Qui boit l'apéro tous les jours ?

Il y a 1 heure, Speed Hermann a dit :

Merci Pinocchio pour ton intervention , mais mes gammas vont bien

Tu n'as peut-être pas tout lu , je fais des cures de temps à autre et quand j'arrête , pas de dépendance

Je ne suis pas alcoolo , je ne bois rien de la journée à part de l'eau (2 litres)

Des cures de quoi ? D'abstinence ? Dans un milieu hospitalier ou chez toi ?

Il y a 14 heures, Fuck Them All a dit :

J'ai mes périodes ou c'est régulier. Mais tous les soirs, non je fais en sorte que non, pour garder ma ligne et ma santé. 

Oui , moi aussi je fais des cures de plusieurs semaines de temps à autre , 

surtout  parce que j'en ai envie

Il y a 13 heures, Creusois a dit :

...

Mouais...

Combien de chutes "pour rires" ou bien "accidentelle"? Combien de soir qui finissent sans trop savoir comment?

Combien de fois on fait "comme si de rien etait le lendemain"?

Etre alcoolique c'est aussi prendre systématiquement l’apéro le soir, j'en sais quelque chose...

C'est assez horrible de voir quelqu'un qu'on aime se détruire comme ca!

Oh, tu peut dire "je ne suis pas alcoolique"

Tu n' y es pas , je me souviens très bien de ce que j'ai fait la veille , je ne suis pas saoul affalé au sol

Je suis debout tous les jours à 6 h (7h le dimanche)

Tu confonds "beuverie" et "convivialité" et c'est dommage

Je ne cuve pas non plus dans mon lit jusque 10h

Je ne me lève pas en tremblant et en buvant dès le matin et à longueur de journée

Je n'ai pas le regard vide , vitreux , comme l'on certains SDF que je peux croiser le matin (les pauvres)

Il y a 12 heures, Mite_Railleuse a dit :

Des cures de quoi ? D'abstinence ? Dans un milieu hospitalier ou chez toi ?

 

"S'abstenir" pour moi c'est "s'empêcher de"......

Donc je ne m'abstiens pas , par moment j'ai envie de faire un break , ça peut aller de quelques semaines à

quelques mois (j'ai déjà fait une pause de 16/18 mois) et tout se passe bien à chaque fois

Pas de tremblements , pas d'irritation , je reste le même , je suis convivial de nature....

En milieu hospitalier ? .....Ben non......quelle l'idée

je décide de moi même en restant chez moi

Qu'irai-je faire  avec des gens qui n'arrivent pas à se passer d'alcool , de cigarettes , de drogues ?

il y a 4 minutes, Speed Hermann a dit :

Qu'irai-je faire  avec des gens qui n'arrivent pas à se passer d'alcool , de cigarettes , de drogues ?

C'était juste une question...

il y a 7 minutes, Speed Hermann a dit :

Donc je ne m'abstiens pas , par moment j'ai envie de faire un break , ça peut aller de quelques semaines à

quelques mois (j'ai déjà fait une pause de 16/18 mois) et tout se passe bien à chaque fois

Pas de tremblements , pas d'irritation , je reste le même , je suis convivial de nature....

Ta réflexion a de quoi surprendre. Tu insistes sur le fait que boire l'apéro chaque jour sans être saoul n'est absolument pas nocif. Pourquoi se priver d'un si bon moment de convivialité alors ? Et surtout, pourquoi noter d'éventuels effets secondaires à ce "sevrage", si dans le fond, on est persuadé que tout va bien avec ça et qu'on ne s'inquiète pas ? 

Pas très logique ton truc non ? 

il y a 11 minutes, Speed Hermann a dit :

 

je décide de moi même en restant chez moi

 

Continue , si tu es raisonnable pas de problèmes, le principal c'est ça devienne pas une habitude, quand on est dans la pente descendante, c'est difficile à remonter

Mais l'apéro tous les jours et le vin en mangeant , ça fait déjà pas mal, et le taux d'alcoolémie est largement dépassé, surtout en conduisant , il faut y réfléchir un peu avant

il y a 57 minutes, PINOCCHIO a dit :

Continue , si tu es raisonnable pas de problèmes, le principal c'est ça devienne pas une habitude, quand on est dans la pente descendante, c'est difficile à remonter

Mais l'apéro tous les jours et le vin en mangeant , ça fait déjà pas mal, et le taux d'alcoolémie est largement dépassé, surtout en conduisant , il faut y réfléchir un peu avant

L'apéro semble être un rite à la mode. Les sociologues diront que c'est la recherche de convivialité. Les adictologues diront que c'est l'entraînement à l'alcoolisme.

mais au fait, l'alcool n'est pas obligatoire à l'apéro !

Pour répondre à la question initiale, non je ne sacrifie pas au rite de l'apéro. En revanche, un bon vin de temps en temps au moment du repas et la bouteille fait 3 jours à nous deux.

Chez nous pas d'apéro tous les jours.

De temps en temps entre nous, quand des amis ou de la famille passe également.

C'est un moment de convivialité où l'alcool peut être présent mais ce n'est pas obligatoire, et l'ivresse l'est encore moins.

Ce qu'il ne faut pas c'est que ça devienne un besoin, car là c'est un autre problème.

Il y a 1 heure, Speed Hermann a dit :

Oui , moi aussi je fais des cures de plusieurs semaines de temps à autre

Si ce sont des cures de désintoxication, alors là c'est de la connerie en barre...

Mais je reste persuadé que cette cure est d'une autre nature, au regard du traitement du sujet par l'auteur, qui est plus de l'ordre de la provocation...

Je ne comprends pas, et ne veux pas comprendre, cette habitude d'associer alcool a convivialité...

On peut passer une bonne soirée sans boire, sans se mettre minable, sans que le lendemain matin on se dise "comment je suis rentré?

Il m'arrive de boire un verre de vin a table, une bière envions 2/3 fois par semaine, parfois un martinis...

Mais jamais me saouler, et encore moin si je conduis après!

Il y a 2 heures, January a dit :

Ta réflexion a de quoi surprendre. Tu insistes sur le fait que boire l'apéro chaque jour sans être saoul n'est absolument pas nocif. Pourquoi se priver d'un si bon moment de convivialité alors ? Et surtout, pourquoi noter d'éventuels effets secondaires à ce "sevrage", si dans le fond, on est persuadé que tout va bien avec ça et qu'on ne s'inquiète pas ? 

Pas très logique ton truc non ? 

Aaaaah mais je n'ai jamais dit (encore moins insisté) que cela n'était pas nocif

Pour ce qui est des effets secondaires , je me réfère à ce que disent les médecins et les alcooliques ,

apparemment quand on arrête , on devrait avoir des tremblements , des maux de tête , de l'insomnie et j'en passe

Me concernant je ne ressens rien de tout cela

La logique voudrait donc que je ressente tout cela ?

il y a 1 minute, Speed Hermann a dit :

apparemment quand on arrête , on devrait avoir des tremblements , des maux de tête , de l'insomnie et j'en passe

Me concernant je ne ressens rien de tout cela

Alors pourquoi tu te prives de ce moment pendant de longues périodes puisque tu es persuadé que tout va bien, pour preuve aucun effet lorsque tu arrêtes ? Pourquoi ? C'est bien que tu reconnais que ce n'est pas à faire. C'est compliqué de défendre un point de vue si contradictoire et des façons de faire si extrêmes (je bois chaque jour et puis hop, j'arrête pendant des mois).

L'équilibre voudrait que tu prennes l'apéritif à longueur d'année, ok si ça te plaît, mais pas chaque jour, non ? 

Il y a 2 heures, PINOCCHIO a dit :

Continue , si tu es raisonnable pas de problèmes, le principal c'est ça devienne pas une habitude, quand on est dans la pente descendante, c'est difficile à remonter

Pour moi je reste raisonnable et je me sens bien

Citation

Mais l'apéro tous les jours et le vin en mangeant , ça fait déjà pas mal, et le taux d'alcoolémie est largement dépassé, surtout en conduisant , il faut y réfléchir un peu avant

A vrai dire , en mangeant je bois de l'eau gazeuse et après le dîner je ne bois plus d'alcool , c'est surtout "avant"

Et bien entendu , je ne conduis jamais après avoir bu de l'alcool

il y a une heure, Répy a dit :

L'apéro semble être un rite à la mode. Les sociologues diront que c'est la recherche de convivialité. Les adictologues diront que c'est l'entraînement à l'alcoolisme.

mais au fait, l'alcool n'est pas obligatoire à l'apéro !

Oui , il y en a qui en boivent toute la journée , ce qui est loin d'être mon cas

Me concernant c'est le soir , après la journée terminée , en discutant et en préparant le repas

il y a une heure, Nephalion a dit :

Chez nous pas d'apéro tous les jours.

De temps en temps entre nous, quand des amis ou de la famille passe également.

C'est un moment de convivialité où l'alcool peut être présent mais ce n'est pas obligatoire, et l'ivresse l'est encore moins.

Ce qu'il ne faut pas c'est que ça devienne un besoin, car là c'est un autre problème.

Et bien ce n'est pas un "besoin" pour moi , sinon , je ne pourrais pas faire de pause aussi longue

il y a une heure, Enchantant a dit :

Si ce sont des cures de désintoxication, alors là c'est de la connerie en barre...

Comme je l'ai déjà dit plus haut , je ne fais jamais de cure de désintoxication (pour moi c'est de la connerie aussi)

Des fois je me dis : "Tiens , demain je commence une cure" !! et je suis parti pour plusieurs semaines comme ça

Citation

Mais je reste persuadé que cette cure est d'une autre nature, au regard du traitement du sujet par l'auteur, qui est plus de l'ordre de la provocation...

Je peux avoir plus d'explication ?

il y a une heure, Creusois a dit :

Je ne comprends pas, et ne veux pas comprendre, cette habitude d'associer alcool a convivialité...

On peut passer une bonne soirée sans boire, sans se mettre minable, sans que le lendemain matin on se dise "comment je suis rentré?

J'aimerai qu'on prenne la peine de tout lire avant d'intervenir , s'il vous plait

Je ne roule pas dessous la table ni ne cuve dans mon lit jusque midi

Quant à savoir comment je suis rentré , je ne bois pas quand je conduis  , c'est aussi simple que ça

il y a 59 minutes, Creusois a dit :

Il m'arrive de boire un verre de vin a table, une bière envions 2/3 fois par semaine, parfois un martinis...

Mais jamais me saouler, et encore moin si je conduis après!

Je ne me saoule pas et je ne conduis pas après avoir bu

il y a 18 minutes, January a dit :

Alors pourquoi tu te prives de ce moment pendant de longues périodes puisque tu es persuadé que tout va bien, pour preuve aucun effet lorsque tu arrêtes ? Pourquoi ?

Je ne me prive pas quand je fais une pause , je le souhaite réellement et c'est tout ,

donc à partir de là , je ne peux pas avoir de manque , pour preuve...

Et je ne suis pas "persuadé" que tout va bien.......Tout va bien tout simplement

il y a 18 minutes, January a dit :

C'est bien que tu reconnais que ce n'est pas à faire. C'est compliqué de défendre un point de vue si contradictoire et des façons de faire si extrêmes (je bois chaque jour et puis hop, j'arrête pendant des mois).

Je ne reconnais rien , Est-ce "à faire" ou "ne pas faire" , chacun décide pour lui même

Je ne conseillerai pas de faire comme moi , pour la simple et bonne raison que chacun fait ce qu'il veut ,

comme je ne suivrais pas quelqu'un qui me conseillerai de fumer des pétards

Pourquoi j'arrête pendant des mois ?.......Le self control je suppose , je veux rester maitre de moi-même

C'est moi qui décide

il y a 18 minutes, January a dit :

L'équilibre voudrait que tu prennes l'apéritif à longueur d'année, ok si ça te plaît, mais pas chaque jour, non ? 

Les médecins (en général) disent que l'équilibre c'est de boire plutôt 2 verres par jour , que 10/15 le week-end

C'est quoi l'équilibre au juste ?

A chacun de trouver le sien

Il y a 1 heure, Speed Hermann a dit :

apparemment quand on arrête , on devrait avoir des tremblements , des maux de tête , de l'insomnie et j'en passe

Curieux diagnostique.

 l'alcoolique tremble qu'il boive ou ne boive pas !

Ce tremblement traduit un état déjà avancé de dégradation de l'influx nerveux.

L'arrêt de consommation d'alcool ne donne pas de maux de tête mais donne un besoin impérieux de  reboire de l'alcool.

Je ne peux pas te dire ce qui se passe quand on arrête de boire de l'alcool , parce que pour moi , il ne se passe rien

Quand je parle de maux de tête , de tremblements , etc , c'est ce que les médecins ou les alcoolos disent

Moi je n'en sais rien

Apparemment les effets secondaires seraient nombreux , cela peut aller de la gueule de bois au délirium

Il y a 20 heures, Speed Hermann a dit :

Salut , moi c'est Hermann

Je bois l'apéro tous les soirs avec ma tite femme , vrai moment de détente , de vacances......

Je ne suis pas venu ici pour entendre le sempiternel : "alcoolique , dépendance , depression , beauf".....enfin , tout ce qui se dit habituellement

Je fais des cures de plusieurs semaines de temps à autre (quand ça me prend) sans aucun effet secondaire (pas de tremblements , pas de tristesse ou autre)

Je ne bois jamais seul , je ne bois qu'accompagné

Si vous aussi vous trouvez ce moment agréable , conviviale , comment cela se passe t-il pour vous ?

Pour ma part , on discute beaucoup , on prépare le diner  , nous avons encore un dernier fils à la maison

Sinon , nous recevons la famille ou sommes invités régulièrement..........une vraie foire , qu'est-ce qu'on peut rigoler

Moi qui entend souvent dire : alcool = synonyme de disputes / bagarres ......ben c'est tout le contraire

Voilà

Tchin 

 

 

Tous les soirs, ok, et à quelle heure vous commencez le matin ?

Le matin 1 ou 2 cafés puis de l'eau jusque 18 h / 18h30 (1,5 à 2 litres)

Pourquoi cela est-il si étonnant ?

Je perçois dans la majorité des réponses une énorme part de moralisme, un désir d'empêcher de tourner en rond (je n'ai pas dit d'être rond!). Mais en quoi cela vous gêne t-il tant que @Speed Herman prenne son plaisir comme bon lui semble ?A ce point là le conformisme est liberticide !

Il n'y a pas si longtemps que l'on crie haro sur l'alcool, la goutte après repas a disparu pour cause de contrôle d'alcolémie sur les routes. Oui, on buvait plus, on mangeait plus, mais on vivait plus joyeusement sans carcan médical ou dietétique. Et à regarder autour de moi il me semble voir bien plus d'obèses qu'à l'époque...

il y a 9 minutes, L'ornithorynque a dit :

Je perçois dans la majorité des réponses une énorme part de moralisme, un désir d'empêcher de tourner en rond (je n'ai pas dit d'être rond!). Mais en quoi cela vous gêne t-il tant que @Speed Herman prenne son plaisir comme bon lui semble ?A ce point là le conformisme est liberticide !

Il n'y a pas si longtemps que l'on crie haro sur l'alcool, la goutte après repas a disparu pour cause de contrôle d'alcolémie sur les routes. Oui, on buvait plus, on mangeait plus, mais on vivait plus joyeusement sans carcan médical ou dietétique. Et à regarder autour de moi il me semble voir bien plus d'obèses qu'à l'époque...

Je ne bois jamais, je n'aime pas l'alcool, le goût, mais je me sens joyeuse, vivante et enthousiaste ! N'est-ce pas aussi une autre forme de conformisme, d'imaginer que l'alcool soit absolument nécessaire à la convivialité et à contrario être un pisse-vinaigre si on ne sacrifie pas à la dive bouteille ?