Il y a 10 heures, DroitDeRéponse a dit :

Le taux de 33% de circulation n'étant pas respecté n'hésitez pas à vous faire rembourser . C'est la loi

http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/greve-sncf-des-usagers-veulent-etre-rembourses-12-04-2018-7661106.php

 

Ouaip et vous pouvez reverser la somme dans la cagnote prévue pour les grévistes ....

il y a 5 minutes, ouest35 a dit :

Ouaip et vous pouvez reverser la somme dans la cagnote prévue pour les grévistes ....

Ou pas

Tout le monde ne peut pas se permettre de s’endetter pour le bien être de la caisse de retraite privée des cheminots.

Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

Ou pas

Tout le monde ne peut pas se permettre de s’endetter pour le bien être de la caisse de retraite privée des cheminots.

 

Tant que j'y suis je glisse une tite pièce a Pépy pour payer son café pour qu'il attende  patiemment le prochain train  !

Pas chiche moa je pense aux riches aussi,  bin alors les mal ..heureux faut aller leur tirer la barbichette pour savoir qui rira le premier

Parait que les riches ils ont jamais de monnaie sur eux c'est le chauffeur qui paie le paquet de cigarettes et le bistrotier qui se brosse vu que le riche est connu et "a votre service not' monsieur" est tout content de la visite dudit riche que même maintenant y'a un selfie dudit riche avec bistrotier ... J'rigole ... c'est le soleil ! Pourvu que ça donne pas trop soif aux zadistes, aux cheminots et aux droles de zoizeaux des facs ! Là du coup on sera pas dans le caca ... ou alors le trop plein les fait ronfler !

Tiens une idée et si qu'on leur amenait des caisses de chouchen et gros plant qu'on leur fasse avaler par tous les trous , là c'est l'Assommoir et les gendarmes ramassent les "ivres" a la pelle ... Dégrisement, voie de fait d'ivresse sur la voie publique ... ça coute au moins 2 nuits au gnouf et là mon petit bonhomme ça dégage sur les landes ... les pelleteuses jours et nuits ... Vini, Vidi,Vici ..... Hourra ! c'est la fête a César !

Alors que la grève des cheminots se poursuit, un document révélateur semble confirmer les pires craintes des syndicats : on dirait bien que Macron prépare en douce la privatisation de la SNCF ! De la part du "Trompeur", rien ne doit nous étonner :

A la une - Réforme de la SNCF : le document qui sème le trouble

 

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À quoi joue la direction de la SNCF ? Dans le compte rendu interne d’une réunion de travail qui s’est tenue le 4 mai entre des cadres de la compagnie et le cabinet du ministère des Transports, que nous avons pu consulter, on apprend que la compagnie ferroviaire a demandé au gouvernement de limiter l’incessibilité des titres de l’entreprise publique à la seule holding. Une petite phrase qui fait l’effet d’une bombe.

« Si seule la holding est protégée, rien n’empêchera la direction de céder ou d’ouvrir le capital de SNCF Mobilités (qui gère les trains) ou de SNCF Réseau (qui gère l’infrastructure), s’agace Fabien Villedieu, délégué syndicat de SUD Rail. Concrètement, cette demande ouvre la voie à une privatisation de l’entreprise publique alors que depuis des semaines le gouvernement et la direction nous répètent en chœur que cette réforme ferroviaire n’est pas la privatisation de la SNCF. »

Les responsables syndicaux « tombent de l’armoire »

En effet, vendredi, dans une interview accordée à notre journal, Guillaume Pepy, président du directoire de la SNCF, avait répété : « il n’y a pas UN élément dans la réforme qui rend possible une privatisation totale ou partielle de la SNCF. C’est même l’inverse ». Contactés, plusieurs responsables syndicaux, qui participaient encore aux négociations sur les amendements, vendredi, au ministère des Transports, n’en reviennent pas. « Je tombe de l’armoire, confie l’un d’eux.

Cette possibilité était l’une de nos craintes. Mais comme nous avons eu quelques garanties, nous pensions qu’elle était écartée ». Même consternation chez cet autre syndicaliste : « Si c’est cette vision-là qui l’emporte auprès du gouvernement, ça ne va pas très bien se passer avec nous ».

La SNCF et le ministère invoquent un document de travail

Du côté de la compagnie comme du gouvernement, on coupe court à tout début de polémique. « Il n’y a pas de sujet, balaient d’un revers de main le ministère des Transports et la compagnie ferroviaire. C’est une réunion de travail. Notre position n’a pas changé. L’incessibilité des titres de la SNCF concerne aussi bien la holding que SNCF Mobilité et Réseau ».

 

LP/J.B. Selon le document que nous avons pu consulter, la SNCF souhaite déposer un amendement pour filialiser l’activité des trains régionaux, les TER.

La filialisation des TER en question

Reste que dans ce compte rendu de six pages, on apprend également que l’entreprise publique souhaite déposer un amendement pour filialiser l’activité des trains régionaux, les TER. « Cela impliquerait que les cheminots de TER ne seraient plus aux conditions sociales de la SNCF », s’étrangle Fabien Villedieu.

Là aussi, l’entreprise publique dément : « Le but technique de la réunion était que la rédaction (NDLR : de la loi) n’ait pas pour effet d’empêcher ce que la SNCF fait actuellement : avoir des filiales lorsqu’un marché a un caractère spécifique et l’exige, comme un marché transfrontalier. En aucun cas, cela ne concerne les marchés régionaux de TER ».

Un rapport sur les lignes les moins fréquentées

Par ailleurs, le ministère des Transports n’est pas en reste. Le compte rendu détaille les amendements qu’il pourrait déposer. Ainsi, la gestion des gares serait confiée à une filiale détenue par SNCF Réseau ; la date d’ouverture à la concurrence en Île-de-France, prévue en 2033, serait avancée d’un an ; enfin, pour les petites lignes un amendement prévoit un rapport gouvernemental sur l’état du réseau et les lignes les moins circulées.

« Quoi de mieux qu’un rapport pour justifier la fermeture de ces lignes », prédit Fabien Villedieu. « C’est une réunion de travail, répète le ministère des Transports. Tout cela n’est pas arbitré ». Bref, un document bien troublant. « Cela montre qu’il faudra rester vigilant jusqu’au vote de la loi au Sénat début juin », prévient un syndicaliste.

 

https://www.nouvelobs.com/societe/social/20180531.OBS7514/sncf-comment-sortir-de-la-greve-sans-perdre-la-face.html

Comme le souligne avec satisfaction un membre de la direction de la SNCF, "la question n'est plus le principe de la sortie du conflit, mais de savoir quand…" Il est vrai que maintenant que le Premier ministre Edouard Philippe a apporté des garanties sur les modalités de la reprise de l'immense dette de la compagnie ferroviaire, les syndicats réformistes, Unsa et CFDT, se demandent comment mettre fin, sans perdre la face, à l'un des plus longs conflits sociaux de l'histoire de la SNCF.

Pour eux, tout le problème se résume en une formule : "Le premier qui quitte l'intersyndicale est mort." Les syndicats doivent jouer serré : les salariés de la SNCF votent pour renouveler leurs représentants lors d'élections professionnelles qui auront lieu à la fin du mois de novembre. Si la fin de la grève n'est pas soigneusement mise en scène, les "réformistes" pourraient y laisser des plumes.

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Le 13/05/2018 à 12:04, Gouderien a dit :

Dans le compte rendu interne d’une réunion de travail qui s’est tenue le 4 mai entre des cadres de la compagnie et le cabinet du ministère des Transports, que nous avons pu consulter, on apprend que la compagnie ferroviaire a demandé au gouvernement de limiter l’incessibilité des titres de l’entreprise publique à la seule holding. Une petite phrase qui fait l’effet d’une bombe.

L'article que vous citez date du 13 mai ...

Sinon:
Réforme de la SNCF : l’incessibilité de l’entreprise et de ses filiales adoptée par le Sénat.
L’article 1er A du projet de loi prévoit que la société nationale à capitaux publics SNCF et ses filiales constituent un groupe public unifié et que le capital de la société nationale SNCF est intégralement détenu par l'État.
Ce capital est incessible. 
31 MAI 2018

Il y a 9 heures, frunobulax a dit :

L'article que vous citez date du 13 mai ...

Sinon:
Réforme de la SNCF : l’incessibilité de l’entreprise et de ses filiales adoptée par le Sénat.
L’article 1er A du projet de loi prévoit que la société nationale à capitaux publics SNCF et ses filiales constituent un groupe public unifié et que le capital de la société nationale SNCF est intégralement détenu par l'État.
Ce capital est incessible. 
31 MAI 2018

Ben oui le travail de l’unsa Et de la CFDT a payé

La nego plutôt que l’ideologie sert bien plus l’interet du travailleur . Espérons qu’en Novembre les progressistes ne perdront pas de plumes face aux réactionnaires en perte d’audience

Il y a 5 heures, DroitDeRéponse a dit :

Ben oui le travail de l’unsa Et de la CFDT a payé

La nego plutôt que l’ideologie sert bien plus l’interet du travailleur . Espérons qu’en Novembre les progressistes ne perdront pas de plumes face aux réactionnaires en perte d’audience 

Ceci dit, on peut quand même malgré tout noter l'erreur stratégique (idéologique ?) de Macron.
Qui a cru pouvoir totalement passer "au dessus" des syndicats et n'a donc, jusqu'il y a très peu, ouvert aucune voie de négociations aux syndicats réformistes.

Il y a 1 heure, frunobulax a dit :

Ceci dit, on peut quand même malgré tout noter l'erreur stratégique (idéologique ?) de Macron.
Qui a cru pouvoir totalement passer "au dessus" des syndicats et n'a donc, jusqu'il y a très peu, ouvert aucune voie de négociations aux syndicats réformistes.

Les négos ont commencé d'entrée de jeu , mais et je peux évidemment me tromper n'étant pas dans le secret des Dieux , la gestion de la reprise de la dette n'était pas tranchée dans sa modalité, alors même que nous venons juste de sortir de la procédure de déficit excessif. Par ailleurs les syndicats réformistes sont eux mêmes condamnés à un peu de surenchère de façade car les élections sont pour Novembre . Autre point d'achoppement il fallait faire des retraites cheminots un totem pour enclencher la réforme des retraites ce qui était évidemment clivant . Nous sommes tout de même sur un dossier qui était extrêmement grippé avec peu de marge de manoeuvre et qui a tué plus d'un gouvernement , enfin la négo ne signifie pas non plus l'absence de rapport de force . Bref chacun a joué sa partition, l'unsa et la cfdt ont joué l'incessibilité en prétextant un simple document de travail , le gvt leur a donné gain de cause , le planning de reprise de dette a pu être mis en place etc , au final en l'espace de 2 mois ça c'est pour le moment plutôt bien dégrippé . Quant à Macron je ne pense pas qu'il soit très "idéologisé", il est plutôt dans la tactique,mais bon là c'est très personnel et sincèrement jmef , seul le résultat compte .

Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

Les négos ont commencé d'entrée de jeu 

Le gouvernement dit lui-même que l’ "ouverture à la concurrence " (c’est-à-dire le démantèlement et la privatisation par morceaux) et la suppression du statut sont non-négociables.

Quant à la dette de la SNCF, elle est le fruit de décisions politiques absurdes, il est ridicule de présenter comme un cadeau aux cheminots sa reprise par l’État. Il s’agit juste de bon sens : les investissements publics dans le domaine du chemin de fer doivent être financés par les finances publiques, pas par les cheminots.

il y a 46 minutes, carnifex a dit :

 

Le gouvernement dit lui-même que l’ "ouverture à la concurrence " (c’est-à-dire le démantèlement et la privatisation par morceaux

Ça c’est déjà signé

Citation

 

) et la suppression du statut sont non-négociables.

Sources ?

Fin du statut des cheminots pour les nouveaux entrants , c’est ce qui a toujours été dit

C’est pas ce qui va se passer ?

Citation

Quant à la dette de la SNCF, elle est le fruit de décisions politiques absurdes, il est ridicule de présenter comme un cadeau aux cheminots sa reprise par l’État. Il s’agit juste de bon sens : les investissements publics dans le domaine du chemin de fer doivent être financés par les finances publiques, pas par les cheminots.

Mais personne ne parle de cadeaux , une nego c’est pas des cadeaux .

Le calendrier a juste été précisé et un peu avancé. 

il y a 21 minutes, DroitDeRéponse a dit :

 

Fin du statut des cheminots pour les nouveaux entrants , c’est ce qui a toujours été dit

Oui, c’est un mensonge répété et répété pour faire accepter la réforme aux cheminots en place.

Maintenant, faut pas être un aigle pour comprendre que le statut ne tiendra pas longtemps quand la moitié des cheminots ne seront plus au statut...

il y a 2 minutes, carnifex a dit :

Oui, c’est un mensonge répété et répété pour faire accepter la réforme aux cheminots en place.

Ce qui a été dit a donc bien été fait

il y a 2 minutes, carnifex a dit :

Maintenant, faut pas être un aigle pour

Elizabeth Tessier plutôt. Le but était de mettre fin à un statut qui n’a plus lieu d’être. Il est normal que ceux ayant signé un contrat puisse s’y tenir , fin du statut pour les autres .

il y a 3 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Il est normal que ceux ayant signé un contrat puisse s’y tenir 

 

 

Arrête, tu t’enfonces...

La direction de la SNCF a déjà déclaré qu’elle réformerait de façon unilatérale le statut le moment venu ..

J’espère que le gouvernement te paye un peu pour répéter mot à mot ses mensonges les plus ridicules...

il y a 26 minutes, carnifex a dit :

Arrête, tu t’enfonces...

Je te donne là mon opinion rien d’autres . Tout comme un accord majoritaire fut il syndical ne devrait pas pouvoir s’imposer à mon contrat sans indemnités. En France on est pas assez libéral de ce point de vue là , quand un contrat est rompu il doit y avoir indemnités et les indemnités devraient être prévues au contrat . Il y a encore beaucoup à faire pour avoir le respect du contrat .

il y a 26 minutes, carnifex a dit :

La direction de la SNCF a déjà déclaré qu’elle réformerait de façon unilatérale le statut le moment venu ..

Ce jour là je serai du côté des cheminots si la compensation n’est pas à la hauteur

Mais la direction de la SNCF ne décide rien , il y a un actionnaire majoritaire.

LE GOUVERNEMENT CÈDE LA SNCF ET SES CHEMINOTS AUX MARCHÉS FINANCIERS !

(...) TRANSFERT DU MATÉRIEL ROULANT ET DES ATELIERS

Dans la droite ligne de son œuvre de destruction de la SNCF, le Gouvernement donne la possibilité aux Autorités Organisatrices, et donc potentiellement à des opérateurs concurrents, de se voir transférer les matériels, les ateliers et les cheminots qui vont avec !

Ces transferts auront des conséquences évidentes sur les politiques de maintenance, sur la sécurité, sur les processus industriels. Ils contribueront à affaiblir la SNCF, non seulement dans ses capacités techniques mais également économiques puisqu’on dispose de peu d’éléments sur les modalités financières de ce « don » fait à des entreprises qui n’auront ni investi dans les outils industriels, ni dans la formation professionnelle, ni dans l’expérience des cheminots.

Cette démarche concrétise la volonté de livrer clés en main, l’ensemble des savoir-faire de la SNCF à des intérêts privés !

GARES AU BUSINESS !!

Le Gouvernement choisit de créer une filiale « Gares et Connexions » rattachée à SNCF Réseau, ouvrant, de fait, la voie à une future privatisation !

D’ailleurs, l’adoption d’un amendement porté par les sénateurs les plus libéraux, transforme nos gares en centres commerciaux.

Un acte de plus dans la casse du service public ferroviaire. https://www.cheminotcgt.fr/actions/action-a-partir-des-3-et-4-avril-2018/flash-info-n3-senat/

Il y a 19 heures, DroitDeRéponse a dit :

Les négos ont commencé d'entrée de jeu , mais et je peux évidemment me tromper n'étant pas dans le secret des Dieux , la gestion de la reprise de la dette n'était pas tranchée dans sa modalité, alors même que nous venons juste de sortir de la procédure de déficit excessif. Par ailleurs les syndicats réformistes sont eux mêmes condamnés à un peu de surenchère de façade car les élections sont pour Novembre . Autre point d'achoppement il fallait faire des retraites cheminots un totem pour enclencher la réforme des retraites ce qui était évidemment clivant . Nous sommes tout de même sur un dossier qui était extrêmement grippé avec peu de marge de manoeuvre et qui a tué plus d'un gouvernement , enfin la négo ne signifie pas non plus l'absence de rapport de force . Bref chacun a joué sa partition, l'unsa et la cfdt ont joué l'incessibilité en prétextant un simple document de travail , le gvt leur a donné gain de cause , le planning de reprise de dette a pu être mis en place etc , au final en l'espace de 2 mois ça c'est pour le moment plutôt bien dégrippé . Quant à Macron je ne pense pas qu'il soit très "idéologisé", il est plutôt dans la tactique,mais bon là c'est très personnel et sincèrement jmef , seul le résultat compte .

Annoncer (février 2018) que l'on va réformer la SNCF par ordonnances n’apparaît pas franchement comme le signe d'une volonté manifeste de dialogue avec les syndicats.


Et n'a réussi qu'à "braquer" les syndicats réformistes, qui avaient pourtant, en un premier temps, refuser de participer à la manif organisée par la CGT.

Pourquoi a t-il fallu attendre deux mois (mai 2018) pour que le gouvernement propose une reprise de la dette ?

S'ils sont le moyen si "évident" que cela de sortie de crise, pourquoi a t-il fallu attendre 3 mois et que le texte soit débattu au Sénat (à majorité LR) pour que soient adoptés des amendements en accord avec les recommandations de l'Unsa et la CFDT, amendements n'ayant jamais été évoqués lors du débat à l'Assemblée (à majorité LREM) ?

Macron a clairement fait le choix de l'affaiblissement des syndicats, on peut effectivement considérer que cela relève de la pure stratégie (vu les réformes de la fonction publique à venir).

Mais on peut aussi considérer que vouloir réformer sans s'appuyer sur les corps intermédiaires relève aussi de l'idéologie.

Il y a 2 heures, frunobulax a dit :

Annoncer (février 2018) que l'on va réformer la SNCF par ordonnances n’apparaît pas franchement comme le signe d'une volonté manifeste de dialogue avec les syndicats.

La loi travail après 3 mois de negos est passée par ordonnance. L’ordonnance accelere l’application Mais n’est pas une fermeture à la nego .

Citation

 

Et n'a réussi qu'à "braquer" les syndicats réformistes, qui avaient pourtant, en un premier temps, refuser de participer à la manif organisée par la CGT.

Compte tenu du contexte CFDT et unsa n’avaient de toute façon pas d’autres choix . Et je crois sincèrement que la reprise de la dette n’etait Pas encore ficelée . La démonstration de  force des deux partis est un bon compromis 

Idem pour la cgt qui devait jouer la ligne clash pour redorer un blason qui perd ses couleurs .

Bref une nego toute en souplesse qui aura su respecter les marqueurs culturels de notre nation pour aboutir à ce qui était inévitable. Enfin jusqu’à présent. Le grain de sable est toujours possible