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[Présidentielle] Emmanuel MACRON candidat au 2nd tour

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Henry Martin Membre 4 459 messages
Baby Forumeur‚
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@DDR

D'accord sur tout. Cependant il convient de raisonner en scénarios alternatif. Ne pas miser seulement sur le plus probable mais envisager aussi les what if adverses.

Dans cette approche, on ne sait pas si Iter va déboucher. On ne va pas débattre ici sur l'instabilité du plasma dans un tokamak. De même on ne sait pas projeter mais alors pas du tout ce que sera les rendements, la consommation, les progrès, le climat, à un horizon de 30ans. Ce que l'on sait c'est que si d'aventure, au sein de scénarios alternatifs, le pétrole se retrouve un beau matin à 200$ puis les céréales à l'avenant, il se peut que certains se prennent à regretter de ne pas avoir décuplé les efforts militaires, policiers et douaniers.

Ce que je veux dire c'est qu'en fait on n'en sait rien, si on va avoir ou pas un problème énergétique phénoménal. Ce que les économistes savent par contre, c'est qu'un prix trop élevé de l'énergie stoppe la croissance et qu'un prix prohibitif est récessif.

il y a 14 minutes, fx. a dit :

Non tu as raison, il n'y a pas une oligarchie financière qui dirige le monde.

Bien sur que si. Cependant le projet est de faire encore plus de fric, pas d'étudier la lutte contre la surpopulation mondiale en réduisant celle de la Grèce de quelques pourcents enfin. Comment peut on être aussi niais ?

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Invité fx.
Invités, Posté(e)
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il y a 8 minutes, Henry Martin a dit :

Bien sur que si. Cependant le projet est de faire encore plus de fric, pas d'étudier la lutte contre la surpopulation mondiale en réduisant celle de la Grèce de quelques pourcents enfin. Comment peut on être aussi niais ?

Comment faire plus de fric avec moins de gens ? C'est vraiment une problématique nouvelle ?

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 803 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 39 minutes, Henry Martin a dit :

Sauf qu'en l'occurrence la question démographique planétaire ne concerne pas des pays comme la Grèce.

C'est un peu son alpha et son oméga .

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 803 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
il y a 17 minutes, Henry Martin a dit :

@DDR

D'accord sur tout. Cependant il convient de raisonner en scénarios alternatif. Ne pas miser seulement sur le plus probable mais envisager aussi les what if adverses.

Dans cette approche, on ne sait pas si Iter va déboucher. On ne va pas débattre ici sur l'instabilité du plasma dans un tokamak.

Si tu me relis , l'échec est envisagé, il n'en demeure pas moins que l'idée est désormais dans ce grand cerveau qu'est l'humanité . La question n'est pas  comment mais quand ( sauf apocaslip bien sûr ).

il y a 17 minutes, Henry Martin a dit :

De même on ne sait pas projeter mais alors pas du tout ce que sera les rendements, la consommation, les progrès, le climat, à un horizon de 30ans.

Je n'ai absolument pas dit le contraire , mais pour le moment il nous faudra bien 30 ans pour faire le job en renouvelable, et pendant ce temps de nouvelles techniques avancent .

il y a 17 minutes, Henry Martin a dit :

Ce que l'on sait c'est que si d'aventure, au sein de scénarios alternatifs, le pétrole se retrouve un beau matin à 200$ puis les céréales à l'avenant, il se peut que certains se prennent à regretter de ne pas avoir décuplé les efforts militaires, policiers et douaniers.

Macron propose 2% c'est un bon début .

il y a 17 minutes, Henry Martin a dit :

Ce que je veux dire c'est qu'en fait on n'en sait rien, si on va avoir ou pas un problème énergétique phénoménal. Ce que les économistes savent par contre, c'est qu'un prix trop élevé de l'énergie stoppe la croissance et qu'un prix prohibitif est récessif.

Nous sommes d'accord . La croissance n'a jamais été linéaire de toute façon , sauf à la sortie d'une guerre où elle remonte mécaniquement .

 

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 803 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/04/29/whirlpool-passe-d-armes-entre-emmanuel-macron-et-la-pologne_5119963_4854003.html

 

Emmanuel Macron s’est attiré les foudres du gouvernement ultraconservateur polonais, après s’être prononcé, jeudi 27 avril, dans un entretien à plusieurs quotidiens régionaux pour des sanctions à l’égard de Varsovie. Mis en difficulté par Marine Le Pen sur le site de Whirlpool d’Amiens, qui s’apprête à délocaliser en Pologne , laissant 290 ouvriers français au chômage, le candidat d’En marche ! a voulu passer un message de fermeté sur la question du dumping social.

« Dans les trois mois qui suivront mon élection, il y aura une décision prise sur la Pologne. Je mets ma responsabilité sur la table sur ce sujet, a-t-il prévenu. On ne peut pas avoir un pays qui joue des écarts fiscaux sociaux au sein de l’Union européenne et qui est en infraction avec tous les principes de l’Union. »

En l’état actuel des réglementations européennes, aucune sanction ne peut être prise à l’encontre d’un Etat membre sur la base des différences fiscales et du coût du travail. C’est pourquoi M. Macron a mis en avant les atteintes aux principes démocratiques de l’UE, alors que Varsovie est toujours visé par une procédure de « sauvegarde de l’Etat de droit » enclenchée en janvier 2016 par la Commission européenne, après sa reprise en main du Tribunal constitutionnel. Les gouvernements ultraconservateurs polonais et hongrois multiplient les provocations à l’égard de Bruxelles, sur les migrants, la justice et la liberrté de la presse.

« Tendances protectionnistes »

« On ne peut pas avoir une Europe qui débatte de la décimale sur chacun des sujets budgétaires de chaque pays et qui, lorsque vous avez un pays membre de l’Union européenne qui se comporte comme la Pologne ou la Hongrie, sur des sujets liés à l’université et au savoir, aux réfugiés, aux valeurs fondamentales, décide de ne rien faire, a renchéri M. Macron . Je ne poursuivrai pas l’Europe comme elle est. » 


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/04/29/whirlpool-passe-d-armes-entre-emmanuel-macron-et-la-pologne_5119963_4854003.html#ukPZuvto0iH8EG8c.99
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lol.

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Membre, 113ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 113ans‚
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il y a 4 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Je ne poursuivrai pas l’Europe comme elle est. » 

bin ,lui aussi veut quitter l'Europe ? ce n'était pas dans son programme :mef2:

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 803 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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@hdbecon nous verrons bien

http://www.huffingtonpost.fr/2017/04/29/emmanuel-macron-refusera-toute-coalition-avec-le-parti-socialiste-et-lr_a_22060970/

 

Emmanuel Macron refusera toute coalition avec le Parti socialiste ou Les Républicains s'il est élu président

Le candidat d'En Marche! tacle, dans une interview au Figaro, l'attitude de Baroin et Cambadélis, soupçonnés de calcul politique.

 

"L'objectif que je fixe est clair: obtenir aux législatives une majorité absolue qui soit une majorité présidentielle", a déclaré Emmanuel Macron dans cette interview mise en ligne vendredi soir. "Il n'y aura pas de coalition avec les deux grands partis existants, ni avec LR ni avec le PS. Mais dans les temps qui arrivent, il y aura une refondation de la vie politique qui verra des socialistes et des Républicains me rejoindre individuellement", a estimé le candidat d'En Marche!

 

"C'est la clé pour ne pas avoir de majorité coulissante. On ne peut pas se le permettre dans les temps d'incertitude que nous traversons", a-t-il poursuivi.

"J'investirai 577 candidats de la majorité présidentielle, explique Emmanuel Macron. Ceux qui ne me rejoindront pas auront donc des candidats face à eux. Mais je souhaite que l'on me rejoigne par cohérence et pour soutenir notre projet, pas pour sauver son poste. Les Républicains ou les socialistes qui ne croient pas à mon projet ne viendront pas."

....

"Nous avons M. Baroin, qui est l'un des responsables d'un parti qui fait 20%" au premier tour de la présidentielle... Et il dit de manière absolument invraisemblable: 'moi je veux bien être Premier ministre de M. Macron'. Vous me direz, il a voulu être celui de M. Sarkozy, il a voulu être ensuite celui de M. Fillon, il voudrait devenir le mien. Il manifeste donc une vraie constance: la recherche de son intérêt personnel", a raillé le candidat d'En Marche!, avant de glisser une autre pique au premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, soupçonné de calcul politique.

"Jeudi, M. Cambadélis disait que, s'il est réélu député, il ne voterait pas l'habilitation à réformer le Code du travail. Très bien! Mais moi je suis clinique: M. Cambadélis est le chef d'un parti qui fait 6 %... Donc sa principale préoccupation est surtout de savoir combien de députés il aura avec l'étiquette socialiste", a-t-il estimé.

"Cette cécité prouve qu'ils ne sont pas en situation d'avoir une majorité", a encore cinglé Emmanuel Macron.

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Un premier constat, me semble-t-il, s’impose à l’esprit : cette histoire terrible que nous vivons, et qui pourrait se conclure si nous n’y prenons garde par une catastrophe démocratique sans précédent depuis Vichy, par le renversement de la République, est la chronique d’un sinistre depuis très longtemps annoncé, celui d’un parti socialiste qui a accompagné l’émergence d’un capitalisme à l’anglo-saxonne, de plus en plus tyrannique. Un parti socialiste qui a d’abord mollement résisté à ce basculement vers un capitalisme instaurant une tyrannie du capital sur le travail ; puis qui a accompagné ce basculement ; et pour finir qui l’a accéléré brutalement, avec l'aide de zélés hauts fonctionnaires. Dont, au premier rang, Emmanuel Macron.

Très vite, quand ce quinquennat a commencé, le « peuple de gauche », ou ce qu’il en reste, a pu ainsi comprendre qu’une histoire grave était en train de se jouer. On a pu deviner qu’au-delà des maladresses d’un homme, François Hollande, qui n’a jamais été à la hauteur de ses responsabilités ni de sa fonction, au-delà des reniements innombrables dont on pouvait l’accuser et du climat crépusculaire dans lequel il a entraîné tout le pays, c’était à un événement historique auquel nous assistions: les dernières convulsions du plus vieux parti de la gauche française, le parti socialiste, qui est entré en agonie.

Ce sentiment que le pays arrive à un point de bascule de son histoire, ou du moins de celle de la gauche, a d’ailleurs très vite cheminé dans les esprits. Progressivement, c’est devenu une forte évidence : quelque chose d’irréparable, voire d’irréversible, s’est produit depuis l’accession des socialistes au pouvoir. Depuis bientôt trente ans, ces derniers ont souvent plaidé des circonstances atténuantes pour justifier leurs erreurs ou leurs reniements et réclamé à leurs électeurs de leur faire confiance, envers et contre tout. Ils ont battu leur coulpe après leur défaite calamiteuse lors des élections législatives de 1993. Puis fait amende honorable en 2002.

Chaque fois, le « peuple de gauche » (si la formule a encore un sens) a joué le jeu. Chaque fois, d’innombrables citoyens, quelle que soit leur conviction partisane – Nouveau parti anticapitaliste, Front de gauche, Europe Écologie-Les Verts (EELV), parti socialiste, etc. –, ont été au rendez-vous. Quels qu’aient été leurs ressentiments, leur déception et leur lassitude, la grande majorité d’entre eux a continué à voter au second tour d’une élection pour le candidat de gauche le mieux placé. Ne serait-ce que pour faire barrage à la droite.

Nul doute qu'en mai 2012, le candidat Hollande a encore largement bénéficié de cette fidélité de l’électorat de gauche à son camp. Il a bénéficié des voix d’un électorat pourtant de plus en plus remonté contre les dirigeants socialistes, mais fidèle aux valeurs fondatrices de la gauche, et à l’idéal qu’elle a parfois porté.

Au lendemain de l’élection de 2012 et depuis lors, le lien entre ces électeurs et, plus largement, le lien entre les citoyens et le cœur du pouvoir socialiste s’est indéniablement brisé. A tout jamais brisé. La colère et le sentiment de déloyauté, de trahison ont pris un autre tour. François Hollande a privé le « peuple de gauche » de sa victoire arrachée à la présidentielle et prolongé quasiment en tout point la politique de Nicolas Sarkozy. Ou même, François Hollande, aidé par Emmanuel Macron, a souvent fait bien pire que Nicolas Sarkozy. Nombreux sont ceux qui ont alors assuré qu’on ne les reprendrait plus jamais à voter pour le PS – en dépit de la menace d’une droite dure ou extrême. Ici est la rupture majeure.

Et puis il y a eu les coups de grâce portés par François Hollande contre son propre camp, avec l’odieux projet (avorté) de déchéance de la nationalité, auparavant défendu par le seul Front national ; avec encore la loi El Khomri, qui a ébranlé le code du travail de manière beaucoup plus grave que les mesures prises sous le quinquennat précédent. Au fil des mois, le « peuple de gauche » – ou ce qu’il en reste – en est donc venu par lui-même à cette triste mais implacable évidence : dans sa configuration actuelle, la gauche est morte. C’est une histoire longue, ancienne de près de deux siècles, qui s’achève sous nos yeux, et que je me suis souvent appliqué à chroniquer (Lire en particulier Sous le naufrage de Hollande, l’agonie du socialisme français). Dans de très nombreux livres, écrits d'abord avec mon vieux complice Gérard Desportes (La gauche imaginaire ou L'adieu au socialisme) pour dresser le bilan des années Jospin, puis écrits seul (L'étrange défaite ou A tous ceux qui ne se résignent pas à la défaîte qui vient), je me suis aussi appliqué à décrire la lente et irrémédiable descente aux enfers du socialisme français.

C’est donc de cette agonie du socialisme français dont Emmanuel Macron est en quelque sorte la borne témoin. Il symbolise à lui tout seul ce que ce quinquennat a charrié de pire. Il en est le symbole d’ailleurs à un double titre. D’abord, c’est lui qui a mis en œuvre ou porté quelques-unes des réformes les plus réactionnaires de ce quinquennat, mettant le plus gravement en cause le modèle social français. Ensuite, il est l’un de ceux qui symbolisent aussi de la manière la plus caricaturale qui soit l’adaptation des élites socialistes aux puissances de l’argent, leur intégration dans le système oligarchique français. Ces élites oligarchiques qui d’une alternance à l’autre, sous la gauche comme sous la droite, ont passé près de trente ans à répéter qu’il n’y avait qu’une seule politique économique et sociale possible : la politique économique néo-libérale. Pas de doute donc, comme je l’ai un jour relevé, Emmanuel Macron est bel et bien le candidat de l’oligarchie (Lire Emmanuel Macron, le candidat de l'oligarchie).

C’est donc tout cela dont Emmanuel Macron est le révélateur. Il a commencé à préparer un projet de démantèlement du code du travail sous Nicolas Sarkozy dans le cadre de la Commission Attali ; avant de l’appliquer sous François Hollande (Lire Aux origines de la loi Macron: un projet néolibéral concocté pour Sarkozy). Et maintenant qu’il brigue la présidence de la République, c’est ce même projet de dynamitage social qu’il voudrait encore accélérer.

 

https://blogs.mediapart.fr/laurent-mauduit/blog/270417/le-supplice-macron

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Membre, Posté(e)
pope Membre 2 435 messages
Baby Forumeur‚
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il y a une heure, DroitDeRéponse a dit :

Capacité en droite ?

Tu as fait des études de boxe ?

;)

Le Chinois déchante . Ce sont les chiffres , ou une constatation de terrain ?

Ceux que je connais de la classe moyenne s'inquiètent parfois du smog mais préfèrent leur vie à celle de leurs parents on a pas su croiser les memes . Quant aux indiens du karnataka je ne te dis meme pas ...

 

oui tout le monde et les jeunes préfèrent écouter  Pokora ou je ne sais trop qui que de la musique traditionnelle,  sinon tout le monde est soumis au meme schema numérique et robotique....et conséquence??

je ne suis jamais allé en chine.

la société est plus moderne heureusement, chaque pays peut avoir le meme constat. mais sur le fond, la lutte des classes est la meme!

(capacité en droite) yes j'aime la boxe! mais la pour le coup c'est plutôt le traumatisme de la droite!

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 803 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 2 minutes, stvi a dit :

bin ,lui aussi veut quitter l'Europe ? ce n'était pas dans son programme :mef2:

Mais non , il a clairement dit qu'il était pour une eurozone avec gouvernance c'est en toute lettre dans son programme, avec convergence même si ca prend du temps . Bref si tu lis le programme  ça correspond bien à " Je ne poursuivrai pas l’Europe comme elle est " , un DCB ne veut pas plus poursuivre l'Europe comme elle est, soit on converge , soit il faudra sortir . Pour converger , il faut adosser la banque centrale au politique progressivement et en augmentant le budget eurozone , progressivement , c'est son programme. Pas sur qu'il me plaise je suis plutôt souverainiste , mais l'offre souverainiste est trop piteuse ^^ , au moins parle t'il d'Europe c'est nouveau à une présidentielle et pas pour se défausser on verra bien ce que ça donne .

J'en profite pour rappeler que malgré nos extrémistes l'U.E évolue

https://www.challenges.fr/economie/comment-l-europe-veut-reduire-le-dumping-social-des-travailleurs-detaches_415216

 

Marianne Thyssen est repartie à l'offensive. Mercredi 20 juillet, la commissaire européenne à l'emploi et aux affaires sociales a officiellement confirmé le maintien de sa réforme de la directive sur les travailleurs détachés. Son texte vise à lutter contre le " dumping social " en exigeant que les travailleurs détachés, venant souvent de pays européens à bas coût, soient rémunérés en intégrant les avantages sociaux de la législation des pays d' accueil : le salaire minimum, déjà dans la directive actuelle, mais aussi le 13 ème mois et tous les bonus et primes diverses liées aux conventions collectives et accords de branche. " Nous proposons d'appliquer les mêmes règles de rémunération pour le même travail dans le même lieu. Ni plus, ni moins. Les travailleurs détachés ne sont pas des travailleurs de seconde classe ", a martelé Marianne Thyssen. Je suis convaincue que la mobilité des travailleurs est bonne pour l'Europe. Mais nous devons nous assurer que les règles sont justes pour tout le monde ".

Toutefois, la commissaire belge est loin d'avoir gagné la partie. Son projet de révision de la directive " Bolkestein ", datant de 1996, a été pilonné par 11 Etats membres, pour la plupart d'Europe de l'Est (Roumanie, République Tchèque, Slovaquie, Pologne , Lituanie, Lettonie, Estonie, Croatie, Bulgarie, Hongrie, Danemark), qui ont utilisé la procédure du " carton jaune ", permettant de contester à la Commission le droit de statuer sur ce sujet. Ces pays ne veulent pas perdre " l'avantage compétitif " de leurs travailleurs low cost -en particulier la Pologne, premier pourvoyeur, avec 266.000 salariés détachés- en appliquant les avantages sociaux des pays d'accueil. Pour être adoptée, la réforme de Marianne Thyssen doit recueillir la majorité qualifiée au sein du Conseil Européen, soit 55% des Etats membres et 65% de la population. Et une minorité de blocage peut être exercée par un minimum de quatre Etats représentant au moins 35% de la population de l'Union. Bref, ce n'est pas gagné.

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Membre, 61ans Posté(e)
aPOTRE Membre 7 920 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)
il y a 28 minutes, DroitDeRéponse a dit :

@hdbecon nous verrons bien

http://www.huffingtonpost.fr/2017/04/29/emmanuel-macron-refusera-toute-coalition-avec-le-parti-socialiste-et-lr_a_22060970/

 

Emmanuel Macron refusera toute coalition avec le Parti socialiste ou Les Républicains s'il est élu président

Le candidat d'En Marche! tacle, dans une interview au Figaro, l'attitude de Baroin et Cambadélis, soupçonnés de calcul politique.

 

"L'objectif que je fixe est clair: obtenir aux législatives une majorité absolue qui soit une majorité présidentielle", a déclaré Emmanuel Macron dans cette interview mise en ligne vendredi soir. "Il n'y aura pas de coalition avec les deux grands partis existants, ni avec LR ni avec le PS. Mais dans les temps qui arrivent, il y aura une refondation de la vie politique qui verra des socialistes et des Républicains me rejoindre individuellement", a estimé le candidat d'En Marche!

 

"C'est la clé pour ne pas avoir de majorité coulissante. On ne peut pas se le permettre dans les temps d'incertitude que nous traversons", a-t-il poursuivi.

"J'investirai 577 candidats de la majorité présidentielle, explique Emmanuel Macron. Ceux qui ne me rejoindront pas auront donc des candidats face à eux. Mais je souhaite que l'on me rejoigne par cohérence et pour soutenir notre projet, pas pour sauver son poste. Les Républicains ou les socialistes qui ne croient pas à mon projet ne viendront pas."

....

"Nous avons M. Baroin, qui est l'un des responsables d'un parti qui fait 20%" au premier tour de la présidentielle... Et il dit de manière absolument invraisemblable: 'moi je veux bien être Premier ministre de M. Macron'. Vous me direz, il a voulu être celui de M. Sarkozy, il a voulu être ensuite celui de M. Fillon, il voudrait devenir le mien. Il manifeste donc une vraie constance: la recherche de son intérêt personnel", a raillé le candidat d'En Marche!, avant de glisser une autre pique au premier secrétaire du PS Jean-Christophe Cambadélis, soupçonné de calcul politique.

"Jeudi, M. Cambadélis disait que, s'il est réélu député, il ne voterait pas l'habilitation à réformer le Code du travail. Très bien! Mais moi je suis clinique: M. Cambadélis est le chef d'un parti qui fait 6 %... Donc sa principale préoccupation est surtout de savoir combien de députés il aura avec l'étiquette socialiste", a-t-il estimé.

"Cette cécité prouve qu'ils ne sont pas en situation d'avoir une majorité", a encore cinglé Emmanuel Macron.

maintenant  macron est taclé par marine , faut qu'il donne le nom de son ou sa premier(e) ministre (s'il est élu) ! car là il est bien coincé !et sert ses fesses très fort , il y a urgence pour lui, lol !!!:hello:

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Membre, Posté(e)
pope Membre 2 435 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, jacky29 a dit :

mon cher, DDR a répondu à tes attaques contre Macron, c'est tout et avec argumentation idoine à l'appui. et poste tes sources illico presto, merci, jacky.

ps: aucun président ne peut supprimer un organisme associatif quand celui-ci respecte la loi et ses buts. entre nous, sortir Bakounine et Proudhon me fait doucement rigoler! si tu oses te dire anarchiste, moi, je suis le pape françois! 

je ne comprend pas le rapport président et associatif??

pourquoi selon toi Bakounine est un conservateur de droite? et Proudhon un catho convaincu??

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Membre, 113ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 113ans‚
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il y a 39 minutes, fx. a dit :

Un premier constat, me semble-t-il, s’impose à l’esprit : cette histoire terrible que nous vivons, et qui pourrait se conclure si nous n’y prenons garde par une catastrophe démocratique sans précédent depuis Vichy, par le renversement de la République, est la chronique d’un sinistre depuis très longtemps annoncé, celui d’un parti socialiste qui a accompagné l’émergence d’un capitalisme à l’anglo-saxonne, de plus en plus tyrannique. Un parti socialiste qui a d’abord mollement résisté à ce basculement vers un capitalisme instaurant une tyrannie du capital sur le travail ; puis qui a accompagné ce basculement ; et pour finir qui l’a accéléré brutalement, avec l'aide de zélés hauts fonctionnaires. Dont, au premier rang, Emmanuel Macron.

depuis Vichy ? non depuis le début des années 90....

  le social libéralisme domine actuellement les gauches Européennes ....

depuis l'effondrement du système soviétique dans les années 88/89 ,la plupart des pays évolués d'Europe ont développé un système social démocrate plus proche des réalités économiques ...

toutes les démocraties européennes ......toutes ? Non ! un  petit   parti d'irréductibles Gaulois communistes  résiste encore et toujours à l'envahisseur libéral  

on doit être les seuls en Europe à disposer encore d'un parti communiste représenté à l'assemblée nationale  ,on doit être les seuls à avoir des anarchistes revendiqués bras armé des syndicats eux même bras armé des partis d'extrême gauche marxistes ...on se croirait à Cuba ....

le parti communiste d'un pays comparable l'Allemagne ( DKP) récolte 1699 voix à l'échelon national contre dix députés communistes  élus chez nous  ,on est loin des 86 députés des années 70 ,mais le fait qu'il reste encore des représentants d'une idéologie dépassée ,mortifère ,base de la "vraie gauche " dépasse l'entendement ... 

 

 

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Membre, Posté(e)
pope Membre 2 435 messages
Baby Forumeur‚
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Il y a 3 heures, Henry Martin a dit :

Oui, bien vu.

J'ai aussi l'impression que les ressorts de croissance s'épuisent d'une façon générale. Voir à ce sujet l'œuvre de Jean-Marc Jancovici qui dit qu'arrivé à un plafond d'énergie il n'y a plus de croissance. Ainsi le problème de l'ajustement paramétrique, c'est que le futur est de plus en plus pessimiste par rapport à ce qu'a été le passé, ce que l'on n'envisage pas dans ces modèles.

raison pour laquelle le système capitaliste est un échec et le libéralisme ou ultralibéralisme est une radicalisation de la finance... avec ses conséquences sur le peuple d'un autoritarisme qui entraine un vote FN

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Henry Martin Membre 4 459 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, pope a dit :

raison pour laquelle le système capitaliste est un échec et le libéralisme ou ultralibéralisme est une radicalisation de la finance... avec ses conséquences sur le peuple d'un autoritarisme qui entraine un vote FN

Oui, c'est vrai que sortir de la misère absolue un milliard d'individus, ça casse vraiment pas des briques, que dis-je : un échec!

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Invité
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il y a 29 minutes, DroitDeRéponse a dit :

"L'objectif que je fixe est clair: obtenir aux législatives une majorité absolue qui soit une majorité présidentielle", a déclaré Emmanuel Macron dans cette interview mise en ligne vendredi soir. "Il n'y aura pas de coalition avec les deux grands partis existants, ni avec LR ni avec le PS. Mais dans les temps qui arrivent, il y aura une refondation de la vie politique qui verra des socialistes et des Républicains me rejoindre individuellement", a estimé le candidat d'En Marche!

Ce qu'il m'importe de savoir, c'est si ces socialistes et républicains qui rejoindront Emmanuel Macron garderont ou non leur carte de parti politique d'origine ou devront obligatoirement s'en séparer. Ce point n'est toujours pas éclairci pour moi. En Marche, est-ce un mouvement ou un parti..? Si c'est un parti, on y a sa carte, et tout est clair. Si c'est un mouvement, tout change. Le statut autorise l'ambiguïté. C'est cette ambiguïté qu'il s'agit de lever. Les candidats En Marche issus des parti socialistes et républicains seront-ils des candidats ayant rendu la carte de leur parti sous l'étiquette "En Marche", ou des candidats socialistes et républicains sous l'étiquette "En Marche"..?

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pope Membre 2 435 messages
Baby Forumeur‚
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il y a 11 minutes, Henry Martin a dit :

Oui, c'est vrai que sortir de la misère absolue un milliard d'individus, ça casse vraiment pas des briques, que dis-je : un échec!

et si l'on avait choisi le partage des richesses et pourquoi pas taxer la bourse?? combien en plus en dehors de la misère!

Modifié par pope
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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 803 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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il y a 46 minutes, hdbecon a dit :

Ce qu'il m'importe de savoir, c'est si ces socialistes et républicains qui rejoindront Emmanuel Macron garderont ou non leur carte de parti politique d'origine ou devront obligatoirement s'en séparer. Ce point n'est toujours pas éclairci pour moi. En Marche, est-ce un mouvement ou un parti..? Si c'est un parti, on y a sa carte, et tout est clair. Si c'est un mouvement, tout change. Le statut autorise l'ambiguïté. C'est cette ambiguïté qu'il s'agit de lever. Les candidats En Marche issus des parti socialistes et républicains seront-ils des candidats ayant rendu la carte de leur parti sous l'étiquette "En Marche", ou des candidats socialistes et républicains sous l'étiquette "En Marche"..?

Pour le moment au vu de la procédure pour se porter candidat à la députation il faut adhérer à en marche, signer sur l'honneur une charte, mais il n'est pas interdit d'être adhérent d'un autre parti . Donc votre ou à l'instant t est à compléter , la double appartenance n'est pas interdite ( ça peut changer ) . Ce qui ne répond pas à la question j'en suis navré .

il y a 45 minutes, pope a dit :

et si l'on avait choisi le partage des richesses et pourquoi pas taxer la bourse?? combien en plus en dehors de la misère!

Elle l'est , je paie des impôts et les taxes sociales sur mes dividendes et plus values . On apprend pas ça à l'IEP Strasbourg ? :mef2:

Modifié par DroitDeRéponse
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Invité s Invités 0 message
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il y a 42 minutes, hdbecon a dit :

Ce qu'il m'importe de savoir, c'est si ces socialistes et républicains qui rejoindront Emmanuel Macron garderont ou non leur carte de parti politique d'origine ou devront obligatoirement s'en séparer. Ce point n'est toujours pas éclairci pour moi. En Marche, est-ce un mouvement ou un parti..? Si c'est un parti, on y a sa carte, et tout est clair. Si c'est un mouvement, tout change. Le statut autorise l'ambiguïté. C'est cette ambiguïté qu'il s'agit de lever. Les candidats En Marche issus des parti socialistes et républicains seront-ils des candidats ayant rendu la carte de leur parti sous l'étiquette "En Marche", ou des candidats socialistes et républicains sous l'étiquette "En Marche"..?

Il ne sera pas à droite, pas à gauche", a dit le ministre de l'Economie qui entend "refonder par le bas". "Je suis d'un gouvernement de gauche. J'assume totalement mais je veux travailler avec des gens qui se sentent à droite", a-t-il expliqué."En Marche!", est un mouvement transpartisan ("le clivage gauche-droite nous empêche à beaucoup d'égards") pour laquelle l'adhésion sera gratuite. Il sera même possible d'avoir une double appartenance avec le PS, l'UDI, EELV et même Les Républicains. La seule incompatibilité est avec les partis dont "les valeurs sont manifestement incompatibles avec les nôtres". En creux on devine que le Front national et même l'extrême-gauche sont exclus.

http://www.huffingtonpost.fr/2016/04/06/en-marche-emmanuel-macron-nouveau-parti-politique_n_9626420.html

Emmanuel Macron, qui n’a pas sa carte au Parti socialiste, a précisé vouloir un « mouvement ouvert » auquel il serait possible d’adhérer tout en restant adhérant d’un « autre parti républicain ». 
 

http://www.lemonde.fr/politique/article/2016/04/06/emmanuel-macron-lance-un-mouvement-politique-nouveau-baptise-en-marche_4897274_823448.html

C'est un mouvement politique où les gens pourront garder leur carte de parti politique d'origine mais bien sûr, il faut que cela soit compatible avec le mouvement comme il est dit,  le front national ou l'extrême gauche ne peut pas y adhérer.  

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