Guérir de son chagrin d'amour

Salut.

Seuls ceux qui l'ont vécus sauront comprendre les significations de ces mots . un état d'esprit peu compréhensible. Pourtant il est très simple de le convertir en une situation raisonable. Connections neureunales.Sécrétions d'ormones.L'aprehendez vous.dites.

Euh... 

et surtout bien le noyer.

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Il y a 12 heures, Jedisalem a dit :

Salut.

Seuls ceux qui l'ont vécus sauront comprendre les significations de ces mots . un état d'esprit peu compréhensible. Pourtant il est très simple de le convertir en une situation raisonable. Connections neureunales.Sécrétions d'ormones.L'aprehendez vous.dites.

 

Clair comme de l'eau de boudin, je capitule d'avance

Je n'ai jamais eu de chagrin d'amour. J'ai toujours considéré qu'avoir vécu une relation amoureuse était une chance et que sa fin était simplement le début d'autre chose. En même temps je ne me suis jamais vraiment faite rejeter. Mais je pense que j'ai un mode de fonctionnement qui m'en met plutôt à l'abri. Puisque je ne cherche jamais à conquérir, je me contente de fréquenter quelqu'un qui le souhaite vraiment. Je ne suis spontanément jamais attirée par ceux qui ne s'intéressent pas ou plus à moi.

Il y a 17 heures, Jedisalem a dit :

Salut.

Seuls ceux qui l'ont vécus sauront comprendre les significations de ces mots . un état d'esprit peu compréhensible. Pourtant il est très simple de le convertir en une situation raisonable. Connections neureunales.Sécrétions d'ormones.L'aprehendez vous.dites.

Cela vient, principalement de la culture et de l'éducation !

J'ai appris depuis quelques temps, qu'un chaton qui était régulièrement pris dans les bras humains, n'avait pas peur d'eux et était plutôt affectueux, alors qu'un autre, que personne n'aura pris dans les bras, sera agressif et ne voudra pas être touché !

Donc, cela dépend, de la période où on était tout petit et dont on s'occupait de nous, l'attention qu'on recevait, si on n'était unique ou avec frère et soeur, etc...

Il y a des gens qui agissent comme des désespérés vis à vis de l'amour, qui la désirent, la réclament, en dépendent, etc...

Alors que pour d'autres, c'est une sorte d'acceptation, d'essai, de tentative, d'expérience, si ça ne fonctionne pas, on arrête et passe à autre chose !

Le pire c'est quand le premier s'intéresse au second, là le premier souffrira sans comprendre et l'autre ne comprendra pas pourquoi on s'accroche tant que ça.

Il y a 3 heures, sirielle a dit :

Je n'ai jamais eu de chagrin d'amour. J'ai toujours considéré qu'avoir vécu une relation amoureuse était une chance et que sa fin était simplement le début d'autre chose. En même temps je ne me suis jamais vraiment faite rejeter. Mais je pense que j'ai un mode de fonctionnement qui m'en met plutôt à l'abri. Puisque je ne cherche jamais à conquérir, je me contente de fréquenter quelqu'un qui le souhaite vraiment. Je ne suis spontanément jamais attirée par ceux qui ne s'intéressent pas ou plus à moi.

Je commence à assembler les pièces du puzzle, à force de lire tes différentes réponses...

C'est fou ce décalage et cette vision des choses ?! Tu dis aimer, mais tu ne souffres pas et tu passes à autre chose quasi en pensant qu'il s'agit d'une opportunité.

Donc en gros, pour toi, une relation amoureuse ne représentera jamais un risque. Comme Catwoman qui aurait en permanence à plan B pour se sortir de la situation sans que ça ne lui laisse une quelconque marque.

il y a une heure, pep-psy a dit :

Je commence à assembler les pièces du puzzle, à force de lire tes différentes réponses...

C'est fou ce décalage et cette vision des choses ?! Tu dis aimer, mais tu ne souffres pas et tu passes à autre chose quasi en pensant qu'il s'agit d'une opportunité.

Donc en gros, pour toi, une relation amoureuse ne représentera jamais un risque. Comme Catwoman qui aurait en permanence à plan B pour se sortir de la situation sans que ça ne lui laisse une quelconque marque.

Je peux souffrir par compassion si quelqu'un que j'aime souffre. En revanche je ne souffre pas des séparations amoureuses car normalement elles sont suffisamment justifiables, même implicitement. Et je n'ai jamais vraiment souffert de trop de célibat car il est généralement assez facile d'être en couple. Par contre j'ai déjà souffert de conflits de couple, ce qui peut représenter un risque bien que j'essaie d'être assez conciliante, mais il ne s'agissait pas de "chagrins d'amour" dans le sens où je n'ai pas souffert des ruptures. 

Il y a 12 heures, sirielle a dit :

Je n'ai jamais eu de chagrin d'amour. J'ai toujours considéré qu'avoir vécu une relation amoureuse était une chance et que sa fin était simplement le début d'autre chose. En même temps je ne me suis jamais vraiment faite rejeter. Mais je pense que j'ai un mode de fonctionnement qui m'en met plutôt à l'abri. Puisque je ne cherche jamais à conquérir, je me contente de fréquenter quelqu'un qui le souhaite vraiment. Je ne suis spontanément jamais attirée par ceux qui ne s'intéressent pas ou plus à moi.

Peut être que tu n'as jamais aimé assez fort   , cette idée que la vie n'est plus sans lui/elle !

Quand tu as un chagrin d'amour c'est la fin ...point !

Il y a 1 heure, ZANHARIBO a dit :

Peut être que tu n'as jamais aimé assez fort   , cette idée que la vie n'est plus sans lui/elle !

Quand tu as un chagrin d'amour c'est la fin ...point !

 

 

Si j'ai été vraiment amoureuse plusieurs fois. (Rares sont les gens à mon avis qui n'ont jamais été amoureux à mon âge) Mais quand j'aime quelqu'un pour moi le principal c'est qu'il aille bien, pas qu'il m'appartienne. Et comme justement je peux aimer relativement facilement, d'autres hommes que je peux rencontrer, même s'ils sont différents, peuvent avoir autant de valeur à mes yeux. Et puis j'ai une vie qui me plait assez pour aller bien quand même dans un tel cas, voire considérer que c'était une décision justifiée puisque j'ai rompu plusieurs fois avec des hommes que j'ai pourtant vraiment aimés. Mais encore une fois, je n'ai en revanche jamais été vraiment rejetée, donc je n'ai pas vécu cette difficulté là par contre. Je ne juge pas pour autant ceux qui ont souffert d'une rupture, chacun sa vie et ses sentiments.

à l’instant, sirielle a dit :

Si j'ai été vraiment amoureuse plusieurs fois. Mais quand j'aime quelqu'un pour moi le principal c'est qu'il aille bien, pas qu'il m'appartienne. Et comme justement je peux aimer facilement, les autres hommes que je peux rencontrer, même s'ils sont différents, peuvent avoir autant de valeur à mes yeux. 

Peut être qu'un jour il y aura UN homme que tu aimeras plus que d'autres et que même son bonheur après toi ne te consoleras pas . Enfin je ne te souhaites pas de souffrir ce n'est pas ce je veux dire mais que bien souvent cela se passe comme ça !

Il y avait eux et il y a eu lui !

il y a 50 minutes, sirielle a dit :

Si j'ai été vraiment amoureuse plusieurs fois. Mais quand j'aime quelqu'un pour moi le principal c'est qu'il aille bien, pas qu'il m'appartienne. Et comme justement je peux aimer relativement facilement, d'autres hommes que je peux rencontrer, même s'ils sont différents, peuvent avoir autant de valeur à mes yeux. Et puis j'ai une vie qui me plait assez pour aller bien quand même dans un tel cas, voire considérer que c'était une décision justifiée puisque j'ai rompu plusieurs fois avec des hommes que j'ai pourtant vraiment aimés. Mais encore une fois, je n'ai en revanche jamais été vraiment rejetée, donc je n'ai pas vécu cette difficulté là par contre. 

On a chacun/ne des façons différentes de vivre une rupture, chacun/ne sa sensibilité...

Je n’y vois pas de notion de possession de l’autre mais la fin d’une histoire, une sorte de dématérialisation de l’amour. 

C’est douloureux quelque part de se dire qu’on ne le sentira plus dans tous les sens du terme, ne partagera plus rien avec lui, etc... 

A mon sens, ça n’est pas en lien avec le fait d’etre autonome, d’avoir une vie bien remplie qui nous plait à la base sans cet autre. 

On passe par une phase pendant laquelle le manque est cruel, on ressent un vide dans sa vie même si la rupture était nécessaire et que cet état est provisoire. 

Pour répondre à la question de la guérison... il y a diverses étapes. Même si c’est d’une banalité déconcertante, il est dit que seul le temps peut faire son œuvre. Et je rajouterai aussi un peu beaucoup la volonté d’en sortir de ce fichu chagrin ! 

il y a une heure, ZANHARIBO a dit :

Peut être qu'un jour il y aura UN homme que tu aimeras plus que d'autres et que même son bonheur après toi ne te consoleras pas . Enfin je ne te souhaites pas de souffrir ce n'est pas ce je veux dire mais que bien souvent cela se passe comme ça !

Il y avait eux et il y a eu lui !

Je crois que c'est impossible. Ce n'est pas dans mon tempérament quel que soit l'homme et quels que soient mes sentiments pour lui. 

il y a 24 minutes, Yokkie a dit :

On a chacun/ne des façons différentes de vivre une rupture, chacun/ne sa sensibilité...

Je n’y vois pas de notion de possession de l’autre mais la fin d’une histoire, une sorte de dématérialisation de l’amour. 

C’est douloureux quelque part de se dire qu’on ne le sentira plus dans tous les sens du terme, ne partagera plus rien avec lui, etc... 

A mon sens, ça n’est pas en lien avec le fait d’etre autonome, d’avoir une vie bien remplie qui nous plait à la base sans cet autre d’ordinaire.

On passe par une phase pendant laquelle le manque est cruel, on ressent un vide dans sa vie même si la rupture était nécessaire et que cet état est provisoire. 

 

Oui je comprends. Des personnes m'ont déjà manquées dans un autre contexte, en revanche les séparations avaient des causes différentes beaucoup plus douloureuses pour moi. Par rapport à des décès ou parce que leur situation était inquiétante par exemple. En tout cas je sais qu'on peut aimer quelqu'un et s'adapter facilement à la rupture quand même. Je suppose que ça dépend aussi de ce qu'on espérait ou pas de cette relation puisqu'il est question de frustration.

Il y a 8 heures, sirielle a dit :

Je crois que c'est impossible. Ce n'est pas dans mon tempérament quel que soit l'homme et quels que soient mes sentiments pour lui. 

Tu n'as pas connu tous les hommes... Mais en te lisant, je sais qu'effectivement, je suis d'accord avec ce que les autres te répondent.

La manière dont tu écris et je sais que tu choisis parfaitement tes mots, démontre que tu as une certaine facilité à la rencontre et que tu restes tant que l'histoire te convient.

Mais je serais très curieux de voir comment tu agis, comment tu t'investis, comment tu te comportes, lorsque tu es dans une relation, dites, amoureuse ?

Tu as une faculté qui, à mes yeux, est inquiétante, car tu as toujours une distance avec la relation. Tu as conscience qu'elle existe et tu t'en "occupes", mais tu n'es pas dans la relation dans le sens émotionnel du terme.

Alors soit il s'agit d'une cassure ancienne qui t'en empêche, cassure qui ne viendrait pas forcément d'une de tes histoires amoureuses, mais peut-être juste d'un souvenir d'affection brisée, par exemple.

Tu connais les hommes, tu sais ce qu'est la féminité, tu as l'air à l'aise en société, éduquée, intelligente, etc... Mais, de mon ressenti au travers de tes écrits, tu es plutôt froide intérieurement et cette température intérieure semble parfaitement te convenir.

Quel bilan tires-tu de tes expériences amoureuses dans leur ensemble ?

En arriverais-tu à vouloir vivre seul, parce que sans pression ou imposition ?

Personnellement, je m'attache et m'investis profondément dans une relation, bien entendu, il faut que la motivation soit là, que la personne que je rencontre soit incroyable, géniale, top, super, etc...

Mais quand une relation se termine, pour moi, une relation dans laquelle je me suis investi, c'est douloureux, parce que je me focalise sur les souvenirs, le temps qui a passé, les bons moments, les endroits, les évènements, etc...

Difficile de m'intéresser à quelqu'un d'autre !

Il m'est aussi arrivé de quitter quelqu'un, mais même dans l'histoire suivante, je conserve des pensées et me montre prêt à aider, soutenir en cas de problème, la femme que j'aurais quittée !

Mais ce qui compte, sirielle, c'est que tu aies trouvé un équilibre qui te convienne et une vie dans laquelle tu ne ressentes pas de manque particulier et pesant.

Moi aussi j'ai gardé plusieurs contacts. Et j'ai eu deux relations de plusieurs années avec des hommes avec qui j'ai habité, et aussi des relations plus courtes. J'ai dans certains cas refréquenté des ex aussi. J'aime bien sûr parfois les souvenirs qui me reviennent, mais en revanche que j'aime ces souvenirs est positif à mes yeux, et ma vie n'en est pas moins belle, au contraire. 

Ma vie amoureuse a été riche de sentiments et de rencontres je dirais (de tolérance aussi). Elle a commencé tôt et a toujours eu une place très importante dans ma vie. Je me suis beaucoup investie pour ça, pour essayer de représenter quelqu'un de positif pour les hommes qui s'intéressaient à moi, qu'ils n'aient pas de regrets de m'avoir connue, et qu'ils puissent penser à moi plutôt avec un sourire.

J'ai aussi rencontré des hommes et plus globalement des personnes ayant beaucoup de mal à supporter les ruptures. Contrairement à ce qu'on pourrait penser ce n'était pas forcément les plus aimants dans l'ensemble (bien qu'ils l'aient été quand même bien sûr).

Le 04/10/2017 à 09:12, sirielle a dit :

Je n'ai jamais eu de chagrin d'amour. J'ai toujours considéré qu'avoir vécu une relation amoureuse était une chance et que sa fin était simplement le début d'autre chose. En même temps je ne me suis jamais vraiment faite rejeter. Mais je pense que j'ai un mode de fonctionnement qui m'en met plutôt à l'abri. Puisque je ne cherche jamais à conquérir, je me contente de fréquenter quelqu'un qui le souhaite vraiment. Je ne suis spontanément jamais attirée par ceux qui ne s'intéressent pas ou plus à moi.

Ça c'est une démarche cohérente.....

Le 03/10/2017 à 19:20, Jedisalem a dit :

Salut.

Seuls ceux qui l'ont vécus sauront comprendre les significations de ces mots . un état d'esprit peu compréhensible. Pourtant il est très simple de le convertir en une situation raisonable. Connections neureunales.Sécrétions d'ormones.L'aprehendez vous.dites.

 

Bonjour Jedisalem, poigne de mains.

Oui j'ai eu des chagrins d'amour, oui j'en ai fait des chagrins d'amours.

C'est plus a mon age que l'on en a, même en imaginant que je puisse en avoir un autre, cela ne regarderai que moi, la fille ne serai même pas que je l'ai aimé un instant, je deviens d'une pudeur de pucelle. De plus ça me dérange pas ça fait parti de la vie, comme du jeu.

Le 04/10/2017 à 12:55, pep-psy a dit :

J'ai appris depuis quelques temps, qu'un chaton qui était régulièrement pris dans les bras humains, n'avait pas peur d'eux et était plutôt affectueux, alors qu'un autre, que personne n'aura pris dans les bras, sera agressif et ne voudra pas être touché !

Tout exemple emmène un contre-exemple, moi dans le cas présent.

En suivant ton raisonnement, si depuis mon plus jeune âge j'avais reçu un trop plein d'affection et ce jusqu'à aujourd'hui alors je ne pourrais pas me remettre d'une rupture et d'un état de solitude car trop habitué à cette dépendance affective.

Inversement, si j'avais toujours vécu dans la solitude je considérais une relation amoureuse comme une expérience et je continuerais mon chemin si ça devait échouer.

Hors, Si j'ai toujours vécu dans une famille aimante on ne peut pas dire que les gestes affectifs aient été le fort de mes parents et j'ai jusqu'à encore ce début d'année énormément souffert de la solitude, aujourd'hui j'ai une petite amie mais entre nous je ne m'en remettrais pas si elle m'abandonnait parce que justement cette solitude je ne veux plus jamais la revivre.

Chaque être humain agit en fonction de son passif et de son approche de la vie, ce qu'il lui est supportable ou non.

On dit que l'homme s'adapte à tout et même aux pires situations, moi j'en dis qu'il est des choses qui peuvent rendre fou.

S’attacher profondément à une personne et la perdre, que peut-il bien y avoir de plus douloureux ?

Je ne regrette pas de mettre attaché à ma copine, dans être tombé amoureux, je crains juste le jour où je vais la perdre.

Dans ce genre de cas, difficile de penser qu'il existe un remède miracle, la douleur ne disparaît pas même avec le temps.

Je suppose aussi qu'il doit être plus facile de passer à autre chose quand on a connu plusieurs personnes dans sa vie, mais quand on en a connu qu'une seule et qu'il n'y a qu'elle qui se soit intéressée à nous je vois mal comment on pourrait s'en remettre.