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Qui est le prochain ?

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 821 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 31 minutes, Henri a dit :

Oui...

Ce qui est indiqué, c'est que le samaritain est plus proche de la volonté divine que le lévite ou le prêtre, quelles que soient ses motivations. C'est toute la pertinence de la parabole...

Non la lettre ne le dit pas . Et l’esprit est interpretation . La lettre indique à un juif de pouvoir ( son interlocuteur) que le samaritain a été le prochain et que c’est d’etre le prochain qui le sauve , et non d’etre lévite ou grand prêtre . La lettre n’indique pas pour autant que lévite ou prêtre ne sont pas par ailleurs prochains d’un autre . Jesus lui même ne se fera prochain de la samaritaine qu’apres Qu’elle lui ait parlé des miettes . 

Citation

Tout à fait. Rien n'est figé...

Nulle obligation, si ce n'est de considérer que marc Dutroux est un être humain au même titre que chacun, et que la rédemption lui est ouverte, malgré l'atrocité de ses actes, et qu'il peut être notre prochain si lui ou nous le désirons, sans culpabilité aucune également...

Il peut mais il n’y a pas nécessité à l’être , et nulle culpabilité à avoir à ne pas l’etre 

Citation

Je rejoins Dolto dans le fait que cette action ouvre en lui une perspective d'être le prochain potentiel de quelqu'un d'autre. Je maintiens que deux personnes sont nécessaires pour qu'on puisse parler de prochain. Une qui reçoit, une qui donne...

Il n’a pas choisi de recevoir . 

il y a 15 minutes, Vintage a dit :

C'est ce qui fait ta personnalité !

C'est poursuivre le pauvre pour lui donner de l'argent !

Alors je ne suis pas charitable . De toute façon je ne donne pas aux pauvres  mais à des individus.

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 821 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 29 minutes, Pheldwyn a dit :

Pourquoi le samaritain aurait eu davantage une empreinte sur sa vie que le Lévite, si ce n'est du fait d'une considération particulière envers le samaritain pour son action envers lui ?

Il ne connaît ni l’un ni l’autre . Il garde juste l’empreinte qu’un inconnu l’a sauvé .

il y a 29 minutes, Pheldwyn a dit :


Tu tournes autour du pot en essayant d'isoler les causes et les conséquences.

Ben tant que tu ne connais pas Dutroux, tu pourrais être contaminé par cette envie d'aider de manière altruiste, sans charité aucune.

Exactement , mais si je ne suis pas le prochain de Dutroux je ne me condamne pas .

 

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Membre, 88ans Posté(e)
ouest35 Membre 28 230 messages
Maitre des forums‚ 88ans‚
Posté(e)

Ce que disais en 2016 le Pape François sur la Parabole de bon Samaritain m'agréé très bien en tant que mécréante sur certains points:

"Chers frères et sœurs, bonjour!

Aujourd’hui notre réflexion porte sur la parabole du Bon Samaritain (cf. Lc 10,25-37). Un docteur de la Loi met Jésus à l’épreuve en lui demandant : « Maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ?» (v. 25). Jésus lui dit de répondre lui-même à la question, ce qu’il fait en répondant très correctement : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même » (v. 27). Alors Jésus conclut : « Fais ainsi et tu vivras » (v. 28).

L’homme pose alors une autre question, qui sera pour nous très précieuse : « Qui est mon prochain ?» (v. 29), sous-entendant : «  Mes parents ? Mes compatriotes ? Ceux de ma religion ?… » Bref, il veut une règle claire qui lui permette de classer les gens entre ceux qui sont « notre prochain » et ceux « qui ne le sont pas », entre ceux qui peuvent le devenir et ceux qui ne le peuvent pas.

Jésus répond par une parabole qui met en scène un prêtre, un lévite et un Samaritain. Les deux premiers sont liés au culte du Temple ; le troisième est un juif schismatique, considéré comme un étranger, païen et impur, donc le Samaritain. Sur la route les conduisant de Jérusalem à Jéricho, le prêtre et le lévite tombent sur un homme moribond, que des brigands ont assailli, volé et abandonné. La Loi du Seigneur, en pareille situation, prévoyait l’obligation de les secourir, mais les deux hommes ne s’arrêtent pas. Probablement pressés… Le prêtre, a dû regarder sa montre et se dire : « Mais, je vais arriver en retard à la messe… Je dois dire la messe. » Et l’autre : «  Je ne sais pas si la Loi me le permet, parce qu’il y a du sang et je vais devenir impur… » Ils passent donc leur chemin, ne s’approchent pas du moribond. Et ici, la parabole nous offre un premier enseignement : fréquenter la maison de Dieu et connaître la miséricorde ne veut pas dire aimer son prochain, aimer n’est pas automatique ! Vous pouvez connaître toute la Bible, connaître toutes les rubriques liturgiques, toute la théologie, mais connaître ne veut pas dire aimer, ce n’est pas automatique : aimer c’est autre chose, un autre chemin. Cela demande de l’intelligence, mais un petit quelque chose en plus aussi… Le prêtre et le lévite voient, mais ils ignorent ; ils regardent, mais ne prennent aucune mesure. Pourtant il n’existe de vrai culte que si celui-ci est mis au service du prochain. N’oublions jamais : devant la souffrance de tant de gens épuisés par la faim, par la violence et les injustices, nous ne pouvons rester là, à regarder en  spectateurs. Ignorer la souffrance de l’homme, qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie ignorer Dieu ! Si je ne vais pas vers cet homme, cette femme, cet enfant, vers cette personne âgée qui souffre, je ne vais pas vers Dieu non plus.

Mais venons au cœur de la parabole : quand le Samaritain – c’est-à-dire celui que l’on méprise, celui sur lequel personne n’aurait parié, et qui avait lui aussi des engagements, des choses à faire – vit l’homme blessé, il ne passa pas son chemin comme les deux autres, qui étaient liés au Temple, mais «  il fut saisi de compassion » (v. 33).  C’est ce que nous dit l’Evangile : « Il fut saisi de compassion », autrement dit saisi dans son cœur, dans ses tripes ! Voilà la différence. Les deux autres « ont vu », mais leurs cœurs sont restés fermés, froids. Alors que le cœur du Samaritain battait avec le cœur de Dieu. En effet, la « compassion » est une caractéristique essentielle de la miséricorde de Dieu. Dieu a pour nous de la compassion. Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’Il pâtit avec nous, qu’Il sent nos souffrances. Compassion veut dire « compatir avec ». Le verbe indique que nos entrailles bougent et frémissent à la vue du mal de l’homme. Et dans les gestes et les actions du Bon Samaritain nous reconnaissons la main miséricordieuse de Dieu dans toute l’histoire du salut. C’est avec cette compassion que le Seigneur vient à la rencontre de chacun d’entre nous : Lui ne nous ignore pas, il connaît nos peines, sait combien nous avons besoin d’aide et de consolation. Il vient près de nous et ne nous abandonne jamais. Alors, posons-nous la question en laissant répondre notre cœur : « Est-ce que je crois que le Seigneur a de la compassion pour moi, tel que je suis, pécheur, avec tant de problèmes et tant de choses ? » Pensez-y. La réponse est : « Oui » ! Mais que chacun regarde dans son cœur s’il a bien foi en cette compassion de Dieu, d’un bon Dieu qui vient vers nous, nous guérit, nous caresse. Et si nous le refusons, Lui attend : Il est patient et toujours à nos côtés.

Le Samaritain se comporte avec miséricorde, une vraie miséricorde : il panse les blessures de l’homme, le conduit dans une auberge et s’occupe personnellement de lui, prend en charge son assistance. Tout cela nous enseigne que la compassion, l’amour, n’est pas un vague sentiment, mais signifie prendre soin de l’autre jusqu’à en payer le prix. Cela signifie se compromettre en accomplissant tous les pas nécessaires pour « approcher » l’autre jusqu’à se mettre sa place : « Tu aimeras ton prochain comme toi même. » Voilà le commandement du Seigneur.

Après avoir conclu sa parabole, Jésus renverse la question du docteur de la Loi et lui demande : « Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l’homme tombé aux mains des bandits ? » (v. 36). Sa réponse est sans équivoque : « Celui qui a fait preuve de pitié envers lui » (v. 37). Au début de la parabole, pour le prêtre et le lévite le prochain était le moribond ; à la fin, le prochain est le Samaritain qui s’est approché. Jésus renverse la perspective: ne pas classer les gens pour savoir qui est le prochain et qui ne l’est pas. On peut devenir le prochain de toute personne que nous rencontrons dans le besoin, et on le sera si dans notre cœur nous éprouvons de la compassion, autrement dit si on a la capacité de pâtir avec l’autre.

Cette parabole est un magnifique cadeau pour nous tous, mais aussi un engagement ! A chacun de nous, Jésus répète ce qu’il a dit au docteur de la Loi : « Va, et toi aussi, fais de même » (v. 37). Nous sommes tous appelés à prendre le chemin du Bon Samaritain, qui représente le Christ : Jésus s’est penché sur nous, est devenu notre serviteur, et de cette façon nous a sauvés, pour que nous aussi nous puissions nous aimer comme Lui nous a aimés, de la même manière.

© Traduction de Zenit, Océane Le Gall

https://fr.zenit.org/articles/ignorer-la-souffrance-de-lhomme-cest-ignorer-dieu-traduction-complete/

  • Merci 1
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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Il y a 13 heures, DroitDeRéponse a dit :

 

L’handicapé, le pauvre qui ne peut pas peut être une ordure . La parole est aussi acte . Bref j’ignore ce qu’est le salut mais comment pourrait il être pour qui aura maudit en pensée toute sa vie ?

Cette histoire d’acte me paraît douteuse. 

Bonjour DroitDeRéponse, poigne de main

Pour le salut c'est un peu comme la vie éternelle, c'est de l'ordre du fantasme humain.  Bonnaventure à repris un concept très anciens, bien antérieur au christianisme, même au judaïsme, c'est la contemplation en Dieu de Dieu. Cela se retrouve à travers la gnose hermétique, cela se trouve aussi dans d'autres textes, mais évoqué pas dit explicitement. Si je déconne pas trop, il me semble que Philon d'Alexandrie, tout comme Plotin ont affirmé la même chose.

Après le devoir est au sen ou on considère que l'action doit être faite, ni le lévite ni le prêtre ont considérer qu'il y avait une mitsva à faire, seul le samaritain, quand aussi dire " bon " cela implique que les autres sont mauvais. Curieux texte que ces évangiles.

Il y a un homme à terre blessé, les trois ont une action à accomplir suivre leur route, deux ne prêtent aucun attention au blessé, ils sont libre de ne rien faire, comme d'avoir une action tout comme le troisième qui lui choisi d'avoir une action pour cet homme il est tout aussi libre que les deux premier il peut continuer son chemin, mais il considère qu'il faille porter secours à cet ennemi.

Car entre Juifs et Samaritain bien qu'ils suivent tout deux la loi de Moïse, ils se rejettent mutuellement, car les Samaritains c'est la loi écrite alors que les autres c'est la loi écrite et orale.  C'est déjà les guerres de religions, entre fanatiques.

 

 

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Membre, Chien Fou forumeur, 91ans Posté(e)
Promethee_Hades Membre 25 564 messages
91ans‚ Chien Fou forumeur,
Posté(e)
Il y a 3 heures, DroitDeRéponse a dit :

Il ne connaît ni l’un ni l’autre . Il garde juste l’empreinte qu’un inconnu l’a sauvé .

Exactement , mais si je ne suis pas le prochain de Dutroux je ne me condamne pas .

Tiens donc, bien je pense pas pareil, mais alors pas du tout du tout.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 821 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)

 

Citation

mais il considère qu'il faille porter secours à cet ennemi.

Car entre Juifs et Samaritain bien qu'ils suivent tout deux la loi de Moïse, ils se rejettent mutuellement, car les Samaritains c'est la loi écrite alors que les autres c'est la loi écrite et orale.  C'est déjà les guerres de religions, entre fanatiques.

 

 

Le blessé à demi mort n’est présente ni comme juif , ni comme samaritain ... 

Et si le lévite et le Cohen ne le touche pas peut être est ce parce que leur loi le leur interdit . Ils n’ont pas le droit de toucher un cadavre ni du sang ....

 

il y a 33 minutes, Promethee_Hades a dit :

Tiens donc, bien je pense pas pareil, mais alors pas du tout du tout.

Tu penses qu’en étant pas le prochain de Dutroux je me condamne ?

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 821 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 1 heure, ouest35 a dit :

Ce que disais en 2016 le Pape François sur la Parabole de bon Samaritain m'agréé très bien en tant que mécréante sur certains points:

"Chers frères et sœurs, bonjour!

Aujourd’hui notre réflexion porte sur la parabole du Bon Samaritain (cf. Lc 10,25-37). Un docteur de la Loi met Jésus à l’épreuve en lui demandant : « Maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ?» (v. 25). Jésus lui dit de répondre lui-même à la question, ce qu’il fait en répondant très correctement : « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même » (v. 27). Alors Jésus conclut : « Fais ainsi et tu vivras » (v. 28).

L’homme pose alors une autre question, qui sera pour nous très précieuse : « Qui est mon prochain ?» (v. 29), sous-entendant : «  Mes parents ? Mes compatriotes ? Ceux de ma religion ?… » Bref, il veut une règle claire qui lui permette de classer les gens entre ceux qui sont « notre prochain » et ceux « qui ne le sont pas », entre ceux qui peuvent le devenir et ceux qui ne le peuvent pas.

Jésus répond par une parabole qui met en scène un prêtre, un lévite et un Samaritain. Les deux premiers sont liés au culte du Temple ; le troisième est un juif schismatique, considéré comme un étranger, païen et impur, donc le Samaritain.

Les samaritains ne sont pas tout blanc , ils refusent d’accueillir quiconque prend la route de Jérusalem, Jésus en fera les frais ....

Par ailleurs ils ont volontairement souillé le temple avec des ossements....

Citation

ur la route les conduisant de Jérusalem à Jéricho, le prêtre et le lévite tombent sur un homme moribond, que des brigands ont assailli, volé et abandonné. La Loi du Seigneur, en pareille situation, prévoyait l’obligation de les secourir, mais les deux hommes ne s’arrêtent pas. Probablement pressés… Le prêtre, a dû regarder sa montre et se dire : « Mais, je vais arriver en retard à la messe… Je dois dire la messe. »

Le Cohen est lui aussi soumis à la loi 

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Cohen_(judaïsme)

Afin de les protéger contre l'impureté rituelle (qui ne se confond pas avec l'hygiène corporelle), la Torah leur a imposé des règles de pureté rituelle stricte. Selon les Juifs orthodoxes, ces lois sont toujours d'application de nos jours.

  • Un cohen n'a pas le droit de toucher de cadavres[3]. Il doit néanmoins se rendre impur pour ses 7 parents proches : père, mère, frère, sœur (uniquement si célibataire), fils, fille, conjoint.

 

Citation

Et l’autre : «  Je ne sais pas si la Loi me le permet, parce qu’il y a du sang et je vais devenir impur… » Ils passent donc leur chemin, ne s’approchent pas du moribond.

 

 

Et ici, la parabole nous offre un premier enseignement : fréquenter la maison de Dieu et connaître la miséricorde ne veut pas dire aimer son prochain, aimer n’est pas automatique ! Vous pouvez connaître toute la Bible, connaître toutes les rubriques liturgiques, toute la théologie, mais connaître ne veut pas dire aimer, ce n’est pas automatique : aimer c’est autre chose, un autre chemin. Cela demande de l’intelligence, mais un petit quelque chose en plus aussi… Le prêtre et le lévite voient, mais ils ignorent ; ils regardent, mais ne prennent aucune mesure. Pourtant il n’existe de vrai culte que si celui-ci est mis au service du prochain.

Hillel s’applique au juif mais lévite et Cohen sont aussi soumis à d’autres lois ...,

Citation

 

N’oublions jamais : devant la souffrance de tant de gens épuisés par la faim, par la violence et les injustices, nous ne pouvons rester là, à regarder en  spectateurs. Ignorer la souffrance de l’homme, qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie ignorer Dieu ! Si je ne vais pas vers cet homme, cette femme, cet enfant, vers cette personne âgée qui souffre, je ne vais pas vers Dieu non plus.

Mais venons au cœur de la parabole : quand le Samaritain – c’est-à-dire celui que l’on méprise,

Le samaritain méprise tout autant le juif ...

Citation

celui sur lequel personne n’aurait parié,

Il parle là en descendant de juif et non de samaritain...,

Citation

t qui avait lui aussi des engagements, des choses à faire – vit l’homme blessé, il ne passa pas son chemin comme les deux autres, qui étaient liés au Temple, mais «  il fut saisi de compassion » (v. 33).  C’est ce que nous dit l’Evangile : « Il fut saisi de compassion », autrement dit saisi dans son cœur, dans ses tripes ! Voilà la différence. Les deux autres « ont vu », mais leurs cœurs sont restés fermés, froids. Alors que le cœur du Samaritain battait avec le cœur de Dieu. En effet, la « compassion » est une caractéristique essentielle de la miséricorde de Dieu. Dieu a pour nous de la compassion. Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’Il pâtit avec nous, qu’Il sent nos souffrances. Compassion veut dire « compatir avec ». Le verbe indique que nos entrailles bougent et frémissent à la vue du mal de l’homme.

La lecture de la parabole ne parle pas de compassion .

Citation

Et dans les gestes et les actions du Bon Samaritain nous reconnaissons la main miséricordieuse de Dieu dans toute l’histoire du salut. C’est avec cette compassion que le Seigneur vient à la rencontre de chacun d’entre nous : Lui ne nous ignore pas, il connaît nos peines, sait combien nous avons besoin d’aide et de consolation. Il vient près de nous et ne nous abandonne jamais. Alors, posons-nous la question en laissant répondre notre cœur : « Est-ce que je crois que le Seigneur a de la compassion pour moi, tel que je suis, pécheur, avec tant de problèmes et tant de choses ? » Pensez-y. La réponse est : « Oui » ! Mais que chacun regarde dans son cœur s’il a bien foi en cette compassion de Dieu, d’un bon Dieu qui vient vers nous, nous guérit, nous caresse. Et si nous le refusons, Lui attend : Il est patient et toujours à nos côtés.

Le Samaritain se comporte avec miséricorde, une vraie miséricorde : il panse les blessures de l’homme, le conduit dans une auberge et s’occupe personnellement de lui, prend en charge son assistance.

 

Avec 2 deniers ?

Citation

out cela nous enseigne que la compassion, l’amour, n’est pas un vague sentiment, mais signifie prendre soin de l’autre jusqu’à en payer le prix.

 

Le le prix est chiche 

Citation

 

Cela signifie se compromettre en accomplissant tous les pas nécessaires pour « approcher » l’autre jusqu’à se mettre sa place : « Tu aimeras ton prochain comme toi même. » Voilà le commandement du Seigneur.

Après avoir conclu sa parabole, Jésus renverse la question du docteur de la Loi et lui demande : « Lequel des trois, à ton avis, a été le prochain de l’homme tombé aux mains des bandits ? » (v. 36). Sa réponse est sans équivoque : « Celui qui a fait preuve de pitié envers lui » (v. 37). Au début de la parabole, pour le prêtre et le lévite le prochain était le moribond ; à la fin, le prochain est le Samaritain qui s’est approché. Jésus renverse la perspective: ne pas classer les gens pour savoir qui est le prochain et qui ne l’est pas. On peut devenir le prochain de toute personne que nous rencontrons dans le besoin,

Il semble donc bien que le prochain soit l’aidant qui le devient par l’acte 

Citation

et on le sera si dans notre cœur nous éprouvons de la compassion, autrement dit si on a la capacité de pâtir avec l’autre.

 

Rien n’indiQue dans la parabole que le samaritain pâtisse de quoi que ce soit 

Citation

Cette parabole est un magnifique cadeau pour nous tous, mais aussi un engagement ! A chacun de nous, Jésus répète ce qu’il a dit au docteur de la Loi : « Va, et toi aussi, fais de même » (v. 37). Nous sommes tous appelés à prendre le chemin du Bon Samaritain, qui représente le Christ : Jésus s’est penché sur nous, est devenu notre serviteur, et de cette façon nous a sauvés, pour que nous aussi nous puissions nous aimer comme Lui nous a aimés, de la même manière.

© Traduction de Zenit, Océane Le Gall

https://fr.zenit.org/articles/ignorer-la-souffrance-de-lhomme-cest-ignorer-dieu-traduction-complete/

Là je suis d’accord . Tout est dans le fait de même , il y a interprétation possible .

 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

Je peux me tromper, mais dans cette parabole, les deux "méchants" ou en tout cas pas sympa sont des juifs, et le bon, le samaritain, n'est pas juif. ça m'a l'air d'une propagande anti-juive ! Il est donc assez peu probable qu'elle soit de Jésus qui dit quelque part que ce qui compte en premier, c'est les juifs. Elle aura sans douté été imaginée après que les religieux juifs aient fait tuer le Christ et quand les adeptes ambitieux de la secte ont compris qu'il fallait chercher de nouveaux fidèles chez le gentils pour se développer.

ça n'a rien d'étonnant que les prêtres cathos ressassent souvent cette parabole du bon samaritain qui suggère l'air de rien de se défier des juifs. Et... que le juif n'est pas trop notre prochain ? Elle aurait pu être conclue par "que ceux qui ont des oreilles m'entendent " Si ce n'est pas le cas !

Mais si Jésus l'a vraiment dite en ces termes (pourquoi pas après tout?), ça aurait été plutôt contre productif dans son optique d'être accepter comme Messie des juifs...  (Les chrétiens qui n'existaient pas n'attendaient pas de Messie.) Et il risquait de s'attirer des ennuis...

Mais je peux me tromper... On a souvent tendance à comprendre le Christ de façon biaisée parce que nous, nous connaissons la suite. Lui, ne la connaissait pas. (Jusqu'à la fin, le pauvre.)

Jésus ou St Jean Baptiste critiquaient les sadducéens, les pharisiens, pas les juifs : ça n'aurait pas eu de sens. Chaque fois qu'on lit des critiques contre les juifs dans les évangiles, (surtout chez St Jean) c'est la preuve que ça a été rajouté bien plus tard. Une façon de tenir les pieds chauds aux romains... Pour être accepté...

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
il y a 29 minutes, Blaquière a dit :

Je peux me tromper, mais dans cette parabole, les deux "méchants" ou en tout cas pas sympa sont des juifs, et le bon, le samaritain, n'est pas juif. ça m'a l'air d'une propagande anti-juive ! Il est donc assez peu probable qu'elle soit de Jésus qui dit quelque part que ce qui compte en premier, c'est les juifs. Elle aura sans douté été imaginée après que les religieux juifs aient fait tuer le Christ et quand les adeptes ambitieux de la secte ont compris qu'il fallait chercher de nouveaux fidèles chez le gentils pour se développer.

ça n'a rien d'étonnant que les prêtres cathos ressassent souvent cette parabole du bon samaritain qui suggère l'air de rien de se défier des juifs. Et... que le juif n'est pas trop notre prochain ? Elle aurait pu être conclue par "que ceux qui ont des oreilles m'entendent " Si ce n'est pas le cas !

Mais si Jésus l'a vraiment dite en ces termes (pourquoi pas après tout?), ça aurait été plutôt contre productif dans son optique d'être accepter comme Messie des juifs...  (Les chrétiens qui n'existaient pas n'attendaient pas de Messie.) Et il risquait de s'attirer des ennuis...

Mais je peux me tromper... On a souvent tendance à comprendre le Christ de façon biaisée parce que nous, nous connaissons la suite. Lui, ne la connaissait pas. (Jusqu'à la fin, le pauvre.)

Jésus ou St Jean Baptiste critiquaient les sadducéens, les pharisiens, pas les juifs : ça n'aurait pas eu de sens. Chaque fois qu'on lit des critiques contre les juifs dans les évangiles, (surtout chez St Jean) c'est la preuve que ça a été rajouté bien plus tard. Une façon de tenir les pieds chauds aux romains... Pour être accepté...

Jésus ne critiquait pas les Juifs..............De faite il était lui même Juif

Par contre pour les  Juifs d'alors constituées en sectes , dont les Pharisiens et Esséniens entre autres ,Jésus étaient pour eux  un " Chef Sectaire" aussi qui livrèrent aux Romains (Ponce Pilate)!!

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
Il y a 7 heures, Pales a dit :

Jésus ne critiquait pas les Juifs..............De faite il était lui même Juif

 

Exactement ! C'est bien pour ça que la parabole du bon Samaritain --en ces termes -- n'est probablement pas de lui...

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
Posté(e)
Il y a 9 heures, Blaquière a dit :

ça n'a rien d'étonnant que les prêtres cathos ressassent souvent cette parabole du bon samaritain qui suggère l'air de rien de se défier des juifs. Et... que le juif n'est pas trop notre prochain ? Elle aurait pu être conclue par "que ceux qui ont des oreilles m'entendent " Si ce n'est pas le cas !

pour le profane le samaritain est juif ,et pour ceux un peu informé un juif protestant ,en tout cas un israélite ....Les prêtres cathos ne font que souligner un sentiment d'empathie ...la parabole du bon samaritain ne porte qu'un message de paix ...

Bien sûr que c'est l'occasion pour toi de développer un message raciste ..fallait pas la louper ...

après 20 siècles ,c'est sûr qu'on va attendre après ton interprétation pour découvrir enfin ta vérité "méfiez vous des juifs !" 

et bien j'irais dans ton sens ,oui commercialement ,intellectuellement ,artistiquement ....c'est un petit peuple admirable ,courageux ,inventif ,intelligent et c'est la source de son malheur ....pour un abruti ,la seule façon de faire taire l'intelligence c'est de la détruire ... 

c'est très curieux qu'une population aussi réduite puisse concentrer autant de haine ...que plusieurs milliards de personnes puissent haïr à ce point 15 millions d'autres êtes humains semble surnaturel ...  

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, stvi a dit :

pour le profane le samaritain est juif ,et pour ceux un peu informé un juif protestant ,en tout cas un israélite ....Les prêtres cathos ne font que souligner un sentiment d'empathie ...la parabole du bon samaritain ne porte qu'un message de paix ...

Bien sûr que c'est l'occasion pour toi de développer un message raciste ..fallait pas la louper ...

après 20 siècles ,c'est sûr qu'on va attendre après ton interprétation pour découvrir enfin ta vérité "méfiez vous des juifs !" 

et bien j'irais dans ton sens ,oui commercialement ,intellectuellement ,artistiquement ....c'est un petit peuple admirable ,courageux ,inventif ,intelligent et c'est la source de son malheur ....pour un abruti ,la seule façon de faire taire l'intelligence c'est de la détruire ... 

c'est très curieux qu'une population aussi réduite puisse concentrer autant de haine ...que plusieurs milliards de personnes puissent haïr à ce point 15 millions d'autres êtes humains semble surnaturel ...  

Tu fais semblant ou tu ne veux pas comprendre que c'est exactement le contraire que j'ai dit ?

J'ai pas eu besoin de chercher longtemps :

Citation

"À l'époque du Christ, les rapports entre Juifs et Samaritains étaient tendus. Non seulement ils ne se fréquentaient pas, mais les Juifs considéraient que les objets, les animaux ou les récoltes qui traversaient la Samarie étaient impropres au culte."

 

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Blaquière a dit :

Tu fais semblant ou tu ne veux pas comprendre que c'est exactement le contraire que j'ai dit ?

ah bon ? tu n'as pas dit "méfiez vous des juifs " en utilisant une marionnette (prêtres cathos) 

Il y a 9 heures, Blaquière a dit :

ça n'a rien d'étonnant que les prêtres cathos ressassent souvent cette parabole du bon samaritain qui suggère l'air de rien de se défier des juifs. Et... que le juif n'est pas trop notre prochain ? Elle aurait pu être conclue par "que ceux qui ont des oreilles m'entendent " Si ce n'est pas le cas !

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 821 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 10 heures, Blaquière a dit :

Je peux me tromper, mais dans cette parabole, les deux "méchants" ou en tout cas pas sympa sont des juifs, et le bon, le samaritain, n'est pas juif. ça m'a l'air d'une propagande anti-juive ! Il est donc assez peu probable qu'elle soit de Jésus qui dit quelque part que ce qui compte en premier, c'est les juifs. Elle aura sans douté été imaginée après que les religieux juifs aient fait tuer le Christ et quand les adeptes ambitieux de la secte ont compris qu'il fallait chercher de nouveaux fidèles chez le gentils pour se développer.

ça n'a rien d'étonnant que les prêtres cathos ressassent souvent cette parabole du bon samaritain qui suggère l'air de rien de se défier des juifs. Et... que le juif n'est pas trop notre prochain ? Elle aurait pu être conclue par "que ceux qui ont des oreilles m'entendent " Si ce n'est pas le cas !

Mais si Jésus l'a vraiment dite en ces termes (pourquoi pas après tout?), ça aurait été plutôt contre productif dans son optique d'être accepter comme Messie des juifs...  (Les chrétiens qui n'existaient pas n'attendaient pas de Messie.) Et il risquait de s'attirer des ennuis...

Mais je peux me tromper... On a souvent tendance à comprendre le Christ de façon biaisée parce que nous, nous connaissons la suite. Lui, ne la connaissait pas. (Jusqu'à la fin, le pauvre.)

Jésus ou St Jean Baptiste critiquaient les sadducéens, les pharisiens, pas les juifs : ça n'aurait pas eu de sens. Chaque fois qu'on lit des critiques contre les juifs dans les évangiles, (surtout chez St Jean) c'est la preuve que ça a été rajouté bien plus tard. Une façon de tenir les pieds chauds aux romains... Pour être accepté...

Les samaritains tout aussi intolérant sont également juifs mais non orthodoxes. Par ailleurs la parabole ne critique ni le lévite ni le Cohen . C’est l’occidental judéo-chrétien Mr Jourdain qui le fait , d’autant plus qu’il se targuera d’etre Humaniste altruiste universel .

 

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, stvi a dit :

ah bon ? tu n'as pas dit "méfiez vous des juifs " en utilisant une marionnette (prêtres cathos) 

 

Ben non ! J'AI pas dit ! J'ai même précisé que c'était une ruse des prêtres cathos : "l'air de rien". Tu cherches à discréditer mon argumentation en me traitant d'antisémite. Mais c'est pas ça le problème. le problème c'est le texte et ce qu'il dit. Et je trouve amusant qui pendant que tout le monde s'épuise à comprendre la nature profonde de ce que signifie être le prochain de quelqu'un, le vrai contenu du texte poursuit sont but subliminal qui dit que le moins juif des trois est le plus sympa. Je suis tellement pas raciste que j'ai même un ami NOIR !:smile2:

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 821 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a une heure, Blaquière a dit :

Exactement ! C'est bien pour ça que la parabole du bon Samaritain --en ces termes -- n'est probablement pas de lui...

Ah ce copmpte là les français ne peuvent pas être français :smile2:

 

 

il y a 2 minutes, Blaquière a dit :

Je suis tellement pas raciste que j'ai même un ami NOIR !:smile2:

L’argument suprême dû frontiste :p

 

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
il y a 1 minute, Blaquière a dit :

Ben non ! J'AI pas dit ! J'ai même précisé que c'était une ruse des prêtres cathos : "l'air de rien". Tu cherches à discréditer mon argumentation en me traitant d'antisémite. Mais c'est pas ça le problème. le problème c'est le texte et ce qu'il dit. Et je trouve amusant qui pendant que tout le monde s'épuise à comprendre la nature profonde de ce que signifie être le prochain de quelqu'un, le vrai contenu du texte poursuit sont but subliminal qui dit que le moins juif des trois est le plus sympa. Je suis tellement pas raciste que j'ai même un ami NOIR !:smile2:

Un Amour Noir ou un Humour Noir:smile2:

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Membre, 77ans Posté(e)
Blaquière Membre 19 162 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

J'ai peut-être tort, je l'ai d'ailleurs dit mais vous vous êtes vraiment aveugles

"Vous faites bien de la prose (élyte) sans le savoir" ! (C'est celui qui dit qui y'est !)

il y a 5 minutes, Pales a dit :

Un Amour Noir ou un Humour Noir:smile2:

OUI !J'y ai pensé en l'écrivant !

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, Blaquière a dit :

J'ai peut-être tort, je l'ai d'ailleurs dit mais vous vous êtes vraiment aveugles

"Vous faites bien de la prose (élyte) sans le savoir" ! (C'est celui qui dit qui y'est !)

OUI !J'y ai pensé en l'écrivant !

;)

  • Merci 1
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 53ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 90 821 messages
53ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 13 minutes, Blaquière a dit :

J'ai peut-être tort, je l'ai d'ailleurs dit mais vous vous êtes vraiment aveugles

Je pense que tu as tort . Car 

1- les samaritains sont juifs 

2- ce que tu évoques n’est pas écrit dans la parabole 

3- il est question du lévite et du Cohen devant respecter la loi leur interdisant de toucher le moribond, pas des juifs

4- ta position sur l’eglise Et le judaisme est bien trop caricaturale mais c’est un autre sujet , je voudrais éviter le nième point Godwin sur ce topic 

5- les cathos ont des amis juifs donc c’est pas vrai : lol 

Modifié par DroitDeRéponse
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