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On finit toujours par se lasser... de tout !

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deja-utilise

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 747 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)
Il y a 6 heures, swam a dit :

La cause ultime de lassitude et d'usure dans la vie c'est quand on finit par comprendre que l'on ne peut absolument rien attendre des autres.

Les petits ou les grands moments de bonheur il faut aller les arracher avec les dents ( et il faut donc de bonnes dents ), tout ce qui nous vient de bon ne peut venir que de nous meme, jamais des autres.

Les autres il faut les fasciner par nos forces vives, les captiver, tels des papillons de nuit par notre lumière.

Bref il faut briller, éblouir, rien n'est jamais gratuit et spontané.

Partout, meme ici, cela est démontré.

A un moment donné la question se pose: Pourquoi vouloir capturer des chimères, des petits papillons aveugles, cela en vaut-il la peine ?

 

Donc il ne reste plus qu'a oublier les autres et a cultiver son jardin, si on a encore uffisamment d'énergie pour cela.

 

Si je peux me permettre, tu sembles être une victime du monde contemporain, de la loi du plus fort aujourd'hui transposée dans la compétitivité, dans l'individualisme exacerbé, dans le self-made-man capitaliste, etc...

Il n'y a pas de jugement de valeur dans ce qui précède, hein !

 

Je te donne deux contre-exemples:

 

Le premier, c'est d'avoir rencontré par hasard, celle qui deviendra ma femme pendant presque deux décennies, alors même que je pensais être fait pour vivre seul dans une " grotte ", mon bonheur aura résidé précisément dans l'inattendu, le non voulu ou désiré, la non conquête...

Le second corolaire du premier, c'est d'avoir eu trois enfants, tout autant non expectés, non programmés par ma personne seule, non projetés ou idée murie antérieurement, contrairement à la future maman, non, cela n'a été qu'une réponse à une sollicitation de ma conjointe, je l'ai fait par amour pour elle, mais cela s'est révélé être la plus merveilleuse chose qu'il me soit arrivé, d'où le fait d'avoir récidivé deux fois... 

 

Au contraire, je me rends bien compte depuis un moment que d'obtenir une chose de manière forcée, n'apporte que peu de satisfaction, le libre échange ou le don consenti de plein gré sont bien plus " impactant " sur le bienêtre procuré. Par exemple, obtenir par une ruse quelconque les faveurs de sa femme, n'apporte absolument pas autant de plaisir ou de bonheur, que si elle se donne d'elle même par amour, de part sa propre volonté ! Mon bienêtre est complètement concomitant et dépendant de celui de mon alter-ego...

 

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, deja-utilise a dit :

Mais n'est-ce pas la peur d'une sorte de rééquilibrage, connu comme un biais cognitif, en croyant qu'une " volonté " va rétablir les plateaux de la balance entre les bons et mauvais évènements d'une vie, c'est à dire une croyance d'origine religieuse, même si elle a perdu ses racines théologique par la suite, une survivance d'un vieux réflexe, ou alors, c'est une forme de sagesse, où l'expérience nous montre que nous avons plus à perdre à jouer naïvement, de manière inconsidérée, qu'à y gagner en fin de comptes, ou de se rendre compte que d'avoir toujours plus n'a pas d'incidence notable et durable sur être mieux, que nous amalgamons avoir et être quand on est plus jeune, plus innocent, plus téméraire, naïf ou candide !  

La préciosité dont je parlais se faisant souvent cruellement ressentir au moment même où nous perdons quelque chose - i.e. après coup - un être cher, la santé, la mobilité, un lieu de vie, un mode vie, etc... D'où l'immense intérêt d'y réfléchir avant, d'y avoir sérieusement médité, d'avoir écouté son cœur, ses sentiments les plus intimes ou de s'inspirer des expériences d'autrui, pour savoir reconnaitre ce qui a de la valeur de ce qui en a moins ou pas du tout...

 

Sortir de l'ombre "l'obscur objet du désir", peut-être? Pourquoi le désir dévinstit-il tel ou tel objet qui était désirable et qui subitement perd son "eclat"? Comment influer sur nos choix d'objets? Ces questions sont une autre manière de poser les choses. Apprendre à "connaitre" son desir, le vrai. C'est ni evident, ni facile, ni peut-être jamais gagné, mais ça vaut la peine d'essayer.

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Membre, Talon 1, 78ans Posté(e)
Talon 1 Membre 22 959 messages
78ans‚ Talon 1,
Posté(e)
Il y a 3 heures, deja-utilise a dit :

Vu comme ça, on a effectivement l'impression que l'affaire est entendue.

On sait pourtant quel vice peut se cacher derrière une telle interprétation, que l'on pense aux toxicomanes ou toute personne addictive à quelque chose, si plaisir il y a à un moment précis, la joie ne suit pas pour autant dans la continuité, au contraire, la souffrance est plus qu'à son tour au rendez-vous.

On peut aussi envisager le cas suivant: une personne en aime une autre éperdument, mais celle-ci n'a pas en  retour d'affect pour la première, notre amoureux prendra plaisir, une grande exaltation, à chaque fois qu'il pourra être en compagnie de cet être tant désiré, mais pourtant inaccessible, ce qui le rendra terriblement malheureux, dans un grand désarroi, en détresse émotionnelle incompatibles avec la joie ou le bonheur.

 

Ce passage d'une infériorité à une supériorité dépend à qui il s'adresse, voir par exemple son ennemi juré passer d'un état supérieur à celui inférieur - sa propre satisfaction a diminué - est un grand raffinement pour notre esprit, un bienêtre qui nous submerge. 

 

Nous avons aussi le phénomène de contemplation, prendre le temps d'observer et de sentir ici et maintenant ce qui nous entoure, ce que nous sommes, peut aussi conduire par cette forme de méditation a accéder à la joie, au bienêtre, à la satisfaction ou plénitude, il n'y a pourtant aucun mouvement, au contraire, uniquement d'arrêter son esprit de vagabonder de futilité en futilité, de se poser et ouvrir non pas ses yeux, mais sa conscience ! Autrement dit, nous devenons pour ainsi dire, l'acteur de notre propre satisfaction sans attendre un passage mu par une force extérieure.  

Aucun de vos exemples n'est probant. Vous mélangez les notions à dessein. Un vrai sophiste.

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Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 2 heures, deja-utilise a dit :

Si je peux me permettre, tu sembles être une victime du monde contemporain, de la loi du plus fort aujourd'hui transposée dans la compétitivité, dans l'individualisme exacerbé, dans le self-made-man capitaliste, etc...

Il n'y a pas de jugement de valeur dans ce qui précède, hein !

 

Je te donne deux contre-exemples:

 

Le premier, c'est d'avoir rencontré par hasard, celle qui deviendra ma femme pendant presque deux décennies, alors même que je pensais être fait pour vivre seul dans une " grotte ", mon bonheur aura résidé précisément dans l'inattendu, le non voulu ou désiré, la non conquête...

Le second corolaire du premier, c'est d'avoir eu trois enfants, tout autant non expectés, non programmés par ma personne seule, non projetés ou idée murie antérieurement, contrairement à la future maman, non, cela n'a été qu'une réponse à une sollicitation de ma conjointe, je l'ai fait par amour pour elle, mais cela s'est révélé être la plus merveilleuse chose qu'il me soit arrivé, d'où le fait d'avoir récidivé deux fois... 

 

Au contraire, je me rends bien compte depuis un moment que d'obtenir une chose de manière forcée, n'apporte que peu de satisfaction, le libre échange ou le don consenti de plein gré sont bien plus " impactant " sur le bienêtre procuré. Par exemple, obtenir par une ruse quelconque les faveurs de sa femme, n'apporte absolument pas autant de plaisir ou de bonheur, que si elle se donne d'elle même par amour, de part sa propre volonté ! Mon bienêtre est complètement concomitant et dépendant de celui de mon alter-ego...

 

Non, je ne suis victime de rien, si ce n'est de l'absence de sens.

Et je ne pense pas du tout que l'on vive aujourd'hui sous la loi du plus fort, la force a sa logique et n'est pas dénuée de noblesse.

Tes 2 exemples sont bons, ils t'ont été donné, tu as eu de la chance.

Dans la vie il faut se battre, mais si c'est uniquement pour soi-meme cela ne suffit pas toujours.

 

Moi ce que je vois c'est partout impossibilité de communication ou communication superficielle.

 

 

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
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Posté(e)

L'enfant dans le ventre de sa mère connaît cette plénitude et ce paradis perdu dont parle @ping au début de la conversation : en effet à ce stade de notre existence nos besoins en nombre très limité sont instantanément comblés par l'intermédiaire du corps de la mère avec lequel le nourrisson ne fait qu'un. La naissance est le premier traumatisme dont il faudra donc faire le deuil : nous n'en gardons qu'un vague souvenir qui refait surface comme un rayon de soleil dans un ciel nuageux, lorsque nous recevons ce clin d'oeil divin à l'occasion d'un désir assouvi, d'une méditation profonde, etc.. etc.. En somme il nous reste de façon universelle par toute cette aventure une chose commune probablement à l'ensemble de notre espèce : l'amour (qui ressort naturellement de la plénitude).

Ou plus exactement, l'amour de l'amour qui n'est rien que l'autre nom de cette nostalgie du paradis perdu. C'est cet amour de l'amour qui nous fait courir sans cesse après de nouvelles choses, de nouveaux objets à aimer. Quand nous avons le sentiment que nous avons fait le tour d'un objet nouveau, telle une madeleine de Proust dont la réingestion ne produira plus jamais la sensation escomptée, notre amour de l'amour doit alors trouver un nouvel objet.

L'objectif de la méditation bouddhiste et de certaines philosophies est aussi là : retrouver par la méditation et le contrôle de sa respiration (par exemple) cette plénitude qui ne dépend finalement d'aucun objet extérieur. Le plus grand malheur attend au tournant celui qui ne porte son intérêt que sur les objets matériels (le matérialisme au sens usuel et non au sens philosophique), parce que ces objets sont mortels et que la satisfaction qu'ils apportent n'est en fait que temporaire.

La passion pour la Connaissance, pour la Vérité ou pour Dieu est d'une autre nature et peut rejoindre la méditation bouddhiste dans un idéal contemplatif où la sérénité peut enfin prendre toute sa place. L'amour de l'Autre aussi fait partie de cette quête : quand on réalise et découvre la transcendance de sa propre conscience, et par là la transcendance de la conscience des autres, on comprend qu'ils sont comme un objet dont on ne fait jamais le tour, aussi intimement puissions nous connaître quelqu'un.

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
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Posté(e)

Je soupçonne d'ailleurs que le sevrage de certaines drogues ne soit si difficile qu'à cause du fait que ces dernières ne nous mettent en contact artificiellement avec ce paradis perdu, dont il conviendra alors de refaire un second deuil. Car qui ne veut pas être heureux?

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Invité Vintage
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Invité Vintage
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Posté(e)
à l’instant, Quasi-Modo a dit :

Je soupçonne d'ailleurs que le sevrage de certaines drogues ne soit si difficile qu'à cause du fait que ces dernières ne nous mettent en contact artificiellement avec ce paradis perdu, dont il conviendra alors de refaire un second deuil. Car qui ne veut pas être heureux?

Le sevrage est dur à cause de la dépendance physique.

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Invité Quasi-Modo
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Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, Vintage a dit :

Le sevrage est dur à cause de la dépendance physique.

Certes. Et quand à l'aspect psychologique?

Finalement je pense que le bonheur ne peut s'atteindre que si on se prend de passion pour des objets dont on ne fait pas le tour, ou pour le moins pas le temps d'une vie humaine (la vérité, la connaissance, la justice, Dieu, etc...).

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Membre, Posté(e)
aliochaverkiev Membre 1 978 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Qia

il y a 6 minutes, Quasi-Modo a dit :

L'enfant dans le ventre de sa mère connaît cette plénitude et ce paradis perdu dont parle @ping au début de la conversation : en effet à ce stade de notre existence nos besoins en nombre très limité sont instantanément comblés par l'intermédiaire du corps de la mère avec lequel le nourrisson ne fait qu'un. La naissance est le premier traumatisme dont il faudra donc faire le deuil : nous n'en gardons qu'un vague souvenir qui refait surface comme un rayon de soleil dans un ciel nuageux, lorsque nous recevons ce clin d'oeil divin à l'occasion d'un désir assouvi, d'une méditation profonde, etc.. etc.. En somme il nous reste de façon universelle par toute cette aventure une chose commune probablement à l'ensemble de notre espèce : l'amour (qui ressort naturellement de la plénitude).

Ou plus exactement, l'amour de l'amour qui n'est rien que l'autre nom de cette nostalgie du paradis perdu. C'est cet amour de l'amour qui nous fait courir sans cesse après de nouvelles choses, de nouveaux objets à aimer. Quand nous avons le sentiment que nous avons fait le tour d'un objet nouveau, telle une madeleine de Proust dont la réingestion ne produira plus jamais la sensation escomptée, notre amour de l'amour doit alors trouver un nouvel objet.

L'objectif de la méditation bouddhiste et de certaines philosophies est aussi là : retrouver par la méditation et le contrôle de sa respiration (par exemple) cette plénitude qui ne dépend finalement d'aucun objet extérieur. Le plus grand malheur attend au tournant celui qui ne porte son intérêt que sur les objets matériels (le matérialisme au sens usuel et non au sens philosophique), parce que ces objets sont mortels et que la satisfaction qu'ils apportent n'est en fait que temporaire.

La passion pour la Connaissance, pour la Vérité ou pour Dieu est d'une autre nature et peut rejoindre la méditation bouddhiste dans un idéal contemplatif où la sérénité peut enfin prendre toute sa place. L'amour de l'Autre aussi fait partie de cette quête : quand on réalise et découvre la transcendance de sa propre conscience, et par là la transcendance de la conscience des autres, on comprend qu'ils sont comme un objet dont on ne fait jamais le tour, aussi intimement puissions nous connaître quelqu'un.

Vous nous ressortez tous ce que vous avez lu,  sans distance. Une sorte de réingurgitation de toutes les études tentées par quelques spécialistes de  "l'âme" humaine ( ha ha ha!!). Et ça y va, et la la lère, "J'ai bien  appris la leçon, m'sieur, j'ai 20 sur 20 ?" . Bon , je vous note, my little boy, je vous donne un bon 10 sur 20. Peut mieux faire.

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Invité Vintage
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Invité Vintage
Invité Vintage Invités 0 message
Posté(e)
il y a 1 minute, Quasi-Modo a dit :

Certes. Et quand à l'aspect psychologique?

C'est surtout le manque physique qui compte. L'aspect du paradis perdu c'est secondaire.

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Membre, Posté(e)
aliochaverkiev Membre 1 978 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Le ‎04‎/‎01‎/‎2018 à 20:02, Jedino a dit :

Pascal, évidemment. Inutile de dire que rien n'a changé, si ce ne sont les moyens de se divertir et de se méprendre sur un "ailleurs" plus agréable que notre triste quotidien, semble-t-il.

Ah ! ah ! ah ! le normalisé marque son territoire.

Il y a 14 heures, swam a dit :

La cause ultime de lassitude et d'usure dans la vie c'est quand on finit par comprendre que l'on ne peut absolument rien attendre des autres.

Les petits ou les grands moments de bonheur il faut aller les arracher avec les dents ( et il faut donc de bonnes dents ), tout ce qui nous vient de bon ne peut venir que de nous meme, jamais des autres.

Les autres il faut les fasciner par nos forces vives, les captiver, tels des papillons de nuit par notre lumière.

Bref il faut briller, éblouir, rien n'est jamais gratuit et spontané.

Partout, meme ici, cela est démontré.

A un moment donné la question se pose: Pourquoi vouloir capturer des chimères, des petits papillons aveugles, cela en vaut-il la peine ?

 

Donc il ne reste plus qu'a oublier les autres et a cultiver son jardin, si on a encore uffisamment d'énergie pour cela.

 

 

 

 

oui.

Il y a 7 heures, Petit pois a dit :

f-0-048.gif?w=550 j'savais bien que je n'aurais jamais dû développer ! :D...je réfléchis à tout ça et je reviens f-0-0191.gif?w=550

Petit pois est toute excitée, nous sommes tous émus.

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Invité Vintage Invités 0 message
Posté(e)
il y a 10 minutes, Quasi-Modo a dit :

Finalement je pense que le bonheur ne peut s'atteindre que si on se prend de passion pour des objets dont on ne fait pas le tour, ou pour le moins pas le temps d'une vie humaine (la vérité, la connaissance, la justice, Dieu, etc...).

Et bien oui, il faut se donner un but, D.ieu est de loin celui qui promet le plus.

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Membre, Posté(e)
aliochaverkiev Membre 1 978 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Vintage a dit :

Et bien oui, il faut se donner un but, D.ieu est de loin celui qui promet le plus.

Il avance ses pions le bougre. Je vais sortir ma reine.

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Invité Vintage Invités 0 message
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à l’instant, aliochaverkiev a dit :

Il avance ses pions le bougre. Je vais sortir ma reine.

Tu veux en faire quoi de ta reine ? Elle risque d'être fascinée.

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)

Ce qui te manque cherche le dans ce que tu as.

Proverbe chinois.

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Membre, Posté(e)
aliochaverkiev Membre 1 978 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, ping a dit :

Ce qui te manque cherche le dans ce que tu as.

Proverbe chinois.

Argument d'autorité ?

il y a 12 minutes, Vintage a dit :

Tu veux en faire quoi de ta reine ? Elle risque d'être fascinée.

Sois mon roi, je te donnerai ma fascination.

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Membre, 55ans Posté(e)
ping Membre 6 305 messages
Baby Forumeur‚ 55ans‚
Posté(e)
à l’instant, aliochaverkiev a dit :

Argument d'autorité ?

T’es un vrai rebelle toi ! T’as un problème avec l’autorité?

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Invité Vintage
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Invité Vintage Invités 0 message
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il y a 3 minutes, aliochaverkiev a dit :

 

Sois mon roi, je te donnerai ma fascination.

Lol le bondieu fera ça mieux que moi !

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Membre, Posté(e)
aliochaverkiev Membre 1 978 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, Vintage a dit :

Lol le bondieu fera ça mieux que moi !

Ose, femme, deviens le roi.

il y a 6 minutes, ping a dit :

T’es un vrai rebelle toi ! T’as un problème avec l’autorité?

Je n'ai pas de problème avec toi. :hello:

Modifié par aliochaverkiev
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Invité Vintage
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Invité Vintage
Invité Vintage Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, aliochaverkiev a dit :

Ose, femme, deviens le roi.

Je sais pas juger, mon trône serait vite renverser !

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