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les mauvaises expériences sont elles vraiment utiles?

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micro-onde

les mauvaises expériences sont elles vraiment utiles?  

21 membres ont voté

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Modérateur, ©, 107ans Posté(e)
January Modérateur 59 820 messages
107ans‚ ©,
Posté(e)

Même si l'on doit différencier une mauvaise expérience dont nous sommes à l'origine et une autre dont nous ne sommes pas à l'origine, je crois que oui, elles sont utiles. En tout cas, personnellement, toutes les marches que j'ai ratées et toutes les portes que j'ai pris dans la figure m'ont appris quelque chose, de moi, des autres. 

 

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Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a 51 minutes, deja-utilise a dit :

Si ce que tu dis est vrai ou pertinent, qu'est-ce qui t'empêche d'éviter de subir systématiquement tous les désagréments de la vie, de fuir ces malheurs, ces souffrances prévisibles afin de ne pas descendre trop dans l'échelle ? Et au contraire se contenter de petits bonheurs qui te permettent de sortir la tête de l'eau, et non pas croquer la vie en toute insouciance pour le meilleur comme pour le pire !

Cela demande vigilance, attention, et aussi prévoyance, alors Ok, ça occupe une partie non négligeable de notre temps ou c'est fatiguant ou pas toujours très joyeux de prime abord, mais ne vaut-il pas mieux dépenser un peu de son temps et de son énergie, et d'entamer un chouïa son humeur en faisant du préventif, que de se trouver des raisons, des palliatifs dans nos erreurs, nos échecs, nos souffrances que l'on aurait pu s'épargner, faire du curatif, alors que présentement elles représentent une grosse dépense en temps de réflexion et d'énergie pour y remédier ou y faire face !?

Si le déséquilibre est grand au final, c'est aussi parce qu'il est plus facile de mal agir que de bien agir, de faire des erreurs que de bien faire les choses, notre propension à nous tromper, à souffrir est potentiellement plus fréquente que d'être dans le droit chemin, quand bien même elle se dissimule derrière des plaisirs en apparence, nous avons la possibilité d'infléchir le cours naturel des choses, non d'y remédier totalement car tout ne dépend pas de notre vouloir ou volonté, de notre désir, notre vie est en partie entre nos mains par les choix que nous faisons plus ou moins à la légère ou en connaissance de causes...

Pour les exemples que tu cites,certes on peut limiter leur survenue par de la prudence, de la prévention. Mais il est des mauvaises expériences qui te tombent dessus sans que tu puisses rien y faire et sans que tu l'aies provoqué, cherché ni vu venir. Tu peux même le voir venir et n'avoir aucun moyen de le contourner. Touts ces mauvaises expériences qui ne dépendent pas de ton bon vouloir, mais de celui des autres (divorce, licenciements, maladies, accidents hors de ta responsabilité...etc)

Sinon, oui, et quelque soit la mauvaise expérience et même sans mauvaise expérience il est important de savoir profiter de chaque instant de "bonnes choses", de petits bonheurs, tout simplement de vivre en conscience les bonnes périodes de ta vie et d'y puiser à volonté comme réserve de survie.

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)
Il y a 8 heures, deja-utilise a dit :

Pas nécessairement... les vivre !

On peut juste en prendre conscience, les avoir à l'esprit, les constater quelque part, puis les intégrer à sa propre ligne de vie, de conduite. Un peu ce qui se passe par exemple quand des touristes partent dans un pays " pauvre " puis se disent, que le niveau de vie n'empêche aucunement le bonheur, d'être joyeux/gai, que tout le confort matériel n'est pas une fin en soi, que la profusion nous bouche la vue...

En bref, on peut largement profiter des expériences des autres, bonnes comme mauvaises, pour soi-même, sans avoir besoin de les vivre expressément, il ne m'est pas nécessaire de tomber de l'échelle ou de m'ouvrir la jambe avec une tronçonneuse, ou encore me mutiler les doigts avec une scie-circulaire ou un rabot électrique pour en tirer des leçons, me prémunir, faire du préventif ! Et heureusement ! Sinon à quoi bon être capable d'anticiper, d'avoir un si gros cerveau, une cognition dont on s'enorgueillit, la croyance humaine en le monopole de la pensée ?

Ce dont tu parles est un processus qui me semble est bien plus complexe et difficilement applicable à toutes et tous...

Une expérience racontée, ne vaudra jamais une expérience vécue, parce que le ressenti qui accompagne le souvenir, aura une influence certaine sur la personne, certaine oui, grande, faible, moyenne ou très légère en seront les nuances !

J'avais lu dans un livre: "Même s'il ne se passe rien, il se passe toujours quelque chose"... Ceci parlant de l'influence de ce que nous subissons au travers de nos expériences, rencontres, etc...

On peut, via l'imagination, anticiper et vivre déjà pas mal de choses sans avoir à les vivre ou à les subir en vrai !

Il y a 8 heures, deja-utilise a dit :

Si ce que tu dis est vrai ou pertinent, qu'est-ce qui t'empêche d'éviter de subir systématiquement tous les désagréments de la vie, de fuir ces malheurs, ces souffrances prévisibles afin de ne pas descendre trop dans l'échelle ? Et au contraire se contenter de petits bonheurs qui te permettent de sortir la tête de l'eau, et non pas croquer la vie en toute insouciance pour le meilleur comme pour le pire !

Cela demande vigilance, attention, et aussi prévoyance, alors Ok, ça occupe une partie non négligeable de notre temps ou c'est fatiguant ou pas toujours très joyeux de prime abord, mais ne vaut-il pas mieux dépenser un peu de son temps et de son énergie, et d'entamer un chouïa son humeur en faisant du préventif, que de se trouver des raisons, des palliatifs dans nos erreurs, nos échecs, nos souffrances que l'on aurait pu s'épargner, faire du curatif, alors que présentement elles représentent une grosse dépense en temps de réflexion et d'énergie pour y remédier ou y faire face !?

Si le déséquilibre est grand au final, c'est aussi parce qu'il est plus facile de mal agir que de bien agir, de faire des erreurs que de bien faire les choses, notre propension à nous tromper, à souffrir est potentiellement plus fréquente que d'être dans le droit chemin, quand bien même elle se dissimule derrière des plaisirs en apparence, nous avons la possibilité d'infléchir le cours naturel des choses, non d'y remédier totalement car tout ne dépend pas de notre vouloir ou volonté, de notre désir, notre vie est en partie entre nos mains par les choix que nous faisons plus ou moins à la légère ou en connaissance de causes...

Ce que tu dis me fait penser à la "Force"... Dans Starwars... Assumer, affronter, ne pas se simplifier la tâche sinon c'est passer du côté obscur !

C'est une philosophie de vie, je choisis de passer par les difficultés et de les accepter, car une fois traversées, je me sens grandi par l'accomplissement !

Et quand on se retrouve face à quelque chose de trop grand sur l'instant, cela nous force à penser, à réfléchir, à imaginer, pour y revenir mieux armé !

Un peu comme un RPG où on se fait fracasser par un boss et qu'il faut aller faire de l'expérience, chercher des "outils" pour être prêt lorsqu'on sera à nouveau face à l'autre !

Je pense que tu as déjà vécu des choses que d'autres doivent traverser et quand tu entends tout ce que leur imagination construit, tu peux soit rigoler en te disant à quel point la personne exagère ou au contraire, à quel point la personne est loin de la réalité et qu'en vrai, elle va ramasser !

C'est en cela que, pour moi, les difficultés sont bonnes à prendre... ;)

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 071 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)

La réponse est dans la question 

L'utilité, c'est ce sur quoi on s'appuie pour tirer partie positivement d'une situation 

Une expérience pénible, donc négative n'est utile que dans la mesure où nous avons appris à la surmonter ou à la transcender pour la transformer en opportunité

Malheureusement, cette transformation n'est pas toujours possible parce que cette expérience nous anéantie et nous ronge et aussi parce que chacun n'a pas la même capacité de rebond

Certains traversent juste les épreuves mieux que d'autres

Quand nous nous sentons coupables ou désarmés et quand tout projet est étouffé, aucune expérience bonne ou mauvaise n'a vraiment été utile

Quand nous avançons vers un nouveau but de manière positive, toutes les expériences deviennent un carburant 

La question est donc : pour quoi suis je fait ? Et est ce que ce que je fais va me construire ?

Bien souvent on enfouie la réponse 

 

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Membre, son et lumière, 43ans Posté(e)
micro-onde Membre 7 069 messages
43ans‚ son et lumière,
Posté(e)
il y a 18 minutes, zenalpha a dit :

La réponse est dans la question 

L'utilité, c'est ce sur quoi on s'appuie pour tirer partie positivement d'une situation 

Une expérience pénible, donc négative n'est utile que dans la mesure où nous avons appris à la surmonter ou à la transcender pour la transformer en opportunité

Malheureusement, cette transformation n'est pas toujours possible parce que cette expérience nous anéantie et nous ronge et aussi parce que chacun n'a pas la même capacité de rebond

Certains traversent juste les épreuves mieux que d'autres

Quand nous nous sentons coupables ou désarmés et quand tout projet est étouffé, aucune expérience bonne ou mauvaise n'a vraiment été utile

Quand nous avançons vers un nouveau but de manière positive, toutes les expériences deviennent un carburant 

La question est donc : pour quoi suis je fait ? Et est ce que ce que je fais va me construire ?

Bien souvent on enfouie la réponse 

 

En même temps on as pas d'autres choix que d'avancer non ?

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)
Il y a 9 heures, zenalpha a dit :

La réponse est dans la question 

L'utilité, c'est ce sur quoi on s'appuie pour tirer partie positivement d'une situation 

Une expérience pénible, donc négative n'est utile que dans la mesure où nous avons appris à la surmonter ou à la transcender pour la transformer en opportunité

Malheureusement, cette transformation n'est pas toujours possible parce que cette expérience nous anéantie et nous ronge et aussi parce que chacun n'a pas la même capacité de rebond

Certains traversent juste les épreuves mieux que d'autres

Quand nous nous sentons coupables ou désarmés et quand tout projet est étouffé, aucune expérience bonne ou mauvaise n'a vraiment été utile

Quand nous avançons vers un nouveau but de manière positive, toutes les expériences deviennent un carburant 

La question est donc : pour quoi suis je fait ? Et est ce que ce que je fais va me construire ?

Bien souvent on enfouie la réponse 

 

Mais imaginons que les choses difficiles, nous endurcissent, après, face à de petits problèmes et dieu sait qu'il y en aura toujours, on est bien plus serein, bien plus calme et la vie se présente à nous tout autrement !

Quand on voit des gens se mettre à paniquer pour un petit détail, alors que d'autres se démerdent tous les jours avec des trucs bien plus graves, que peut-on en déduire ?

Citation

pour quoi suis je fait ? Et est ce que ce que je fais va me construire ?

Et que peux-tu répondre à cela ?

Personnellement, je pense que ce genre de question vient à notre esprit que lorsque notre vie est une suite de problèmes et d'échecs...

Ce qu'il faut, dans ce cas, c'est déjà accepter la situation, puis d'accomplir des réalisations, de réussir à faire des choses de nos journées...

Lorsqu'on va se coucher, il faut pouvoir tirer un bilan de sa journée et la meilleure manière d'avoir un bilan positif, c'est d'avoir réalisé et accompli des choses !

Sans nous en rendre compte, il y a bien plus de raisons de nous décevoir que de nous satisfaire !

Dominer sa vie ou être dominé... Là est la question !

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 55ans Posté(e)
zenalpha Membre 19 071 messages
55ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
Il y a 2 heures, pep-psy a dit :

Mais imaginons que les choses difficiles, nous endurcissent, après, face à de petits problèmes et dieu sait qu'il y en aura toujours, on est bien plus serein, bien plus calme et la vie se présente à nous tout autrement !

Quand on voit des gens se mettre à paniquer pour un petit détail, alors que d'autres se démerdent tous les jours avec des trucs bien plus graves, que peut-on en déduire ?

Et que peux-tu répondre à cela ?

Personnellement, je pense que ce genre de question vient à notre esprit que lorsque notre vie est une suite de problèmes et d'échecs...

Ce qu'il faut, dans ce cas, c'est déjà accepter la situation, puis d'accomplir des réalisations, de réussir à faire des choses de nos journées...

Lorsqu'on va se coucher, il faut pouvoir tirer un bilan de sa journée et la meilleure manière d'avoir un bilan positif, c'est d'avoir réalisé et accompli des choses !

Sans nous en rendre compte, il y a bien plus de raisons de nous décevoir que de nous satisfaire !

Dominer sa vie ou être dominé... Là est la question !

Oui c'est vrai

La marche normale serait de sortir positivement de ses actions

Cela passe par une sincérité envers soi même qui consiste à sentir qu'au final, la direction est la bonne

Si le ressenti est globalement négatif et s'il faut travailler sur ses échecs successifs en permanence pour superficiellement positiver, c'est qu'on occulte le problème 

De mon point de vue, l'écueil de notre système est de postuler que la formation, l'accompagnement, le management est apte à faire valoir pour l'autre un programme qui cerne les axes de progrès à franchir pour gravir marche après marche 

Le rêve des mauvais managers ou compagnons de  prétendre savoir pour l'autre ce qui ne va pas et ne travailler que ça...ce qui desenergetise l'autre tout en validant la relation hiérarchique ou de pouvoir

La réalité est que nous ne devrions travailler que sur nos points forts car le talent dans un domaine particulier ne s'apprend pas ex nihilo

Imaginez qu'on fasse le bilan de compétences football de Ronaldo et qu'un plouco entraîneur décrète pour lui des faiblesses en tacles et en arrêt dans les buts pour décréter pour lui un plan d'entraînement...

Le système éducatif français et l'organisation des entreprises, la perception de compétitivité qui n'est pas la compétitivité a instauré partout en permanence de tels écueils 

Et partout, de merveilleux haltérophilies de 150 kilos negativent dans un système qui décrète pour eux qu'ils sont jockey...

Positiver, c'est savoir imposer aux autres ce pourquoi on est fait et c'est un luxe bien difficile aujourd'hui 

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Invité s
Invités, Posté(e)
Invité s
Invité s Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour,

L’utilité d’une mauvaise expérience dépendra surtout de nous, elle nous fera grandir que si l’on se remet en question et si on arrive à y mettre une certaine distance d’où il faut un certain temps pour pouvoir passer à autre chose de plus positif. Une bonne expérience me paraîtra plus bénéfique si on sait reconnaître sa valeur, parce que celle-ci ne peut que nous donner plus d’assurance, nous épanouir, nous rendre meilleur. Mais tout dépend de la personne, du vécu de celle-ci, pour certains, la mauvaise expérience les aidera à aller de l’avant, parfois il sera nécessaire pour que la personne grandisse qu’elle vive une mauvaise expérience,  parfois ce n’est qu’en touchant le fond, qu’une personne peut s’en sortir. Mais si on en a la possibilité, il faut savoir apprécier et tirer profit des bonnes expériences afin d’arriver à éviter les  mauvaises expériences qui, si elles sont traumatisantes même  si cela nous rend plus fort et que l’on arrive à s’en sortir, ces épreuves là,  laissent des traces. 

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Membre, Je n'en ai aucun, 51ans Posté(e)
pep-psy Membre 23 493 messages
51ans‚ Je n'en ai aucun,
Posté(e)
Il y a 3 heures, zenalpha a dit :

Oui c'est vrai

La marche normale serait de sortir positivement de ses actions

Cela passe par une sincérité envers soi même qui consiste à sentir qu'au final, la direction est la bonne

Si le ressenti est globalement négatif et s'il faut travailler sur ses échecs successifs en permanence pour superficiellement positiver, c'est qu'on occulte le problème 

De mon point de vue, l'écueil de notre système est de postuler que la formation, l'accompagnement, le management est apte à faire valoir pour l'autre un programme qui cerne les axes de progrès à franchir pour gravir marche après marche 

Le rêve des mauvais managers ou compagnons de  prétendre savoir pour l'autre ce qui ne va pas et ne travailler que ça...ce qui desenergetise l'autre tout en validant la relation hiérarchique ou de pouvoir

La réalité est que nous ne devrions travailler que sur nos points forts car le talent dans un domaine particulier ne s'apprend pas ex nihilo

Imaginez qu'on fasse le bilan de compétences football de Ronaldo et qu'un plouco entraîneur décrète pour lui des faiblesses en tacles et en arrêt dans les buts pour décréter pour lui un plan d'entraînement...

Le système éducatif français et l'organisation des entreprises, la perception de compétitivité qui n'est pas la compétitivité a instauré partout en permanence de tels écueils 

Et partout, de merveilleux haltérophilies de 150 kilos negativent dans un système qui décrète pour eux qu'ils sont jockey...

Positiver, c'est savoir imposer aux autres ce pourquoi on est fait et c'est un luxe bien difficile aujourd'hui 

Très juste et la plupart ne pense quasi jamais à ça !

Dire à quelqu'un qu'il fait du bon boulot, que cette réaliser était particulièrement réussie, etc... Fait ressentir aux gens quelque chose de bon, de positif et surtout de marquant... Alors, naturellement, la personne sera motivée à en recevoir d'autres et c'est là que se créera la motivation !

Alors que de dire... Tu as vu ce que tu as fait, pourquoi tu fais des trucs pareils, non mais c'est pas vrai... Ne risque pas d'améliorer la personne, bien au contraire, elle aura envie de rester chez elle, se forcera à venir la boule au ventre, etc...

 

Il y a 2 heures, samira123 a dit :

Bonjour,

L’utilité d’une mauvaise expérience dépendra surtout de nous, elle nous fera grandir que si l’on se remet en question et si on arrive à y mettre une certaine distance d’où il faut un certain temps pour pouvoir passer à autre chose de plus positif. Une bonne expérience me paraîtra plus bénéfique si on sait reconnaître sa valeur, parce que celle-ci ne peut que nous donner plus d’assurance, nous épanouir, nous rendre meilleur. Mais tout dépend de la personne, du vécu de celle-ci, pour certains, la mauvaise expérience les aidera à aller de l’avant, parfois il sera nécessaire pour que la personne grandisse qu’elle vive une mauvaise expérience,  parfois ce n’est qu’en touchant le fond, qu’une personne peut s’en sortir. Mais si on en a la possibilité, il faut savoir apprécier et tirer profit des bonnes expériences afin d’arriver à éviter les  mauvaises expériences qui, si elles sont traumatisantes même  si cela nous rend plus fort et que l’on arrive à s’en sortir, ces épreuves là,  laissent des traces. 

Souvent, lorsqu'on en arrive à "toucher le fond", c'est qu'on a passé une bonne partie de son temps à fuir les trucs à régler, alors forcément, ils s'accumulent et deviennent tellement lourd qu'ils nous entraînent tout au fond !

Il FAUT être capable d'assumer les choses et d'agir en conséquence, sinon, les problèmes deviendront toujours plus gros jusqu'à ce qu'ils arrivent à nous stopper ou à nous faire réagir !

C'est à voir comme des papiers à ranger, on en reçoit tous les jours, mais ça nous emmerde de les ranger, alors on laisse, puis on laisse et un jour, c'est tellement le bordel, qu'on va devoir gâcher une matinée ou une journée entière à les ranger !

Alors que c'est tellement plus agréable que d'avoir tout bien rangé, bien classé, tout est clean, rien ne traîne et on sait où se trouve chaque papier, quel pied d'avoir ce contrôle !

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Animatrice, Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade, 46ans Posté(e)
titenath Animatrice 43 030 messages
46ans‚ Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade,
Posté(e)

Il est effectivement important de différencier les mauvaises expériences dont nous sommes à l'origine et celles dont nous sommes totalement dépendants mais qui font partie de la vie.

Pour la 1ère catégorie il est important d'en tirer les enseignements pour ne pas les reproduire. Et je trouve qu'arriver à quelque chose dans la difficulté décuple la satisfaction. Et puis on apprend toujours de ses erreurs si on sait se remettre en question en prendre le recul nécessaire à la réflexion.

Pour la 2è catégorie, il faut essayer d'y faire face le plus possible. C'est pas toujours évident, mais c'est la vie.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Il faudrait déja décider de quel type d'expériences on veut parler, professionnelles ou amoureuses ?

 

Les plus intéressantes, édifiantes sont évidemment les secondes.

Pourquoi a t-on aimé telle personne ?  Pourquoi ça n'a pas marché ?  En quoi on s'est trompé ?

La nécessité d'y répondre nous pousse a nous analyser a fond parfois, et également d'analyser l'autre, de faire des comparaisons, des rapprochements, et n'ayons pas peur des mots...des classements.

Les types de personnalité étant loin d'etre infinis, si tout le monde se veut unique, il y a pourtant peu de personnes originales, meme d'une époque a l'autre.

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Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a 23 minutes, swam a dit :

Il faudrait déja décider de quel type d'expériences on veut parler, professionnelles ou amoureuses ?

 

Les plus intéressantes, édifiantes sont évidemment les secondes.

Pourquoi a t-on aimé telle personne ?  Pourquoi ça n'a pas marché ?  En quoi on s'est trompé ?

La nécessité d'y répondre nous pousse a nous analyser a fond parfois, et également d'analyser l'autre, de faire des comparaisons, des rapprochements, et n'ayons pas peur des mots...des classements.

Les types de personnalité étant loin d'etre infinis, si tout le monde se veut unique, il y a pourtant peu de personnes originales, meme d'une époque a l'autre.

Quelle étrange vision binaire de la vie, de l'humain et de ses expériences, bonnes ou mauvaises ! 

ça me laisse perplexe ! 

 

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 7 minutes, Petit pois a dit :

Quelle étrange vision binaire de la vie, de l'humain et de ses expériences, bonnes ou mauvaises ! 

ça me laisse perplexe ! 

 

Une vision binaire de la vie ce serait :

Est ce que la vie est bonne, est ce qu'elle vaut la peine d'etre vécue ?  Ou au contraire dire que la vie est essentiellement souffrance et essayer de se débarrasser de l'appétit, de la soif de vivre ( pour ne plus se réincarner pour ceux qui croient a la métempsychose )

Je n'ai pas encore tranché.

 

 

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Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a 3 minutes, swam a dit :

Une vision binaire de la vie ce serait :

Est ce que la vie est bonne, est ce qu'elle vaut la peine d'etre vécue ?  Ou au contraire dire que la vie est essentiellement souffrance et essayer de se débarrasser de l'appétit, de la soif de vivre ( pour ne plus se réincarner pour ceux qui croient a la métempsychose )

Je n'ai pas encore tranché.

 

 

Je ne contrecarrerai ni ne développerai, hors sujet total, c'est de ma faute, je n'ai pu m'empêcher d'exprimer une certaine sidération. :sleep:Sorry...good trip...

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Membre, Posté(e)
lucdf Membre 4 113 messages
Forumeur balbutiant‚
Posté(e)

Je me demande si les mauvaises expériences sont si utiles que ça en fin de compte. A partir d'un certain âge, on devient gâteux et donc nous oublions tout ce que nous avons appris d'important et nous sommes aussi peu avancés qu'à l'âge de 5 ans.( L’éternel retour ou le mythe de Sisyphe, réinterprété par lucdf)  La vie est un échec de toutes façons. A moins que l'on soit relax et que l'on accepte que ce que nous maîtrisons n'est que très, très, très temporaire. A partir de ce constat, on peut enfin être heureux.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 5 minutes, Petit pois a dit :

hors sujet total

Non pas, c'est plutot un approfondissement du sujet.

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Membre, Piment doux, 103ans Posté(e)
Out of Paprika Membre 22 120 messages
103ans‚ Piment doux,
Posté(e)

J'ai voté non, pour moi c'est comme le bon vieux dicton "ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort". Bah non, ça affaiblit juste un peu plus finalement, entre la perte d'énergie et de confiance (je parle de n'importe quelle situation, pas nécessairement amoureuse).

Par contre elles sont inévitables, on est bien obligé de se construire avec.

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 17 minutes, Out of Paprika a dit :

J'ai voté non, pour moi c'est comme le bon vieux dicton "ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort". Bah non, ça affaiblit juste un peu plus finalement, entre la perte d'énergie et de confiance (je parle de n'importe quelle situation, pas nécessairement amoureuse).

Par contre elles sont inévitables, on est bien obligé de se construire avec.

"Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort", oui peut etre, tant que l'on croit a quelque chose de fort, tant que l'on peut se raccrocher a quelque chose.

Sinon ça nous use, rien ne venant réalimenter notre force vitale, notre envie, notre enthousiasme.

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Invité Marpletree
Invités, Posté(e)
Invité Marpletree
Invité Marpletree Invités 0 message
Posté(e)

J'ai voté oui tout simplement parce que  dire non aurait été pour moi comme renier une partie de mon vécu (car les mauvaises experiences au sens large faisant inévitablement partie de la vie) et par là même ma personnalité.

C'est aussi quelque part apprendre à ne pas vivre dans le regret 

Modifié par Marpletree
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