Les réseaux sociaux sont ils entrain de mourir.

il y a 40 minutes, Anatole1949 a dit :

Moi je tape infos culturelles (ou autres) de ma région ou ville et j'ai tout...

On peut aussi passer par là, mais facebook rassemble tous. Ta région, ta ville, tes salles de concerts, des groupes de musiques préférés sont tous sur facebook. 

il y a une heure, Timo-I a dit :

Ca aide quand même beaucoup.

Surtout si en plus, c'est un événement qui ne se passe pas à côté de chez toi.

Et pour certaines soirées, ce serait encore pire, sans facebook ou twitter, tu passerais tout simplement à côté, même si c'est dans ta ville.

 

===================

 

Bon et sinon moi je ne trouve pas que c'est en train de mourir, au contraire c'est de plus en plus en train de se développer.

Snapchat, j'avoue que si tu n'as pas d'amis très proches, cette application ne te servirait à rien. C'est pour ça d'ailleurs que je l'ai supprimé. ^^

Facebook et twitter, pour moi c'est indispensable. Plus facebook que twitter, twitter pour moi, c'est juste pour le plaisir.

Il est clair que l'utilisation que j'en fais est plus ou moins mauvaise. Cependant j'ai quand même un compte facebook où j'ai mes amis mais j'en ai aussi un autre pour une moins bonne utilisation. Mais j'assume.

 

http://www.lepoint.fr/economie/les-jeunes-americains-se-detournent-de-facebook-pour-instagram-et-snapchat-22-08-2017-2151568_28.php

Que les réseaux crèvent, d' autant plus s' ils s' avèrent virtuels, rien de plus réjouissant que de se socialiser seul contre tous en homme authentique, dans cette autant savoureuse que cruelle arène de l' IRL...

Il y a 11 heures, Timo-I a dit :

Bon et sinon moi je ne trouve pas que c'est en train de mourir, au contraire c'est de plus en plus en train de se développer.

et comment on aurait pu communiquer sinon sur Facebook pour exprimer notre rage après les attentats de 2015 ? Ici, on a eu des dizaines de pages. Les gens vont sur les réseaux sociaux pour dire ce qu'ils pensent sinon ils n'ont aucun relais. Les réseaux sociaux sont un contre-pouvoir. Le problème est que du coup on découvre la bassesse, la vulgarité et pire, la haine.

Hallucinant le vide des esprits, les insultes, l'inculture de beaucoup, mais on peut trier, je lis les journaux, je ne vais pas voir ce que pense une artiste, bref pas d'Instagram ou de Twitter, j'ai vite vu le niveau déplorable.

il y a une heure, nerelucia a dit :

Les gens vont sur les réseaux sociaux pour dire ce qu'ils pensent sinon ils n'ont aucun relais. Les réseaux sociaux sont un contre-pouvoir.

Lors de chaque évènement ou décision importants, nos dirigeants prennent connaissance des réactions sur les réseaux sociaux.

Les médias informent aussi de ces mêmes réactions.

Ces réseaux sont entrés dans la "sphère publique", mais un certain recul reste nécessaire pour ne pas se laisser "bouffer" par ces déferlantes d'infos et d'opinions.

il y a 11 minutes, versys a dit :

Lors de chaque évènement ou décision importants, nos dirigeants prennent connaissance des réactions sur les réseaux sociaux.

Les médias informent aussi de ces mêmes réactions.

Ces réseaux sont entrés dans la "sphère publique", mais un certain recul reste nécessaire pour ne pas se laisser "bouffer" par ces déferlantes d'infos et d'opinions.

Même là politique les emploie pour manipuler fausses infos etc....

Ce qui est une bonne idée au départ fini toujours par être dévoyé. 

Même  là météo  sur votre portable qui vous localise pour cibler ses pub merdiques.

Avec les objets connectés, quand vous prendrez votre température les pubs pour les " lubrifions" vous en glisseront deux trois de pub merdiques.

il y a 28 minutes, PASCOU a dit :

sMême là politique du emploie pour manipuler fausses infos etc....

Ce qui est une bonne idée au départ fini toujours par être dévoyé. 

Même  là météo  sur votre portable qui vous localise pour cibler ses pub merdiques.

Oui nous sommes tous, potentiellement, des objets économiques, traités comme des objets. Hier je mettais en garde un petit de 11 ans sur les manipulations possibles auxquelles il s'expose dans son utilisation forcené, déjà à 11 ans, de toutes les applications possibles offertes par son smartphone. Sans que ses parents viennent le mettre en garde. Il était ébahi de savoir qu'absolument toutes ses manipulations étaient, quelque part, intégrées, dans une vaste opération de récolte d'informations sur lui et tout le monde autour de lui. 

Les réseaux sociaux deviennent de vaste lieux d'exhibitionnisme forcené que les dominants observent en spéculant sur les manières possibles de manipulation en vue de faire de leurs sujets de stricts objets économiques  et de stricts sujets politiques. Des milliards et des milliards d'informations sont ainsi sans cesse récoltées, traités par des machines "intelligentes" dont il est impressionnant de découvrir le fonctionnement. 

Non seulement les réseaux sociaux ne sont pas un contre pouvoir mais ils sont au contraire un moyen supplémentaire donné aux dominants de manœuvrer leurs sujets, de prévenir leurs révoltes et d'éteindre leurs velléités de passer à l'action. Les dominants savent que ce qu'ils doivent éviter c'est le passage à l'action de leurs sujets. Tant que les colères sont maintenues dans le virtuel, tant que les gens pensent que "dire" est un contrepouvoir, pensant qu'une chose dite est une chose faite, tout va bien, tout est contrôlé. L'opium du peuple ce ne sont plus les religions ce sont tous ces réseaux et modes d'expression nouveaux qui permettent de faire cracher aux gens leur colère, leurs souffrances, leurs frustrations, leurs révoltes sans que jamais cela ne se termine en action.

Peu de changements dans la cruauté sociale, dans la cruauté humaine. Les esclaves ne sont plus usés jusqu'à la moelle comme jadis mais il reste des esclaves. Ils sont relativement protégés tant qu'ils exécutent ce que le maitres exigent : consommer, travailler. Ce qui sauve les esclaves de la violence totale c'est que les dominants n'en ont plus seulement besoin comme producteurs, mais aussi comme consommateurs. 

Le monde humain reste emprunt d'une insigne cruauté mais les vibrions des réseaux sociaux ne savent pas qu'ils sont des esclaves.