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L'Italie se prépare à rétablir sa monnaie nationale

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PASCOU

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PASCOU Membre 92 138 messages
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il y a 2 minutes, Gouderien a dit :

Il y a une ambiguïté fondamentale sur la nature de l'Europe : quel est son but? Enrichir les pays, ou enrichir les marchés financiers? Il y a de fortes raisons de penser, malheureusement, que la bonne réponse soit la deuxième. Dès lors je fais plus confiance aux Italiens qu'à la commission de Bruxelles pour savoir ce qui est bon pour eux - l'exemple à ne surtout pas suivre étant celui de la Grèce, qui a eu absolument tout faux, depuis son entrée dans la zone Euro grâce à des chiffres truqués - au vu et au su de tout le monde - jusqu'à son statut actuel de malade "guéri"... mais comateux (mais entre-temps les marchés se sont bien goinfrés).

Mais la France est endettée et le sera encore longtemps.

Moscovici tient toujours le même discours chaque année, tout va bien on est dans les clous, mais va quand même falloir faire un effort .( sous entendu attenez vous au racket)

https://www.lopinion.fr/video/phrase/pierre-moscovici-dette-publique-france-doit-continuer-a-reduire-155384

Tout va bien mais rien ne va plus....:smile2:

Comme son copain sapin qui annonçait tous les ans une baisse du chômage pour la fin de l'année...tous les deux ont des bons postes à bruxelles

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PASCOU Membre 92 138 messages
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L'UE c'est ça!

https://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20140730trib000842283/pourquoi-la-nomination-de-pierre-moscovici-est-un-mauvais-choix.html

François Hollande a tenu sa promesse de nommer son ancien ministre des Finances à Bruxelles. Mais est-ce un bon choix ?

Le choix pour représenter la France dans la future Commission européenne s'est donc porté sur Pierre Moscovici. Ce choix a été pris en dépit des résistances en Europe et en France et en dépit de l'existence d'une alternative, celle d'Elisabeth Guigou, qui aurait sans doute redoré le blason d'un pays passablement terni dans l'Union européenne. Mais ce choix s'appuie sur une justification qui, en France, est irrésistible : le fait du prince.

La promesse

Lorsque, après la cuisante défaite aux municipales, François Hollande a été contraint de remanier son gouvernement, il s'est séparé de son ministre des Finances. Mais comme aux temps de l'ancienne monarchie, on ne remercie pas en France un favori sans le couvrir de bienfaits. Le Château a donc promis à son ministre limogé un poste à Bruxelles. Il tient aujourd'hui cette promesse personnelle. Tout est perdu, fors l'honneur, aurait-on dit jadis. Décidément, les institutions françaises continuent de s'enfoncer dans une logique d'ancien régime qui, cependant, au niveau européen, risque de se payer fort cher.

L'échec économique de Pierre Moscovici

En image d'abord. Le bilan ministériel de Pierre Moscovici est assez désastreux. Sa politique d'austérité et sa tentative de consolider rapidement le budget par des hausses massives d'impôts a lamentablement échoué. Non seulement les partisans de l'orthodoxie budgétaire peuvent souligner qu'il n'a pas su ramener - comme il l'a maintes fois promis - le déficit français dans les clous, mais ceux qui favorisent la croissance peuvent constater que sa politique a ruiné la confiance des agents économiques et a pesé sur l'investissement et le pouvoir d'achat. On a donc eu un exemple absolu - malgré l'existence de preuves éclatantes de l'échec de cette politique dans les pays périphériques - de ce qu'il ne faut pas faire. Les électeurs qui ont lourdement sanctionné cette politique en mars et en mai ne s'y sont pas trompés.

La récompense de l'échec

François Hollande aurait dû s'interroger sur la nature du message qu'il envoyait à la France et à l'Europe. Non seulement le double échec de Pierre Moscovici, démocratique et économique, est récompensé, mais encore on envoie ce dernier à la Commission. Signe que, vu de l'Elysée, Bruxelles n'est toujours rien d'autres qu'une belle retraite pour des politiques disqualifiés en France, mais dont on veut saluer la fidélité. Alors que l'on nous promet une autre Europe, plus fondée sur la compétence et la légitimité démocratique, ce message est désastreux.

Le camouflet à Juncker

Il l'est d'autant plus que le nouveau président de la Commission, Jean-Claude Juncker, avait clairement demandé un effort aux pays membres. Il avait notamment réclamé plus de femmes commissaires afin de satisfaire à un des leitmotivs des campagnes du parti socialiste européen, la parité (ou - du moins - une meilleure égalité). La France, toujours prompte à donner des leçons et qui disposait d'une candidate, n'aura pas jugé bon de se soucier de cette demande du nouveau président « élu » de la Commission. Il était bien nécessaire de fustiger David Cameron pour son manque de sens démocratique lorsqu'il ne voulait pas de Jean-Claude Juncker pour finalement faire aussi peu de cas des demandes de ce dernier.

L'homme de l'oubli des promesses

Du reste, la nomination de Pierre Moscovici est doublement une pierre dans le jardin du Luxembourgeois. En tant que ministre des Finances, il est l'artisan de l'abandon des promesses de campagne du candidat Hollande, notamment sur la loi bancaire. Un ouvrage récent a montré avec éclat combien il avait contribué - souvent en laissant faire son administration - à réduire à néant cette loi bancaire française. Pierre Moscovici est celui qui a conduit ce déni démocratique et, à l'heure où l'on se méfie des promesses de Jean-Claude Juncker, c'est de bien mauvais augure pour l'action de la future Commission.

L'homme de la relance ?

Pierre Moscovici pourrait être, dans la Commission, en charge du fameux plan de « relance » de 300 milliards d'euros promis par Jean-Claude Juncker. L'opposition allemande lui a barré la route du prestigieux commissariat aux affaires économiques et monétaires. Il a fallu se contenter d'un lot de consolation. L'ennui, c'est que l'ancien locataire de Bercy manque entièrement de crédibilité à ce poste. D'abord, parce que, on l'a vu, il est un spécialiste de l'oubli des promesses électorales, mais aussi parce que, en tant que membre de l'Eurogroupe de 2012 à 2014, il a contribué à l'enterrement de première classe du fameux « pacte de croissance » lancé par François Hollande en juillet 2012. Or, le principal danger qui guette le plan Juncker, c'est celui de n'être qu'une coquille vide destinée surtout à donner des arguments de communication. Bien des raisons déjà peuvent le laisser penser, et l'échec patent du « pacte de croissance » n'est pas la moindre d'entre elles. En donnant la charge de ce plan à Pierre Moscovici, Paris et Jean-Claude Juncker placeraient un lien explicite entre les deux plans. Ce sera du plus mauvais effet.

Surtout que, lorsqu'il était membre de l'Eurogroupe, Pierre Moscovici n'a jamais cherché à faire contrepoids à son « ami » Wolfgang Schäuble. Il a accompagné les choix de l'Allemagne, contribuant là encore, à abandonner la promesse électorale de François Hollande d'un « rééquilibrage » de la politique économique de la zone euro. En nommant Pierre Moscovici, la France choisit donc un partisan de l'austérité et de la politique menée depuis 2010 pour diriger un « plan de relance. » Il y a là une incohérence qui ne conduit qu'à affaiblir encore la crédibilité de ce plan.

Une promesse respectée au prix de l'affaiblissement

Le résultat de tout ceci, c'est que la France ressort fortement affaiblie de cette nomination. Pour satisfaire aux promesses du Prince, on a nommé un homme qui n'a guère convaincu dans le passé ni en France, à Bruxelles lorsqu'il était ministre (on se souvient de son « assoupissement » en pleine crise chypriote) en charge d'un plan de relance qui ne pourrait bien n'être que poudre aux yeux.

L'Allemagne ne voulait pas d'un Français aux affaires économiques et monétaires. La position de Berlin est logique et cohérente. C'était alors l'occasion pour Paris de changer de stratégie et de proposer une femme, Elisabeth Guigou, à un poste non économique. Certes, sa nomination comme Haut Représentant aux Affaires étrangères posait un problème à l'Italie. Mais la candidate italienne ne faisait pas l'unanimité et Paris aurait pu négocier avec Rome, notamment sur le fond et sur un « front commun » contre l'Allemagne sur la question de la flexibilité du pacte de stabilité. Au final, la France en serait sortie renforcée. Mais dans notre république, la promesse d'un président vaut plus que l'intérêt du pays...

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 422 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
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il y a 41 minutes, PASCOU a dit :

Mais la France est endettée et le sera encore longtemps.

Moscovici tient toujours le même discours chaque année, tout va bien on est dans les clous, mais va quand même falloir faire un effort .( sous entendu attenez vous au racket)

https://www.lopinion.fr/video/phrase/pierre-moscovici-dette-publique-france-doit-continuer-a-reduire-155384

Tout va bien mais rien ne va plus....:smile2:

Comme son copain sapin qui annonçait tous les ans une baisse du chômage pour la fin de l'année...tous les deux ont des bons postes à bruxelles

Et on a l'impression que Macron continue sur cette même ligne : de la poudre aux yeux, aucune amélioration concrète de la situation (sauf pour les plus aisés). Et bientôt une nouvelle série de mesures antisociales.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 3 minutes, Gouderien a dit :

Et on a l'impression que Macron continue sur cette même ligne : de la poudre aux yeux, aucune amélioration concrète de la situation (sauf pour les plus aisés). Et bientôt une nouvelle série de mesures antisociales.

Les marchés qui commandent.

Arnault passe sa fortune de 45 à 73 milliards, pourquoi changer une politique qui fonctionne bien?

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Membre, 113ans Posté(e)
cambronne Membre 1 233 messages
Baby Forumeur‚ 113ans‚
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Il y a 3 heures, Maurice Clampin a dit :

:pap:    Vous nous faite un petit duo bien parano gauchardo-mélenchonien ??? ....

Subis les " foudres " partial de ce petit caporal  et on en reparle .

Ensuite j'imagine que c'est sensé être une insulte ça ? et bien je garde , ça me va très bien .

Tant que tu ne me traites pas de droiteux poisseux , tout va bien .

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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On se sent tout de suite soutenu avec ces gens qui disaient:

les marchés vont apprendre aux italiens à bien voter.

https://www.20minutes.fr/monde/2325395-20180824-migrants-union-europeenne-balaie-ultimatum-di-maio-italie-reduit-versements-europe

Migrants: L’Union européenne balaie l’ultimatum de Di Maio, l’Italie réduit ses versements à l’Europe

DIPLOMATIE L’Italie a demandé une nouvelle fois une décision politique à l’Union européenne pour gérer les arrivées de migrants sur ses côtes, une demande qui lui a été refusée…

L’Italie met ses menaces à exécution. Le vice-Premier ministre italien a confirmé ce vendredi son intention de réduire la contribution de l’Italie au budget de l’Union européenne, faute d’accord à Bruxelles sur le sort de migrants bloqués sur un navire italien.

« L’Union européenne a décidé de tourner le dos à l’Italie encore une fois », a écrit Luigi Di Maio sur sa page Facebook. Avant d’ajouter que son pays n’a alors pas d’autre choix que de « prendre de manière unilatérale, une mesure compensatrice ». « Nous sommes prêts à réduire les fonds que nous donnons à l’Union européenne », a-t-il ajouté, soulignant que l’Italie n’accepterait plus d’être « humiliée ».

Menaces balayées par l’Europe

Le dirigeant italien avait pourtant adressé un ultimatum à l’Union européenne. Elle devait trouver une solution avant ce vendredi soir pour les 150 migrants du bateau Diciotti, bloqués dans le port de Catane, en Sicile. Autrement dit : les acheminer vers d’autres Etats membres. Une injonction balayée ce vendredi lors d’une conférence de presse.

« En Europe, les menaces ne servent à rien et ne mènent nulle part », a réagi un porte-parole de la Commission européenne, Alexander Winterstein. « Les commentaires peu constructifs n’aident pas et ne nous rapprochent pas d’une solution », a-t-il aussi souligné, ajoutant que la Commission « continue de travailler intensivement pour résoudre la situation ».

Des frontières communes

Le vice-Premier ministre italien a immédiatement sanctionné cette décision. « Ils veulent les 20 milliards payés par les citoyens italiens ? Qu’ils démontrent de le mériter et qu’ils prennent en charge un problème que nous ne pouvons plus affronter seuls. Les frontières de l’Italie sont celles de l’Europe », a écrit Luigi Di Maio.

Le blocage diplomatique s’amplifie entre l’Italie et l’Union européenne, tandis que le sort des 150 migrants reste incertain. Le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini a de son côté confirmé qu’aucun migrant du Diciotti ne serait autorisé à débarquer tant qu’une solution européenne ne serait pas trouvée.

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Invité
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Invité Invités 0 message
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oh ils ont plus que raison de plaquer cette soit disante union de m  qui ne fait que taxez les peuples pour distribuer le pognon a leurs amis et copins,ça ne sert qu,a nourrir toute une bande de rats, ils sont combien dans cette baraque a bruxelle et nous coutent combien par an ?????

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/01/18/97002-20170118FILWWW00196-le-probleme-de-l-europe-c-est-l-euro-italie.php

"Le  problème de l'Europe c'est l'Euro" (Italie)

  • Par  Le Figaro.fr avec AFP
  • Mis à jour le 18/01/2017 à 13:28
  • Publié le 18/01/2017 à 13:27
 

 

Le ministre italien des Finances, Pier Carlo Padoan, s'en est pris vertement à l'UE, et plus particulièrement à la monnaie unique, affirmant mercredi à Davos que le problème de l'Europe "c'est l'euro" et l'appelant à "prendre au sérieux le populisme". "Le défi que posent (les défenseurs du, ndlr) Brexit et Donald Trump, c'est qu'ils ont une vision, qu'on soit d'accord ou pas avec elle. Or, en Europe, on n'en a pas", a regretté le ministre lors d'un débat au World Economic Forum (WEF) sur comment l'élite peut renouer avec les classes moyennes. "Je suis préoccupé parce que l'Europe n'a pas de stratégie pour faire face au nouveau visage de la mondialisation. Elle ne fait que réagir", a assuré Padoan, qui est allé plus loin encore en affirmant que "le problème de l'Europe était l'euro".

L'Italie est un des pays fondateurs de l'Union européenne et signataire du Traité de Rome de 1957. "Dans de nombreux pays, pour ne pas dire tous, il y a une forte pensée que les problèmes sont générés à Bruxelles... ou à Francfort, selon l'endroit où vous vivez", a ironisé le ministre, en allusion aux reproches allemands contre la politique monétaire de la BCE. Dans ce contexte, le ministre italien a appelé l'UE "à prendre au sérieux le populisme". "Tous ceux qui votent pour des idées populistes ne sont pas tous mauvais. Dans de nombreux cas, ce sont des bonnes personnes, de bons citoyens, qui ont de vraies préoccupations à propos de l'avenir de leurs enfants, l'emploi ou la sécurité, a-t-il expliqué.

Ces déclarations interviennent après la révélation de contacts entre le ministère italien des Finances et la Commission européenne pour tenter d'éviter l'ouverture d'une procédure d'infraction au sujet du déficit budgétaire italien. Rome a adopté pour 2017 un budget prévoyant un déficit à hauteur de 2,3% du PIB, un chiffre nettement plus élevé que les 1,8% exigés par Bruxelles, alors que la dette publique de l'Italie (133% du PIB en 2016) est la deuxième plus importante de l'UE.

L'Italie a demandé à bénéficier de "circonstances exceptionnelles" en raison des tremblements de terre ayant secoué l'an passé la péninsule et de la vague massive d'immigration qu'elle doit gérer. Mi-novembre, la Commission européenne - qui estime que le déficit italien sera à 2,4% - avait épinglé huit pays, dont l'Italie, sur leurs projets budgétaires 2017, leur enjoignant de faire des efforts sous peine de sanctions.

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Swannie Membre 10 264 messages
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il y a 12 minutes, PASCOU a dit :

 

"Tous ceux qui votent pour des idées populistes ne sont pas tous mauvais. Dans de nombreux cas, ce sont des bonnes personnes, de bons citoyens, qui ont de vraies préoccupations à propos de l'avenir de leurs enfants, l'emploi ou la sécurité, a-t-il expliqué.

 

On le sait. Leur problème premier étant de ne se préoccuper que de leurs propres intérêts et non des intérêts de tous les français, et de se rendre impopulaires au possible pour certains par la diffusions de fausses informations approuvées par d'autres qui les partagent, qui les discréditent totalement. Si on veut être pris au sérieux, on ne triche pas, exemple la photo truquée de femmes voilées faisant la queue devant un panneau bleu "allocations familiales". Debunkée, le panneau a été rajouté sur la photo, il n'est pas là à l'origine, c'est un montage pour discréditer les migrants et les musulmans, comme il existe plein d'autres.

Si donc on est capable de tricher, de mentir de la sorte, en résumé de prendre les gens pour des cons y compris les populistes entre eux, qu'en serait-il s'ils passaient au pouvoir... Les pays qui les y mettent le verront. Leur second problème étant d'avoir la mémoire courte, très courte.

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il y a 15 minutes, Swannie a dit :

Leur second problème étant d'avoir la mémoire courte, très courte.

C'est pour ça que je n'oublie pas ton laïus sur "l'aberrance" des mosquées en France. J'aime les donneurs de leçons dans ton genre qui osent parler de l’intérêt de tous les français ...

Modifié par fx.
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PASCOU Membre 92 138 messages
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il y a 11 minutes, Swannie a dit :

On le sait. Leur problème premier étant de ne se préoccuper que de leurs propres intérêts et non des intérêts de tous les français, et de se rendre impopulaires au possible pour certains par la diffusions de fausses informations approuvées par d'autres qui les partagent, qui les discréditent totalement. Si on veut être pris au sérieux, on ne triche pas, exemple la photo truquée de femmes voilées faisant la queue devant un panneau bleu "allocations familiales". Debunkée, le panneau a été rajouté sur la photo, il n'est pas là à l'origine, c'est un montage pour discréditer les migrants et les musulmans, comme il existe plein d'autres.

Si donc on est capable de tricher, de mentir de la sorte, en résumé de prendre les gens pour des cons y compris les populistes entre eux, qu'en serait-il s'ils passaient au pouvoir... Les pays qui les y mettent le verront. Leur second problème étant d'avoir la mémoire courte, très courte.

Mais comme tous les autres Swannie , comme tous les autres...

il y a 11 minutes, Swannie a dit :

 

Si donc on est capable de tricher, de mentir de la sorte, en résumé de prendre les gens pour des cons y compris les populistes entre eux, qu'en serait-il s'ils passaient au pouvoir... Les pays qui les y mettent le verront. Leur second problème étant d'avoir la mémoire courte, très courte.

Et d'autres de ne pas en avoir...

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Swannie Membre 10 264 messages
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il y a 12 minutes, fx. a dit :

C'est pour ça que je n'oublie pas ton laïus sur "l'aberrance" des mosquées en France. J'aime les donneurs de leçons dans ton genre qui parlent de l’intérêt de tous les français ...

Vu que tu as ajouté la seconde phrase après que j'ai cliqué sur le merci, précision : je ne donne pas de leçons, je fais des constats et parle des conséquences. Fake new, conséquence ? pas celle attendue par ceux qui les envoie et ceux qui les partagent, mais l'inverse, elles les discréditent, ils passent pour des rigolos, ils se rendent impopulaires, ils ne sont donc pas prix au sérieux.

Alors déclarer, je cite un extrait de ce qui a été posté par Pascou : "Le ministre italien des Finances, Pier Carlo Padoan, s'en est pris vertement à l'UE, et plus particulièrement à la monnaie unique, affirmant mercredi à Davos que le problème de l'Europe "c'est l'euro" et l'appelant à "prendre au sérieux le populisme".

Bah non, ça marche pas.

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il y a 16 minutes, Swannie a dit :

ils ne sont donc pas prix au sérieux.

C'est exactement ce qui t'arrive en effet.

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PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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Le 25/08/2018 à 12:00, Swannie a dit :

Vu que tu as ajouté la seconde phrase après que j'ai cliqué sur le merci, précision : je ne donne pas de leçons, je fais des constats et parle des conséquences. Fake new, conséquence ? pas celle attendue par ceux qui les envoie et ceux qui les partagent, mais l'inverse, elles les discréditent, ils passent pour des rigolos, ils se rendent impopulaires, ils ne sont donc pas prix au sérieux.

Alors déclarer, je cite un extrait de ce qui a été posté par Pascou : "Le ministre italien des Finances, Pier Carlo Padoan, s'en est pris vertement à l'UE, et plus particulièrement à la monnaie unique, affirmant mercredi à Davos que le problème de l'Europe "c'est l'euro" et l'appelant à "prendre au sérieux le populisme".

Bah non, ça marche pas.

Je crois que tu n'as pas bien saisis le sens du texte.

Ou moi ta reponse..:)

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Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
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Il y a 3 heures, PASCOU a dit :

Je crois que tu n'as pas bien saisis le sens du texte.

Ou moi ta reponse..:)

Ce n'est pas à toi que je répondais, c'est à fx. le citant. Il a répondu, j'ai ri n'étant pas de ceux qui produisent des fake news ni les partagent (réponse non-sens de sa part), pas de suite donc à donner :) 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 21 minutes, Swannie a dit :

Ce n'est pas à toi que je répondais, c'est à fx. le citant. Il a répondu, j'ai ri n'étant pas de ceux qui produisent des fake news ni les partagent (réponse non-sens de sa part), pas de suite donc à donner :) 

Tiens donc...

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Swannie a dit :

Ce n'est pas à toi que je répondais, c'est à fx. le citant. Il a répondu, j'ai ri n'étant pas de ceux qui produisent des fake news ni les partagent (réponse non-sens de sa part), pas de suite donc à donner :) 

Pourquoi me citer alors?

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Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
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il y a 1 minute, PASCOU a dit :

Pourquoi me citer alors?

Parce que le topic est de toi et que c'est toi qui a cité l'article, simple comme bonjour.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
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Swannie Membre 3 041 messages
Forumeur alchimiste‚
Posté(e) hier à 11:36
 
Le ‎25‎/‎08‎/‎2018 à 11:13, PASCOU a dit :

 

"Tous ceux qui votent pour des idées populistes ne sont pas tous mauvais. Dans de nombreux cas, ce sont des bonnes personnes, de bons citoyens, qui ont de vraies préoccupations à propos de l'avenir de leurs enfants, l'emploi ou la sécurité, a-t-il expliqué.

 

On le sait. Leur problème premier étant de ne se préoccuper que de leurs propres intérêts et non des intérêts de tous les français, et de se rendre impopulaires au possible pour certains par la diffusions de fausses informations approuvées par d'autres qui les partagent, qui les discréditent totalement. Si on veut être pris au sérieux, on ne triche pas, exemple la photo truquée de femmes voilées faisant la queue devant un panneau bleu "allocations familiales". Debunkée, le panneau a été rajouté sur la photo, il n'est pas là à l'origine, c'est un montage pour discréditer les migrants et les musulmans, comme il existe plein d'autres.

Si donc on est capable de tricher, de mentir de la sorte, en résumé de prendre les gens pour des cons y compris les populistes entre eux, qu'en serait-il s'ils passaient au pouvoir... Les pays qui les y mettent le verront. Leur second problème étant d'avoir la mémoire courte, très courte.

 

 

  •  

Ce n'est pas moi qui ai écrit ça , c'est une partie d'un article, donc ce serait bien de le préciser, merci!

:)

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