UK : les services sociaux voleurs d'enfants

Bonjour,

Welcome au pays des Ladybirds :

Elles ont été privées de leur enfant pour une faute qu'elles n'ont pas commise." Diffusé ce mardi soir sur France 5, le documentaire réalisé par Stéphanie Thomas et Pierre Chassagnieux lève le voile sur une réalité méconnue de la Grande Bretagne : le retrait arbitraire de centaines d'enfants chaque année à leurs parents. Et ce, sur la simple base d'une présomption de maltraitance qui pourrait, un jour, se produire.

Une dérive "orwellienne" qui se déroule à quelques dizaines de kilomètres de la France dans une relative indifférence. Le documentaire s'ouvre ainsi sur une scène édifiante : celle de la fuite en Normandie de Bethany, de 22 ans, enceinte de huit mois. "Les services sociaux m'ont envoyé un courrier disant que c'était ma dernière chance avant de prendre mon bébé, avant de me donner cinq jours pour trouver un avocat. C'est à ce moment-là que nous avons décidé de partir", raconte la jeune femme. Sa faute ? Avoir vécu le suicide de sa sœur ainée, six ans auparavant. Un drame qui l'aurait fragilisé et qui, de facto, rentre dans le cadre du Children act.

Pour lire la suite, aller sur : Mon lien

Intéressant. Je crois que je vais regarder ça.

Effrayant!

C'est aussi d'autant plus étonnant qu'en Angleterre, un réseau pédocriminel a été couvert pendant de nombreuses années, malgré de nombreuses indications de maltraitances d'enfants.

Wikipedia

BBC

C'est justement suite à ces ratés que l'assistance sociale en est arrivée là.

Certains l'appellent principe de précaution .

Quelle horreur cette affaire. C'est l'héritage des années Thatcher.

Certains l'appellent principe de précaution .

Le principe de précaution a bon dos... Il s'agit de se faire du fric sur le dos des pauvres, tout en les punissant de leur pauvreté.

Quelle horreur cette affaire. C'est l'héritage des années Thatcher.

Le principe de précaution a bon dos... Il s'agit de se faire du fric sur le dos des pauvres, tout en les punissant de leur pauvreté.

Non le sujet est archi connu

http://www.huffingtonpost.fr/2013/01/14/royaume-uni-le-scandale-des-enfants-retires-abusivement-a-leurs/

À l'origine de ce système absurde, une double dynamique:

• D'un côté, plusieurs faits divers qui ont vu des enfants britanniques maltraités, au point même d'être tués par leurs parents. En témoigne l'affaire Baby P., du nom de ce bébé de 17 mois décédé des 2007 des suites de la cinquantaine de blessures que lui avaient infligé ses parents. À l'époque, l'affaire bouleverse le pays. Les médias n'hésitent alors pas à pointer du doigt la défaillance des services sociaux, qui redoublent d'attention et augment drastiquement le nombre de retraits d'enfants.
  
• De l'autre, depuis l'arrivée au pouvoir de Tony Blair en 1997, tout est fait pour encourager l'adoption. Les communautés locales se voient même rémunérées par l'État, si elles atteignent leurs objectifs d'enfants placés dans des familles d'accueil. Certaines d'entre elles engrangent plusieurs centaines de milliers, voire plusieurs millions de livres.

La hausse drastique est donc bien le principe de précaution

A priori tout vient d'une loi datant de 1989.

Cette "loi sur la future maltraitance" est la preuve que dans nos pays réputés démocratiques, des pans entiers de totalitarisme que n'auraient pas reniés les pires dictatures peuvent exister, en toute impunité et en toute légalité (la preuve, cette loi délirante existe encore).

A priori tout vient d'une loi datant de 1989.

Il y a eu un reportage à la TV francaise qui de memoire confirmait le Huffington .

Ça doit se retrouver ....ou France 5 est une rediffusion ?

Loargan ?

C'est atroce.

Je pense que ça arrivera de plus en plus en France avec l'interdiction de la fessée qui poussera les gens à considérer cet acte comme de la maltraitance. Puis aussi, à cause des Vegans qui sont de plus en plus mal vus en France.

Effrayant!

C'est aussi d'autant plus étonnant qu'en Angleterre, un réseau pédocriminel a été couvert pendant de nombreuses années, malgré de nombreuses indications de maltraitances d'enfants.

Wikipedia

BBC

Ça se passait dans les églises catholiques?

Il y a eu un reportage à la TV francaise qui de memoire confirmait le Huffington .

Ça doit se retrouver ....ou France 5 est une rediffusion ?

Loargan ?

Il y a eu d'autres documentaires sur le sujet déjà : j'en avais vu un sur France 3.

C'est chouette la prévention de la maltraitance... Soit on ne fait rien, soit il y a carrément procès d'intention

La parole de l'enfant n'est pas Vérité, donc de facto l'écueil existe .

Je ne comprends pas ?

A priori tout vient d'une loi datant de 1989.

Atroce, n'importe quel voisin peut se venger et dire que tel enfant est maltraité.

Non Droit de réponse, les français ne savaient pas, ne pensez pas à notre place.

Ce qui existe, c'est la délation, un tel se venge, on accuse de tout sans preuves, maltraitance aux personnes âgées aussi.

Ça fait chasse à courre, very british.

Je ne comprends pas ?

Quand un enfant dit mes parents on fait ca , est ce vrai ou pas ?

Je note que meme sur une affaire grave comme outreau avec expert psy etc , le vautrage est au tournant.

Donc oui il y a proces d'intention ou ce qui apparaît à posteriori comme du laxisme .

Cf les scandales à l'EN . Le juste milieu est plus difficile à trouver avec l'enfant .

Pour rebondir sur les propos de @kutta on se rappellera que la loi fessee est le fruit de la plainte d'assoces anglaises. La vigilance citoyenne doit effectivement être de mise .

Atroce, n'importe quel voisin peut se venger et dire que tel enfant est maltraité.

Non Droit de réponse, les français ne savaient pas, ne pensez pas à notre place.

Ce qui existe, c'est la délation, un tel se venge, on accuse de tout sans preuves, maltraitance aux personnes âgées aussi.

Ça fait chasse à courre, very british.

outreau ?

Je pourrais aussi évoquer une amie dont la fille avec un handicap mental hurlait beau oup qui a failli perdre sa fille sur dénonciation d'un voisin

http://dai.ly/xl2rrm

Ci-dessus un lien vers une émission radio sur le sujet.

Des nourrissons peuvent être enlevés à la maternité sur des prétextes absurdes.

Evidemment, des telles mesures ne concerneront jamais les enfants de la famille royale, qui évoluent pourtant dans une atmosphère souvent tourmentée, étouffante, parfois traumatisante... Imaginez les princes William et Harry : leur père qui a poussé leur mère à la dépression, qui la trompait à tour de bras avec un boudin... Le décès de Lady Di, le remariage hâtif de Charles avec Camilla...

Tu n'as pas compris ce que je voulais dire.

Il y a d'un côté la personne à qui on prend son enfant dès la naissance sous prétexte qu'elle a assisté au suicide de sa soeur (donc c'est pluss qu'excessif mais cette personne était "suivie" néanmoins ce qui n'est pas un mal si c'est fait correctement).

Et il y a de l'autre côté la personne enceinte qui elle aussi a assisté au suicide de sa soeur mais qu'on a complètement laissé tomber, pas de suivi que dalle rien. Et après on s'étonne qu'il y a des problèmes...

Tu vois ce que je veux dire ?

Vi mais nous sommes bien dans le principe de précaution poussé au bout du bout

http://www.francetvi...lle_474760.html

es associations considèrent que chaque année, il y a des milliers de cas d'enfants retirés abusivement à leur parents. Dernière affaire : une Italienne enceinte diagnostioquée bipolaire a été emmenée de force à l'hôpital. Durant son sommeil, surveillée par la police, une césarienne forcée a été pratiquée et le nouveau-né a été emmené. Elle avait 2 autres enfants, chez leur grand-mère en Italie. Ces procédures sont des ratés du système. Il y a quelques années, l'affaire "Baby P.", du nom d'un garçon battu a mort par sa mère, avait fait scandale. Les services sociaux, alertés, n'avaient rien fait. La Grande-Bretagne était traumatisée.Nous sommes désolés des événéments qui ont conduit à sa mort.

Depuis, la paranoïa des services sociaux a abouti au placement systématique d'enfants, même sans signe de mauvais traitement. Ce député est parti en guerre contre les excès du système.

Il faut un système de protection de l'enfance. Mais ici, on est obsédé. Normalement, on cherche à placer les enfants chez les grands-parents.

Aujourd'hui, les services sociaux ont un quota d'enfants à adopter. Ce qui alimente le business des agences d'adoption britanniques.

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Deux problèmes, le premier une histoire de quota merdique pour démontrer que les services sociaux utilisent bien les impôts des anglais, de l'autre un retour de balancier conduisant à un principe de précaution à la con.

L'arche de Zoé a fait la même chose non ?

Pour le reste nous sommes d'accord c'est dégueulasse ...

@kutta , vous voyez la reproduction du sans dent comme un problème, n'est ce pas finalement l'aboutissement logique du processus ?

Bonjour,

Welcome au pays des Ladybirds :

Elles ont été privées de leur enfant pour une faute qu'elles n'ont pas commise." Diffusé ce mardi soir sur France 5, le documentaire réalisé par Stéphanie Thomas et Pierre Chassagnieux lève le voile sur une réalité méconnue de la Grande Bretagne : le retrait arbitraire de centaines d'enfants chaque année à leurs parents. Et ce, sur la simple base d'une présomption de maltraitance qui pourrait, un jour, se produire.

Une dérive "orwellienne" qui se déroule à quelques dizaines de kilomètres de la France dans une relative indifférence. Le documentaire s'ouvre ainsi sur une scène édifiante : celle de la fuite en Normandie de Bethany, de 22 ans, enceinte de huit mois. "Les services sociaux m'ont envoyé un courrier disant que c'était ma dernière chance avant de prendre mon bébé, avant de me donner cinq jours pour trouver un avocat. C'est à ce moment-là que nous avons décidé de partir", raconte la jeune femme. Sa faute ? Avoir vécu le suicide de sa sœur ainée, six ans auparavant. Un drame qui l'aurait fragilisé et qui, de facto, rentre dans le cadre du Children act.

Pour lire la suite, aller sur : Mon lien

Méthode pluricentenaire des réseaux pédophiles à la tête des états.

Vi mais nous sommes bien dans le principe de précaution poussé au bout du bout

Il faut un système de protection de l'enfance. Mais ici, on est obsédé.

Tout à fait d'accord bien sûr.