Torture et viol chez un couple de retraités à Colomiers

L'affaire n'a pas traîné. Quinze jours après la violente agression d'un couple de retraités, attaqué à son domicile de Colomiers, la Police judiciaire a interpellé hier matin, avenue Picasso et Louis Plana, trois personnes âgées de 20, 18 et 17 ans. Un très jeune trio dans lequel figure un mineur décrit comme « agressif et très violent. » Ces trois individus ont été placés engarde à vue au commissariat central. D'importants faisceaux d'indices pèsent sur le plus jeune d'entre eux considéré comme le leader du groupe. à seulement 17 ans, ce garçon serait à l'origine de la violente attaque commise le 1er décembre dernier au domicile des retraités, un ancien ingénieur de 63 ans et son épouse âgée de 59 ans. Ce jour-là, entre 18 et 19 heures, deux individus, le visage dissimulé sous une cagoule, font irruption dans ce pavillon tranquille situé dans un quartier résidentiel de Colomiers. Les malfaiteurs veulent dérober par la force le 4x4 Touareg stationné dans l'allée. Une voiture appartenant aux amis des victimes, ce que les agresseurs semblent ignorer. Le mari est tabassé à coups de bouteilles sur le crâne, ses pieds et ses mains sont entravés. Son épouse est agressée sexuellement. Le visage des victimes est recouvert d'un ruban adhésif et durant une heure le couple vit un enfer. Les tortionnaires veulent récupérer le code d'une carte bancaire volée au couple dans un déchaînement de violence. La maison est fouillée et les malfrats mettent la main sur des bijoux et de l'argent liquide. Ils finissent par arracher de la bouche de leurs victimes traumatisées, le code à quatre chiffres.

https://www.ladepeche.fr/article/2008/12/17/509126-l-hyperviolence-des-ados-delinquants.html

Qui sont ces 3 ordures ? Que va-t-on en faire encore de ceux là,   les nourrir les blanchir , leur trouver des circonstances attenuantes ?  

il y a 2 minutes, bcbg a dit :

Qui sont ces 3 ordures ? Que va-t-on en faire encore de ceux là,   les nourrir les blanchir , leur trouver des circonstances attenuantes ?  

Les relâcher.

Il y en a tellement chaque jour.

Ou se résoudre à faire comme la Chine.

Mais nos bisounours intellectuels gémiraient à n'en plus finir et feraient intervenir la Cour européenne.

L'article date de 2008.

Pas évident de trouver des stats récentes...

Excuses.

J'ai voulu mettre cet article (entendu à la radio). Mais mal orienté sur Google. Et je n'ai pas vérifié.

Toulouse : les profs du lycée Gallieni lancent un "appel au secours"

Plus de 70 professeurs du lycée professionnel et technologique Joseph-Gallieni, à Toulouse, dénoncent un climat d'insécurité insupportable. Ils demandent une refonte du dispositif d'éducation.

http://www.europe1.fr/societe/toulouse-les-profs-du-lycee-gallieni-lancent-un-appel-au-secours-3546782

à l’instant, Dan229 a dit :

Excuses.

J'ai voulu mettre cet article (entendu à la radio). Mais mal orienté sur Google. Et je n'ai pas vérifié.

Toulouse : les profs du lycée Gallieni lancent un "appel au secours"

Plus de 70 professeurs du lycée professionnel et technologique Joseph-Gallieni, à Toulouse, dénoncent un climat d'insécurité insupportable. Ils demandent une refonte du dispositif d'éducation.

Ils n'en peuvent plus. Depuis une semaine, les professeurs du lycée Joseph-Gallieni, à Toulouse, appellent "au secours" et multiplient les journées de grève depuis la rentrée. Ils dénoncent un climat d'insécurité et un manque de personnel pour y répondre.

Une insécurité quotidienne. Violences, insultes, vols, trafic : les problèmes semblent être quotidiens dans cet établissement du sud de la ville, spécialisé dans les métiers de l'automobile, du transport et la logistique. "En décembre, le proviseur lui-même a été menacé verbalement et physiquement. Un incendie a été allumé au sein de la cafétéria. Certains sortent même des armes blanches de leur sac !", s'indigne notamment Fabian Bergès, agrégé de mathématiques et secrétaire départemental adjoint du Sgen-CFDT 31, dans les colonnes du Figaro. "Ici on s'est habitués à voir des collègues pleurer", confie ainsi le syndicaliste.

Plus de 70 enseignants, sur les 135 que compte l'établissement, auraient participé au mouvement de grève, suspendu depuis vendredi. Selon les témoignages, un groupe de quelque 150 élèves serait à l'origine de ces troubles. Parmi eux, certains sortent même de prison et viennent en cours avec leur bracelet électronique.

Une pétition en ligne. Au total, plus de 900 élèves sont scolarisés au lycée Joseph-Gallieni. Mais seuls cinq assistants d'éducation sont présents au quotidien. Les professeurs se mobilisent pour en obtenir cinq de plus. Une pétition en ligne a été lancée dimanche afin de réclamer un dispositif d'éducation spécifique. Jacques Caillaut, inspecteur académique et directeur académique des services de l'éducation nationale (Dasen) de la Haute-Garonne, cité par Le Figaro, reconnait lui des "difficultés", tout en notant que "d'autres établissements à Toulouse sont comme cela".

 

http://www.europe1.fr/societe/toulouse-les-profs-du-lycee-gallieni-lancent-un-appel-au-secours-3546782

Toulouse...on en parle depuis quelques temps, autant que des quartiers nord de Marseille...

Qu'est-ce qui se passe dans la ville rose?

Déplacement de population?

La violence est dans la nature humaine. Et les temps actuels ne sont pas là pour améliorer les choses. C'est vrai que nous pourrions loger une balle dans la nuque des criminels. Pour ma part; l'Enfer vert de la Guyane est un bon compromis. L'Enfer; avec une petite chance de réussite lors d'une évasion. Tout le monde y trouverait son compte.

il y a 24 minutes, pila a dit :

l'Enfer vert de la Guyane est un bon compromis

Ils ont déjà assez de problèmes comme ça en Guyane, laisse les tranquilles. 

On se demande bien en effet  comment toute cette violence chez les ados est possible alors que nous vivons dans un monde de paix et d'amour.

Il y a 2 heures, Dan229 a dit :

Excuses.

J'ai voulu mettre cet article (entendu à la radio). Mais mal orienté sur Google. Et je n'ai pas vérifié.

Toulouse : les profs du lycée Gallieni lancent un "appel au secours"

Plus de 70 professeurs du lycée professionnel et technologique Joseph-Gallieni, à Toulouse, dénoncent un climat d'insécurité insupportable. Ils demandent une refonte du dispositif d'éducation.

Ils n'en peuvent plus. Depuis une semaine, les professeurs du lycée Joseph-Gallieni, à Toulouse, appellent "au secours" et multiplient les journées de grève depuis la rentrée. Ils dénoncent un climat d'insécurité et un manque de personnel pour y répondre.

Une insécurité quotidienne. Violences, insultes, vols, trafic : les problèmes semblent être quotidiens dans cet établissement du sud de la ville, spécialisé dans les métiers de l'automobile, du transport et la logistique. "En décembre, le proviseur lui-même a été menacé verbalement et physiquement. Un incendie a été allumé au sein de la cafétéria. Certains sortent même des armes blanches de leur sac !", s'indigne notamment Fabian Bergès, agrégé de mathématiques et secrétaire départemental adjoint du Sgen-CFDT 31, dans les colonnes du Figaro. "Ici on s'est habitués à voir des collègues pleurer", confie ainsi le syndicaliste.

Plus de 70 enseignants, sur les 135 que compte l'établissement, auraient participé au mouvement de grève, suspendu depuis vendredi. Selon les témoignages, un groupe de quelque 150 élèves serait à l'origine de ces troubles. Parmi eux, certains sortent même de prison et viennent en cours avec leur bracelet électronique.

Une pétition en ligne. Au total, plus de 900 élèves sont scolarisés au lycée Joseph-Gallieni. Mais seuls cinq assistants d'éducation sont présents au quotidien. Les professeurs se mobilisent pour en obtenir cinq de plus. Une pétition en ligne a été lancée dimanche afin de réclamer un dispositif d'éducation spécifique. Jacques Caillaut, inspecteur académique et directeur académique des services de l'éducation nationale (Dasen) de la Haute-Garonne, cité par Le Figaro, reconnait lui des "difficultés", tout en notant que "d'autres établissements à Toulouse sont comme cela".

 

http://www.europe1.fr/societe/toulouse-les-profs-du-lycee-gallieni-lancent-un-appel-au-secours-3546782

Mais c'est des" j'ai droit", c'est ça la mode actuellement, je peux faire ce que je veux, on ferme sa gueule et on subit, on en rigole , tiens , mais de toute façon , c'est pas nouveau, et qui sont donc ces charmants élèves, que l'on voit radiner en sortent de taule, des crèmes que l'on a relâché faute de place, évidemment, faut bien leur donner une chance,à la chance pour la France

Le recteur pour se dédouaner a dit :"Ya pas que dans votre établissement.".

Traduction : "Circulez, ya rien à voir".

Qui se rappelle encore de l'ado qui avait abattu plus de dix personnes dans le Sud de la France il y a des années ?

Le fait de tuer un humain en dehors de la Guerre, d'un hold-up, d'une course-poursuite etc... n'est pas un comportement normal. C'est le fait de fadas. Et depuis Napoléon; le fait d'être fada envoie à l'asile; non à la Guillotine.

Jugera-t-on un jour ceux qui ont laissé le chômage de masse s'installer; créant ainsi dans la tête de certains le chaos ?

Il y a 1 heure, PINOCCHIO a dit :

Mais c'est des" j'ai droit", c'est ça la mode actuellement, je peux faire ce que je veux, on ferme sa gueule et on subit, on en rigole , tiens , mais de toute façon , c'est pas nouveau, et qui sont donc ces charmants élèves, que l'on voit radiner en sortent de taule, des crèmes que l'on a relâché faute de place, évidemment, faut bien leur donner une chance,à la chance pour la France

Des ados "déconstruits" largués depuis longtemps par leurs parents, ne faisant aucune différence entre le bien et le mal, violence au quotidien et inconscients de l'avenir...

Plus haut, Pila évoquait l' "enfer vert" de Guyane comme solution, je verrais bien aussi des camps militaires disciplinaires, gérés par des "monos" du genre légionnaire... ou ils sortent définitivement matés... ou ils sortent pas...

Allez , encore un petit effort . L'exaspération sera bientôt telle qu'on osera enfin cibler verbalement ces ''ados '' , puis l'on réalisera que la majorité d'entre eux , à leur niveau font  une ( un ? ) djihad , endoctrinés qu'ils sont d'anti occidentalisme .

C'est encore plus jouissif lorsque '' l'ennemi '' est un ancien colonialiste .

Remarquez que les journalistes de salon ne se bousculent pas pour aller faire du micro- trottoir ou interroger l'environnement de cette crasse sociale .

Quant aux débatteurs qui pullulent dans ces médias , écoutez bien leurs contorsions du verbe et observez leur gestuelle et mimiques qui se modifient ,  lorsqu'un invité ( syndicat police par exemple )  aborde cette thématique .

Et ce photographe lynché à mort par 4 jeunes en 2007 ou 2006 , alors qu'il prenait des photos d'un quartier .

Et l'égorgé de la place Grenette il y a 4 ou 5 ans ...pour un regard .

Qu'elles suites données ?

ça pue ici, ça sent la soif de sang non assumée, ça sent aussi la peur.

Mais la encore ce qui est exigé ce sont des coupables et non des solutions, c'est plus simple a trouver les coupables, les solutions en revanche ça demande du travail et ça n'attire pas la presse

Le 17/01/2018 à 19:19, versys a dit :

Des ados "déconstruits" largués depuis longtemps par leurs parents, ne faisant aucune différence entre le bien et le mal, violence au quotidien et inconscients de l'avenir...

Plus haut, Pila évoquait l' "enfer vert" de Guyane comme solution, je verrais bien aussi des camps militaires disciplinaires, gérés par des "monos" du genre légionnaire... ou ils sortent définitivement matés... ou ils sortent pas...

Pourquoi pas, vu qu'ils sont violents contentons nous de les rendre encore plus violents, tapons toujours plus fort au lieu de chercher a comprendre parce que c'est bien connu que comprendre c'est forcément tout pardonner et encourager après... (oui c'est un sarcasme)