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plan borloo banlieue

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PASCOU

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Membre, 65ans Posté(e)
pila Membre 18 571 messages
Baby Forumeur‚ 65ans‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, PASCOU a dit :

La pub pour le pastis ou les parfum ça rapporte plus;

On pourrait envisager les deux en même temps !

"Que diriez-vous d'une bonne cuite à la Kro sur la pelouse de votre cité que vous tenez à garder propre ?!!!"  :ange2:

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, pila a dit :

On pourrait envisager les deux en même temps !

"Que diriez-vous d'une bonne cuite à la Kro sur la pelouse de votre cité que vous tenez à garder propre ?!!!"  :ange2:

Je suis en pleine cambrousse!

Puis une cuite à la kro, non merci!:)

 

Modifié par PASCOU
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 739 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 22 minutes, Pales a dit :

Et même plus qu'un Poil..............avec les C..:censored: avatarisé Polac :hello:

En ce cas pourquoi pratiquer le phallocratisme raciste ?

L’ex-Garde des sceaux a au moins autant le droit au respect que les femmes de votre famille . Personne ne vous prétend expert en fellation , vous devriez garder ça pour votre sphère intime . Fin du HS mais il fallait le relever, votre supposée appartenance vous mettant bien souvent à l’abri de remarques que l’on ne manquerait pas de faire à un frontiste .

 

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

Oui il faudrait examiner les chiffres mais de ce que j’ai lu de guilluy d’aubenas le différentiel est en défaveur de la France périphérique. Ceci étant il est plus criant pour les banlieues proches du fait de la proximité avec les grandes métropoles mondialisées générant de la richesse .

Ceci dit une fois encore ce devrait aussi être porté par Borloo pour éviter les discours victimaires et alimenter les machines populistes .

 

Le rapport entier de borloo est un appel aux discours victimaires.

Services publics de proximité, transports en communs, connexions aux grandes villes, infrastructures et tissu associatifs, logements sociaux et zones franches, préférence d'emauche dans les mairies, politique de la ville, j'en passe et des meilleures, evidemment que les banlieues sont de trés loins prioritaires par rapport à la france périphérique.

De surcroit demander 40 milliars pour un plan banlieue sans jamais une seule fois évoquer l'immigration de masse et l'islamisme, c'est juste d'un culot absolu.

Ce n'est pas qu'il est plus criant, c'est que pour les uns il est necessaire d'acheter la paix civiles parce que les autres ne crament pas de voitures.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

https://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/aux-portes-de-paris-le-deal-a-ciel-ouvert-des-tirs-et-des-habitants-abandonnes_2004396.html

 

Le deal à ciel ouvert.

A l'entrée de la cité de la Capsulerie à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), un tag recensant les plaques des voitures de police sert d'aide-mémoire aux guetteurs, le 27 avril 2018

A l'entrée de la cité de la Capsulerie à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), un tag recensant les plaques des voitures de police sert d'aide-mémoire aux guetteurs, le 27 avril 2018

afp.com/Tiphaine LE LIBOUX

Bagnolet - "308 Noire CD..." "Mondéo Bleu nuit EC..." A l'entrée de la cité, un tag recensant les plaques des voitures de police sert d'aide-mémoire aux guetteurs. Bienvenue à La Capsulerie, à Bagnolet. A deux stations de métro de Paris, le quartier est gangréné par le deal et les habitants se sentent "abandonnés".

Cet après-midi là, une dizaine de CRS patrouillent dans la cité. Ils ont été déployés en renfort le 25 avril, après une flambée de violence. Trois hommes connus de la police ont été blessés par balle ce mois-ci. Des voitures ont été incendiées. 

"Tout laisse à penser qu'il s'agit de règlements de comptes liés au point de deal", l'un des principaux de Seine-Saint-Denis, confie une source proche de l'enquête. Le risque de "surenchère" inquiète élus et habitants. Ils pressent les autorités d'agir avant un "mort" ou une "balle perdue". 

 
 

En attendant, la présence des forces de l'ordre n'empêche pas le trafic. A peine ont-ils tourné le dos que les guetteurs reprennent leur poste, comme les acheteurs. 

"Si vous cherchez du cannabis, c'est simple", raconte un habitant. "Dès que vous sortez du métro, un rabatteur vous prend en charge, il vous guide jusqu'à la cité, vous donnez votre argent et vous attendez, au pied de cette tour, qu'on vous apporte la marchandise.

 

A l'endroit désigné, une vingtaine de personnes patientent, les yeux sur leur smartphone. Hommes et femmes, jeunes et vieux. Certains en veste et chemise, d'autres en tee-shirts. "Les clients viennent de toute la région parisienne, de tous les milieux", explique une source policière. 

Le "four" (point de vente) est ouvert de midi à minuit. On y vend essentiellement du cannabis, pour un chiffre d'affaires quotidien estimé à plusieurs milliers d'euros. Des centaines d'acheteurs défilent chaque jour, au vu de tous. Parfois, "la file d'attente va jusqu'à l'entrée de la cité", raconte une autre habitante. 

Cheveux courts, veste en jean, elle qui vit là depuis plus de 40 ans, estime que la situation a commencé à se dégrader il y a sept ans. Jusque-là, le trafic se pratiquait à petite échelle "caché dans les appartements", raconte-t-elle autour d'un café avec deux voisines. "Il y avait une bonne ambiance dans le quartier, et vous viviez aux portes de Paris pour pas cher". 

- "On ne voit plus d'issue" - 

Mais l'emplacement, à 400 mètres du métro, au pied du périph, de l'autoroute et d'une gare routière, a aussi tapé dans l'oeil des dealers. Poussés notamment par le démantèlement de trafics dans les villes alentour, expliquent les habitants, ils ont peu à peu pris possession de la cité. 

Aujourd'hui, des guetteurs surveillent les allées et venues, dévisagent les passants. "A un moment, ils nous demandaient notre carte d'identité pour entrer dans les immeubles", racontent les trois voisines.  

Comme elles, tous les habitants rencontrés décrivent une ambiance "pesante". "Lorsque j'ai pris mes fonctions", raconte un gardien, "ils ont mis quelqu'un derrière la fenêtre de la loge pour me surveiller. Il est resté là deux mois, il me suivait quand je sortais". 

Autre symbole de cette mainmise, à l'entrée de la cité, un jeune en jogging garde un oeil sur un mur. Une dizaine de plaques d'immatriculation y ont été taguées. "C'est celles des voitures de police banalisées. Quand il en voit une, il alerte les vendeurs", décrypte un membre de "Retrouvons notre dignité", une association d'habitants qui milite contre le trafic.  

Devant la maison de quartier, où un impact de balle est encore visible, Alexis Corbière, le député LFI de la circonscription, explique avoir demandé, avec le maire socialiste Tony Di Martino, des renforts policiers, en plus de la brigade de 15 agents déployée il y a un an. L'association d'habitants et plusieurs élus réclament aussi, depuis des années, l'ouverture d'un commissariat de plein exercice.  

Contactée, la préfecture dit avoir pris en compte la "situation de violence" et assure qu'une présence policière renforcée sera maintenue "jusqu'à nouvel ordre". 

Mais les habitants craignent que cela ne suffise pas: "Le quartier a été abandonné, on a laissé le trafic s'installer. Aujourd'hui, il est là, en permanence. On ne voit plus d'issue."

 

 

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Faudrait déjà régler ce problème que tout le monde connaît et qu'on laisse gangréner les quartiers.

Pas un mot de Borloo sur le sujet ou des locaux politiques;

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 739 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 25 minutes, PASCOU a dit :

Les frontières seraient phallocrates ?

Avec une femme à  leur tête?

Et pas rose?

Rose si tu veux . Les bas du front phallocrates sont de toutes les couleurs .

 

il y a 4 minutes, PASCOU a dit :

Vous pourriez avec votre ami Pales revenir au sujet, on s'en fiche un peu de qui "su.e" qui!:)

Sinon je parle de Marion.

Votre réponse à Pales témoigne du contraire . Mais oui retour au sujet .

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Invité fx.
Invités, Posté(e)
Invité fx.
Invité fx. Invités 0 message
Posté(e)

Rapport Borloo sur les banlieues : ce qu’il contient pour le numérique

 

L'ancien ministre délégué à la ville Jean-Louis Borloo a remis un rapport sur les quartiers. Celui-ci comporte plusieurs dispositions concernant le numérique. Le plan propose en particulier de créer 200 campus en France pour favoriser la formation, l'accès à l'emploi, la culture ou encore le lien avec les services publics.

C’est le 26 avril que Jean-Louis Borloo a remis au gouvernement son rapport sur les banlieues. Composé de dix-neuf programmes thématiques (mobilité, éducation, culture, emploi, sport, justice, sécurité, santé, lutte contre les discriminations…), il contient aussi tout un chapitre consacré au numérique, car ce domaine peut être « un point fort des habitants des quartiers urbains ».

Pour cela, le plan de l’ancien ministre délégué à la ville propose que soient mis en place dans les années à venir 200 campus numériques sur tout le territoire et dans lesquels six missions seraient accomplies : la formation, l’accès à l’emploi, le contact avec les services publics, l’ouverture à la culture, l’aide aux juniors et le bénévolat. Ces campus s’appuieront sur «  une population jeune, très agile techniquement ».

 

Suite de l'article

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 29 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Rose si tu veux . Les bas du front phallocrates sont de toutes les couleurs .

 

Votre réponse à Pales témoigne du contraire . Mais oui retour au sujet .

 

Bien DDR.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 739 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 44 minutes, PASCOU a dit :

https://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/aux-portes-de-paris-le-deal-a-ciel-ouvert-des-tirs-et-des-habitants-abandonnes_2004396.html

 

Le deal à ciel ouvert.

A l'entrée de la cité de la Capsulerie à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), un tag recensant les plaques des voitures de police sert d'aide-mémoire aux guetteurs, le 27 avril 2018

A l'entrée de la cité de la Capsulerie à Bagnolet (Seine-Saint-Denis), un tag recensant les plaques des voitures de police sert d'aide-mémoire aux guetteurs, le 27 avril 2018

afp.com/Tiphaine LE LIBOUX

Bagnolet - "308 Noire CD..." "Mondéo Bleu nuit EC..." A l'entrée de la cité, un tag recensant les plaques des voitures de police sert d'aide-mémoire aux guetteurs. Bienvenue à La Capsulerie, à Bagnolet. A deux stations de métro de Paris, le quartier est gangréné par le deal et les habitants se sentent "abandonnés".

Cet après-midi là, une dizaine de CRS patrouillent dans la cité. Ils ont été déployés en renfort le 25 avril, après une flambée de violence. Trois hommes connus de la police ont été blessés par balle ce mois-ci. Des voitures ont été incendiées. 

"Tout laisse à penser qu'il s'agit de règlements de comptes liés au point de deal", l'un des principaux de Seine-Saint-Denis, confie une source proche de l'enquête. Le risque de "surenchère" inquiète élus et habitants. Ils pressent les autorités d'agir avant un "mort" ou une "balle perdue". 

 
 

En attendant, la présence des forces de l'ordre n'empêche pas le trafic. A peine ont-ils tourné le dos que les guetteurs reprennent leur poste, comme les acheteurs. 

"Si vous cherchez du cannabis, c'est simple", raconte un habitant. "Dès que vous sortez du métro, un rabatteur vous prend en charge, il vous guide jusqu'à la cité, vous donnez votre argent et vous attendez, au pied de cette tour, qu'on vous apporte la marchandise.

 

A l'endroit désigné, une vingtaine de personnes patientent, les yeux sur leur smartphone. Hommes et femmes, jeunes et vieux. Certains en veste et chemise, d'autres en tee-shirts. "Les clients viennent de toute la région parisienne, de tous les milieux", explique une source policière. 

Le "four" (point de vente) est ouvert de midi à minuit. On y vend essentiellement du cannabis, pour un chiffre d'affaires quotidien estimé à plusieurs milliers d'euros. Des centaines d'acheteurs défilent chaque jour, au vu de tous. Parfois, "la file d'attente va jusqu'à l'entrée de la cité", raconte une autre habitante. 

Cheveux courts, veste en jean, elle qui vit là depuis plus de 40 ans, estime que la situation a commencé à se dégrader il y a sept ans. Jusque-là, le trafic se pratiquait à petite échelle "caché dans les appartements", raconte-t-elle autour d'un café avec deux voisines. "Il y avait une bonne ambiance dans le quartier, et vous viviez aux portes de Paris pour pas cher". 

- "On ne voit plus d'issue" - 

Mais l'emplacement, à 400 mètres du métro, au pied du périph, de l'autoroute et d'une gare routière, a aussi tapé dans l'oeil des dealers. Poussés notamment par le démantèlement de trafics dans les villes alentour, expliquent les habitants, ils ont peu à peu pris possession de la cité. 

Aujourd'hui, des guetteurs surveillent les allées et venues, dévisagent les passants. "A un moment, ils nous demandaient notre carte d'identité pour entrer dans les immeubles", racontent les trois voisines.  

Comme elles, tous les habitants rencontrés décrivent une ambiance "pesante". "Lorsque j'ai pris mes fonctions", raconte un gardien, "ils ont mis quelqu'un derrière la fenêtre de la loge pour me surveiller. Il est resté là deux mois, il me suivait quand je sortais". 

Autre symbole de cette mainmise, à l'entrée de la cité, un jeune en jogging garde un oeil sur un mur. Une dizaine de plaques d'immatriculation y ont été taguées. "C'est celles des voitures de police banalisées. Quand il en voit une, il alerte les vendeurs", décrypte un membre de "Retrouvons notre dignité", une association d'habitants qui milite contre le trafic.  

Devant la maison de quartier, où un impact de balle est encore visible, Alexis Corbière, le député LFI de la circonscription, explique avoir demandé, avec le maire socialiste Tony Di Martino, des renforts policiers, en plus de la brigade de 15 agents déployée il y a un an. L'association d'habitants et plusieurs élus réclament aussi, depuis des années, l'ouverture d'un commissariat de plein exercice.  

Contactée, la préfecture dit avoir pris en compte la "situation de violence" et assure qu'une présence policière renforcée sera maintenue "jusqu'à nouvel ordre". 

Mais les habitants craignent que cela ne suffise pas: "Le quartier a été abandonné, on a laissé le trafic s'installer. Aujourd'hui, il est là, en permanence. On ne voit plus d'issue."

 

 

 

Marseille fut un temps une plaque tournante de la drogue . Cette problématique relève plus du ministère de l’intérieur que celui de la ville non ?

C’est peut être parce que le dealer a été cassocialisé que ce problème pourrit la vie des habitants de ces quartiers . Quant on se balade aujourd’hui dans le bronx ou à harlem ou même dans le métro NEw Yorkais on voit combien une vraie politique sociale combinée à une vraie politique de maintien de l’ordre porte ses fruits .

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Marseille fut un temps une plaque tournante de la drogue . Cette problématique relève plus du ministère de l’intérieur que celui de la ville non ?

C’est peut être parce que le dealer a été cassocialisé que ce problème pourrit la vie des habitants de ces quartiers . Quant on se balade aujourd’hui dans le bronx ou à harlem ou même dans le métro NEw Yorkais on voit combien une vraie politique sociale combinée à une vraie politique de maintien de l’ordre porte ses fruits .

 

C'est  terrible de voir ça quand même  comment peut on vivre sereinement dans ces quartiers?

Vous ne croyez Pas que ce serait bien de commencer par nettoyer?

Moi j'ai vécu à Epinay rue de Marseille.

J'ai vu tout ça se dégrader.

 

 

Modifié par Nephalion
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 739 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 52 minutes, PASCOU a dit :

C'est  terrible de voir ça quand même  comment peut on vivre sereinement dans ces quartiers?

Vous ne croyez Pas que ce serait bien de commencer par nettoyer?

Moi j'ai vécu à Epinay rue de Marseille.

J'ai vu tout ça se dégrader.

 

 

Gulliani a pratiqué les deux de concert , c’est le meilleur moyen d’isoler les fouteurs de merde . De nombreuses assoces ou des anciens d’assoce Comme Mr Boutih Ont compris que la cassocialisation des criminels ne donnait pas de résultats et ne faisait que propager la gangrène, ethnicisation , grands frères et autres fadaises idem .

 

 

Modifié par DroitDeRéponse
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Invité fx.
Invités, Posté(e)
Invité fx.
Invité fx. Invités 0 message
Posté(e)

La gentrification porte toujours ses fruits en matière de nettoyage social.

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Membre, Cóínnéóídh mé do bhás, Posté(e)
Mórrígan Membre 13 992 messages
Cóínnéóídh mé do bhás,
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Il y a 8 heures, Plouj a dit :

Merci qui ? Merci Giscard qui a œuvré pour lle regroupement familial !

Médiapart n'est pas forcément ma tasse de thé ...

https://blogs.mediapart.fr/robert-chaudenson/blog/101016/des-migrants-au-regroupement-familial-de-vge-sarko

extrait

Ce texte visait, pour des raisons prétendument humanitaires, à rapprocher les familles séparées des deux côtés de la Méditerranée. Les véritables raisons étaient naturellement autres ; il s'agissait d'abord et surtout  d'éviter l'exode des capitaux (liés à la rémunération de ces travailleurs) vers l'Afrique du Nord en particulier. Un tel changement était également souhaité par bon nombre de chefs d'entreprises français qui souhaitaient, comme le philanthrope Francis Bouygues, (dont le personnel était constitué alors à  80 % d'immigrés), une « intégration » des travailleurs algériens et marocains et de leurs familles , dans la perspective d'une relance de la démographie et, à partir de là, une source nouvelle de main-d'œuvre sur le territoire national, sans fuite de leurs rémunérations vers l'étranger.

Il y a bien un moment où il va falloir cesser de culpabiliser la France pour les fautes commises par ses ancêtres.

Comment Borloo va-t-il remplacer le commerce généré par le trafic de drogue dans certains de ces lieux. Comment Borloo va-t-il ouvrir certaines zones de non-droits où même les pompiers n'entrent pas ?

 

Il y a de cela (et Mediapart n’est pas ma tasse de thé également) l’argent mène le monde. Il y a aussi eu du laisser faire, trop. Quand Sarkozy a parlé de passer les cités au karsher il y a quelques années, tout le monde, ou presque, s’est insurgé. S’il avait réellement mis ses dires en application, nous n’en serions peut-être pas là. Ce sentiment d’impunité donne des ailes à la délinquance. Borloo et ses collaborateurs proposent aussi de renforcer les effectifs de police dans les banlieues ou de la ré instaurer là où elle n’est plus.

Il ne s’agit pas de culpabiliser la France pour des décisions antérieures, du moins pour ma part. Il n’est pas possible de renvoyer les gens d’où ils viennent, et même d’où ils ne viennent pas, quand nous n’en avons plus besoin, après avoir profité de leurs services. L’idée est plutôt de devoir composer maintenant avec des générations qui sont tout autant citoyens que les autres et même s’ils n’en ont pas vraiment le sentiment. C’est sûr ce dernier point qu’il faudrait travailler, à mon sens, sur le sentiment d’appartenance à la France et la responsabilisation. Droits mais aussi devoirs. 

Comment expliquer à des gosses, qu’ils vont devoir faire des études afin de gagner moins qu’en étant de simples guetteurs ? Borloo et ses collaborateurs ont la solution et ont proposé, par exemple, la création d’une ENA bis, sans conditions de diplôme pour quiconque réside en QPV. 1700€ bruts par mois sous 3 ans et l’espoir de devenir une élite. Réussir en politique sans diplômes ? Un tantinet démagogique. Il me vient un seul exemple : Beregovoy, pas de diplôme et... une balle dans la tête. 

Modifié par Léna-Postrof
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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 47 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Gulliani a pratiqué les deux de concerts , c’est le meilleur moyen d’isoler les fouteurs de merde . De nombreuses assoces ou des anciens d’assoce Comme Mr Boutih Ont compris que la cassocialisation des criminels ne donnait pas de résultats et ne faisait que propager la gangrène, ethnicisation , grands frères et autres fadaises idem .

 

 

Oui je le pense aussi et malek Boutih l'a assez dit.

Mais lui aussi a été abusé je pense pour gagner des élections.

Modifié par PASCOU
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 739 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

 

il y a 15 minutes, Léna-Postrof a dit :

Comment expliquer à des gosses, qu’ils vont devoir faire des études afin de gagner moins qu’en étant de simples guetteurs ?

En garantissant que tout guetteur finira un jour à poil ?

 

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 31 minutes, Léna-Postrof a dit :

Il y a de cela (et Mediapart n’est pas ma tasse de thé également) l’argent mène le monde. Il y a aussi eu du laisser faire, trop. Quand Sarkozy a parlé de passer les cités au karsher il y a quelques années, tout le monde, ou presque, s’est insurgé. S’il avait réellement mis ses dires en application, nous n’en serions peut-être pas là. Ce sentiment d’impunité donne des ailes à la délinquance. Borloo et ses collaborateurs proposent aussi de renforcer les effectifs de police dans les banlieues ou de la ré instaurer là où elle n’est plus.

Il ne s’agit pas de culpabiliser la France pour des décisions antérieures, du moins pour ma part. Il n’est pas possible de renvoyer les gens d’où ils viennent, et même d’où ils ne viennent pas, quand nous n’en avons plus besoin, après avoir profité de leurs services. L’idée est plutôt de devoir composer maintenant avec des générations qui sont tout autant citoyens que les autres et même s’ils n’en ont pas vraiment le sentiment. C’est sûr ce dernier point qu’il faudrait travailler, à mon sens, sur le sentiment d’appartenance à la France et la responsabilisation. Droits mais aussi devoirs. 

Comment expliquer à des gosses, qu’ils vont devoir faire des études afin de gagner moins qu’en étant de simples guetteurs ? Borloo et ses collaborateurs ont la solution et ont proposé, par exemple, la création d’une ENA bis, sans conditions de diplôme pour quiconque réside en QPV. 1700€ bruts par mois sous 3 ans et l’espoir de devenir une élite. Réussir en politique sans diplômes ? Un tantinet démagogique. Il me vient un seul exemple : Beregovoy, pas de diplôme et... une balle dans la tête. 

Bérégovoy était peut être trop honnête. 

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