il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

https://www.marianne.net/politique/stage-pour-racises-prise-de-bec-entre-jean-luc-melenchon-et-daniele-obono-l-assemblee

 

Stage pour "racisés" : prise de bec entre Jean-Luc Mélenchon et Danièle Obono à l’Assemblée

 

Jean-Luc Mélenchon et sa collègue Insoumise Danièle Obono n'étaient visiblement pas d'accord sur la condamnation par le ministre Jean-Michel Blanquer des formations "en non-mixité" organisées par Sud-Education 93.

Le communautarisme, voilà sans doute le sujet qui suscite le plus de malaise chez La France insoumise (LFI). Une scène l’a encore illustré à l’Assemblée nationale, mardi 21 novembre. Selon plusieurs députés interrogés par Marianne, Jean-Luc Mélenchon et sa collègue Danièle Obono se sont pris le bec en pleine séance, à la suite d’une question au gouvernement sur les ateliers de formation « en non-mixité » organisés par le syndicat Sud-Education 93. Autrement dit, des stages réservés à des « enseignant-e-s racisé-e-s » (sic), c’est à dire non-blancs.

Interrogé sur le sujet par la députée Cécile Rilhac (La République en marche), le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, condamne alors fermement la démarche et annonce une plainte pour « diffamation » contre le syndicat, qui dénonce un prétendu « racisme d’Etat ». A la fin de sa réponse, une grande partie des députés se lèvent pour l’applaudir. Mais tout à gauche de l’Hémicycle, aucun élu de La France insoumise ne participe à la standing ovation. Jean-Luc Mélenchon applaudit tout de même le ministre, ainsi que son bras droit Alexis Corbière, alors que Danièle Obono est assise juste derrière eux. A ce moment, « Obono met la main sur l’épaule de Mélenchon et lui dit quelque chose. Mélenchon se retourne et ils s’engueulent pendant deux ou trois minutes », rapporte un député Les Républicains présent.

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Depuis cet épisode, Danièle Obono a publiquement défendu les stages « non-mixtes » organisés par Sud-Education 93. « La pratique de la non-mixité n'est pas dangereuse dans le sens où c'est une pratique qui répond à des besoins de catégorie », a-t-elle déclaré le 24 novembre sur Sud Radio, parlant d’« un outil pédagogique pour pouvoir libérer plus facilement la parole ». Ce n’est pas ce qu’en pensent ses petits camarades Insoumis, tels Alexis Corbière ou Adrien Quatennens, qui ont condamné l’initiative.

Jean-Luc Mélenchon, lui, a toujours refusé de désavouer publiquement Danièle Obono, qui avait déjà fait parler d’elle pour avoir défendu la porte-parole des Indigènes de la République ou refusé de voir une radicalisation chez un chauffeur de bus qui ne prendrait pas le volant à la suite d’une femme. « Danièle Obono est une amie combattante. Elle est parfaitement claire, dans ses positions politiques et sur la laïcité », affirmait même l’ex-candidat à la présidentielle dans Le Parisien le 24 novembre. Ce qui n’empêche visiblement pas quelques échanges houleux entre camarades sur les bancs de l’Assemblée...

https://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20131015.OBS1102/marche-des-beurs-on-s-est-dit-ras-le-bol-passons-a-l-action.html

 

selon un sondage Opinion Way pour la Licra réalisé début octobre, seuls 19% des Français se souviennent de son existence. D'où la volonté de certains de mettre en place, cette fois, davantage d'initiatives autour de son trentième anniversaire. Expositions, livres, film,... Ou alors, encore, la "Caravane de la mémoire", tour de France du collectif AC-Lefeu créé à Clichy-sous-Bois après les émeutes de 2005. Ses objectifs : rencontrer les jeunes des quartiers populaires et leur transmettre l'histoire des "luttes initiées dans les quartiers", voir inscrite la marche dans les manuels scolaires, et aussi appeler à voter pour tenter de "limiter la montée du FN".

Le gouvernement a quant à lui débloqué 455.000 euros pour financer 70 actions commémoratives (colloques, rencontres, ...). "Il s'agit de rappeler l'histoire, mais aussi de réfléchir sur l'intégration", selon le ministre délégué à la Ville François Lamy.

 

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Rien n'est renié mais la Licra à l'époque ne parlait pas plus de racisme d'état si ?

Vous pourriez aussi trouver des pancartes CRS SS de l'époque et alors ?

Le jour où Mitterrand a loupé le coche...

Il y a 19 heures, DroitDeRéponse a dit :

Rien n'est renié mais la Licra à l'époque ne parlait pas plus de racisme d'état si ?

Je ne sais pas, mais en 1983, Malik Lounès, futur président de la Licra et de SOS racisme, défilait derrière des banderoles dénonçant le racisme d'état.

Maintenant, la Licra et SOS racisme affirment sans rire qu'il n'y a ni racisme d'état, ni racisés en France.

Eh mais... Edulcorer les faits, disqualifier les victimes, c'est... un truc de racistes!

Tout le monde s'accuse de racisme ou d'antisémitisme à tort et à travers. Le confusionnisme a bien fait son boulot, ça sent pas bon l'avenir.

il y a 17 minutes, gloup-gloup a dit :

Je ne sais pas, mais en 1983, Malik Lounès, futur président de la Licra et de SOS racisme, défilait derrière des banderoles dénonçant le racisme d'état.

Maintenant, la Licra et SOS racisme affirment sans rire qu'il n'y a ni racisme d'état, ni racisés en France.

Eh mais... Edulcorer les faits, disqualifier les victimes, c'est... un truc de racistes!

Tout le monde s'accuse de racisme ou d'antisémitisme à tort et à travers. Le confusionnisme a bien fait son boulot, ça sent pas bon l'avenir.

La marche pour l'égalité et contre le racisme n'avait pas grand chose à voir avec les théories racistes du PIR .

Il y a 1 heure, gloup-gloup a dit :

Je ne sais pas, mais en 1983, Malik Lounès, futur président de la Licra et de SOS racisme, défilait derrière des banderoles dénonçant le racisme d'état.

Maintenant, la Licra et SOS racisme affirment sans rire qu'il n'y a ni racisme d'état, ni racisés en France.

Eh mais... Edulcorer les faits, disqualifier les victimes, c'est... un truc de racistes!

Tout le monde s'accuse de racisme ou d'antisémitisme à tort et à travers. Le confusionnisme a bien fait son boulot, ça sent pas bon l'avenir

C'est marrant d'entendre des français se plaindre de la non mixité. 

Parce qu'à l'étranger, il y a beaucoup de réunions entre français expatriés seulement (ou alors des occidentaux d'autres pays à la limite, et les nanas, locales de préférence cette fois ) , et pas beaucoup de réunions mixtes avec les locaux. Et  plus on monte, plus c'est comme ça. Là ça gêne personne. 

En fait les réunions non mixtes me gênent pas, et je pense qu'on ne peut comprendre leur utilité que lorsqu'on reste longtemps dans un pays. 

Il y a 8 heures, zebusoif a dit :

En fait les réunions non mixtes me gênent pas, et je pense qu'on ne peut comprendre leur utilité que lorsqu'on reste longtemps dans un pays. 

La non-mixité a fait la preuve de sa pertinence dans les mouvements féministes et antiracistes depuis longtemps. Je pense que ce qui fait vraiment chier Blanquer, c'est l'expression "racisme d'état". C'est d'ailleurs à ce sujet qu'il a porté plainte.

Le mot "racisé" passe mal également car il nomme une minorité qui ne rentre dans aucune case prévue par la société. Ce ne sont pas des arabes, ni des noirs, ni des non-blancs, mais des victimes du racisme.

Une telle minorité qui a l'outrecuidance de s'organiser pour défendre ses droits sort de la place de victime consentante et muette que la société lui assigne. Elle est donc perçue à juste titre comme subversive.

Face à ce phénomène, la bonne vieille technique réac consiste à calomnier pour discréditer, mais aussi pour faire diversion.

Les victimes de violences policières deviennent ainsi des casseurs ou des délinquants. Les féministes, des lesbiennes hystériques coupeuses de testicules. Les grévistes, des fouteurs de bordel ou des preneurs d'otages. Les victimes de harcèlement et d'agressions sexuelles, d'ignobles délatrices.

Et les victimes du racisme, des racistes anti-blancs.

L'existence des ateliers non mixtes sert de justification branlante à cette accusation inepte. Mais la solidité de l'accusation importe peu. Ce qui compte, c'est que pendant qu'on se demande si la non-mixité est révélatrice d'un racisme, on ne se demande pas pourquoi des français se sentent racisés dans leur propre pays.

Le 24/11/2017 à 21:59, DroitDeRéponse a dit :

 

Au menu sur fond de l'éducation nationale :

 

http://www.licra.org/scandale-de-non-mixite

 

Le syndicat Sud Education de Seine-Saint-Denis organise en décembre prochain une journée de formation sur « l’antiracisme » (sic) avec le CCIF et les compagnons de route des Indigènes de la République. Au programme « Racisme d’Etat » et des ateliers « en non-mixité ». Mais surtout une table-ronde « Qu’est-ce qu’un élève racisé ? » et un focus sur « les enseignants racisés ? » et les « postures dominantes » des « enseignants blancs »…

La LICRA a vivement réagi à cette initiative en indiquant dans un communiqué : « Il n’existe pas, d’« élèves racisés » en France, qu’il faudrait apprendre à définir et à reconnaître ! Encore moins « d’enseignants racisés » qui constitueraient un sous-groupe au sein de l’Education Nationale ! Il n’existe que des élèves. Il n’existe que des fonctionnaires. Nous refusons d’étiqueter les enfants des écoles de la République et leurs enseignants en fonction de critères dignes d’une exposition coloniale. Le mot « racisé » est une résurgence raciste qui vise à assigner à des groupes une identité victimaire. Nous devons en combattre la diffusion et la prolifération dans la société. Il porte en lui la division et le rejet de l’autre. »

En réponse le syndicat Sud Education a défendu son initiative en inscrivant son action dans une continuité tout à fait éclairante : « Après deux journées d’études sur l’intersectionnalité interdites aux enseignant-es à Créteil en mai dernier, après un colloque sur l’islamophobie censuré à Lyon en septembre, c’est au tour d’un stage organisé par Sud Éducation 93 de susciter la vindicte de la fachosphère ». 

 

Pour en savoir plus sur la papesse de la blanchité , du décolonialisme ,et du racisme d'état

 

@grandfred ils ont bouffé quoi à Sud ?

 

il y a 55 minutes, gloup-gloup a dit :

La non-mixité a fait la preuve de sa pertinence dans les mouvements féministes et antiracistes depuis longtemps. Je pense que ce qui fait vraiment chier Blanquer, c'est l'expression "racisme d'état". C'est d'ailleurs à ce sujet qu'il a porté plainte.

Le mot "racisé" passe mal également car il nomme une minorité qui ne rentre dans aucune case prévue par la société. Ce ne sont pas des arabes, ni des noirs, ni des non-blancs, mais des victimes du racisme.

Une telle minorité qui a l'outrecuidance de s'organiser pour défendre ses droits sort de la place de victime consentante et muette que la société lui assigne. Elle est donc perçue à juste titre comme subversive.

Face à ce phénomène, la bonne vieille technique réac consiste à calomnier pour discréditer, mais aussi pour faire diversion.

Les victimes de violences policières deviennent ainsi des casseurs ou des délinquants. Les féministes, des lesbiennes hystériques coupeuses de testicules. Les grévistes, des fouteurs de bordel ou des preneurs d'otages. Les victimes de harcèlement et d'agressions sexuelles, d'ignobles délatrices.

Et les victimes du racisme, des racistes anti-blancs.

L'existence des ateliers non mixtes sert de justification branlante à cette accusation inepte. Mais la solidité de l'accusation importe peu. Ce qui compte, c'est que pendant qu'on se demande si la non-mixité est révélatrice d'un racisme, on ne se demande pas pourquoi des français se sentent racisés dans leur propre pays.

 

Moi ce qui m'étonne dans ces ateliers c'est depuis quand sur fond public les syndicats sont supposés donner les bonnes pratiques à appliquer dans l'école de la République .

Depuis quand est au programme l'enseignement de l'histoire décoloniale ? Depuis quand les enseignants ont pour mission de déconstruire sans la tutelle de l'EN et des parents d'élèves ?

Après si les enseignants dominants souhaitent interroger leur blanchité après tout c'est leur problème mais pourquoi sur fond public ?

Perso je vois là une atteinte au principe de laïcité puisqu'à l'évidence un syndicat entend enseigner à nos enfants , pour reprendre le PIR je devrai même dire rééduquer .

Il y a 10 heures, zebusoif a dit :

C'est marrant d'entendre des français se plaindre de la non mixité. 

Parce qu'à l'étranger, il y a beaucoup de réunions entre français expatriés seulement (ou alors des occidentaux d'autres pays à la limite, et les nanas, locales de préférence cette fois ) , et pas beaucoup de réunions mixtes avec les locaux. Et  plus on monte, plus c'est comme ça. Là ça gêne personne. 

En fait les réunions non mixtes me gênent pas, et je pense qu'on ne peut comprendre leur utilité que lorsqu'on reste longtemps dans un pays. 

Je ne vois pas le rapport entre des gens qui sont dans un autre pays dont ils ne demandent pas à devenir citoyens et ce dont on parle où l'on se trouve avec des citoyens du dit pays qui choisissent de chercher à véhiculer des pensées politiques excluantes sous couvert de droit syndical....le tout payé par les impots de leurs concitoyens.

Vous faites le méme paralléle inapproprié que si on comparait un 14 juillet en France réservé aux blancs dans une ville avec une féte à Londres entre français de l'étranger pour féter cet événement.....et encore, les derniers recevraient des londoniens sans soucis.

Il y a 6 heures, coucoucou a dit :

Vous faites le méme paralléle inapproprié que si on comparait un 14 juillet en France réservé aux blancs dans une ville avec une féte à Londres entre français de l'étranger pour féter cet événement.....et encore, les derniers recevraient des londoniens sans soucis.

Là c'est vraiment inapproprié, comme je te l'ai dit si ce sont des occidentaux comme les londoniens pas de problème. 

Il y a 6 heures, coucoucou a dit :

Je ne vois pas le rapport entre des gens qui sont dans un autre pays dont ils ne demandent pas à devenir citoyens et ce dont on parle où l'on se trouve avec des citoyens du dit pays qui choisissent de chercher à véhiculer des pensées politiques excluantes sous couvert de droit syndical....le tout payé par les impots de leurs concitoyens.

Ils vivent dans un pays, profitent des infrastructures présentes, des hôpitaux, de l'éducation parfois même, et ils excluent les locaux (surtout masculins) tu trouves ça normal ?

C'est vrai que les locaux sont pas explicitement exclus, mais personne leur parle. Leur présence fait chier pas mal de français parce qu'ils sont obligés de tenir leur langue (quoi que certains ont pas beaucoup de retenue ) et de garder leurs critiques et parfois même leur haine des locaux. Sacrés français. 

Mais pour revenir à ces réunions où certains sont exclus, je suis pas contre, du moment que c'est pour parler de problématiques propres au groupe qui se réunit : problème de racisme pour certains, problème de visa pour d'autres, etc... 

Les gens ont besoin de se réunir et de parler de leur propre problème sans interférence extérieure, parfois 

il y a 33 minutes, zebusoif a dit :

Mais pour revenir à ces réunions où certains sont exclus, je suis pas contre, du moment que c'est pour parler de problématiques propres au groupe qui se réunit : problème de racisme pour certains, problème de visa pour d'autres, etc... 

Les gens ont besoin de se réunir et de parler de leur propre problème sans interférence extérieure, parfois 

Comment enseigner l'histoire decoloniale n'est pas une problématique propre au groupe , ca n'est d'ailleurs pas de son ressort . Sud ou les fonctionnaires n'ont pas vocation à rééduquer les francais

L'entrisme est à proscrire.

il y a 24 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Comment enseigner l'histoire decoloniale n'est pas une problématique propre au groupe , ca n'est d'ailleurs pas de son ressort . Sud ou les fonctionnaires n'ont pas vocation à rééduquer les francais

L'entrisme est à proscrire.

C'est bien que les gens puissent parler de racisme dont ils sont victimes, entre eux. Moi je suis blanc qu'est ce que j'aurais à faire là ? Être victime de racisme ce n'est pas une situation qui m'arrive souvent (parfois le racisme de classe)

M'enfin c'est vrai, l'état n'a pas à subventionner quelque chose de non mixte

Il y a 11 heures, DroitDeRéponse a dit :

Moi ce qui m'étonne dans ces ateliers c'est depuis quand sur fond public les syndicats sont supposés donner les bonnes pratiques à appliquer dans l'école de la République .

Il y a 11 heures, DroitDeRéponse a dit :

Depuis quand est au programme l'enseignement de l'histoire décoloniale ? Depuis quand les enseignants ont pour mission de déconstruire sans la tutelle de l'EN et des parents d'élèves ?

Après si les enseignants dominants souhaitent interroger leur blanchité après tout c'est leur problème mais pourquoi sur fond public ?

Perso je vois là une atteinte au principe de laïcité puisqu'à l'évidence un syndicat entend enseigner à nos enfants , pour reprendre le PIR je devrai même dire rééduquer .

Le droit syndical permet aux agents publics d'exercer une activité syndicale sur leur temps de travail. Rien de bien scandaleux là-dedans. Le syndicat Sud-Education ne reçoit pas d'argent public, il fonctionne grâce aux cotisations de ses adhérents.

Un syndicat, fût-il un syndicat d'enseignants n'est pas au service de l'employeur ni tenu à une neutralité politique. De plus un atelier syndical n'est pas un cours donné aux élèves. Le choix des sujets et des intervenants relève donc uniquement du syndicat, pas de l'EN ni des parents d'élèves.

Ou alors l'EN et la FCPE doivent vérifier que  tout enseignant a une pensée politique conforme aux programmes, même en dehors des cours?

Il y a 2 heures, zebusoif a dit :

C'est bien que les gens puissent parler de racisme dont ils sont victimes, entre eux. Moi je suis blanc qu'est ce que j'aurais à faire là ? Être victime de racisme ce n'est pas une situation qui m'arrive souvent (parfois le racisme de classe)

Aujourd'hui  tout le monde est victime du racisme, les habitants qui ne pouvaient acheter du porc ou du vin dans la supérette (Hauts-de-Seine) devenue presque exclusivement "halal"  condamnée à fermer, étaient aussi victimes du racisme religieux musulman.

Le communautarisme, via couleur de peau ou religion, cela ne fait que diviser toujours plus les gens .

il y a 32 minutes, Anatole1949 a dit :

Aujourd'hui  tout le monde est victime du racisme, les habitants qui ne pouvaient acheter du porc ou du vin dans la supérette (Hauts-de-Seine) devenue presque exclusivement "halal"  condamnée à fermer, étaient aussi victimes du racisme religieux musulman.

 

 

mais ça c'est rien, je suis d'accord que c'est chiant, mais le racisme c'est bien plus grave. Il y en a ici qui pensent que ceux dans le besoin devraient renoncer à leurs allocs, et après ils se plaignent de petites choses comme ça.

Non franchement les manifestations du racisme c'est bien plus grave que ça.

il y a 9 minutes, zebusoif a dit :

mais ça c'est rien, je suis d'accord que c'est chiant, mais le racisme c'est bien plus grave. Il y en a ici qui pensent que ceux dans le besoin devraient renoncer à leurs allocs, et après ils se plaignent de petites choses comme ça.

Non franchement les manifestations du racisme c'est bien plus grave que ça.

m

à l’instant, Anatole1949 a dit :

Mais c'est déjà du racisme qui basée sur une croyance et ce que tu considère comme " mais ça c'est rien ", ne fait que diviser et encourager le communautarisme forcené.

il y a 2 minutes, Anatole1949 a dit :

 

 

c'est rien par rapport au type qui a faillit crever au travail, et que le patron traite de tous les noms et comme une merde, parce que l'accidenté veut prendre quelques jours de repos, on est d'accord ?

Il y a 6 heures, zebusoif a dit :

C'est bien que les gens puissent parler de racisme dont ils sont victimes, entre eux. Moi je suis blanc qu'est ce que j'aurais à faire là ? Être victime de racisme ce n'est pas une situation qui m'arrive souvent (parfois le racisme de classe)

Expliquer comment enseigner l'histoire decoloniale , ce n'est pas "entre eux".

Combuen de fois faut il que je poste le programme ?

Sud entend je cite , modifier la société , et patin couffin font entre eux des réunions pour expliquer comment l'histoire decoloniale doit être enseigné à nos enfants , le tout avec nos impots , tu ne vois pas où est le probleme moi si . L'école n'est pas une plateforme de rééducation du blanc pour reprendre l'expression de Bouteldja . Apres si des réunions type alcooliques anonymes ont lieu en non mixte pas de souci , mais eux ne prétendent pas à un droit de comment enseigner l'histoire decoloniale .

à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Expliquer comment enseigner l'histoire decoloniale , ce n'est pas "entre eux".

Combuen de fois faut il que je poste le programme ?

Sud entend je cite , modifier la société , et patin couffin font entre eux des réunions pour expliquer comment l'histoire decoloniale doit être enseigné à nos enfants , le tout avec nos impots , tu ne vois pas où est le probleme moi si . L'école n'est pas une plateforme de rééducation du blanc pour reprendre l'expression de Bouteldja . 

ça dépend, on peut aussi vouloir que l'histoire décoloniale soit enseignée autrement, moi je trouve pas que ce soit une si mauvaise idée, bien sûr il faut un oeil citoyen là-dessus, des débats