d'identité, ne relève pas de la sphère privée.

La généralisation des particuliers qui prennent des vidéos et les postent sur un site de partage comme YouTube ou Dailymotion est très récente, et une affaire de ce type n'est pour l'instant jamais arrivée jusqu'à la Cour de Cassation. Dans l'absence de jurisprudence, pas moyen de savoir si une vidéo filmée avec des téléphones portables ou autres petits appareils photos par des particuliers serait considérée comme un de ces «moyens plus primaires», mais rien ne l'en empêche. Cette balance à faire entre la liberté d'expression et le droit d'information d'une part, et le droit à la protection de la vie privée d'où découle le droit à l'image d'autre part est laissée à l'appréciation du juge.

Pour ce qui est des photographies, une règle se dessine au fur et à mesure des décisions de la Cour de Cassation : la diffusion d'images d'une personne impliquée dans un événement d'actualité est licite si elle respecte la dignité de la personne humaine, et si les images ne font pas de désinformation en étant dénaturées. Il n'y a pas besoin d'autorisation de diffusion quand l'image accompagne un événement de l'actualité, mais le flou juridique reste entier pour les vidéos postées sur internet puisqu'elles sont disponibles longtemps après que l'événement filmé ne soit plus d'actualité.

Les policiers peuvent vous demander d'arrêter de filmer, vous demander d'effacer votre vidéo ou vos photos, mais vous n'avez pas à obtempérer si vous ne le désirez pas, et ils n'ont pas le droit de vous y forcer.

http://www.slate.fr/story/2997/t-le-droit-de-filmer-un-policier

Juste un lien pour donner un exemple, sinon en public, il me semble que c'est autorisé de filmer...

Modifié par samira123
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Membre, 75ans Posté(e)
Gaetane Membre 414 messages
Forumeur accro‚ 75ans‚
Posté(e)

et pourtant ce monsieur avait de bonnes références : Aubry, Montebourg, Hollande.. :smile2:

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/agression-d-un-manifestant-par-un-collaborateur-de-l-elysee/alexandre-benalla-vincent-crase-patrick-strzoda-qui-sont-les-personnes-concernees-par-l-affaire-de-l-agression-d-un-manifestant-le-1er-mai_2857249.html

Patrick Strzoda, le directeur de cabinet de Macron qui a délivré une autorisation à Benalla 

Le directeur de cabinet du chef de l'Etat est celui qui a autorisé Alexandre Benalla à assister, auprès des policiers, aux rassemblements du 1er-Mai. Le chargé de mission "m'avait prévenu deux jours plus tôt qu'il souhaitait participer à une intervention auprès de la préfecture de police, pour voir comment se gérait une grande manifestation", a révélé Patrick Strzoda au Monde"Il m'en a demandé l'autorisation, je la lui ai donnée, mais en précisant bien qu'il y allait en observateur", a-t-il ajouté. 

Le directeur de cabinet a été informé dès le lendemain des faits commis par son collaborateur. Il a alors alerté Emmanuel Macron sur ces violences, qui lui a répondu que "si les faits sont avérés, il faut prendre des sanctions", rapporte Le Monde. Patrick Strzoda a par la suite convoqué Alexandre Benalla, qui a reconnu les faits face à lui. 

Condamnant un "comportement manifestement inapproprié" qui a "porté atteinte à l'exemplarité qui est attendue, en toutes circonstances, des agents de la présidence de la République", le directeur de cabinet a annoncé par courrier au chargé de mission qu'il était mis à pied pour une période de deux semaines. "Je vous invite (...) à faire preuve, à l'avenir, d'un comportement exemplaire", lui a-t-il écrit. "A défaut, je mettrai fin définitivement à votre collaboration au sein des services de la présidence de la République." 

Directeur de cabinet du chef de l'Etat depuis le 16 mai 2017, selon Ouest-France, Patrick Strzoda doit prendre sa retraite au mois d'octobre, d'après le quotidien régional. A 66 ans, il a été directeur de cabinet de Bernard Cazeneuve lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, en 2016. Il avait auparavant été préfet dans les Hautes-Alpes, les Deux-Sèvres et les Hauts-de-Seine, avant d'être nommé préfet de la région Bretagne en 2013, puis préfet d'Ille-et-Vilaine.

............

Fin de l'histoire!

Circulez il n' y a rien à voir

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a une heure, Anatole1949 a dit :

Comment dire...

Et que dire des casseurs, pilleurs, vandales, qui agissent trop souvent en totale impunité ?

Et pourquoi une telle impunité?

Puis ça ne justifie en rien l'acte en bande de ces gens sous protection!

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 12 minutes, PASCOU a dit :

https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/agression-d-un-manifestant-par-un-collaborateur-de-l-elysee/alexandre-benalla-vincent-crase-patrick-strzoda-qui-sont-les-personnes-concernees-par-l-affaire-de-l-agression-d-un-manifestant-le-1er-mai_2857249.html

Patrick Strzoda, le directeur de cabinet de Macron qui a délivré une autorisation à Benalla 

Le directeur de cabinet du chef de l'Etat est celui qui a autorisé Alexandre Benalla à assister, auprès des policiers, aux rassemblements du 1er-Mai. Le chargé de mission "m'avait prévenu deux jours plus tôt qu'il souhaitait participer à une intervention auprès de la préfecture de police, pour voir comment se gérait une grande manifestation", a révélé Patrick Strzoda au Monde"Il m'en a demandé l'autorisation, je la lui ai donnée, mais en précisant bien qu'il y allait en observateur", a-t-il ajouté. 

Le directeur de cabinet a été informé dès le lendemain des faits commis par son collaborateur. Il a alors alerté Emmanuel Macron sur ces violences, qui lui a répondu que "si les faits sont avérés, il faut prendre des sanctions", rapporte Le Monde. Patrick Strzoda a par la suite convoqué Alexandre Benalla, qui a reconnu les faits face à lui. 

Condamnant un "comportement manifestement inapproprié" qui a "porté atteinte à l'exemplarité qui est attendue, en toutes circonstances, des agents de la présidence de la République", le directeur de cabinet a annoncé par courrier au chargé de mission qu'il était mis à pied pour une période de deux semaines. "Je vous invite (...) à faire preuve, à l'avenir, d'un comportement exemplaire", lui a-t-il écrit. "A défaut, je mettrai fin définitivement à votre collaboration au sein des services de la présidence de la République." 

Directeur de cabinet du chef de l'Etat depuis le 16 mai 2017, selon Ouest-France, Patrick Strzoda doit prendre sa retraite au mois d'octobre, d'après le quotidien régional. A 66 ans, il a été directeur de cabinet de Bernard Cazeneuve lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, en 2016. Il avait auparavant été préfet dans les Hautes-Alpes, les Deux-Sèvres et les Hauts-de-Seine, avant d'être nommé préfet de la région Bretagne en 2013, puis préfet d'Ille-et-Vilaine.

............

Fin de l'histoire!

Circulez il n' y a rien à voir

La vidéo allait tourner, le monde dénonce tout en protégeant, coup classique.

 

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Posté(e)

Ce dernier, chargé de mission à l'Élysée et adjoint au chef de cabinet d'Emmanuel Macron, est visé par une enquête préliminaire, ouverte par le parquet de Paris ce jeudi matin, notamment pour "violences par personne chargée d'une mission de service public", "usurpation de fonctions" et "usurpation de signes réservés à l'autorité publique". Elle a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Que risque Alexandre Benalla ?  

L'enquête préliminaire devra désormais déterminer son éventuelle responsabilité pénale. L'homme est dans un premier temps filmé en train de traîner une jeune femme cernée par des CRS, puis, dans un second temps, on le voit frapper un manifestant qui se trouve déjà à terre, avant de tirer sur plusieurs mètres l'individu plié en deux.  

"Les violences n'ont pas l'air d'être suffisamment graves pour atteindre un stade délictuel", explique l'avocat pénaliste et blogueur Me Eolas, qui a visionné la vidéo. Il souligne néanmoins qu'il ne s'agit que d'une séquence de cette journée du 1er-Mai et que d'autres faits ont pu survenir avant ou après ces images.  

"Pour que des violences constituent un délit, précise Me Eolas, il faut que les blessures constatées par un médecin dépassent les 8 jours d'ITT (Interruption totale de travail)". On ignore à ce stade si l'homme frappé sur la vidéo a déposé plainte et si, le cas échéant, il a fait constater ses blessures juste après les violences avec un certificat médical.  

"Il faut dans tout les cas distinguer deux types de violences dans cette scène : celles commises par les policiers à l'encontre de ce jeune homme, qui résiste visiblement à son arrestation et celles commises par cet homme casqué qui ne fait pas partie des forces de l'ordre. Les premiers pourraient agir en situation de légitime défense, mais lui le frappe sans raison", détaille le pénaliste.  

Si la responsabilité d'Alexandre Benalla pour des faits de violence est établie, les magistrats devront ensuite déterminer s'il a agi dans le cadre de ses fonctions de "chargé d'une mission de service public".  Si c'est le cas, l'article 222-13 du Code pénal rappelle qu'il encourt une peine de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. Sinon, il risque une amende de 4e classe de 750 euros, pour violences légères. Le porte-parole de l'Elysée souligne que l'intéressé "agissait dans le cadre d'un jour de congé et ne devait avoir qu'un rôle d'observateur". 

"Ce casque, les policiers ont pu le lui donner pour le protéger, comme le talkie-walkie, qui a pu lui être fourni pour qu'il entende les ordres donnés par les forces de l'ordre. Même chose pour le brassard. Si effectivement il se trouvait aux côtés de la police, ils le lui ont peut-être donné afin de l'identifier dans la foule et éviter qu'il ne soit tasé", imagine maître Eolas, qui souligne que le port de ce bandeau "police" n'est "pas interdit par la loi".  

Dans tous les cas, l'entourage d'Alexandre Benalla, dont Emmanuel Macron et Patrick Strzoda, ont eu connaissance des faits dès le début du mois de mai, mais ne les ont pas signalés auprès de la justice. Risquent-ils quelque chose ? Non, répond Maître Eolas. Même si l'article 40 du Code pénal souligne que "toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République", il ne prévoit aucune sanction. De plus, ce texte "ne s'applique qu'en cas de crime ou délit et je ne suis pas sûr que les faits dépassent un niveau contraventionnel", souligne l'avocat. 

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/affaire-benalla-que-risque-le-collaborateur-de-macron_2026518.html?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1531996958#xtor=CS3-5083

Modifié par samira123
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Membre, 152ans Posté(e)
chanou 34 Membre 23 713 messages
Maitre des forums‚ 152ans‚
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Membre, Posté(e)
holdman Membre 2 233 messages
Baby Forumeur‚
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Pour moi il y a un problème monsieur Bénalla était connu, comment se fait il qu'il circule sans problème parmi les forces de l'ordre avec un brassard police dont il avait pas le droit .

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 11 minutes, samira123 a dit :

Ce dernier, chargé de mission à l'Élysée et adjoint au chef de cabinet d'Emmanuel Macron, est visé par une enquête préliminaire, ouverte par le parquet de Paris ce jeudi matin, notamment pour "violences par personne chargée d'une mission de service public", "usurpation de fonctions" et "usurpation de signes réservés à l'autorité publique". Elle a été confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP). Que risque Alexandre Benalla ?  

L'enquête préliminaire devra désormais déterminer son éventuelle responsabilité pénale. L'homme est dans un premier temps filmé en train de traîner une jeune femme cernée par des CRS, puis, dans un second temps, on le voit frapper un manifestant qui se trouve déjà à terre, avant de tirer sur plusieurs mètres l'individu plié en deux.  

"Les violences n'ont pas l'air d'être suffisamment graves pour atteindre un stade délictuel", explique l'avocat pénaliste et blogueur Me Eolas, qui a visionné la vidéo. Il souligne néanmoins qu'il ne s'agit que d'une séquence de cette journée du 1er-Mai et que d'autres faits ont pu survenir avant ou après ces images.  

"Pour que des violences constituent un délit, précise Me Eolas, il faut que les blessures constatées par un médecin dépassent les 8 jours d'ITT (Interruption totale de travail)". On ignore à ce stade si l'homme frappé sur la vidéo a déposé plainte et si, le cas échéant, il a fait constater ses blessures juste après les violences avec un certificat médical.  

"Il faut dans tout les cas distinguer deux types de violences dans cette scène : celles commises par les policiers à l'encontre de ce jeune homme, qui résiste visiblement à son arrestation et celles commises par cet homme casqué qui ne fait pas partie des forces de l'ordre. Les premiers pourraient agir en situation de légitime défense, mais lui le frappe sans raison", détaille le pénaliste.  

"Il faut dans tout les cas distinguer deux types de violences dans cette scène : celles commises par les policiers à l'encontre de ce jeune homme, qui résiste visiblement à son arrestation et celles commises par cet homme casqué qui ne fait pas partie des forces de l'ordre. Les premiers pourraient agir en situation de légitime défense, mais lui le frappe sans raison", détaille le pénaliste.  

"Ce casque, les policiers ont pu le lui donner pour le protéger, comme le talkie-walkie, qui a pu lui être fourni pour qu'il entende les ordres donnés par les forces de l'ordre. Même chose pour le brassard. Si effectivement il se trouvait aux côtés de la police, ils le lui ont peut-être donné afin de l'identifier dans la foule et éviter qu'il ne soit tasé", imagine maître Eolas, qui souligne que le port de ce bandeau "police" n'est "pas interdit par la loi".  

Dans tous les cas, l'entourage d'Alexandre Benalla, dont Emmanuel Macron et Patrick Strzoda, ont eu connaissance des faits dès le début du mois de mai, mais ne les ont pas signalés auprès de la justice. Risquent-ils quelque chose ? Non, répond Maître Eolas. Même si l'article 40 du Code pénal souligne que "toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l'exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d'un crime ou d'un délit est tenu d'en donner avis sans délai au procureur de la République", il ne prévoit aucune sanction. De plus, ce texte "ne s'applique qu'en cas de crime ou délit et je ne suis pas sûr que les faits dépassent un niveau contraventionnel", souligne l'avocat. 

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/affaire-benalla-que-risque-le-collaborateur-de-macron_2026518.html?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Twitter&Echobox=1531996958#xtor=CS3-5083

Une petite médaille peut être?

Comme observateur, selon le syndicat de police, il ne doit absolument pas participé .

Soit il en avait le droit et ça faisait partie de sa mission soit il devait se tenir à l'écart.

Quand aux plaintes, la jeune fille et ce garçon je doute qu'ils aillent au commissariat après ce tabassage par des collègues et un type "avec un comportement de racaille"!

C'est vraiment très militant cet article je trouve.

Un journaliste (observateur)de guerre peut aussi torturer ou tuer des gens?

Modifié par PASCOU
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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 14 minutes, chanou 34 a dit :

Merci Samira, vous avez toujours des sources intéressantes. C'est vrai que ce blog http://www.maitre-eolas.fr/

est à avoir dans ses marque pages.

Chanou, là vous m'étonnez en défendant ce type.

il y a 4 minutes, samira123 a dit :

Médaille pour qui et pourquoi ?

Sinon j'ai modifié l'article car j'ai recopié deux fois un texte au lieu de mettre une autre partie. 

Mais par ce type qui agresse sauvagement des jeunes en se cachant derrière une tenue de policier.

Vous trouvez ça normal vous?

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Membre, 152ans Posté(e)
chanou 34 Membre 23 713 messages
Maitre des forums‚ 152ans‚
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il y a 4 minutes, PASCOU a dit :

Chanou, là vous m'étonnez en défendant ce type.

 

Je ne vois pas en quoi dire à Samira qu'elle a des sources intéressantes revient à défendre le mis en cause...:hu:

On ne peut plus juger un texte sur sa valeur intrinsèque? faut obligatoirement qu'on trouve les informations nulles et non avenues si elles ne vont pas dans notre sens préconçu? Où est l'objectivité là-dedans?

Modifié par chanou 34
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Invité s Invités 0 message
Posté(e)
il y a 12 minutes, PASCOU a dit :

Une petite médaille peut être?

Comme observateur, selon le syndicat de police, il ne doit absolument pas participé .

Soit il en avait le droit et ça faisait partie de sa mission soit il devait se tenir à l'écart.

Quand aux plaintes, la jeune fille et ce garçon je doute qu'ils aillent au commissariat après ce tabassage par des collègues et un type "avec un comportement de racaille"!

C'est vraiment très militant cet article je trouve.

Un journaliste (observateur)de guerre peut aussi torturer ou tuer des gens?

Personne n'a dit qu'il était dans son droit de participer s'il était simple observateur. Pourquoi un comportement de racaille, on ne sait pas grand chose sur celui qui s'est fait agressé. Pourquoi militant, ça donne juste des faits sur ce que risque cet agresseur. Il n'y a rien dans cet article qui donne raison à cet agresseur. 

il y a 7 minutes, PASCOU a dit :

 

Mais par ce type qui agresse sauvagement des jeunes en se cachant derrière une tenue de policier.

Vous trouvez ça normal vous?

Qui a dit que c'était normal, franchement tu as mal lu l'article pour croire qu'ils défendent l'agresseur. 

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