il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

 

Ca c’est une blague puisqu’avant l’inscription n’etait Pas obligatoire , mais de toute façon les quelques élèves abandonnant retrouvaient une place par le jeu des équivalences et ceux de maths spé avec une admissibilité integraient directement en 3ème année de licence où les amphis sont ... vides car le taux d’echec Avant est monstrueux . En maîtrise je ne te dis même pas , on a la place pour organiser un beach volley en amphi , à Diderot on ne se marchait pas dessus ils avaient sans problème la place pour les appelés qui voulaient stimuler avoir un peu de fun mathématique. Lors de l’inscription la queue frisait la seconde lol . Ça n’a pas changé .

 

ayant suivi des cours libres  en fac d'histoire je confirme, les 1ere année amphi bondé voir on ne  trouvait pas de place assise, 2e année on divise par 2 et en 3e amphi à moitié rempli

sinon ceux qui faisaient Khâgne ( classe prépa littéraire)  intégraient directement aussi la 3e année

Sérieux, cette histoire de prérequis, ya moyen de bien troller les consignes. On avait dit à l'UFR de russe voisin de mettre dans leurs prérequis "avoir regardé la vidéo What The Cut d'Antoine Daniel à propos de la Russie". 

Il n'y en a qu'un qui était d'accord  

Faut dire que là, une partie des directeurs d'UFR sont tout sourire. Ca rappelle la tête des dirlo de lycée lors des précédents assouplissements de la carte scolaire. 

Mais sinon, que disais-je quelques pages plus tôt ? Ah oui...

Citation

Tirage au sort qui avait servi de recours parce que... les gouvernements successifs ont tous délaissé les universités qui avaient besoins de plus d'investissements pour faire face à une demande légitime des bacheliers pour leur accès aux études supérieur, accès promis par l'école de la République. 

Bref, les soutiens du gouvernements qui se targuent de résoudre un problème que ceux qu'ils soutiennent ont eux-mêmes largement contribué à créer.

Idem pour la SNCF ; les gouvernements successifs ont coulé un bronze sur leur devoir de stratège et de régulateur du développement du rail, et maintenant on vient nous dire "oui, c'est le gouvernement qui a merdé, malheureusement, on peut pas demander aux anciens gouvernants de sortir l'oseille, donc faut sacrifier le rail développé par vos impôts sur l'autel de la concurrence tralalère".

Le cynisme à l'état pur. On se targue de régler un problème qu'on a pu précédemment créer, en habillant cette action des oripeaux de la justice. Ca fait des années que les syndicats étudiants demande des moyens supplémentaires pour permettre un accueil décent de l'afflux d'étudiants, dont la présence était légitime ! Mais ça, c'est l'aspect "cause toujours" du dialogue social  

C'est d'autant plus tordu que cette justice va en fait devenir la perpétuation de la reproduction de l'inégalité en validant le dossier scolaire, reflet des inégalités sociales comme on le sait. Mais c'est pas grave, il suffit de balancer l'exemple des enfants de profs pour liquider dans l'oeuf (rhétoriquement en tout cas) toute velléité de rappel de la situation suivante : le déterminisme docimologique est un sous-produit du déterminisme social. Même pas pertinent d'ailleurs ! Pas dans tous les cas en tout cas. Combien de mes collègues ont recommandé des lycéens prêt à passer le bac à des UFR saturés pour forcer le passage, et qui se sont magnifiquement viandés en première année ? Ca arrive aussi, tout comme les lycéens moyens qui se viandent, tout comme les lycéens moyens qui réussissent. 

Il y a 3 heures, PLS maker a dit :

Le cynisme à l'état pur. On se targue de régler un problème qu'on a pu précédemment créer,

C’est qui on ?

Le tirage au sort n’existe plus . Un fait . Peu importe la raison pour laquelle certains ont pu créer cette ignominie . Un des points du programme était de supprimer cet arbitraire . Un de moins , c’est toujours bon à prendre et chaque parent ou lycéen ne peut que s’en réjouir .

Il y a 3 heures, PLS maker a dit :

 

en habillant cette action des oripeaux de la justice.

Supprimer le tirage au sort , ce n’est pas des oripeaux de la justice , c’est justice .

Il y a 3 heures, PLS maker a dit :

Ca fait des années que les syndicats étudiants demande des moyens supplémentaires pour permettre un accueil décent de l'afflux d'étudiants, dont la présence était légitime ! Mais ça, c'est l'aspect "cause toujours" du dialogue social  

Et en quoi ça justifie de laisser perdurer le tirage au sort et de manifester contre Parcoursup ?

Augmenter les dépenses pour la fac et permettre aux étudiants d’avoir leur premier choix en fonction de leur dossier , ce sont deux problématiques différentes . Il n’y aura jamais 3000 places à Orsay double licence ou que sais je . La question du dossier ou tirage au sort se posera donc toujours .

Il y a 3 heures, PLS maker a dit :

C'est d'autant plus tordu que cette justice va en fait devenir la perpétuation de la reproduction de l'inégalité en validant le dossier scolaire, reflet des inégalités sociales comme on le sait. Mais c'est pas grave, il suffit de balancer l'exemple des enfants de profs pour liquider dans l'oeuf (rhétoriquement en tout cas)

Exemple exact afin de rappeler que l’égalité des chances n’est pas uniquement un problème de moyens financiers des parents .Les salariés de l’education Nationale ne sont pas de gros Bourges bien gras financièrement mais leur progéniture truste les filières élitistes .

Il y a 3 heures, PLS maker a dit :

toute velléité de rappel de la situation suivante : le déterminisme docimologique est un sous-produit du déterminisme social. Même pas pertinent d'ailleurs ! Pas dans tous les cas en tout cas. Combien de mes collègues ont recommandé des lycéens prêt à passer le bac à des UFR saturés pour forcer le passage, et qui se sont magnifiquement viandés en première année ? Ca arrive aussi, tout comme les lycéens moyens qui se viandent, tout comme les lycéens moyens qui réussissent. 

Ce sont les notes qui comptent le plus dans le dossier , le conseil dans Parcoursup donne son avis sur la capacité de l’eleve à suivre son choix et permet au jury , en cas de parcours plus atypique comme un bac littéraire qui souhaiterait intégrer l’utc Par la filière humanité ou autres , de se faire une opinion faute de pouvoir se reposer sur les notes .

Il y a 22 heures, fx. a dit :

 

Et ?

Aurais tu des chiffres et des sources ?

Le manque de moyens à l’université, concrètement, ça veut dire quoi ?

https://www.letudiant.fr/educpros/opinions/le-manque-de-moyens-a-l-universite-concretement-ca-veut-dire-quoi.html

Je n'ai pas trouvé de chiffres plus récents. En 2016 le ministère de l'enseignement supérieur annonçait une hausse de 347 millions d'euros par rapport à 2015.

"Les dotations des établissements d'enseignement supérieur progressent, les crédits alloués à la vie étudiante augmentent de 2,4%, 1000 emplois supplémentaires sont créés et les moyens en faveur de la recherche sont préservés. "

"Des moyens en augmentation :

• 13 milliards d'euros dédiés à l'enseignement supérieur (+305 millions d'euros) ;
• 2,54 milliards d'euros dédiés à la vie étudiante (+36 millions d'euros) ;
• 7,71 milliards d'euros dédiés à la recherche (+ 6 millions d'euros)."

http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid93743/budget-2016-des-moyens-en-hausse-en-faveur-de-l-enseignement-superieur-et-de-la-recherche.html

De plus, les entreprises ne sont pas très chaudes pour recruter des salariés issus de l'université. Les enseignants en fac méconnaissent les entreprises et leurs métiers et les stages ne sont pas considérés comme adaptés. Ainsi, les diplômés ( quand ils le sont) affrontent l'entreprise avec une réputation d'une relative inefficacité, ce qui constitue un véritable frein à l'embauche.

Alors pourquoi consacrer des millions dans une filière qui donnera proportionnellement peu satisfaction ?

il y a 58 minutes, Barbara lebol a dit :

Je n'ai pas trouvé de chiffres plus récents. En 2016 le ministère de l'enseignement supérieur annonçait une hausse de 347 millions d'euros par rapport à 2015.

"Les dotations des établissements d'enseignement supérieur progressent, les crédits alloués à la vie étudiante augmentent de 2,4%, 1000 emplois supplémentaires sont créés et les moyens en faveur de la recherche sont préservés. "

"Des moyens en augmentation :

• 13 milliards d'euros dédiés à l'enseignement supérieur (+305 millions d'euros) ;
• 2,54 milliards d'euros dédiés à la vie étudiante (+36 millions d'euros) ;
• 7,71 milliards d'euros dédiés à la recherche (+ 6 millions d'euros)."

http://www.enseignementsup-recherche.gouv.fr/cid93743/budget-2016-des-moyens-en-hausse-en-faveur-de-l-enseignement-superieur-et-de-la-recherche.html

Anabelle Allouch, maître de conférences de sociologie à l’université de Picardie et auteure du livre "La société du concours", analyse avec nous la réforme de l’enseignement supérieur.

Anabelle Allouch maître de conférence de sociologie à l’université de Picardie et auteure du livre « La société du concours » / Crédit : D.R.

Quel regard posez-vous sur la réforme de l’université ?

En tant qu’enseignante et sociologue, je suis extrêmement inquiète. Des années de sous-dotation des universités permettent aujourd’hui au gouvernement de légitimer une réforme qui introduit une nouveauté de taille dans le système éducatif français : la sélection à l’université. En somme, on nous dit ceci : “Puisqu’on n’a plus les moyens d’accueillir tout le monde dans le supérieur, on va sélectionner.” Or l’université a toujours été un lieu de démocratisation du savoir, le gouvernement dévalorise ce rôle-là.

L’université devient donc un lieu de professionnalisation alors qu’il était auparavant celui de la démocratisation du savoir ?

Non, prétendre que l’accès à l’emploi était délaissé à l’université est faux. En tant qu’enseignants, nous sommes astreints depuis longtemps à professionnaliser nos maquettes. Nous donnons des cours de « conduite de projets » ou de sensibilisation aux débouchés. En sociologie on présente ainsi tout un ensemble de métiers en rapport avec la petite enfance, le para-scolaire, le travail social. Il est faux de croire qu’à l’université on apprend seulement à faire des dissertations.

C’est justement ce que nous laisse penser la réforme ?

Oui, et en cela elle sous-estime le fait qu’on y apprend aussi à écrire, à s’exprimer, à développer une pensée… des compétences qui sont toujours appréciées par les recruteurs. Nos étudiants en philosophie par exemple, ont d’excellents résultats aux concours administratifs. Paradoxalement le parcours d’Emmanuel Macron, d’abord étudiant en philosophie à Nanterre, illustre parfaitement cette fonction de l’université.

N’y a-t-il pas des filières moins porteuses que la réforme permettra de désengorger ?

Ce n’est pas certain, parler de “filières moins porteuses” fait oublier une statistique très importante : avoir un diplôme, quel qu’il soit, protège plus du chômage que de ne pas en avoir. Penser l’université uniquement comme un lieu de professionnalisation fait oublier qu’elle assure aussi un accès à un savoir de haut niveau à tout bachelier. Et, grâce aux diplômes qu’elle délivre, une possibilité de mobilité sociale.

Au contraire, penser que tout savoir doit correspondre à un métier est pervers : on oblige les étudiants à se déterminer professionnellement dès 18 ans. Ainsi, on les coupe de la possibilité d’apprendre à apprendre et d’y prendre du plaisir. La fonction non utilitaire du savoir est alors perdue.

La réforme ne va-t-elle pas remettre le mérite au centre de la formation universitaire ?

Pour moi, ce que l’on appelle “mérite” n’existe pas. C’est un discours produit par des institutions, ici l’Etat, qui laisse penser que le talent individuel de chacun sera reconnu à sa juste valeur. Or en réalité, il permet surtout de légitimer la sélection sociale. Des études montrent que des parents instruits, qui connaissent bien le système éducatif français, ont plus de chances d’avoir des enfants qui feront des études supérieures et les réussiront. On sait depuis Bourdieu que l’égalité des chances est un vœu pieux.

Le comble, c’est que la réforme de l’université va à l’encontre de ce discours du mérite. Pour l’instant, l’enseignement supérieur propose deux voies : une sélective (grandes écoles, BTS, DUT…) et une autre non sélective, l’université. Cette dernière permet aux élèves qui ne se sont pas encore trouvés, d’être aidés à nouveau et de prendre du temps. La réforme veut supprimer cette voie non sélective. Elle réservera ainsi l’accès à l’enseignement secondaire aux élèves déjà bons au lycée, ceux issus des classes les plus aisées. Les autres seront directement aiguillés vers le marché du travail.

En tant qu’enseignant, comment continuer à croire en l’école si on ne croit pas au mérite ?

Si dans l’absolu, le mérite n’existe pas et que les déterminismes sociaux pèsent lourd à l’école, il y a toujours des moyens pour aider les élèves les plus en difficultés. Effectivement c’est très difficile pour les enseignants, parmi lesquels je m’inclus, de constater tous les jours que les enfants ne sont pas tous égaux face à l’école : certains viennent de familles très cultivées, d’autres ont des parents qui maîtrisent à peine la langue… Pourtant voir un élève grandir et progresser, c’est ce qui nous nourrit. Pour continuer à aimer notre métier et y croire, nous avons besoin de moyens à la hauteur de notre vocation.

Guillaume Bernard

http://www.vousnousils.fr/2018/01/12/selection-a-luniversite-le-but-nest-pas-juste-de-former-a-un-metier-611581

Un plan sévère d’économies de 331 millions d’euros pour l’enseignement supérieur et la recherche

Le gouvernement prend le risque de mettre le feu aux poudres à l’université, secteur déjà sous pression. L’éducation nationale est touchée, elle, à hauteur de 75 millions d’euros.

Un service public qui souffre du manque de moyens

Si ces 331 millions représentent une part marginale du budget global du secteur – de l’ordre de 27 milliards d’euros –, l’accroc n’en est pas moins important pour un service public qui souffre cruellement du manque de moyens. Depuis déjà trois ans, les universités accueillent les milliers d’enfants du boom démographique des années 2000, sans voir leurs moyens augmenter. En juin, la Cour des comptes comptabilisait six établissements dans une situation financière « très dégradée », neuf autres dans une « situation dégradée ». Le monde de la recherche sort lui aussi en mauvaise posture d’un quinquennat Hollande durant lequel, disent les syndicats, le manque de postes et la précarité se sont accrus dans les laboratoires.

Fortement attendu, le coup de pouce budgétaire obtenu pour la première fois en 2017, avec 850 millions d’euros supplémentaires – dont 100 millions pour les universités – se retrouve sérieusement amputé par ces annulations.

http://abonnes.lemonde.fr/campus/article/2017/07/13/un-plan-severe-d-economies-de-331-millions-d-euros-pour-l-enseignement-superieur-et-la-recherche_5160310_4401467.html

il y a 58 minutes, Barbara lebol a dit :

De plus, les entreprises ne sont pas très chaudes pour recruter des salariés issus de l'université. Les enseignants en fac méconnaissent les entreprises et leurs métiers et les stages ne sont pas considérés comme adaptés. Ainsi, les diplômés ( quand ils le sont) affrontent l'entreprise avec une réputation d'une relative inefficacité, ce qui constitue un véritable frein à l'embauche.

Alors pourquoi consacrer des millions dans une filière qui donnera proportionnellement peu satisfaction ?

C'est un avis que je ne partage évidemment pas et qui en plus traduit une vision déformée de l'enseignement supérieur qui se réduirait à sa plus simple expression au lieu d'être un lieu avant tout d'enrichissement et d'ouverture des potentiels et pas seulement une filière possible pour les meilleurs qui feront des doubles licences and co.

Il y a 3 heures, grandfred a dit :

J'en étais sûre. ...   merci grandfred pour ce bonfou rire..., ca fait du bien par où çà passe, depuis plus de 10 mois mes zygomatiques sont total coincées et dieu seul sait  à quel point ca fait du bien de rire...

Il y a 5 heures, grandfred a dit :

olivier n’a pourtant pas de pare-brise à réparer

il y a 12 minutes, DroitDeRéponse a dit :

 

olivier n’a pourtant pas de pare-brise à réparer

 

Certains se réjouissent de l'immonde...

Maintenant, quand on s'oppose à Parcourssup et à la sélection qu'entraîne ce mode d'inscription (inscription "juste" qui se base sur des modes d'évaluations connus pour reproduire les inégalités sociales de départ  la justice docimologique de la mort qui tue !), on est soupçonné de vouloir justifier la perpétuation du tirage au sort.

Donc dans l'esprit des soutiens de cette réforme, il n'y a que deux voies : parcoursup et tirage au sort. Franchement...

On nage dans le manichéisme le plus malhonnête, quand on sait que, depuis la LRU, on se bat pour un meilleur budget pour l'enseignement supérieur, et que la seul chose qu'on reçoit en retour, c'est un magnifique doigt d'honneur des gouvernements, qui s'émeuvent à grands flots de larmes de crocodiles du tirage au sort, conséquence directe de la sous-dotation. 

Citation

L’avocat du jeune homme a dénoncé le « traitement exceptionnel » réservé aux manifestants interpellés, parmi lesquels on ne trouve « aucun black bloc » mais une « foule de badauds », moins entraînés à échapper à la police. Beaucoup ne comprennent pas pourquoi ils ont été arrêtés, parfois loin du cortège, et encore moins pourquoi ils doivent « se justifier » d’avoir participé à une manifestation.

Au total, 283 personnes avaient été arrêtées à l’issue de la manifestation du 1er-Mai, dont 102 placées en garde à vue. Mercredi, une cinquantaine avaient été relâchées et mises hors de cause. Sept suspects devaient être présentés à un juge vendredi.

https://www.20minutes.fr/societe/2266483-20180505-violences-1er-mai-amende-relaxes-premiers-manifestants-juges-paris

allez les ""z'honnêtes gens" voilà de quoi vous rassurer !

 une remise en question non pas des black block mais de ce qu'ils devraient choisir comme option =

Pour un black bloc qui bloque autre chose que la manif

Nous ne sommes pas hostiles à la technique du Black Bloc et nous l’avons maintes fois utilisée. Et même quand nous n’y sommes pas, nous sommes solidaires des cop(a)in(e)s en pleine action, blessés ou arrêtés. Mais pour nous elle doit servir quelque chose d’autre que la simple joie d’exister ou de se faire plaisir entre les convaincus. Autrement dit nous aimerions un Black Block qui bloque autre chose que la manifestation. 1200 personnes en black bloc, 15 000 dans le cortège de tête pour juste défoncer un mac do et cramer un concessionnaire c’est franchement du gâchis… notamment quand on voit le nombre d’arrestations.

Pourquoi cette technique n’est pas utilisée pour bloquer des lieux de pouvoirs, des centres logistiques, décisionnels ? Elle serait pourtant très utile aux actions de blocage et de sabotage… Pourquoi n’est-elle pas utilisée lorsque la pression médiatique est moindre ? C’est pourtant là où on risquerait le moins…

« Franchement on s’amusait mieux sans le Black Bloc »

Nous comprenons très bien que pour certains, l’expression d’une violence contre les objets symboliques du capitalisme soient un exutoire à une existence sur laquelle s’exercent la violence et le contrôle de l’État. Mais de là à en tirer une théorie générale d’interprétation du monde et de la révolution, c’est pousser le bouchon un peu loin.

Ainsi on peut vivre de belles scènes de solidarité dans l’émeute ou des manifestations plus énervées mais on peut aussi avoir des mauvaises expériences : violence gratuite et aveugle, sexisme, répression très violente, arrestations… Comme ailleurs ! Si nous avons réussi à désacraliser la manifestation cadrée par les syndicats, continuons sur notre route et désacralisons l’émeute, le black bloc ou même le cortège de tête. Ce ne sont que des stratégies, des techniques, pas une fin en soi.

https://paris-luttes.info/appel-aux-convaincu-e-s-une-10146?lang=fr

Il y a 9 heures, PLS maker a dit :

 

n nage dans le manichéisme le plus malhonnête, quand on sait que, depuis la LRU, on se bat pour un meilleur budget pour l'enseignement supérieur,

 

Non le manichéisme consiste à vouloir faire accroire qu’une hausse de budget supprime la nécessité de donner suite aux divers vœux des étudiants en fonction de leur dossier . En l’ansence De dossier , hausse de budget ou pas il faut tirer au sort et en passer par le plus grand des arbitraires et la plus grande injustice . Par ailleurs la revendication principale est la suppression de Parcoursup et non la hausse du budget , donc de facto la revendication a pour conséquence directe le retour au tirage au sort , c’est factuel .

il y a 7 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Non le manichéisme consiste à vouloir faire accroire qu’une hausse de budget supprime la nécessité de donner suite aux divers vœux des étudiants en fonction de leur dossier . 

Ils vont encore tout casser cet après-midi. ...

Mais Emmanuel s'en fout, ...Après avoir foutu un bordel monstre, il est parti se faire dorer la pillule à Nouméa avec  Marie-Chantal et à envoyé Darmanin à l'enterrement de la petite Angelique. ....

Il y a 4 heures, PLS maker a dit :

https://www.20minutes.fr/societe/2266483-20180505-violences-1er-mai-amende-relaxes-premiers-manifestants-juges-paris

Qui peut bien croire ces gens qui mentent sur leur nom et leur profession, pour certains, leur nationalité pour d'autres...

Ils se font prendre la main dans le sac...même avec une arme à la main ils se diraient innocents!

à l’instant, Alinéa 1ier a dit :

Ils vont encore tout casser cet après-midi. ...

Mais Emmanuel s'en fout, ...Après avoir foutu un bordel monstre, il est parti se faire dorer la pillule à Nouméa et à envoyé Darmanin à l'enterrement de la petite Angelique. ....

Et l'instigateur est en Russie...

il y a 2 minutes, Morfou a dit :

 

Et l'instigateur est en Russie...

En train de s'acheter un nouveau réfrigérateur. ..

il y a 26 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Non le manichéisme consiste à vouloir faire accroire qu’une hausse de budget supprime la nécessité de donner suite aux divers vœux des étudiants en fonction de leur dossier . En l’ansence De dossier , hausse de budget ou pas il faut tirer au sort et en passer par le plus grand des arbitraires et la plus grande injustice . Par ailleurs la revendication principale est la suppression de Parcoursup et non la hausse du budget , donc de facto la revendication a pour conséquence directe le retour au tirage au sort , c’est factuel .

En finir avec les reculs sociaux qui font le terreau de l'extrême droite !

En finir avec les inégalités qui se creusent d'année en année !

En finir avec la pauvreté économique  et la pauvreté culturelle ...

1° mai 2018 ... 

à l’instant, Alinéa 1ier a dit :

En train de s'acheter un nouveau réfrigérateur. ..

J'espère, si la manifestation tourne mal, qu'il sera mis au frais...